Des collectivités au Canada, au Royaume-Uni et ailleurs dans le monde examinent de près leur santé et leur mieux-être dans le cadre de Signes vitaux, un programme international qui a pour objectif de mesurer la vitalité des collectivités.
Trente-quatre collectivités au Canada, 17 au Royaume-Uni, et d’autres collectivités en Irlande, au Brésil, aux États-Unis, aux Bermudes, en Australie et en Nouvelle-Zélande, participent cette année au programme Signes vitaux par la collecte de données, la tenue de dialogues et la publication de rapports sur les tendances sociales et économiques qui permettent de dresser le portrait de leur collectivité en ce qui a trait à des secteurs clés, indicateurs de la qualité de vie.
Ces rapports, dont beaucoup sont publiés au cours de la semaine Signes vitaux (du 2 au 8 octobre), sont utilisés par les collectivités partout dans le monde en vue de susciter l’engagement civique et de servir de base à un dialogue public.
« La grande utilité de Signes vitaux, ce sont les connaissances que ce programme nous apporte en vue de générer des changements dans nos collectivités, affirme Cindy Lindsay, directrice des services aux membres auprès de Fondations communautaires du Canada dont elle est la responsable internationale pour le programme Signes vitaux. En une ère où la prise de décision s’appuie sur des données, les collectivités sont de plus en plus nombreuses, à l’échelle mondiale, à utiliser Signes vitaux toute l’année pour mieux évaluer leur qualité de vie et pour cerner les possibilités de promouvoir l’engagement, le subventionnement et les actions concertées. »
Depuis son lancement par la Toronto Foundation en 2001, le programme Signes vitaux s’est propagé dans le monde. Aujourd’hui, plus de 85 collectivités, en neuf pays, prennent part à Signes vitaux en produisant un rapport annuel ou en fondant leur action sur les résultats de rapports précédents.
Signes vitaux connaît une popularité grandissante au Royaume-Uni, alors qu’un nombre record de collectivités y participent cette année. Le programme aide à cerner les enjeux préoccupants tant au Canada qu’au Royaume-Uni, comme la pauvreté infantile, la création d’emplois et l’inégalité des revenus.
En raison de leur vaste portée et de la profondeur de leurs connaissances au sujet des priorités locales, les fondations communautaires sont bien placées pour orienter les donateurs ainsi que l’engagement philanthropique. Comme l’a souligné Fabian French, directeur général de UK Community Foundations, « la philanthropie peut jouer un rôle de premier plan pour relever bon nombre de nos défis actuels. En tant que fondations communautaires, nous faisons une énorme différence dans les localités. Mais fondamentalement, comme le démontrent nos rapports Signes vitaux pour le Royaume-Uni, les besoins grandissent — et nous devons grandir aussi ».
Les fondations communautaires du Canada et du Royaume-Uni font partie d’un réseau mondial qui regroupe plus de 1800 fondations communautaires en plus de 50 pays.
Personnes-ressources pour les médias :
David Venn Directeur des communications Fondations communautaires du Canada Courriel : dvenn at communityfoundations.ca Twitter : @CommFdnsCanada |
Kiran Ramchandani Responsable des affaires externes UK Community Foundations Courriel : kramchandani at ukcommunityfoundations.org Twitter: @UKCF_tweets |
SOURCE: Fondations communautaires du Canada
Photo credit: Bart Gamber, Vital Signs author