Le comité des Nouveaux Leaders du RCDÉC est à la recherche de nouveaux membres ! Participez au mouvement du DÉC, joignez-vous à notre comité de jeunes dynamiques !
Vous avez jusqu’au 17 novembre 2088, date limite.

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Lundi, 6 octobre 2008

TéléCommunautés Canada (TC) lance aujourd’hui la campagne « Internet pour tous » [www.internetpourtous.ca] qui a pour objectif de remettre à l’agenda du gouvernement fédéral une stratégie nationale en matière de technologies de l’information et des communications (TIC).

« Aucun des partis, dans la campagne électorale actuelle, ne fait mention de stratégie nationale pour l’usage de l’Internet comme outil de développement », fait remarquer Garth Graham, expert en stratégie Internet et membre du conseil d’administration de TéléCommunautés Canada.

Une telle stratégie devrait soulever la question de l’inclusion numérique, principale préoccupation des membres de TéléCommunautés Canada qui appuient cette campagne. Autrefois chef de file de l’accès à Internet, le Canada fait maintenant piètre figure alors que l’inclusion numérique universelle promise n’est toujours pas acquise. Selon une étude de l’OCDE (2007), le Canada a chuté du deuxième au dixième rang mondial en terme de connectivité avec 26.6 abonnés au haut débit par 100 habitants.

« Nous avons d’abord abordé le projet d’inclusion numérique avec de grands objectifs, beaucoup de volonté politique et d’excellents programmes. C’est désastreux d’avoir laissé notre position de leader s’amenuiser autant », poursuit Gareth Shearman, président de TC.

Depuis les cinq dernières années, les programmes d’aide aux populations potentiellement exclues de l’usage des technologies, soutenus par le gouvernement fédéral, sont en constante lutte pour survivre avec une aide financière de plus en plus limitée. Le Programme d’accès communautaire (PAC) et son extension, l’Initiative jeunesse (IJ-PAC), sont à la base d’un immense réseau national de centres communautaires qui aident chaque année des centaines de milliers de personnes à intégrer les nouvelles technologies dans leurs vies. Malgré les coupures, ces centres demeurent extrêmement actifs, preuve d’un besoin réel et de l’engagement des groupes locaux et de nombreux bénévoles.

Ces centres et leurs jeunes animateurs offrent des formations aux logiciels, de l’aide à la recherche d’emploi, des programmes d’initiation aux TIC, un accès à plusieurs services communautaires et une opportunité de meilleure intégration culturelle. S’alliant également aux secteurs public et privé et à du personnel expérimenté, ils offrent plusieurs services complémentaires, du montage vidéo à la création de sites Web. Ainsi, des milliers de jeunes stagiaires du projet IJ-PAC acquièrent une expérience hors du commun qui leur permet de devenir des citoyens engagés. Les évaluations tant internes qu’externes de ces programmes les ont acclamés et les considèrent comme une réussite totale à chaque année.

Les appuis des secteurs public et privé fusent de toute part pour que soit dirigée une partie des retombées de la récente vente aux enchères de 4,2 milliards de dollars du spectre d’ondes sans fil vers une stratégie nationale en matière de TIC. « Les retombées inattendues de la vente aux enchères constituent une occasion en or pour le pays de revenir dans la partie. » conclut le président de TéléCommunautés Canada.

La campagne « Internet pour tous » demande à tous les candidats à la gouvernance leur position par rapport à cette question.

TéléCommunautés Canada [www.tc.ca] est un réseau de groupes qui appuient les milieux communautaires pour promouvoir les initiatives reliées à l’appropriation des technologies de l’information et des communications.

Pour plus d’informations contactez :

National:

Gareth Shearman, President, TeleCommunities Canada 250-479-2851,

Colombie-Britannique:
Bev Collins
General Manager
Pacific Community Networks Association
604 483 3110

Saskatchewan:
Marie Prebushewski
Executive Director
Thickwood Hills Business & Learning Network
306 549-4726

Manitoba:
Clarice Leader
Executive Director
Manitoba E-Association
204 781-6937

Ontario:
Peter Frampton
Executive Director
The Learning Enrichment Foundation
416-760-2560

Québec:
Monique Chartrand
Directrice générale
Communautique
514 948-6644 poste 221

Territoires du Nord-Ouest:
Cheryl Deforest
Executive Director
Smart Communities Society
Telephone: (867) 873-6451

Nunavut :
Darlene Thompson
Community Access Program Administrator
Nunavut Department of Education/N-CAP
867-975-5631

 

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Du 17 au 19 octobre 2008 mettez-vous Debout et Agissez
contre la Pauvreté et pour les Objectifs du Milléaire pour le Développement 

Joignez-vous aux millions de ceux qui dans le monde entier vont se mettre Debout et Agir contre la pauvreté et pour les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).

L’année dernière, plus de 43 millions de personnes se sont mises debout pour demander aux dirigeants du monde de respecter leurs promesses de mettre fin à la pauvreté et aux inégalités. Cette année, aidez-nous à battre ce record et à adresser un message encore plus fort à nos gouvernements.

Rejoignez le mouvement mondial de ceux qui refusent de rester assis et silencieux face à la pauvreté et aux promesses non tenues d’y mettre fin.

DEBOUT et AGISSEZ contre la pauvreté et pour les Objectifs du Millénaire pour le Développement.

POURQUOI DEBOUT ET AGISSEZ ?

En 2000, les dirigeants de 189 pays ont signé la Déclaration du Millénaire, et décidé de faire tout ce qui était en leur pouvoir pour mettre fin à la pauvreté. Ils se sont engagés à le faire en accomplissant les Objectifs du Millénaire pour le développement, une feuille de route pour mettre fin à l’extrême pauvreté d’ici 2015. A la date d’aujourd’hui, l’extrême pauvreté tue 50 000 personnes par jour et le fossé entre les riches est les pauvres ne cesse de s’élargir. Près de la moitié de la population mondiale, dont 70 % de femmes, vit dans la pauvreté.

Nous avons le pouvoir que cela change. Dans le monde entier, les participants à DEBOUT ET AGISSEZ vont faire pression sur les gouvernements pour une amélioration de l’aide en quantité et en qualité, l’annulation de la dette, l’éducation pour tous les garçons et filles, les soins de santé, la justice commerciale, l’égalité hommes-femmes et la responsabilité publique.

Visitez: http://www.standagainstpoverty.org/fr

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Annonce – Nouveau directeur des finances et de l’administration !

C’est avec plaisir que le conseil d’administration accueille au sein de l’équipe de gestion du RCDÉC Dan Doyle au poste de directeur des finances et de l’administration du RCDÉC.

L’expérience professionnelle de Dan dans le secteur des finances et de la gestion administrative, en tant que directeur des opérations et chef des services financiers de la Société de recherche sociale appliquée (SRSA – https://www.srdc.org/), représente un apport considérable. Au cours des quinze dernières années, Dan a été un acteur principal dans la consolidation de la SRSA au plan administratif, alors que la Société était en plein essor. En effet, pendant cette période, la SRSA est passée de trois à quarante employés travaillant dans deux bureaux provinciaux et plusieurs bureaux locaux.

L’intérêt personnel de Dan dans l’entreprise sociale et son enthousiasme à faire la différence au sein des collectivités renchérissent son expérience professionnelle. Son esprit d’équipe et d’entreprise collaboreront à la pérennité du RCDÉC qui compte déjà plus de dix ans d’existence.

Par ailleurs, le conseil tient à remercier tout particulièrement Richard Chamberlain, ancien directeur des services financiers, pour son apport considérable au développement du RCDÉC au cours des deux dernières années et pour son soutien remarquable pendant cette période de transition.

Dan œuvrera à partir de notre bureau d’Ottawa (à déterminer prochainement) et peut être contacté à cette adresse courriel .

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Le RCDÉC est enthousiaste à l’idée que l’ARC ait pris l’initiative de relever les enjeux auxquels les organismes de bienfaisance du Canada sont confrontés en matière de responsabilité et d’activité. Nous pensons que c’est une occasion idéale pour tisser des liens forts et de confiance entre le grand public et les organismes de bienfaisance et pour déterminer clairement ce que sont les activités de financement de bienfaisance acceptables.

Les activités de financement sont d’une importance considérable pour le travail et la viabilité des organismes de bienfaisance. Ainsi, la Loi de l’impôt sur le revenu doit refléter cette réalité tout en établissant les lignes directrices définissant les activités de financement acceptables pour les organismes de bienfaisance. Aucun organisme de bienfaisance responsable ne refuserait au public le droit de connaître en détail le fonctionnement financier d’un organisme de bienfaisance, en particulier la façon dont il différencie ses dépenses de revenus à des fins de bienfaisance de celles attribuées aux coûts administratifs et aux coûts reliés à la collecte de fonds.

Le RCDÉC a examiné la politique et les documents d’information proposés par l’ARC ainsi que les comptes-rendus d’autres organismes concernés et les acteurs principaux. Nous avons aussi envoyé un document d’information à nos membres et nous avons inclus leurs commentaires dansnotre réponse. Nous encourageons l’ARC à prendre le temps d’examiner toutes les réponses qui lui ont été soumises et à continuer de rassembler les commentaires de ceux qui n’ont pas été inclus dans cette consultation et dans la précédente.

 Cliquez ici pour telécharger le document.

 

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PLATEFORME COMMUNE – ÉLECTION FÉDERALE 2008

Recommandations au gouvernement fédéral en matière de développement économique communautaire et d’économie sociale.

Cinq importants réseaux, l’Association des coopératives du Canada, le Réseau canadien de développement économique communautaire, le Chantier de l’économie sociale, le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité et le Conseil Canadien de la Coopération, représentant des milliers de coopératives, d’organismes communautaires et d’entreprises sans but lucratif de partout au pays, proposent un nouveau partenariat entre les communautés et le gouvernement canadien en vue de bâtir des économies plus fortes, de s’attaquer à la pauvreté et d’investir dans des communautés durables.
Alors que les impacts du ralentissement économique aux États-Unis se font sentir et que s’accroissent les pressions engendrées par la mondialisation, nous croyons que des politiques publiques plus fortes en faveur du développement économique communautaire (DÉC) sont, aujourd’hui plus que jamais, nécessaires au Canada. Une volonté et des engagements de la part du gouvernement du Canada de soutenir le DÉC et l’économie sociale lui permettraient de joindre les rangs d’un nombre croissant de pays à travers le monde qui ont mis en place des politiques d’appui à ce mouvement en plein essor.

À travers nos réseaux, enracinés dans toutes les régions du Canada, nous sommes témoins de la capacité du développement économique communautaire de créer des communautés dynamiques et durables. Les entreprises et les organismes d’économie sociale, coopératifs ou sans but lucratif, ont réussi à répondre aux besoins locaux, notamment dans les domaines du logement, de la santé, de l’environnement, de l’agriculture, de la culture, des loisirs, du tourisme et des services de garde pour la petite enfance.

Les citoyennes et les citoyens qui travaillent ensemble pour relever des défis sociaux et économiques peuvent avoir un impact positif puissant sur les collectivités rurales, urbaines et autochtones. Dans beaucoup de collectivités locales, alors que des entreprises ferment leurs portes ou relocalisent leurs activités, les organismes de l’économie sociale appartenant à la communauté restent enracinées, offrent des services de qualité, créent des opportunités et maintiennent des emplois.

Nous avons un impact considérable. Le secteur coopératif canadien possède des actifs de 250 milliards de dollars. Les organismes du secteur coopératif ont plus de 17 millions de membres et représentent plus de 150 000 emplois. En 2001, la part du secteur sans but lucratif dans le PIB totalisait 25,4 milliards, ce qui représentait 2,5 % de l’économie canadienne. Ce pourcentage montait à 80,3 milliards, soit 6,8 % du PIB, si l’on incluait les hôpitaux, les universités et les collèges à statut sans but lucratif.

Les recommandations comprennent :
• Un plus grand rôle pour l’entreprise sociale dans les initiatives de revitalisation économique ;
• Le soutien aux nouvelles coopératives et aux coopératives émergentes ;
• Un soutien durable aux organismes de développement économique communautaire et le renforcement des capacités ;
• Le soutien aux ressources techniques et à l’expertise destiné aux entreprises sans but lucratif ;
• L’accès au capital ;
• Une stratégie nationale de lutte à la pauvreté avec des cibles, des échéanciers et des ressources.

Cliquez ici pour télécharger le document complet comprenant des informations détaillées sur ces recommandations>>

 

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Préparé par Nicole Chaland et Lorenzo Magzul du Réseau canadien de Développement économique communautaire pour l’Association canadienne d’habitation et de rénovation urbaine

Le Réseau canadien de Développement économique communautaire (RCDÉC) a préparé ce document de discussion pour l’Association canadienne d’habitation et de rénovation urbaine (ACHRU) et veut étudier le sujet du déclin des quartiers dans les communautés canadiennes. Nous sommes convaincus qu’il faut s’attaquer à ce déclin par des initiatives de renouvellement des quartiers qui font état de la complexité du sujet, qui sont inclusives et oeuvrent à partir de la communauté. Ce document explore surtout le rôle du logement dans la dynamique d’un quartier et veut répondre aux questions suivantes : qu’est-ce que le déclin d’un quartier ; comment identifier les quartiers en déclin et comment mesurer celui-ci ; que disent les faits actuels sur la nature et l’étendue du déclin des quartiers au Canada ; quel rôle joue le logement dans la dynamique des quartiers ?

Cliquez ici pour telécharger le document.


 

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Bonjour,

Comme vous le savez peut-être, le mouvement s’amplifie en faveur d’un plan antipauvreté au Canada. Je fais circuler une pétition demandant au gouvernement de déposer un plan antipauvreté national, en soulignant que tous les partis sont favorables aux audiences du comité parlementaire sur le rôle du gouvernement fédéral dans une stratégie de réduction de la pauvreté. Votre message parviendra au premier ministre, au ministre Solberg, du Développement des ressources humaines, et aux 12 députés membres du comité. Je vous invite à signer la pétition affichée sur ce lien et je vous encourage à la faire circuler dans votre réseau de collègues, parents et amis.

http://www.tonymartin.ca

Rick Prashaw
Legislative Assistant
Tony Martin MP (NDP – Sault Ste. Marie)
Social Policy Critic
Tel: (613) 992-8851 Fax: (613) 992-1954 www.tonymartin.ca

 

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L’Agence du revenu du Canada (ARC) propose une réforme de la législation (la Loi de l’impôt sur le revenu) qui affecte les organismes de bienfaisance. Le RCDÉC mène une étude à ce sujet pour mieux comprendre de quelle manière cette réforme pourrait affecter les organismes de bienfaisance canadien. L’ARC accepte les commentaires jusqu’au 31 août et nous vous encourageons à soumettre vos commentaires. Le RCDÉC est en train de rédiger une réponse. Ainsi, vos commentaires sont les bienvenus. Veuillez s’il vous plaît les adresser à Matthew Thompson à

Les répercussions de la réforme de la Loi de l’impôt sur le revenu proposée par l’ARC en ce qui concerne les activités de financement des organismes de bienfaisance ne sont pas claires. Il est probable que les dernières découvertes et l’enquête publique sur les activités de bienfaisance frauduleuses et l’utilisation de dons en soutien à des groupes terroristes sont les raisons qui ont suscité cette réforme. Il est évident que les organismes de bienfaisance bénéficieraient d’une amélioration de la législation et des règlements qui maintiendrait la confiance du public dans les organismes de bienfaisance. Cependant, changer la Loi peut aussi créer de nouveaux obstacles aux activités des organismes de bienfaisance canadiens.

Contexte abrégé de la législation actuelle
La Loi de l’impôt sur le revenu du Canada énonce le mécanisme selon lequel les organismes de bienfaisance enregistrés sont éxonérés d’impôts sur leur revenu et ont le droit de délivrer des reçus officiels de dons pour certains dons qu’ils reçoivent. Cependant, la Loi ne donne pas la définition d’un organisme de bienfaisance, celle-ci est développée par les tribunaux. Les tribunaux utilisent la classification de l’arrêt Pemsel pour déterminer si les fins et les activités d’un organisme relèvent de la bienfaisance. La classification Pemsel se réfère au préambule de la Loi d’Elizabeth qui énonce des exemples de fins de bienfaisance. D’après cette classification, un organisme doit avoir été constitué « dans l’intérêt de la communauté ou dans l’intérêt d’un segment de la communauté de taille suffisante ». Les activités d’un organisme sont reconnues comme caritatives si elles profitent à l’avancement des fins de l’organisme, le caractère des activités ne confèrent pas la désignation de bienfaisance.

Les principaux enjeux
Quelques-uns des principaux enjeux étudiés par l’Ontario Nonprofit Network (ONN) (voir document en attaché – en anglais seulement) sont les suivants :

• Les nouvelles lignes directrices incluent une définition élargie des activités de financement qui comprend ce qui pourrait être considéré comme des activités de revenu qui ne servent pas directement l’avancement des fins de l’organisme (p. ex. vente de tablettes de chocolat, de service de lave-auto).

• La proposition de l’ARC reconnaît les limites des organismes de petite taille ou des organismes qui s’adressent à une clientèle plus réduite ou qui sont d’intérêt limité. Cependant, ces organismes ne sont pas pris en compte dans les nouvelles lignes directrices, ils font partie des « exceptions » qui seront traités au cas par cas. Une législation efficace devrait clairement différencier les organismes de bienfaisance selon leur taille (petite, moyenne ou grande) et devrait prendre en considération les différences au niveau financier, administratif et des liens avec les donateurs. Les coûts et les contraintes des petits et moyens organismes de bienfaisance devraient également être pris en considération.

• Selon l’ARC, les activités de financement ne sont pas considérées comme des activités de bienfaisance. Étant donné que la plupart des organismes de bienfaisance dépendent des activités de financement pour satisfaire leur besoin financier, il serait opportun de redéfinir les activités de collecte de fonds comme des activités de bienfaisance – dans la mesure où les fonds collectés servent à l’avancement des fins de l’organisme (ceci dépend du montant des fonds collectés alloué aux coûts opérationnels de l’organisme).

• La proposition des ratios des frais de l’activité de financement / revenues de l’activité de financement au cours de l’exercice sont les suivants :

 Rarement acceptable

plus de 70 % (revenus nets de l’organisme de bienfaisance moins de 30 %)

 Généralement inacceptable

de 50 % à 70 % (revenus nets de l’organisme de bienfaisance entre 30 % et 50 %)

 Potentiellement inacceptable

de 35 % à 50 % (revenus nets de l’organisme de bienfaisance entre 50 % et 65 %)

 Généralement acceptable

de 20 % à 35 % (revenus nets de l’organisme de bienfaisance entre 65 % et 80 %)

 Acceptable

moins de 20 % (revenus nets de l’organisme de bienfaisance plus de 80 %)

Pour plus d’information sur la politique proposée sur les campagnes de financement des organismes de bienfaisance enregistrés par la Direction des organismes de bienfaisance (https://www.cra-arc.gc.ca/) de l’ARC, veuillez consulter https://www.cra-arc.gc.ca/.

À ce sujet, le procès suivant est d’intérêt : Vancouver Society of Immigrant and Visible Minority Women c. M.R.N., [1999] 1 R.C.S. 10 .

Veuillez faire parvenir vos commentaires à l’adresse postale ou au numéro de télécopieur ci-dessous, ou encore à l’adresse courriel suivante : .
Adresse postale :

Direction des organismes de bienfaisance de l’ARC

Ottawa, ON K1A 0L5

Télécopieur : 613-948-1320

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Au nom du Réseau canadien de DÉC, de Coast Capital Savings et de Vancity Community Foundation, j’ai le plaisir de vous présenter les récipiendaires 2008 des bourses d’études pour le Certificate Program for CED Professionals de l’Université Simon Fraser 2008.

Nous tenons à remercier toutes les candidates et tous les candidats de leur travail pour la relocalisation et démocratisation de l’économie de la Colombie-Britannique, une collectivité à la fois.

Les récipiendaires du programme de bourse d’études 2008 sont énumérés ci-dessous.

RICHMOND
• Brian Campbell, Food Security Task Force (groupe d’étude sur la sécurité alimentaire) de Richmond. Il élaborera des entreprises sociales axées sur la sécurité alimentaire et fera la promotion des Pocket Markets (marchés de poche) de Richmond (www.richmondfoodbank.org/).

NANAIMO
• Jessica Chenery développera The First Feast (entreprise alimentaire et de formation) qui créera des débouchés économiques pour les femmes autochtones de la C.-B. dans la production alimentaire à petite échelle avec l’Aboriginal Agricultural Education Society de la Colombie-Britannique.

VICTORIA
• Rosalyn Cua mettra sur pied une entreprise sociale multimédia pour Anti-dote: Multiracial Girls and Women’s Network dont elle est présidente. Anti-dote travaille à optimiser le bien-être des femmes et des filles racisées et autochtones (www.anti-dote.org).

VICTORIA
• Brian Hill, actuel directeur général de Child and Family Counseling Association de Victoria, dirige trois projets passionnants de DÉC comprenant Office Co-operative for Non-profits (un bureau de la coopération pour les organismes sans but lucratif), Affordable Youth Housing (logement abordable pour les jeunes) et Adult Community Living Services (services d’intégration communautaire destinés aux adultes).

VANCOUVER
• Maggie Kasekende mettra ses études en pratique avec un nouveau projet de la maison de quartier Mount Pleasant intitulé Building Welcoming and Inclusive Neighbourhoods (bâtir des quartiers accueillants et inclusifs). Ce projet se concentre sur les répercussions positives que des quartiers accueillants peuvent avoir sur la propension des nouveaux arrivants et des immigrés déjà établis à intégrer leur nouvelle communauté.

ABBOTSFORD
• Kevin Koopmans travaille actuellement pour la Société d’aide au développement des collectivités de South Fraser. Il soutiendra le tout dernier projet de la SADC, Vibrant Abbotsford ( Abbotsford dynamique) qui vise à réduire la pauvreté par le changement systématique des conditions communautaires (http://tamarackcommunity.ca/).

VANCOUVER
• Brian Postlewait, actuel directeur général de Mission Possible, un organisme du Downtown East Side de Vancouver, profitera de cette occasion pour piloter son organisme dans la réalisation de son nouveau mandat, soit offrir des emplois intéressants, des logements sûrs et sécuritaires et une communauté stimulante aux personnes sans abris, démunies et toxicomanes. Brian examinera la création d’une entreprise sociale offrant des occasions de formation (www.mission-possible.ca).

SURREY
• Hans Rosenow. Il assistera la Phoenix Society à développer un centre communautaire qui proposera aux personnes en phase de désintoxication de bâtir des atouts financiers, physiques, humains, sociaux et personnels (www.phoenixsociety.com).

NEW WESTMINSTER
• Jaimie McEvoy est coordinateur de projet responsable du Hospitality Project, un centre de ressources et de jour rassemblant des églises locales de différentes confessions religieuses qui, ensemble, organisent des activités et offrent des services tels que des échanges de vêtements, un Cercle familial pour les enfants de moins de six ans, une cuisine communautaire et des services de représentation. Jaime aidera le projet à diversifier ses sources de revenu en explorant les opportunités offertes par les entreprises sociales.

VANCOUVER
• Amar S. Virk, Building Opportunities with Business (BOB), travaillera au développement d’un modèle inclusif des personnes résidant dans le Downtown Eastside et coordonera un portail d’approvisionnement social. BOB est un organisme sans but lucratif visant à soutenir le développement d’entreprises locales et à augmenter les occasions d’emploi axées sur le centre-ville (www.buildingopportunities.org).

Nous vous invitons à féliciter les récipiendaires des bourses d’études 2008.


The SFU Certificate Program for CED Professionals (Le certificat pour les professionnelles et les professionnels en DÉC de l’Université Simon Fraser) forme des personnes en résolution de problèmes et des agentes et agents de changement depuis 1999. Nos étudiantes et nos étudiants sont des dirigeantes et des dirigeants de Sociétés d’aide au développement des collectivités, des agentes et des agents de programme pour des organismes sans but lucratif et des associations de quartier, des agentes et des agents de développement économique pour des gouvernements municipaux ou des Premières nations et des particuliers qui cherchent à se spécialiser en DÉC. Les huit cours de deux jours chacun, enseignés par des praticiennes et des praticiens qualifiés, mettent immédiatement les outils, les compétences, les ressources et les réseaux à la disposition des étudiantes et des étudiants. Pour en savoir plus sur ce programme, cliquez ici.

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OFFRE D’EMPLOI :
Direction des finances et de l’administration
Le Réseau canadien de DÉC

À PROPOS DU RÉSEAU CANADIEN DE DÉC :
Le Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) est la principale association canadienne réunissant des organismes communautaires qui font valoir le développement économique communautaire comme un modèle de développement économique différent intégrant des objectifs sociaux, économiques et environnementaux. Le Réseau regroupe plusieurs centaines de membres des quatre coins du pays et vise à augmenter l’envergure ainsi que l’efficacité du développement économique communautaire. Ainsi, il soutient les organismes et les particuliers dans le renforcement de leur communauté et dans la création de solutions durables aux besoins locaux. Pour plus d’information, veuillez consulter le site Web du RCDÉC : http://www.ccednet-rcdec.ca.

DESCRIPTION DE POSTE :
La direction des finances et de l’administration fait partie du personnel cadre du RCDÉC et travaille en collaboration avec la direction générale, la direction des programmes, les coordinations régionales et la coordination des communications, à titre de membre de l’équipe de gestion. De plus, la direction des finances et de l’administration est responsable de l’ensemble de la gestion financière, des rapports, de la mise en œuvre et de la coordination des systèmes financiers. Par ailleurs, la direction des finances et de l’administration assure les fonctions de gestion des ressources humaines de l’organisme. Par conséquent, elle est responsable de la gestion et de l’évaluation du personnel, des structures de rémunération, des régimes et des politiques des avantages sociaux du personnel, des contrats du personnel, de l’examen des processus d’évaluation du personnel, ainsi que du respect de la confidentialité de tous les dossiers du personnel.

RESPONSABILITÉS DE L’EMPLOI :
Gestion de l’ensemble des affaires financières du RCDÉC
• Assurer la tenue des comptes dans Quickbooks ;
• Assurer que les politiques et les procédures financières appropriées sont en place ;
• Assurer que les politiques financières sont respectées et mises en œuvre ;
• Gérer les comptes payables et recevables, assurer que toute transaction est liée à un code de projet ou à l’administration ;
• Préparer des rapports financiers mensuels pour le conseil d’administration ;
• Fournir au personnel affecté aux projets les documents financiers (grands livres) en temps opportun ;
• Préparer le matériel pour la vérification de fin d’exercice et assurer la liaison avec les vérificateurs ;
• Assurer que les politiques en matière de chèques et de cartes de crédit sont respectées ;
• Assurer que toute somme d’argent est déposée correctement ;
• Assister le directeur général dans la préparation des budgets annuels ;
• Informer le conseil d’administration de tous les éléments énumérés ci-dessus ;
• Assurer le respect des règlements gouvernementaux (ADRC, CAT, etc.) ;
• Assurer que la facturation des adhésions est exacte et établie en temps opportun.

Participation à l’équipe de gestion
• Responsable du développement des stratégies à long terme et du suivi ;
• Assister le personnel affecté aux projets à établir des budgets, à rédiger des rapports et à développer des budgets de projets raisonnables liés à des appels de propositions ;
• Superviser le suivi et le codage des projets.

Gestion des ressources humaines
• Assurer que les contrats du personnel sont exacts, complets et mis à jour ;
• Évaluer les politiques et les procédures en cours en matière de ressources humaines, recommander au conseil d’administration des directives globales de rémunération pour l’ensemble du personnel.

Dons des entreprises et dons de bienfaisance
• Superviser l’élaboration d’une stratégie de collecte de fonds axée sur les dons d’entreprises ;
• Aider à identifier d’éventuelles entreprises donatrices ;
• Élaborer un suivi documenté du progrès stratégique.

Supervision
• Superviser l’équipe administrative y compris l’assistance administrative et la comptabilité ;
• Établir des rapports destinés à la direction générale.

Communications
• Communiquer de façon efficace avec le personnel, les membres élus du conseil d’administration et des comités ainsi qu’avec tous les niveaux de l’organisme ;
• Travailler en étroite collaboration avec le personnel ;
• Travailler en étroite collaboration avec la trésorerie : émettre régulièrement des rapports, établir des états et des tableaux financiers s’il y a lieu.

COMPÉTENCES REQUISES :
Études
• Détenir un titre professionnel comptable ou être étudiante ou étudiant en fin d’études du programme de GCA ou de CMA. Détenir un diplôme universitaire en gestion ou expérience équivalente.

Compétences en gestion
• 5 à 7 ans d’expérience en gestion financière ;
• Expérience de travail au sein d’organismes sans but lucratif.

Compétences essentielles
• Compétences en techniques informatiques, traitement de courriels, utilisation de l’Internet et du logiciel QuickBooks ;
• Aptitude à apprendre de nouveaux programmes ;
• Excellente communication orale et écrite.

Compétences personnelles
• Attitude positive, aptitude en médiation et en entrepreneuriat, faire preuve d’esprit d’équipe, aptitude à prendre des responsabilités, aptitude à accomplir les tâches et à faire preuve de leadership sous pression.
*Les candidates et les candidats bilingues sont fortement encouragés à postuler.

CONDITIONS D’EMPLOI :

• Cet emploi exige l’utilisation considérable de l’ordinateur et des téléconférences avec le personnel et les membres ;
• Cet emploi implique du temps de travail supplémentaire pendant les périodes occupées ;
• Salaire compétitif et avantages sociaux prévus par la loi ;
• Vingt jours de vacances par an.

Lieu de l’emploi : Ottawa

Date de début : au plus tard le 3 octobre 2008.
Veuillez faire parvenir votre CV et une lettre de candidature d’ici le 22 août 2008, par courriel à Bianca Mathieu à . Téléphone : 1-250-386-9980

Pour une version imprimable (PDF) de la description de l’emploi, veuillez cliquer ici.

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Le Réseau canadien de DÉC (RCDÉC) est heureux d’annoncer que son programme de stage en DÉC, CréeAction, a récemment obtenu une extension. Ce programme est financé par Service Canada. Le but de ce programme est d’offrir un stage de six mois aux jeunes diplômés d’études supérieures qui envisagent une carrière en DÉC. Nous sommes présentement en train de recruter jusqu’à 20 organismes communautaires de DÉC pour accueillir des stagiaires du 8 septembre 2008 au 20 février
2009.

Comment ce programme fonctionne-t-il ?
Les organismes doivent soumettre une demande au RCDÉC en téléchargeant le formulaire de demande d’accueil de stagiaires sur le site Web du RCDÉC et renvoyer le formulaire complété par courriel à ou par télécopieur au 250-386-9984. Le RCDÉC fera la sélection des organismes d’accueil. Par la suite, les organismes d’accueil sélectionneront les stagiaires selon les critères spécifiques du stage.

Parmi les exemples de stages éligibles, notons la gestion de projets, la recherche participative, les communications, l’entrepreneurship social, la planification en affaires, le marketing social, le financement en DÉC et la cartographie des acquis.

Pour de plus amples renseignements concernant ce programme et pour soumettre une demande en tant qu’organisme d’accueil de stagiaires, veuillez :

Télécharger le formulaire de demande des organismes d’accueil (PDF | Word)
Télécharger l’appel de propositions, été 2008 (PDF | Word)
Télécharger le formulaire de demande des stagiaires (PDF | Word)

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