Le gouvernement du Canada veut véhiculer une nouvelle vision de l’innovation sociale et de la finance sociale. Faites partie du Groupe directeur qui travaillera à la cocréaction de la Stratégie de l’innovation sociale et de la finance sociale.

Le gouvernement est à la recherche de 15 chefs de file, praticiens et experts possédant:

  • des connaissances et une expertise dans les domaines de l’innovation sociale ou de la finance sociale, y compris l’entreprise sociale et l’économie sociale;
  • l’habileté de participer constructivement à des discussions sur les politiques;
  • l’habileté de mobiliser des réseaux et d’établir un consensus.

Présenter un candidature pour le Groupe directeur

Partagez cet appel de candidatures avec votre réseau et vos abonnés sur les médias sociaux, notamment sur Twitter, avec les mots-clics #InnSoc et #FinSoc

La date limite est le lundi 21 novembre 2016

Le Groupe directeur prendra part à des activités de consultation afin de recueillir le point de vue de tous les intervenants en ce qui concerne l’innovation sociale et la finance sociale, y compris l’entreprise sociale et l’économie sociale. Ils décideront des problèmes que la Stratégie devra aborder et ils superviseront le travail de conception initial des mesures relatives aux politiques proposées dans une ébauche de la Stratégie de l’innovation sociale et de la finance sociale. Cette ébauche sera soumise à l’attention du gouvernement au cours de l’année 2017.

Les avis recueillis au cours de ce processus de mobilisation seront d’une grande utilité pour informer le gouvernement des points de vue et des priorités des intervenants.

Lisez le communiqué de presse

L’honorable Jean-Yves Duclos
Ministre de la Famille, des Enfants
et du Développement social

L'honorable Jean-Yves Duclos
L’honorable MaryAnn Mihychuk​
Ministre de l’Emploi, du Développement

de la main-d’œuvre et du Travail
L'honorable MaryAnn Mihychuk

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PME MTLLa Caisse d’économie solidaire Desjardins et le réseau des PME MTL annoncent la conclusion d’une entente de partenariat visant à soutenir la création de 100 entreprises collectives à Montréal à l’aide d’un financement d’au moins 460 000 $ par an pendant 5 ans. Cette annonce fait suite au Forum mondial sur l’économie sociale qui s’est tenu en septembre dernier à Montréal. Le nouveau programme, intitulé Jeunes entreprises collectives, offrira un accompagnement et un financement de démarrage minimal de 23 000 $ par entreprise admissible.

La réorganisation du réseau de soutien aux entreprises qui a conduit à l’abolition des CLD et des CDEC, a réduit de 55 % le financement du Gouvernement du Québec. C’est pourquoi la Caisse d’économie solidaire, principale institution financière spécialisée en économie sociale au Québec, a joint ses efforts à ceux des PME MTL pour soutenir les nouvelles entreprises collectives à Montréal.

Le financement par entreprise – qui pourrait être supérieur en fonction des besoins et de la capacité de remboursement de l’entreprise – se répartira ainsi, quel que soit l’âge des entrepreneurs :

  • 10 000 $ en subvention ;
  • 3 000 $ en bourse ;
  • au moins 10 000 $ en prêt.

Les subventions seront offertes par le réseau PME MTL à partir du Fonds de développement de l’économie sociale. Les bourses proviendront de la Caisse d’économie solidaire. Les prêts pourront être octroyés par PME MTL, par la Caisse d’économie solidaire ou par un autre partenaire de l’économie sociale, selon les situations et les besoins.

Le réseau PME MTL est la porte d’entrée du programme. Il accompagnera les entrepreneurs dans le développement de leur projet d’affaires, incluant le montage financier. Lorsque le projet sera jugé économiquement viable, il sera soumis pour analyse au comité d’investissement de PME MTL. Si le projet est approuvé, il aura alors accès au financement prévu au programme et bénéficiera d’un accompagnement professionnel pendant la phase de démarrage.Jean François Lalonde, directeur général de PME MTL Centre-Est et Marc Picard, directeur général de la Caisse d'économie solidaire | PHOTO : Patrick Sanfaçon, La Presse

« En phase de démarrage, l’accompagnement et le soutien financier sont primordiaux, ce partenariat permet de maximiser l’appui que nous pouvons offrir aux entreprises collectives. L’économie sociale est en pleine ébullition à Montréal, l’ajout de ressources de la part de la Caisse d’économie solidaire est plus que bienvenu », explique Jean François Lalonde, directeur général de PME MTL Centre-Est.

« En tant que principale institution financière spécialisée en économie sociale au Québec, nous avons la responsabilité de soutenir la communauté de jeunes entrepreneurs collectifs qui est très active à Montréal », affirme Marc Picard, directeur général de la Caisse d’économie solidaire.

Pour sa part, Marie-Claude Dauray, directrice générale de PME MTL Grand Sud-Ouest, souligne : « avec la Caisse d’économie solidaire, les entreprises recevront plus qu’une simple bourse : elles accèderont à l’expertise et au réseau d’une institution financière spécialisée en économie sociale pour le démarrage et pour leur croissance future. »

Pour plus d’information, lisez-vous l’article de La Presse : 2,3 millions pour lancer des entreprises d’économie sociale

SOURCE : Caisse d’économie solidaire Desjardins

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RDÉE Canada - Lauriers de la PME 2016Le Réseau de développement économique et d’employabilité du Canada, (RDÉE Canada) a remis les trophées aux six lauréats du concours les Lauriers de la PME 2016.

Il s’agit de la septième édition de cet événement qui invite l’ensemble des Canadiens à saluer l’excellence entrepreneuriale des gens d’affaires des communautés francophones et acadienne du Canada.

Le comité de sélection national a décerné les prix dans cinq catégories, selon des critères précis évaluant le mérite des entreprises lauréates :

Commerce de détail
LMS Rail Services (Ontario)

Entreprise dirigée par un entrepreneur immigrant
Terre Boréale (Yukon)

Entreprise dirigée par un jeune entrepreneur 
Étchiboy (Manitoba)

Entreprise de services
Transmed (Nouveau-Brunswick) et 7shifts (Saskatchewan) ex æquo  

Entreprise de transformation
Leisure Farms (Ontario)
 

Les gagnants ont reçu leur récompense à l’occasion du Rendez-vous d’affaires et Gala des Lauriers de la PME – Alberta, organisés par le Conseil de développement économique de l’Alberta (CDÉA), à l’hôtel Delta d’Edmonton.

M. Matifat, président du conseil d’administration du RDÉE Canada a déclaré : « Nous sommes fiers de célébrer le fait qu’il est possible de générer d’importants résultats économiques et de contribuer activement à la vitalité de sa communauté tout en vivant en français dans les communautés francophones et acadienne. Je suis particulièrement honoré d’avoir vu ce soir un véritable engouement pour ces entrepreneurs méritants qui se sont forgés une place dans l’écosystème socioéconomique du Canada. »
 

Le RDÉE Canada tient à féliciter les lauréats et à remercier chaleureusement toutes les entreprises finalistes qui ont participé au concours des Lauriers de la PME 2016!

 
SOURCE: RDÉE Canada

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Le gouvernement du Canada investit 2 millions de dollars pour aider les femmes entrepreneures et les propriétaires de petites et moyennes entreprises du Nord de l’Ontario à obtenir la formation axée sur les compétences qui leur permettra de mobiliser le capital de risque dont ils ont besoin pour faire croître leurs entreprises. Les organisations qui profiteront de cette annonce comprennent PARO Centre pour l’entreprise des femmes, un membre du RCDÉC, et le Northwestern Ontario Innovation Centre.

Le gouvernement de l’Ontario appuie également l’initiative PARO Centre pour l’entreprise des femmes au moyen d’un investissement de 100 000 $ par l’entremise de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario.

Les deux projets recevant un financement de FedNor mettront l’accent sur l’autonomisation des femmes, le renforcement du développement des petites entreprises, l’amélioration de l’innovation et l’accroissement des occasions d’emploi dans la région.

Citations

« Le gouvernement du Canada reconnaît que les investissements qui aident les femmes à démarrer et à faire croître leurs entreprises créent des possibilités d’emploi pour les résidents du Nord de l’Ontario. En fournissant les ressources et la formation dont ont besoin les entrepreneurs, le gouvernement peut les aider à atteindre leurs objectifs d’affaires. Ces projets renforceront l’économie régionale. »
— L’honorable Navdeep Bains, ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique et ministre responsable de FedNor

« Notre gouvernement est fier d’appuyer l’initiative PARO Centre pour l’entreprise des femmes par l’entremise de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario. Cet investissement aidera PARO à préparer les femmes entrepreneures à l’échelle du Nord-Ouest de l’Ontario en leur fournissant les ressources dont elles ont besoin pour développer et faire croître leur entreprise. »
— Michael Gravelle, ministre du Développement du Nord et des Mines, président de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario et député de Thunder Bay Supérieur Nord

« Je suis fière du partenariat de longue date entre FedNor et PARO Centre pour l’entreprise des femmes, dont les efforts visant à aider les femmes entrepreneures à concrétiser leurs rêves d’affaires ont été couronnés de succès, ce qui est tout à fait impressionnant. Le renforcement des connaissances et des aptitudes des femmes propriétaires d’entreprises, y compris celles qui font partie des groupes des Autochtones, des francophones, des nouveaux immigrants ou des jeunes, permettra à celles-ci de faire croître leurs entreprises ainsi que leur rentabilité. »
— L’honorable Patty Hajdu, ministre de la Condition féminine et députée de Thunder Bay–Supérieur Nord

« Le programme Next Level offert par le Centre d’innovation du Nord-Ouest de l’Ontario permettra non seulement aux nouvelles entreprises d’assurer un accès au marché pour leurs innovations, mais il aidera également les entreprises existantes à adopter de nouvelles techniques de marketing en vue d’accroître leurs possibilités de vente et leurs activités. »
— Don Rusnak, député de Thunder Bay–Rainy River

« Nous sommes reconnaissants de la confiance dont témoigne le gouvernement du Canada à l’égard de nos capacités et de son soutien continu de nos programmes. Nous nous réjouissons à la perspective de tirer profit de nos réussites passées et sommes stimulés par la possibilité de dépasser les attentes en dotant les femmes de la confiance, des compétences et des ressources dont elles ont besoin pour connaître du succès dans l’économie mondiale d’aujourd’hui. »
— Rosalind Lockyer, directrice exécutive, PARO Centre pour l’entreprise des femmes

SOURCE: Le gouvernement du Canada

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Note : cet article a d’abord été rédigé en anglais à l’intention du blog de Carleton’s Perspective on Public Policy et vise à faire connaître les résultats de la synthèse de connaissances rédigée par Roy et al. et récemment publiée sur le site du TIESS.

Entrepreneuriat social

tiessL’entrepreneuriat social est de plus en plus populaire chez les jeunes au Canada. Cette popularité peut être attribuée à plusieurs raisons, incluant des changements dans les valeurs et les aspirations professionnelles des jeunes, ainsi qu’un accroissement des infrastructures soutenant cette tendance. Peut-être le meilleur exemple de cet aspect est la stratégie de la Fondation McConnell d’investir, à travers le programme RECODE, plusieurs millions de dollars afin de financer une douzaine d’universités à travers le Canada et ainsi permettre de « repenser les institutions publiques de l’intérieur; sortir des sentiers battus; trouver et faire grandir de nouvelles entreprises sociales; […] pour réaliser un monde plus juste, plus durable et plus beau. » [1]

L’entrepreneuriat social a plusieurs définitions parfois contradictoires, mais la notion de « faire des affaires pour le bien » y est toujours centrale. Ainsi, une entreprise sociale se différencie d’une entreprise conventionnelle dans la mesure où elle ne vise pas uniquement le profit. Cela dit, elle se différencie également du secteur à but non lucratif et caritatif classique dans la mesure où, afin de réaliser sa mission sociale, elle doit mener des activités économiques qui génèrent des profits. En somme, comme le dit Social Enterprise Canada, le but d’une entreprise sociale est « l’atteinte simultanée de rendement économique et social. » [2]

Économie sociale

L’idée de poursuivre une mission sociale via la réalisation d’activités économiques n’est cependant pas sans rappeler un autre concept présent depuis un certain temps déjà : l’économie sociale. Bien que le concept ait une riche histoire étroitement liée au mouvement coopératif et mutuel, il a gagné en notoriété au Canada et particulièrement au Québec dans le milieu des années 1990, avec la création du Chantier de l’économie sociale. Une loi adoptée au Québec en 2013 définit désormais précisément les caractéristiques que doit respecter une organisation afin d’être une entreprise d’économie sociale [3] :

  • Blended value graphL’entreprise a le statut juridique de coopérative, une mutuelle ou association;
  • Son activité principale consiste en la vente ou l’échange de biens ou de services;
  • Elle a pour but de répondre aux besoins de ses membres ou de la collectivité;
  • Elle est autonome dans sa gestion;
  • Sa gouvernance est démocratique.

Quelle différence?

Avec une mission partagée et un modèle économique apparemment similaire, il serait facile, pour le lecteur inattentif, de conclure que les deux concepts, entrepreneuriat social et économie sociale, décrivent la même réalité. Or, il y a au moins une différence notable : l’économie sociale requiert une forme de gouvernance collective et démocratique, alors que l’entrepreneuriat social est plutôt agnostique à ce niveau.

Le sociologue français Jean-Louis Laville soutient que la différence est encore plus fondamentale, puisque les deux mouvements sont liés à des idéaux-types de la solidarité qui sont différents [4].

D’un côté, la « solidarité démocratique », ancrée dans les valeurs d’assistance mutuelle, aspirerait à une transformation holistique des modèles économiques à travers la délibération publique. Cette vision correspond au mouvement de l’économie sociale.

De l’autre, la « solidarité philanthropique » serait motivée par l’idée de charité. Plus individualiste, ce type de solidarité est moins opposé aux mécanismes de marchés, dans la mesure où ils permettent d’atteindre des objectifs liés au bien commun. Cette perspective est associée au mouvement de l’entrepreneuriat social.

Enfin, les deux visions diffèrent sur le rôle d’un troisième concept : l’innovation sociale. Bien que l’innovation sociale ait elle aussi de nombreuses définitions, elle réfère généralement à n’importe quelle « réponse nouvelle à une situation sociale jugée insatisfaisante. » [5] L’économie sociale estime que ces solutions peuvent seulement être amenées grâce à une action collective et des changements institutionnels, alors que l’entrepreneuriat social soutient généralement l’idée que des individus – les entrepreneurs – fournissent l’étincelle qui permettra de résoudre des problèmes sociaux. Cette perspective n’est pas sans rappeler le mythe américain du self-made man, avec des philantrocapitalistes légendaires tels que Ford et Rockefeller. Aujourd’hui encore, des demi-dieux de l’industrie des technologies, tels que Gates ou Zuckerberg, sont perçus comme des individus disposant des ressources, de la volonté et de l’ingéniosité nécessaires pour enfin trouver des solutions et faire avancer les choses.

Mais aucune de ces perspectives n’est parfaite. Le tableau suivant, bien que caricatural, nous aide à comprendre comment les deux mouvements diffèrent et attirent des partisans différents, en montrant certaines des critiques que pourraient mutuellement s’adresser chacune des perspectives.

Veut pallier aux problèmes dont il est lui-même la source
Entrepreneuriat social vers ÉS ÉS vers l’entrepreneuriat social
Lourdeur de la décision collective Sacrifice de la gouvernance démocratique au profit d’une élite éclairée et danger de détournement des missions pour intérêt individuel
Incapacité d’impact sur une grande échelle La solidarité est réduite au marché; l’inclusion sociale, à son accès
Dépendance envers l’État

Trop d’importance accordée au respect du cadre légal et oublie la finalité qui est de répondre à un besoin social non satisfait Ne propose pas de nouveau modèle de développement
La forme juridique n’est pas garante d’un impact social positif L’entrepreneuriat social prétend à la nouveauté alors que l’ÉS considère les missions sociales dans les activités économiques depuis longtemps

Source: Matthieu Roy et al. 2016. Synthèse de connaissance: L’entrepreneuriat social et l’entreprise sociale, p. 38.

Conclusion

En conclusion, le momentum dont profite présentement l’entrepreneuriat social soulève plusieurs questions, particulièrement pour le secteur de l’économie sociale au Québec, mais aussi pour quiconque cherche à résoudre des enjeux sociaux. Mentionnons seulement quelques unes de ces questions :

  • Qui doit ou peut prendre en charge le social : l’État, les fondations, la société civile, les entreprises, les entrepreneurs?
  • À quel niveau se situe la transformation sociale souhaitée? Veut-on transformer l’ensemble du système économique ou seulement certaines parties? Est-ce que ce sont les mécanismes de création de valeurs qui sont en cau
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Le 4 octobre, le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, l’honorable Jean-Yves Duclos, a présenté son document de discussion, intitulé Pour une stratégie de réduction de la pauvreté, aux membres du Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences, du développement social et de la condition des personnes handicapées. Ce document, qui vise à amorcer un dialogue au sujet de la réduction de la pauvreté au Canada, présente le contexte et fournit des renseignements de base sur cet enjeu important.

Ce document est diffusé tôt dans le processus pour que les personnes et les organisations intéressées puissent le consulter et l’examiner en prévision des activités de consultation qui auront lieu en 2017. Plus de détails au sujet de ces consultations seront communiqués sous peu. Les questions concernant ce processus peuvent être acheminées à reductionpauvrete à canada.gc.ca.

Un document d’information technique sur la pauvreté au Canada sera affiché sur cette page dans les semaines à venir. Les personnes intéressées peuvent en obtenir une copie immédiatement en envoyant un courriel à reductionpauvrete à canada.gc.ca.

Dans le cadre de l’élaboration de la stratégie canadienne de réduction de la pauvreté, le gouvernement du Canada lancera le projet Combattons ensemble la pauvreté en 2017. Ce projet comprendra des études de cas réalisées dans six collectivités qui serviront à fournir un point de vue régional et à mieux comprendre la pauvreté dans les collectivités de l’ensemble du pays. Ainsi, le gouvernement pourra entendre directement les Canadiens qui vivent dans la pauvreté et s’inspirer de l’expérience des organismes qui offrent des programmes de réduction de la pauvreté.

Source : Emploi et Développement social Canada

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Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinéranceLe 26 septembre, le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, l’honorable Jean-Yves Duclos, a annoncé deux appels de propositions dans le cadre du volet de financement Solutions novatrices à l’itinérance de la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI). Ces deux appels de propositions sollicitent des projets présentant des approches et des idées novatrices visant à prévenir et à réduire l’itinérance, plus particulièrement chez les Autochtones canadiens, les jeunes, les femmes fuyant la violence et les anciens combattants.

L’appel de propositions pour les microsubventions est ouvert jusqu’au 14 novembre 2016. Les intervenants et les organismes sont invités à présenter une demande de financement allant jusqu’à 25 000 $ pour les projets à petite échelle. Ces projets seront axés sur l’étude de pratiques, d’initiatives et d’outils efficaces et novateurs visant à prévenir et à réduire l’itinérance au Canada.

L’appel de propositions pour les projets de contribution est ouvert jusqu’au 14 novembre 2016. Les intervenants et les organismes sont invités à présenter une demande de financement de 25 000 $ à 500 000 $ pour les projets pilotes à grande échelle visant à mettre à l’essai des interventions et des pratiques novatrices prometteuses afin de prévenir et de réduire l’itinérance au Canada.

Lorsque votre demande de financement sera complétée, veuillez soumettre tous les documents requis par courriel à hkd-dci à hrsdc-rhdcc.gc.ca.

Qui est admissible?

Les organismes et les personnes suivants sont admissibles :

  • les organismes sans but lucratif,
  • les gouvernements municipaux,
  • les personnes,
  • les organismes et  instituts de recherche,
  • les établissements publics de santé et d’éducation,
  • les conseils de bande ou les conseils tribaux et autres organisations autochtones,
  • au Québec, Centres intégrés de santé et de services sociaux et les Centres intégrés universitaires de santé et de services sociaux sont admissibles au financement conformément à l’entente Canada-Québec.

Remarque : les entreprises à but lucratif sont admissibles au financement pourvu que la nature et l’intention du projet soient : non commerciales, non conçues pour générer des profits et qu’il bénéficie de l’appui de la communauté locale.

Projets admissibles

Les projets doivent également répondre aux modalités d’application de la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance.

Les projets ne doivent pas inclurent des activités et des coûts déjà financés par l’entremise des volets de financement régionaux (Collectivités désignées, Itinérance dans les collectivités rurales et éloignées et Itinérance chez les Autochtones).

SOURCE : Emploi et Développement social Canada

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Canada's ParliamentLe Conseil sur les politiques du Réseau canadien de DÉC a soumis des recommandations en réponse à l’invitation du gouvernement fédéral pour les ententes de transfert relatives au marché du travail (ETMT). Nos recommandations se concentrent sur la façon dont le gouvernement peut mettre en place les mesures qu’il s’est déjà engagé à mener de manière à maximiser leur impact et la valeur pour les communautés.

Consultez notre soumission au Forum des ministres du marché du travail

Si vous avez également soumis un mémoire, nous aimerions l’inclure ci-dessous…
Veuillez envoyer vos recommandations concernant les ETMT à Matthew Thompson : mthompson à ccednet-rcdec.ca.

If you also submitted a brief we’d love to include it below…
Please send your LMTA recommendations to Matthew Thompson at mthompson at ccednet-rcdec.ca.

Nos recommandations pour les ententes de transfert relatives au marché du travail

  1. IMPACT
    1. Inclure les services intégrés dans le champ des activités admissibles au financement afin d’aider les groupes sous-représentés à intégrer le marché du travail
    2. Supprimer les objectifs de financement (p. ex., le pourcentage obligatoire de transferts alloué au programme de Subvention canadienne pour l’emploi (SCE) chaque année) pour que les provinces et les territoires soient capables d’affecter les transferts à un plus vaste éventail de programmes, dont les programmes d’aide au travail autonome
    3. Garantir une flexibilité dans la longueur du programme afin d’aider les groupes sous-représentés à intégrer le marché du travail
    4. Rétablir les objectifs politiques initiaux des anciennes Ententes sur le marché du travail (EMT) et garantir la flexibilité nécessaire pour que le financement puisse servir à former et à embaucher des groupes en quête d’équité dans les projets d’infrastructure
    5. Étendre le financement pour combler le manque de services qui existe lorsque les chercheurs d’emploi avec des obstacles à l’emploi quittent leur formation pour un emploi
  2. INNOVER
    1. Miser sur le succès des entreprises sociales d’insertion
    2. Élargir l’utilisation de l’approvisionnement social et des ententes relatives aux avantages pour les communautés
    3. Élargir la définition des résultats probants
    4. Soutenir plus largement l’engagement communautaire et la prise de décision à l’échelle locale
  3. INFORMER
    1. Mettre l’accent sur l’évaluation et la communication des résultats dans les programmes financés

Recommandations des membres du RCDÉC

Recommandations présentées par la CEDEC

Recommandations:

  1. Concevoir des ateliers, des outils et des formations permettant aux groupes en situation précaire de prendre conscience de leur potentiel et de le développer.
  2. Créer des ateliers de sensibilisation afin de faire connaître aux employeurs les avantages d’embaucher les groupes en situation précaire.
  3. La promotion ciblée des possibilités du marché du travail au Québec auprès des anglophones;
  4. Le jumelage des anglophones aux débouchés concrets du marché du travail;
  5. La promotion des possibilités reliées à l’entrepreneuriat ou au travail autonome;
  6. Le soutien à la création de petites et moyennes entreprises par l’entremise d’initiatives offrant une formation en entrepreneuriat;
  7. Le renforcement de l’adéquation entre la prévision de la demande du marché du travail au Québec et la prévision de l’offre de la main-d’œuvre anglophone du Québec (à l’échelle provinciale, régionale et locale par secteur et par profession);
  8. L’éducation, le perfectionnement professionnel, la formation et la rééducation professionnelle.
  9. Le développement d’une approche stratégique de mise en valeur de la main-d’œuvre qui centralise une analytique, l’élaboration d’une stratégie.
  10. La coordination et décentralisation de la diffusion d’information sur le marché du travail et la prestation de services.
  11. L’élaboration de prévisions du marché du travail pour les emplois bilingues au Québec et des tableaux de connexion d’emploi
  12. Encourager une culture de soutien pour les anglophones en diminuant la réglementation touchant les aptitudes linguistiques et la sensibilisation des employeurs aux candidats anglophones.

Recommandations présentées par Momentum

Recommandations:

  1. Modifier les ententes sur le Fonds canadien pour l’emploi et démanteler le programme de Subvention canadienne pour l’emploi
    1. Augmenter la flexibilité pour que les provinces et les territoires puissent utiliser le financement pour concevoir et soutenir des programmes qui fonctionnent mieux, c’est-à-dire adaptés aux besoins et aux contextes spécifiques.
    2. Supprimer les objectifs de financement pour que les provinces et les territoires puissent affecter les transferts à un plus vaste éventail de programmes, dont les programmes d’aide au travail autonome.
    3. Inclure des objectifs pour un fonds de SCE utilisé par les sans-emploi pour éviter que la Subvention ne soit uniquement utilisée comme un fonds de développement des compétences
    4. Inclure des objectifs pour les femmes, étant donné le déséquilibre entre les sexes dans la sélection des personnes qui suivent une formation constaté en Alberta
    5. Changer le rôle de l’employeur dans l’intention et la conception de la formation, afin que celles-ci ne soient plus menées par l’employeur, mais qu’il y contribue.
    6. Revoir l’objectif des ententes sur le Fonds canadien pour l’emploi pour que les objectifs politiques initiaux des ententes sur le marché du travail soient rétablis.
  2. Élargir l’admissibilité à l’assurance-emploi (AE)
  3. Augmenter le financement par le biais des ententes de transfert relatives au marché du travail destiné aux occasions de formation professionnelle et aux services axés sur l’emploi et la carrière afin de soutenir tous les Canadiens.
  4. Adapter la formule de répartition du financement qui alloue les transferts fédéraux à des comptes destinés à changer les taux de chômage.
  5. Le rôle des fournisseurs de services ainsi que les rôles du gouvernement et des employeurs doivent être reconnus dans les ETMT.
  6. Un bassin de financement pourrait être réservé pour soutenir les partenariats multisectoriels à l’échelle locale et servirait à faire avancer les objectifs des ententes sur le marché du travail.
  7. Mettre de côté du financement pour l’innovation dans les ententes de transfert relatives au m
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    Matthew Thompson

    Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

    Matthew Thompson

La Stratégie de l'Ontario pour l'entrepreneuriat social qui aidera les entreprises sociales à renforcer leurs activités, pénétrer de nouveaux marchés et créer des emplois.

Le gouvernement de l’Ontario lance maintenant une deuxième ronde de financement de deux millions de dollars du Fonds pour les projets pilotes d’entrepreneuriat social (FPPES). Le FPPES favorise la création d’emplois et la croissance économique en générant des occasions de financement pour les entreprises sociales dans le cadre de la Stratégie de l’Ontario pour l’entrepreneuriat social 2016-2021. Cette ronde des fonds stimulera le développement d’entreprises sociales viables et évolutives qui sont aux prises avec certains défis, comme l’accès au capital.

Le FPPES octroie des fonds aux organisations sans but lucratif qui ont une expertise dans la prestation d’aide aux entreprises sociales; c’est à cette fin que les organisations doivent utiliser les fonds octroyés. L’aide qu’elles offrent aux entreprises sociales prend deux formes :

  1. mentorat, accompagnement et soutien;
  2. financement sous forme de subventions, de prêts ou autre.

Les organisations bénéficiant du FPPES doivent trouver d’autres bailleurs de fonds qui contribueront à la hauteur des fonds octroyés par le Ministère.

Présentation d’une candidature

Échéancier

  • 4 novembre 2016 : Date limite pour la soumission des candidatures.
  • 8 novembre 2016 : Envoi d’un accusé de réception aux organisations candidates.
  • 4 janvier 2017 : Annonce des candidats retenus aux organisations candidates.
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The Canadian CED Network
Conseil des entreprises sociales du Canada
Le conseil économique des femmes
Centre canadien de le renouveau communautaire
Chantier de l'économie sociale

Dans une lettre adressée à l’honorable Stéphane Dion, ministre des Affaires étrangères, le RCDÉC et ses partenaires ont tenu à rappeler le leadership remarquable dont font preuve les Canadiennes et les Canadiens dans le mouvement mondial pour l’économie sociale et solidaire et ont pressé le gouvernement de mettre à profit ce leadership.

Le gouvernement du Canada a manifesté son intention de mener des stratégies pour la croissance inclusive. Les ministres Duclos et Mihychuk ont été mandatés pour créer une stratégie nationale sur l’innovation sociale et la finance sociale. Le Programme d’innovation proposé par Innovation, Sciences et Développement économique Canada veut faire du Canada un leader dans la promotion de l’entreprise sociale et de l’innovation sociale.

Simultanément, le gouvernement rehausse le profil du Canada sur la scène internationale. Le message selon lequel la croissance inclusive peut être une force pour la prospérité et la stabilité fait écho autour du monde, ce qui est également confirmé par l’OCDE, le FMI et d’autres institutions.

Le leadership communautaire canadien en innovation sociale et en économie sociale et solidaire représente de par le monde un atout pour la croissance inclusive qui pourrait renforcer le leadership canadien sur la scène internationale.

Consultez la lettre à l’honorable Stéphane Dion

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Conseil de la coopération de l'Ontario

Jusqu’à vingt-cinq entreprises collectives francophones de l’Ontario seront en mesure de recevoir une subvention pour démarrer ou améliorer leurs services grâce à un partenariat entre le Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO), un membre du Réseau canadien de DÉC, et le programme Bon d’impact social en Ontario (BISO) des Centres d’excellence de l’Ontario.

Le programme BISO permettra aux entrepreneurs collectifs (sociaux et coopératifs) de favoriser la création d’emplois et d’amplifier l’impact social, culturel ou environnemental de leurs activités, tout en générant une valeur ajoutée supplémentaire pour la francophonie de l’Ontario.

« Grâce aux bons d’impact social, les entreprises collectives de toutes les régions de la province pourront se renforcer en achetant les services spécialisés du Conseil de la coopération de l’Ontario. Comme les fonds sont disponibles dès maintenant, nous nous tenons prêts à travailler avec les groupes promoteurs de projets intéressés », avance Julien Geremie, Directeur de développement du CCO.

Les vingt-cinq entreprises collectives qui bénéficieront du programme recevront un accompagnement avancé du bureau du CCO le plus proche. Dépendamment du stade de développement auquel se trouvera l’entreprise lors de l’évaluation initiale, le CCO suggèrera un plan de travail personnalisée qui pourrait comprendre notamment la conception d’une étude de marché, d’une étude de faisabilité, d’un plan d’affaires ou d’un budget d’opérations.

 « Le Conseil de la coopération de l’Ontario joue un rôle de pilier important dans le secteur des entreprises collectives. Nous avons eu beaucoup de succès durant la première année pilote du programme BISO et nous sommes ravis de pouvoir offrir un support pour plus de entreprises collectives avec l’aide de CCO. » souligne Tom Corr, Président et CEO des Centres d’excellence de l’Ontario.

Lancé récemment par les Centres d’excellence de l’Ontario, en collaboration avec le Ministère du développement économique et de la croissance, le programme de BISO fournira des services et des ressources par la distribution de jusqu’à 200 bons de BISO avec une valeur maximale de 3000 $ par bon pour les entrepreneurs sociaux et les entreprises. Les coupons seront distribués par les organismes de prestation sélectionnés par OCE après un appel ouvert et le processus d’évaluation.

Le CCO se situe au cœur d’un réseau de plus de 300 partenaires avec ses trois bureaux à Ottawa, Toronto et Sudbury. Le CCO est la seule organisation sans but lucratif de l’Ontario qui livre des services de base et spécialisés de haute qualité aux entreprises sociales et coopératives de la province en français.

Les entreprises collectives intéressées par le programme doivent contacter Julien Geremie pour plus de renseignements à julien.geremie à cco.coop

À propos du CCO :

Le Conseil de la coopération de l’Ontario est l’organisme par excellence pour l’éducation, la promotion, la concertation et l’offre de services-conseils en vue d’assurer un développement durable des coopératives et entreprises sociales francophones en Ontario.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Julien Geremie
Directeur du développement
Téléphone : 416-364-4545
Courriel/Email : julien.geremie à cco.coop

Nadine Olivier
Agente aux communications
Téléphone : 705-560-1121 poste 101
Courriel/Email : nadine.olivier à cco.coop

SOURCE : Le Conseil de la coopération de l’Ontario

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République française et les Rencontres du Mont-Blanc

Le 20 septembre le Groupe Pilote de l’Economie Sociale et Solidaire (GPESS) accueillait un évènement organisé par la France et coordonné par l’association Les Rencontres du Mont-Blanc (RMB) – Forum International des Dirigeants de l’Economie Sociale et Solidaire en tant que secrétaire permanent.

Hon. Jean-Yves Duclos
Yvon Poirier

Dans la perspective de la Conférence Habitat III, cet évènement rassemblait des acteurs de haut niveau, incluant le Ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social du Canada, Jean-Yves Duclos et Yvon Poirier, secrétaire du conseil du Réseau canadien de DÉC, en vue de promouvoir une économie qui concilie efficacité environnementale, sociale et économique, offrant de multiples solutions dans un objectif global de développement durable.

À suivre sur Twitter (#ESS #LeadingGroupSSE)

Regarder l’enregistrement de la présentation d’Yvon Poirier

Regarder l’enregistrement de l’évènement complet sur WEBTV.UN.ORG

PROGRAMME ET INTERVENANTS

L’économie sociale et solidaire (ESS) vecteur de développement urbain durable

  • François Hollande, Président de la République française
  • Chefs d’Etat présents
  • Jean-Yves Duclos, Ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social du Canada
  • André Vallini, Secrétaire d’Etat au développement et à la Francophonie de la France
  • José Graziano Da Silva, Directeur Général de l’organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et Président de la Task-Force inter-agences de l’ONU pour l’ESS (UNTFSSE)
  • Dr. Mukhisa Kituyi, Secrétaire Général de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED)

Les politiques publiques pour l’économie sociale et solidaire (ESS)

Comment les politiques publiques locales peuvent appuyer le développement de l’ESS

  • Denis Coderre, Maire de Montréal et Président de Metropolis
  • Christian Yaccarini, Président et Chef de Direction de la Société de développement Angus (SDA)
  • Yvon Poirier, Vice-coordonateur du Réseau intercontinental de l’économie sociale solidaire (RIPESS) *secrétaire du conseil du RCDÉC
  • Carlos de Freitas, Directeur des programmes du Fonds Mondial pour le développement des villes (FMDV)

L’économie sociale et solidaire (ESS) pour l’inclusion économique et sociale, la justice sociale et environnementale des villes et établissements humains

Comment l’ESS permet de construire des villes et établissements humains durables et ainsi d’offrir un cadre d’inclusion urbaine

  • Mercedes Peñas, Première Dame du Costa Rica
  • Gilbert Houngbo, Directeur général adjoint de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) pour les opérations de terrain et les partenariats
  • Vidéo « Les coopératives d’habitat pour un accès au logement au Mali et au Sénégal », projet de l’ADER-RIED cofinancé par l’Union européenne et l’Agence française de développement (AFD)
  • Rodrigo Gouveia, Directeur des politiques de l’Alliance Coopérative Internationale (ACI)
  • Elisa Carolina Torrenegra, Vice-présidente Amérique latine de l’Alliance internationale de la mutualité (AIM) et Directrice exécutive de Gestarsalud

L’économie sociale et solidaire (ESS) pour le financement des villes et des territoires :

Comment l’ESS mobilise et génère les ressources révélant les potentiels de développement des territoires

  • Maria-Elena Querejazu, Vice-présidente de l’association internationale des investisseurs de l’économie sociale (INAISE)
  • Chantal-Line Carpentier, Cheffe du Bureau de New York de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED)

Point d’avancement de la déclaration commune du Groupe Pilote de l’Economie Sociale et Solidaire (GPESS) : un an après

  • Abdou Salam Fall, Président du comité scientifique des Rencontres du Mont-Blanc (RMB) – Forum International des Dirigeants de l’Economie Sociale et Solidaire

Annonce d’une déclaration pour le Groupe Pilote International de l’ESS

« L’ESS : secteur clef pour un développement urbain durable »

  • Thierry Jeantet, Président des Rencontres du Mont-Blanc (RMB) – Forum International des Dirigeants de l’Economie Sociale et Solidaire

Echange avec la salle

Clôture et remerciements

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

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