La période des fêtes, c’est aussi le temps de participer à bâtir des économies locales plus justes et plus durables. Voici quelques exemples de membres du RCDÉC et d’initiatives locales qui œuvrent pour que chaque personne puisse prendre part aux festivités.


Carol Madsen de la Tradeworks Training Society à Vancouver et membre du conseil d’administration du RCDÉC expliquait sur Global Television que l’entreprise sociale Women’s Workshop fabrique de très belles décorations de Noël, tout en offrant des formations professionnelles aux femmes du Downtown Eastside et utilisant du bois recyclé.

Pour visionner l’entrevue >>


Au Manitoba, le Crédit d’impôt pour l’expansion des entreprises dans les collectivités permet aux particuliers d’investir dans des entreprises communautaires visant à revitaliser les quartiers et à créer une économie locale plus viable et plus équitable. Les entreprises Peg City Car Co-op, Neechi Commons, et Pollock’s Hardware sont actuellement à la recherche d’investissements par le biais de ce crédit d’impôt.


Évidemment, magasiner dans des commerces locaux et indépendants est un moyen sûr de renforcer les économies locales. Les gens de Local First Toronto ont fait une affiche présentant 12 bonnes raisons d’offrir des cadeaux produits localement : 12 Reasons to Give the Gift of Local This Holiday Season.
 

 


Vous pouvez aussi faire un don à des projets menés par les membres du RCDÉC qui œuvrent partout dans le monde : les projets du CECI sur la sécurité alimentaire et le développement économique des femmes ou encore les initiatives de Carrefour International qui donnent aux femmes et aux filles le pouvoir de prendre leur vie en main et leur fournit les compétences et la formation nécessaires pour pouvoir gagner un revenu
 


Le Chantier de l’économie sociale propose un large éventail de produits et de services des entreprises d’économie sociale pour un magasinage de Noël solidaire. 


Les membres du conseil se joignent au personnel du RCDÉC pour vous souhaiter un joyeux temps des fêtes et une bonne année.

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Produit par le Chantier de l’économie sociale, ce guide est un outil de référence sur l’économie sociale. Il est conçu pour que les intervenants1 qui organisent des activités de sensibilisation à l’économie sociale puissent s’y référer et s’outiller pour maîtriser les concepts qu’ils vont présenter. La boîte à outils de sensibilisation à l’économie sociale pour les jeunes de 14 à 35 ans contient toutes les animations nécessaires et complémentaires à ce guide de référence.

En 2006, le comité jeunesse du Chantier et l’Alliance de recherche université communauté – Économie sociale (ARUC-ES) ont conçu et mené un sondage visant à explorer les perceptions des jeunes du Québec sur l’économie sociale, auquel plus de 500 jeunes ont répondu. Parmi les axes de réflexions issus de ce sondage, on note particulièrement les besoins suivants :

  • La promotion : développer des outils d’information et de promotion sur l’économie sociale.
  • La formation : présenter le modèle de gestion participative et démocratique dans les différents contenus de formation traitant de l’entreprenariat.
  • La consommation : utiliser le volet de la consommation responsable comme « porte d’entrée » vers l’économie sociale, car cet aspect recèle un potentiel attractif pour les jeunes afin de créer un premier contact avec l’économie sociale.

Dans le cadre de la stratégie d’action jeunesse 2009–2014, le Chantier de l’économie sociale a donc développé une boîte à outils de sensibilisation à l’économie sociale pour les jeunes de 14 à 35 ans et le présent guide de référence.

Le site Internet economiesocialejeunesse.ca est le lieu où trouver toutes les versions électroniques des outils nécessaires pour animer des activités de sensibilisation. Ce site a été conçu dans un objectif général de rassembler des références, des idées et des ressources sur l’économie sociale, autant les jeunes, les futurs entrepreneurs et les intervenants. Vous y trouverez d’ailleurs des vidéos, des exemples inspirants et plusieurs références qui pourront bonifier vos animations.
Les outils se retrouvent dans l’onglet « outils pour intervenants » sous la rubrique « partagez vos outils. »

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Ressources humaines et Développement des compétences Canada sera l’hôte de plusiers téléconférences sur l’appel national d’idées sur la finance sociale. Les téléconférences seront conçu comme des séances de questions et réponses pour informer les participants sur le concept de la finance sociale, ainsi que les initiatives du gouvernement de la finance sociale, y compris l’appel à des concepts. Le processus d’appel de concepts se termine le 31 décembre 2012.
 
Les appels seront dans des fuseaux horaires à travers le pays sur les dates suivantes :
  • Ouest du Canada : jeudi 6 décembre 2012 de 13 h à 14 h, heure de l’Est.
  • Est du Canada : lundi 10 décembre 2012, de 13 h à 14 h, heure de l’Est
  • Québec : mardi 11 décembre 2012, de 10 h à 11 h, heure de l’Est
  • Ontario : mardi 11 décembre 2012, de 13 h à 14 h, heure de l’Est
Voici les coordonnées pour participer :
Numéro sans frais : 1-877­-413­-4781
Région de la capitale nationale : 613­-960­-7510
ID : 8326698

Plus d’informations sur l’appel d’idées sur la finance sociale

Le gouvernement établira un partenariat avec des organisations, des entreprises et des organismes sans but lucratif relatif à l’innovation sociale et aux outils de finance sociale. Les organisations intéressées sont invitées à présenter leurs idées innovatrices en vue de modeler la politique sociale future au Canada.
 
Le gouvernement invite toutes les personnes et organisations intéressées à présenter leurs idées pour élaborer des solutions novatrices aux problèmes auxquels sont confrontées les collectivités canadiennes. Vous n’avez qu’à décrire brièvement votre idée en répondant au questionnaire en ligne, ou tout simplement annexer un document décrivant l’idée.

>> En savoir plus

Pour plus d’information

 
 
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Il y a près de trois cents ans, devant de graves problèmes de pauvreté, d’exclusion et d’inégalités, des hommes et des femmes ont inventé et proposé une nouvelle façon de répondre à leurs besoins : la coopérative et la mutuelle (CM). Le modèle, inspiré par un équilibre entre des valeurs d’égalité, de démocratie, de liberté, d’équité, de solidarité et de prise en charge, a évolué dans la pratique et la théorie. Ce projet d’innovation organisationnelle bouscule encore aujourd’hui notre conception de l’économie et de la gestion des entreprises.

Trois siècles plus tard, une vaste recherche menée par l’Institut de recherche et d’éducation pour les coopératives et les mutuelles de l’Université de Sherbrooke (IRECUS) et préparé dans le cadre du Sommet international des coopératives tenu en octobre 2012 à Québec et permet d’apprécier le chemin parcouru et de se questionner sur les défis à venir.

Les objectifs de la recherche sont les suivants : 1) établir un portrait de l’impact socio-économique des CM à l’échelle planétaire et leur contribution à un monde meilleur; 2) permettre une meilleure compréhension du succès et des défis de ce modèle d’affaires en dégageant l’apport particulier de l’identité coopérative à ceux-ci.

Cette recherche confirme la pertinence du modèle et explique la contribution des CM à un monde meilleur grâce à trois grandes dynamiques propres à l’identité des CM : 1) assurer une stabilisation et une régulation économique, sociale et politique; 2) maintenir un accès équitable aux biens et services; 3) promouvoir la diversité et l’inclusion économique, politique et sociale.

Télécharger le résumé de la recherche >>

Télécharger l’étude et les références complètes >>

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Voici le communiqué de presse émis par le Chantier de l’économie sociale en réaction au budget du Québec. Consulter l’original >>


Québec, le 20 novembre 2012 – Le Chantier de l’économie sociale tient à saluer plusieurs mesures du nouveau budget du gouvernement du Québec dévoilé aujourd’hui, notamment en ce qui concerne la construction de 3 000 nouveaux logements dans le programme AccèsLogis et la création de 28 000 nouvelles places à 7$ en services de garde.

Le Chantier salue également la reconnaissance de la contribution de l’économie sociale au développement économique du Québec, notamment avec la future loi-cadre et le mandat de la nouvelle Banque de développement qui aura la responsabilité de soutenir les entreprises d’économie sociale à statut coopératif et à but non lucratif.  Il est aussi intéressant de souligner la volonté d’explorer des stratégies permettant d’accroître l’investissement privé en économie sociale, une voie déjà mise en œuvre par les outils financiers du Chantier.

La nouvelle Banque de développement jouera un rôle central dans les stratégies économiques du gouvernement du Québec, y inclut par ses interventions sur le plan régional. « Dans cette perspective, le Chantier de l’économie sociale insiste sur l’importance d’assurer la présence d’au moins un(e) représentant(e) de l’économie sociale au sein des nouveaux Conseils de développement régionaux. Il s’agit de traduire ainsi l’esprit d’une loi-cadre visant à reconnaître et à intégrer l’entrepreneuriat collectif dans l’ensemble des actions gouvernementales », a déclaré Nancy Neamtan, présidente-directrice générale du Chantier.

Toutefois, le Chantier demeure sur sa faim en ce qui a trait à certains dossiers d’une importance fondamentale pour le développement des collectivités. Le virage annoncé en faveur des soins et services à domicile et un soutien accru aux entreprises d’économie sociale en aide à domicile doit s’accompagner de moyens concrets dont les détails ne sont pas encore connus. Tout comme le soutien qui sera accordé à l’innovation sociale et aux activités de transfert de connaissances dans la future Politique nationale de la recherche et de l’innovation constitue également un enjeu important pour les acteurs de l’économie sociale à travers le Québec.

Soulignons que, depuis plusieurs années, à l’instar d’autres pays sur tous les continents, le rôle joué par les entreprises d’économie sociale est en pleine expansion dans toutes les régions du Québec. Dans son nouveau budget, le gouvernement du Québec démontre une véritable volonté de reconnaître la contribution essentielle de l’économie sociale au développement des collectivités et d’assurer un soutien équitable à cette forme d’entreprise. « Ce choix est d’autant plus judicieux au moment où il faut restaurer la confiance des citoyens et des citoyennes face aux dérapages dans certains secteurs économiques et dans l’octroi des contrats publics. Avec leurs pratiques de transparence et de gestion démocratique, les entreprises d’économie sociale contribuent à créer de la richesse tout en assurant un rendement à l’ensemble de la collectivité. » a conclu madame Neamtan.

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10 décembre 2012

15 h 30 heure de Terre-Neuve, 15 h heure de l’Atlantique, 14 h heure de l’Est, 13 h heure du Centre, 12 h heure des Rocheuses, 11 h heure du Pacifique

Cet été, l’Agence du revenu du Canada a publié CG-014 Activités de développement économique communautaire et enregistrement à titre d’organisme de bienfaisance – Lignes directrices.  Ce document remplace le guide RC4143, Les organismes de bienfaisance enregistrés et les programmes de développement économique communautaire — la première mise à jour importante depuis 1999. 

Ce webinaire étudiera les changements apportés à ces nouvelles lignes directrices et présentera ce que les organismes qui ont fait une demande d’enregistrement à titre d’organisme de bienfaisance ou qui envisagent de le faire ont besoin de savoir.

La séance débutera par une présentation de Johanne Cousineau de la Direction des organismes de bienfaisance de l’Agence du revenu du Canada et sera suivie d’une période de questions-réponses animée par Mike Toye, directeur général du RCDÉC.   Les participantes et les participants qui s’inscrivent tôt pourront soumettre leurs questions à l’avance.

 

[PLUS D’INFO ET INSCRIPTION]

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La ministre des Ressources humaines et du Développement des compétences, Diane Finley, a annoncé un appel national d’idées sur la finance sociale lors du Forum sur la finance sociale.

Le gouvernement établira un partenariat avec des organisations, des entreprises et des organismes sans but lucratif relatif à l’innovation sociale et aux outils de finance sociale. Les organisations intéressées sont invitées à présenter leurs idées innovatrices en vue de modeler la politique sociale future au Canada.

Le gouvernement invite toutes les personnes et organisations intéressées à présenter leurs idées pour élaborer des solutions novatrices aux problèmes auxquels sont confrontées les collectivités canadiennes. Vous n’avez qu’à décrire brièvement votre idée en répondant au questionnaire en ligne, ou tout simplement annexer un document décrivant l’idée.

Les idées seront acceptées jusqu’au 31 décembre 2012.

Pour en savoir plus et pour proposer votre idée >>

 


Document d’information

(du communiqué de presse du gouvernement)

Le 8 novembre 2012, la ministre Finley a annoncé que le gouvernement prend des mesures pour relever les défis sociaux au moyen d’initiatives de finance sociale, et a lancé un appel d’idées sur la finance sociale. L’appel d’idées est conçu pour inviter les parties intéressées à soumettre des idées innovatrices; il ne s’agit pas d’un processus de demande de financement fédéral.

Finance sociale

La finance sociale consiste à mobiliser des capitaux privés en vue de réaliser des objectifs sur le plan social. La finance sociale permet aux investisseurs de financer des projets dont la société bénéficiera et à des organisations communautaires d’obtenir de nouvelles sources de financement pour concrétiser des idées novatrices. Par exemple, les particuliers ou les organisations pourraient investir dans des projets de logements abordables ou dans une entreprise sociale comme un café qui embauche des jeunes à risque.

La finance sociale englobe une nouvelle approche en matière d’investissement, souvent appelée « investissement d’impact », que le Groupe de travail canadien sur le financement social décrit comme « placer activement des capitaux dans des entreprises et des fonds qui génèrent des biens sociaux ou environnementaux et (au moins) un montant nominal à l’investisseur ». Cela signifie que des investisseurs peuvent utiliser leur argent pour financer des projets qui appuieront des objectifs sociaux et s’attendre à réaliser un gain financier.

Le gouvernement du Canada a déjà commencé à mettre à l’essai de nouvelles façons de formuler et de financer des solutions novatrices aux défis sociaux complexes par l’intermédiaire de projets pilotes. En voici des exemples.

  1. Les projets pilotes d’innovation communautaire soutiendront les projets qui abordent les enjeux économiques et sociaux dans les collectivités rurales et nordiques. À l’aide du soutien obtenu, l’Arctic Children and Youth Foundation réalise un projet qui aide les enfants et les jeunes de l’Arctique à avoir droit aux mêmes normes d’éducation, possibilités et conditions de santé que les autres Canadiens.
  2. Un projet pilote de partenariats communautaires, le Community Kitchen Program de Calgary, mobilise les fonds publics et privés dans le but d’offrir à des bénévoles une formation nécessaire pour qu’ils puissent mener une simple évaluation des besoins de leurs clients et les diriger vers les services communautaires appropriés, en plus d’aborder l’exclusion sociale. 
  3. Les projets pilotes de leadership d’une tierce partie permettent d’évaluer si les organismes de subventions peuvent obtenir des fonds fédéraux selon un ratio de 1:3. Par exemple, la Hamilton Foundation obtiendra des fonds destinés à un projet visant à améliorer les services sociaux et de santé communautaires qui sont offerts aux jeunes nouvelles mères, marginalisées et à faible revenu.

Partenariats sociaux

Les partenariats sociaux visent à établir des partenariats plus solides et plus efficaces entre le gouvernement et les collectivités afin de présenter des solutions plus durables et axées sur le rendement dans le but de traiter des questions sociales.

Dans le Plan d’action économique de 2011, on précisait que « Le gouvernement prendra des mesures dans ce domaine en complément des efforts déployés dans les collectivités, en favorisant l’établissement de partenariats gouvernementaux-communautaires, en donnant aux collectivités des moyens de s’attaquer aux problèmes locaux et en mettant à l’essai de nouvelles approches qui permettraient d’améliorer le rendement des activités ». Le Plan d’action économique de 2012 réitère l’intention du gouvernement d’appuyer le dynamisme lié aux initiatives de finance sociale et d’étudier de plus près les outils de finance sociale pour les utiliser au Canada.

En 2011, la ministre de RHDCC a établi un comité consultatif bénévole sur les partenariats sociaux, formé de personnes clés des secteurs privé et sans but lucratif, afin de donner des conseils sur des questions liées aux partenariats sociaux et à la finance sociale au Canada.

Obligation à impact social (OIS)

Une obligation à impact social est un exemple d’outil de finance sociale qui est actuellement étudié ou mis à l’essai et qui vise à faire face aux enjeux sociaux de nombreuses collectivités partout dans le monde. Cet outil fait maintenant l’objet d’une étude au Canada.

Essentiellement, une obligation à impact social est un contrat conclu entre un gouvernement et une organisation externe, en vertu duquel le gouvernement détermine les résultats sociaux souhaités et s’engage à verser une somme convenue à des organisations externes dans la mesure où les résultats sont obtenus. Les organisations externes qui ont conclu cette entente peuvent compter des investisseurs d’organismes de bienfaisance ou à but lucratif et des organismes de prestation de services. En règle générale, les investisseurs fournissent des fonds pour financer un organisme qui fournira un service. Si les résultats convenus sont obtenus, les investisseurs pourront recevoir jusqu’à 100 % de l’investissement initial ainsi qu’un gain financier. Dans le cas où les résultats ne seraient pas obtenus, le gouvernement ne verserait aucune somme à l’investisseur.

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Présentation donnée par Michael Toye, Directeur général du RCDÉC, dans le cadre du Forum pancanadien sur le développement économique en francophonie canadienne qui a eu lieu le 1er novembre 2012, à Gatineau, QC

 


J’aimerais d’abord remercier les organisatrices et les organisateurs de m’avoir invité à m’adresser à vous aujourd’hui.

Comme nous l’ont dit ce matin Brigitte Gagné, Ethel Côté et Nancy Neamtan, le mouvement coopératif, le développement économique communautaire et l’économie sociale et solidaire sont des approches bien implantées en francophonie canadienne. Et je pense que ces approches ont beaucoup à offrir quand vient le temps d’établir des partenariats durables et réussis.

Le DÉC et l’économie sociale ont des objectifs à la fois sociaux et économiques (et aussi souvent environnementaux). Il est donc tout naturel que leurs sillages se croisent et que ces approches soient pertinentes pour plusieurs secteurs. Je crois qu’elles reflètent une prise de conscience croissante de l’interconnexion entre les enjeux économiques, sociaux et environnementaux. Et les nouveaux instruments tels que les audits environnementaux, l’investissement d’impact, et l’entrepreneuriat social reflètent bien la volonté des entrepreneurs de tenir compte de ces enjeux tout en tirant profit de la croissance du marché socialement et environnementalement responsable.

Le DÉC relève des défis qui demandent une collaboration des différents ordres de gouvernement, des agences communautaires et du secteur privé. C’est cette collaboration qui s’est avérée être un défi de taille pour l’évolution de ces approches. Mais à force d’innover et d’expérimenter, il y eu bien des collaborations fructueuses.

Je voudrais vous présenter quatre exemples de succès dans quatre domaines et les leçons que nous en avons tirées.

En lire plus >>

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Du 14 au 20 octobre, la Semaine de la coopération constitue un moment privilégié pour les entreprises coopératives et mutualistes d’inviter le grand public à vivre la différence coopérative. Elle fournit également une occasion de faire valoir auprès des membres et des employés sa distinction coopérative ou mutualiste.

Cette semaine se déroule simultanément avec la Journée internationale des coopératives d’épargne et de crédit qui se tient le jeudi 18 octobre.

Animés par les valeurs que sont la prise en charge, la responsabilité personnelle et mutuelle, la démocratie, la solidarité, l’entraide, l’égalité et l’équité, des hommes et des femmes ont donné naissance à la formule coopérative au milieu du 19e siècle.

Un survol impressionnant du mouvement coopératif mondial est présenté dans ce vidéo, préparé pour le Sommet international des coopératives qui a eu lieu la semaine passée à Québec.

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Les Prix de la finance sociale sont remis aux leaders qui jouent un rôle essentiel de catalyseur dans le marché de la finance sociale au Canada. Le prix a été créé pour reconnaître et célébrer les efforts des individus et des organisations qui travaillent à mobiliser les capitaux et les mettre au service du bien public.

SocialFinance.ca est heureuse d’annoncer que la période de votation est maintenant ouverte pour les premiers Prix de la finance sociale!

Voici la liste des finalistes du “Nouveau joueur le plus prometteur dans l’univers de la finance sociale au Canada” :

  • Caisse d’économie solidaire: Desjardins
  • Community Forward Fund
  • CSI Community Bond investors
  • Greenchip Financial Corporation
  • RBC Investing for Impact Fund
  • Rise Asset Development
  • Sarona Asset Management Inc.
  • Tonya Surman, CSI
  • Toronto Atmospheric Fund
  • Youth Social Innovation Capital Fund

Le vote se termine le mardi 8 novembre à 11h59. Le nom du gagnant sera dévoilé lors du Forum sur la finance sociale 2012!

 

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Nancy Neamtan, présidente directrice générale du Chantier de l’économie sociale du Québec sera conférencière invitée et Michael Toye, directeur général du RCDÉC sera panéliste lors du Forum pancanadien sur le développement économique en francophonie canadienne qui aura lieu les 31 octobre au 2 novembre, à Gatineau

Cet événement se démarque en étant le premier Forum regroupant les trois secteurs clés (gouvernemental, associatif et privé) de la réussite économique en francophonie canadienne

L’idée du Forum prend source aux recommandations de la Conférence ministérielle sur la francophonie canadienne, tenue en juin 2010 à Yellowknife. Les ministres ont alors reconnu l’importance de l’espace économique francophone, tant pour les communautés francophones que pour l’ensemble de la société canadienne.

L’objectif ultime du Forum consiste à mobiliser les acteurs du développement économique en francophonie canadienne des secteurs public, privé et associatif en vue de présenter un premier jet de plan d’action intégré permettant de consolider le dialogue pancanadien sur lequel reposera le développement économique cohérent, durable et prospère de toute la francophonie canadienne.

La conférence de Nancy Neamtan portera sur l’économie sociale : « de quoi s’agit-il et Quelle est la valeur ajoutée? »  Michael Toye parlera de l’expérience des partenariats durables du RCDÉC et au sein du mouvement du DÉC plus large.  Plusieurs autres membres et partenaires du RCDÉC y sont aussi impliqués, notamment Ethel Côté du Centre canadien pour le renouveau communautaire qui siège au comité organisateur du Forum, Caroline Arcand du Groupe Convex Prescott Russell qui parlera du développement de marché et commercialisation, et Brigitte Gagné du Conseil canadien de la coopération et de la mutualité qui abordera la multiplicité des acteurs au sein de la francophonie canadienne. 

Pour en savoir plus >>

 

 

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Dans le cadre de l’élection provinciale au Québec, le Chantier de l’économie sociale sollicite les partis politiques afin de connaître leurs engagements et leurs positions dans le domaine de l’économie sociale. Plus précisément, le Chantier leur demande de se prononcer sur une série de onze propositions, tirées du document Pour un changement de logique économique. Leurs réponses seront communiquées à l’ensemble des membres et des partenaires de l’économie sociale dans toutes les régions du Québec durant la campagne électorale.

Les propositions contenues dans le document « Onze propositions pour une économie sociale et solidaire » constituent la synthèse de travaux réalisés par le Chantier à partir de plusieurs sources. Elles reflètent les préoccupations des acteurs d’économie sociale présents dans toutes les régions du Québec et dans un ensemble de secteurs économiques. Elles s’appuient sur un travail de veille réalisé par le Chantier dans le but d’identifier les projets en cours dans des collectivités locales à travers le Québec et les occasions qui se présentent pour la création ou l’expansion d’entreprises collectives. Finalement, ces propositions s’inspirent aussi d’expériences d’autres pays à partir, notamment, des leçons tirées de la veille internationale sur les politiques publiques réalisée par le RELIESS et par celles tirées du Forum international de l’économie sociale et solidaire (FIESS) qui a réuni, en octobre dernier à Montréal, des acteurs de l’économie sociale et solidaire et des représentants des pouvoirs publics de 62 pays.

Le Chantier est convaincu que le Québec a grandement besoin de la force de l’entrepreneuriat collectif et, en conséquence, croit essentiel que ces enjeux soient discuté lors de la campagne électorale.

Télécharger le document Onze propositions pour une économie sociale et solidaire

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