Communities in Canada, United Kingdom - Vital Signs

Des collectivités au Canada, au Royaume-Uni et ailleurs dans le monde examinent de près leur santé et leur mieux-être dans le cadre de Signes vitaux, un programme international qui a pour objectif de mesurer la vitalité des collectivités.

Trente-quatre collectivités au Canada, 17 au Royaume-Uni, et d’autres collectivités en Irlande, au Brésil, aux États-Unis, aux Bermudes, en Australie et en Nouvelle-Zélande, participent cette année au programme Signes vitaux par la collecte de données, la tenue de dialogues et la publication de rapports sur les tendances sociales et économiques qui permettent de dresser le portrait de leur collectivité en ce qui a trait à des secteurs clés, indicateurs de la qualité de vie.

Ces rapports, dont beaucoup sont publiés au cours de la semaine Signes vitaux (du 2 au 8 octobre), sont utilisés par les collectivités partout dans le monde en vue de susciter l’engagement civique et de servir de base à un dialogue public.

« La grande utilité de Signes vitaux, ce sont les connaissances que ce programme nous apporte en vue de générer des changements dans nos collectivités, affirme Cindy Lindsay, directrice des services aux membres auprès de Fondations communautaires du Canada dont elle est la responsable internationale pour le programme Signes vitaux. En une ère où la prise de décision s’appuie sur des données, les collectivités sont de plus en plus nombreuses, à l’échelle mondiale, à utiliser Signes vitaux toute l’année pour mieux évaluer leur qualité de vie et pour cerner les possibilités de promouvoir l’engagement, le subventionnement et les actions concertées. »

Depuis son lancement par la Toronto Foundation en 2001, le programme Signes vitaux s’est propagé dans le monde. Aujourd’hui, plus de 85 collectivités, en neuf pays, prennent part à Signes vitaux en produisant un rapport annuel ou en fondant leur action sur les résultats de rapports précédents.

Signes vitaux connaît une popularité grandissante au Royaume-Uni, alors qu’un nombre record de collectivités y participent cette année. Le programme aide à cerner les enjeux préoccupants tant au Canada qu’au Royaume-Uni, comme la pauvreté infantile, la création d’emplois et l’inégalité des revenus.

En raison de leur vaste portée et de la profondeur de leurs connaissances au sujet des priorités locales, les fondations communautaires sont bien placées pour orienter les donateurs ainsi que l’engagement philanthropique. Comme l’a souligné Fabian French, directeur général de UK Community Foundations, « la philanthropie peut jouer un rôle de premier plan pour relever bon nombre de nos défis actuels. En tant que fondations communautaires, nous faisons une énorme différence dans les localités. Mais fondamentalement, comme le démontrent nos rapports Signes vitaux pour le Royaume-Uni, les besoins grandissent — et nous devons grandir aussi ».

Les fondations communautaires du Canada et du Royaume-Uni font partie d’un réseau mondial qui regroupe plus de 1800 fondations communautaires en plus de 50 pays.

Personnes-ressources pour les médias :

David Venn
Directeur des communications
Fondations communautaires du Canada
Courriel : dvenn at communityfoundations.ca
Twitter : @CommFdnsCanada
Kiran Ramchandani
Responsable des affaires externes
UK Community Foundations
Courriel : kramchandani at ukcommunityfoundations.org
Twitter: @UKCF_tweets

SOURCE: Fondations communautaires du Canada

   

Photo credit: Bart Gamber, Vital Signs author

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Entreprendre autrementLe Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO), un membre du Réseau canadien de DÉC, est fier de pouvoir annoncer officiellement les récipiendaires des subventions attribuées dans le cadre du programme Entreprendre autrement. Ce programme, visant à sensibiliser le monde des organismes sans but lucratif à l’adoption d’un modèle d’entrepreneuriat social, a été l’occasion pour le CCO de livrer des ateliers dans le Centre Sud-Ouest de l’Ontario. Cinq municipalités ont pu ainsi bénéficier d’ateliers, soit Toronto, London, Windsor, Welland et Penetanguishene. Au terme de ces ateliers livrés en français et en anglais, les participants ont eu la chance de soumettre des projets d’entreprises sociales. Grâce à ces subventions, des projets fascinants pourront voir le jour dans un avenir rapproché.

Les organismes récipiendaires sont :

Le programme Entreprendre autrement est une initiative du Conseil de la coopération de l’Ontario financée par la Fondation Trillium de l’Ontario.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Julien Geremie
Directeur du développement

Conseil de la coopération de l’Ontario

416-364-4545 / julien.geremie at cco.coop

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Doing Business DifferentlyThe Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO), a member of the Canadian CED Network, is proud to announce the recipients of five grants, as part of the Doing Business Differently program. The program is aimed at developing social enterprise projects within non-for-profit organizations and was the perfect occasion for CCO to give workshops in Central and South-Western Ontario. Five municipalities have benefited from this initiative: Toronto, London, Windsor, Welland and Penetanguishene. At the end of each workshop, participants had the opportunity to submit a social enterprise project. With the help of these grants, the selected projects will be able to see the light of day.

The recipients are:

Doing Business Differently is an initiative of the Conseil de la coopération de l’Ontario funded by the Ontario Trillium Foundation.

For more information, please contact:

Julien Geremie
Director of Development

Conseil de la coopération de l’Ontario

416-364-4545 / julien.geremie at cco.coop

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Le communautaire et l’économie sociale: L’épopée d’une histoire

Colloque ANSER 2017 Neuvième conférence annuelle
Ryerson Université

L’Association de recherche sur les organismes sans but lucratif et de l’économie sociale (ARES) est une organisation dynamique qui tient son dixième congrès annuel dans le cadre du Congrès des sciences humaines. ARES regroupe des chercheurs, des acteurs de l’économie sociale, des consultants, des représentants de différents niveaux de gouvernement, des représentants d’organisations communautaires canadiennes et d’autres pays. ARES se veut un lieu d’échange et de discussions entre ses membres sur des questions portant sur les enjeux, les débats, les défis théoriques et pratiques dans les domaines de la société civile, de l’économie sociale et des organisations à but non lucratif. Vous inscrire à cette conférence s’avérera une expérience stimulante et instructive. Le thème de cette conférence est : Le communautaire et l’économie sociale: L’épopée d’une histoire.

Dans le cadre du Colloque ARES 2017, vous pouvez présenter une proposition de communication sous trois formes :

  1. une proposition de communication sur une base individuelle ;
  2. une proposition de formation d’un panel ;
  3. une proposition pour la tenue d’une table ronde de discussion.

Les propositions peuvent porter sur des sujets touchant l’actualité canadienne, des études comparatives ou traiter d’une question pertinente sur la scène internationale. ARES encourage plus précisément des propositions qui toucheront aux thèmes suivants :

  • Nouvelles perspectives de l’économie sociale et communautaire
  • Le mouvement coopératif et ses défis
  • Les OBNL en période d’austérité
  • L’économie sociale sous différentes perspectives
  • La société civile et ses défis
  • Les OBNL et les organismes de charité dans un monde en grand changement
  • Les entreprises sociales, l’entreprenariat social et l’innovation sociale
  • Les organisations communautaires et le développement économique communautaire
  • Le bénévolat et l’engagement citoyen
  • Les nouvelles conceptions et les nouvelles approches du financement solidaire
  • La gouvernance et le management
  • Le militantisme dans le mouvement communautaire et coopératif
  • Collaborations, partenariat et fusions.
  • Les politiques publiques et les relations avec différents paliers de gouvernement
  • Les communications, le réseautage et le marketing social
  • Les partenariats université-communautés et la recherche collaborative
  • Perspectives théoriques

ARES accepte aussi des propositions de communication portant sur des thèmes larges qui ne sont pas nécessairement couverts par les dimensions énumérées ci haut. De plus, ARES est particulièrement intéressés par des présentations qui permettront d’illustrer les collaborations prenant place entre des chercheurs et des acteurs du terrain. Les propositions doivent être soumises avant le 11 janvier 2017.

Quatre types de propositions sont acceptables. Toute proposition sera soumise à une évaluation par les pairs.

1) Proposition de communication individuelle par un ou des chercheurs en collaboration ou non avec des praticiens

Ce type de proposition permet de présenter des résultats de recherche en lien avec des éléments théoriques, des réflexions en cours, des travaux de recherche en réalisation, des mémoires ou des thèses d’étudiants gradués, des propositions émanant d’acteurs du milieu sur des thèmes porteurs.

Une telle proposition doit inclure :

  1. un titre ;
  2. le thème général ou la question générale traitée ;
  3. un court résumé en 100 mots de la présentation ;
  4. un texte de 500 mots qui résume les arguments développés dans la présentation et la pertinence de la recherche tant pour le milieu universitaire que pour les milieux de la pratique ;
  5. une notice biographique sur l’auteur ou les auteurs.

2) Proposition pour la tenue d’un panel formé de chercheurs ou de praticiens

Proposer un panel implique de regrouper de trois à quatre présentations sur un thème similaire. Préférablement, les présentations permettent la construction d’un argument ou une démonstration comparative. Le tout permet de développer un point de vue cohérent sur le sujet traité ou le thème abordé. La personne responsable du panel soumet une proposition pour le groupe. Pour les panels à 3 personnes, le temps alloué est de vingt minutes par présentation ; pour les panels à 4, le temps alloué est de quinze minutes par présentation. Chaque panel inclut aussi un temps réservé aux échanges et aux questions provenant de l’audience.

La proposition de panel doit inclure les éléments suivants :

  1. le titre du panel ;
  2. le thème ou la question globale auquel le panel s’adresse ;
  3. 100 mots pour une présentation générale du panel, sa pertinence par rapport aux visées et aux intérêts de l’ARES;
  4. un résumé de 250 mots pour chaque présentation, incluant le ou les noms des personnes ;
  5. une note biographique pour chaque personne participant au panel.

Les membres du panel n’ont pas à soumettre de proposition individuelle puisque le responsable du panel se charge de l’ensemble de l’opération.

3) Organisation d’une Table ronde

Une table ronde est une formule appropriée pour :

  • une discussion sur les implications d’un enjeu pour la pratique ;
  • des échanges sur des besoins de recherche ou sur des aspects particuliers de travaux de recherche en cours ;
  • la présentation de perspectives divergentes ou contrastées en fonction d’un thème d’intérêt pour les praticiens, ou d’un thème de recherche en cours.

Les personnes qui participent à une table ronde ne devront pas s’attendre à soumettre leur présentation par écrit à des fins de publication. Il est prévu que d’une table ronde aura 3 ou plusieurs participants.

La proposition pour une table ronde doit inclure :

  1. un titre ;
  2. le thème ou la question globale auquel la table ronde s’adresse ;
  3. 100 mots pour présenter le sujet qui sera abordé par les membres de la table ronde, les noms des personnes qui seront présentes, une indication sur la pertinence de la présence des personnes à cette table ronde en fonction des visées et des intérêts de l’ARES ;
  4. un court résumé des principaux arguments qui seront mis en scène par les personnes qui participeront à la table ronde ;
  5. une notre biographique sur les membres de la table ronde.

Échéancier de soumission des propositions

Les propositions doivent être présentées dans une ou l’autre des langues officielles avant la fin de la journée du 11 janvier 2017.

Soumettre une proposition pour le Colloque ARES 2017

Un lien vers le système de soumission en ligne est également disponible sur notre site internet à www.anser-ares.ca. Toutes les questions doivent être adressées à siemensl à uvic.ca.

Chaque proposition sera évaluée par un comité de pairs. La communication des résultats de l’évaluation vous parviendront pour le 17 février 2017.

Apprendre plus sur le Colloque ARES 2017

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Le gouvernement du Canada veut véhiculer une nouvelle vision de l’innovation sociale et de la finance sociale. Faites partie du Groupe directeur qui travaillera à la cocréaction de la Stratégie de l’innovation sociale et de la finance sociale.

Le gouvernement est à la recherche de 15 chefs de file, praticiens et experts possédant:

  • des connaissances et une expertise dans les domaines de l’innovation sociale ou de la finance sociale, y compris l’entreprise sociale et l’économie sociale;
  • l’habileté de participer constructivement à des discussions sur les politiques;
  • l’habileté de mobiliser des réseaux et d’établir un consensus.

Présenter un candidature pour le Groupe directeur

Partagez cet appel de candidatures avec votre réseau et vos abonnés sur les médias sociaux, notamment sur Twitter, avec les mots-clics #InnSoc et #FinSoc

La date limite est le lundi 21 novembre 2016

Le Groupe directeur prendra part à des activités de consultation afin de recueillir le point de vue de tous les intervenants en ce qui concerne l’innovation sociale et la finance sociale, y compris l’entreprise sociale et l’économie sociale. Ils décideront des problèmes que la Stratégie devra aborder et ils superviseront le travail de conception initial des mesures relatives aux politiques proposées dans une ébauche de la Stratégie de l’innovation sociale et de la finance sociale. Cette ébauche sera soumise à l’attention du gouvernement au cours de l’année 2017.

Les avis recueillis au cours de ce processus de mobilisation seront d’une grande utilité pour informer le gouvernement des points de vue et des priorités des intervenants.

Lisez le communiqué de presse

L’honorable Jean-Yves Duclos
Ministre de la Famille, des Enfants
et du Développement social

L'honorable Jean-Yves Duclos
L’honorable MaryAnn Mihychuk​
Ministre de l’Emploi, du Développement

de la main-d’œuvre et du Travail
L'honorable MaryAnn Mihychuk

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PME MTLLa Caisse d’économie solidaire Desjardins et le réseau des PME MTL annoncent la conclusion d’une entente de partenariat visant à soutenir la création de 100 entreprises collectives à Montréal à l’aide d’un financement d’au moins 460 000 $ par an pendant 5 ans. Cette annonce fait suite au Forum mondial sur l’économie sociale qui s’est tenu en septembre dernier à Montréal. Le nouveau programme, intitulé Jeunes entreprises collectives, offrira un accompagnement et un financement de démarrage minimal de 23 000 $ par entreprise admissible.

La réorganisation du réseau de soutien aux entreprises qui a conduit à l’abolition des CLD et des CDEC, a réduit de 55 % le financement du Gouvernement du Québec. C’est pourquoi la Caisse d’économie solidaire, principale institution financière spécialisée en économie sociale au Québec, a joint ses efforts à ceux des PME MTL pour soutenir les nouvelles entreprises collectives à Montréal.

Le financement par entreprise – qui pourrait être supérieur en fonction des besoins et de la capacité de remboursement de l’entreprise – se répartira ainsi, quel que soit l’âge des entrepreneurs :

  • 10 000 $ en subvention ;
  • 3 000 $ en bourse ;
  • au moins 10 000 $ en prêt.

Les subventions seront offertes par le réseau PME MTL à partir du Fonds de développement de l’économie sociale. Les bourses proviendront de la Caisse d’économie solidaire. Les prêts pourront être octroyés par PME MTL, par la Caisse d’économie solidaire ou par un autre partenaire de l’économie sociale, selon les situations et les besoins.

Le réseau PME MTL est la porte d’entrée du programme. Il accompagnera les entrepreneurs dans le développement de leur projet d’affaires, incluant le montage financier. Lorsque le projet sera jugé économiquement viable, il sera soumis pour analyse au comité d’investissement de PME MTL. Si le projet est approuvé, il aura alors accès au financement prévu au programme et bénéficiera d’un accompagnement professionnel pendant la phase de démarrage.Jean François Lalonde, directeur général de PME MTL Centre-Est et Marc Picard, directeur général de la Caisse d'économie solidaire | PHOTO : Patrick Sanfaçon, La Presse

« En phase de démarrage, l’accompagnement et le soutien financier sont primordiaux, ce partenariat permet de maximiser l’appui que nous pouvons offrir aux entreprises collectives. L’économie sociale est en pleine ébullition à Montréal, l’ajout de ressources de la part de la Caisse d’économie solidaire est plus que bienvenu », explique Jean François Lalonde, directeur général de PME MTL Centre-Est.

« En tant que principale institution financière spécialisée en économie sociale au Québec, nous avons la responsabilité de soutenir la communauté de jeunes entrepreneurs collectifs qui est très active à Montréal », affirme Marc Picard, directeur général de la Caisse d’économie solidaire.

Pour sa part, Marie-Claude Dauray, directrice générale de PME MTL Grand Sud-Ouest, souligne : « avec la Caisse d’économie solidaire, les entreprises recevront plus qu’une simple bourse : elles accèderont à l’expertise et au réseau d’une institution financière spécialisée en économie sociale pour le démarrage et pour leur croissance future. »

Pour plus d’information, lisez-vous l’article de La Presse : 2,3 millions pour lancer des entreprises d’économie sociale

SOURCE : Caisse d’économie solidaire Desjardins

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RDÉE Canada - Lauriers de la PME 2016Le Réseau de développement économique et d’employabilité du Canada, (RDÉE Canada) a remis les trophées aux six lauréats du concours les Lauriers de la PME 2016.

Il s’agit de la septième édition de cet événement qui invite l’ensemble des Canadiens à saluer l’excellence entrepreneuriale des gens d’affaires des communautés francophones et acadienne du Canada.

Le comité de sélection national a décerné les prix dans cinq catégories, selon des critères précis évaluant le mérite des entreprises lauréates :

Commerce de détail
LMS Rail Services (Ontario)

Entreprise dirigée par un entrepreneur immigrant
Terre Boréale (Yukon)

Entreprise dirigée par un jeune entrepreneur 
Étchiboy (Manitoba)

Entreprise de services
Transmed (Nouveau-Brunswick) et 7shifts (Saskatchewan) ex æquo  

Entreprise de transformation
Leisure Farms (Ontario)
 

Les gagnants ont reçu leur récompense à l’occasion du Rendez-vous d’affaires et Gala des Lauriers de la PME – Alberta, organisés par le Conseil de développement économique de l’Alberta (CDÉA), à l’hôtel Delta d’Edmonton.

M. Matifat, président du conseil d’administration du RDÉE Canada a déclaré : « Nous sommes fiers de célébrer le fait qu’il est possible de générer d’importants résultats économiques et de contribuer activement à la vitalité de sa communauté tout en vivant en français dans les communautés francophones et acadienne. Je suis particulièrement honoré d’avoir vu ce soir un véritable engouement pour ces entrepreneurs méritants qui se sont forgés une place dans l’écosystème socioéconomique du Canada. »
 

Le RDÉE Canada tient à féliciter les lauréats et à remercier chaleureusement toutes les entreprises finalistes qui ont participé au concours des Lauriers de la PME 2016!

 
SOURCE: RDÉE Canada

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Le gouvernement du Canada investit 2 millions de dollars pour aider les femmes entrepreneures et les propriétaires de petites et moyennes entreprises du Nord de l’Ontario à obtenir la formation axée sur les compétences qui leur permettra de mobiliser le capital de risque dont ils ont besoin pour faire croître leurs entreprises. Les organisations qui profiteront de cette annonce comprennent PARO Centre pour l’entreprise des femmes, un membre du RCDÉC, et le Northwestern Ontario Innovation Centre.

Le gouvernement de l’Ontario appuie également l’initiative PARO Centre pour l’entreprise des femmes au moyen d’un investissement de 100 000 $ par l’entremise de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario.

Les deux projets recevant un financement de FedNor mettront l’accent sur l’autonomisation des femmes, le renforcement du développement des petites entreprises, l’amélioration de l’innovation et l’accroissement des occasions d’emploi dans la région.

Citations

« Le gouvernement du Canada reconnaît que les investissements qui aident les femmes à démarrer et à faire croître leurs entreprises créent des possibilités d’emploi pour les résidents du Nord de l’Ontario. En fournissant les ressources et la formation dont ont besoin les entrepreneurs, le gouvernement peut les aider à atteindre leurs objectifs d’affaires. Ces projets renforceront l’économie régionale. »
— L’honorable Navdeep Bains, ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique et ministre responsable de FedNor

« Notre gouvernement est fier d’appuyer l’initiative PARO Centre pour l’entreprise des femmes par l’entremise de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario. Cet investissement aidera PARO à préparer les femmes entrepreneures à l’échelle du Nord-Ouest de l’Ontario en leur fournissant les ressources dont elles ont besoin pour développer et faire croître leur entreprise. »
— Michael Gravelle, ministre du Développement du Nord et des Mines, président de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario et député de Thunder Bay Supérieur Nord

« Je suis fière du partenariat de longue date entre FedNor et PARO Centre pour l’entreprise des femmes, dont les efforts visant à aider les femmes entrepreneures à concrétiser leurs rêves d’affaires ont été couronnés de succès, ce qui est tout à fait impressionnant. Le renforcement des connaissances et des aptitudes des femmes propriétaires d’entreprises, y compris celles qui font partie des groupes des Autochtones, des francophones, des nouveaux immigrants ou des jeunes, permettra à celles-ci de faire croître leurs entreprises ainsi que leur rentabilité. »
— L’honorable Patty Hajdu, ministre de la Condition féminine et députée de Thunder Bay–Supérieur Nord

« Le programme Next Level offert par le Centre d’innovation du Nord-Ouest de l’Ontario permettra non seulement aux nouvelles entreprises d’assurer un accès au marché pour leurs innovations, mais il aidera également les entreprises existantes à adopter de nouvelles techniques de marketing en vue d’accroître leurs possibilités de vente et leurs activités. »
— Don Rusnak, député de Thunder Bay–Rainy River

« Nous sommes reconnaissants de la confiance dont témoigne le gouvernement du Canada à l’égard de nos capacités et de son soutien continu de nos programmes. Nous nous réjouissons à la perspective de tirer profit de nos réussites passées et sommes stimulés par la possibilité de dépasser les attentes en dotant les femmes de la confiance, des compétences et des ressources dont elles ont besoin pour connaître du succès dans l’économie mondiale d’aujourd’hui. »
— Rosalind Lockyer, directrice exécutive, PARO Centre pour l’entreprise des femmes

SOURCE: Le gouvernement du Canada

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«

Note : cet article a d’abord été rédigé en anglais à l’intention du blog de Carleton’s Perspective on Public Policy et vise à faire connaître les résultats de la synthèse de connaissances rédigée par Roy et al. et récemment publiée sur le site du TIESS.

Entrepreneuriat social

tiessL’entrepreneuriat social est de plus en plus populaire chez les jeunes au Canada. Cette popularité peut être attribuée à plusieurs raisons, incluant des changements dans les valeurs et les aspirations professionnelles des jeunes, ainsi qu’un accroissement des infrastructures soutenant cette tendance. Peut-être le meilleur exemple de cet aspect est la stratégie de la Fondation McConnell d’investir, à travers le programme RECODE, plusieurs millions de dollars afin de financer une douzaine d’universités à travers le Canada et ainsi permettre de « repenser les institutions publiques de l’intérieur; sortir des sentiers battus; trouver et faire grandir de nouvelles entreprises sociales; […] pour réaliser un monde plus juste, plus durable et plus beau. » [1]

L’entrepreneuriat social a plusieurs définitions parfois contradictoires, mais la notion de « faire des affaires pour le bien » y est toujours centrale. Ainsi, une entreprise sociale se différencie d’une entreprise conventionnelle dans la mesure où elle ne vise pas uniquement le profit. Cela dit, elle se différencie également du secteur à but non lucratif et caritatif classique dans la mesure où, afin de réaliser sa mission sociale, elle doit mener des activités économiques qui génèrent des profits. En somme, comme le dit Social Enterprise Canada, le but d’une entreprise sociale est « l’atteinte simultanée de rendement économique et social. » [2]

Économie sociale

L’idée de poursuivre une mission sociale via la réalisation d’activités économiques n’est cependant pas sans rappeler un autre concept présent depuis un certain temps déjà : l’économie sociale. Bien que le concept ait une riche histoire étroitement liée au mouvement coopératif et mutuel, il a gagné en notoriété au Canada et particulièrement au Québec dans le milieu des années 1990, avec la création du Chantier de l’économie sociale. Une loi adoptée au Québec en 2013 définit désormais précisément les caractéristiques que doit respecter une organisation afin d’être une entreprise d’économie sociale [3] :

  • Blended value graphL’entreprise a le statut juridique de coopérative, une mutuelle ou association;
  • Son activité principale consiste en la vente ou l’échange de biens ou de services;
  • Elle a pour but de répondre aux besoins de ses membres ou de la collectivité;
  • Elle est autonome dans sa gestion;
  • Sa gouvernance est démocratique.

Quelle différence?

Avec une mission partagée et un modèle économique apparemment similaire, il serait facile, pour le lecteur inattentif, de conclure que les deux concepts, entrepreneuriat social et économie sociale, décrivent la même réalité. Or, il y a au moins une différence notable : l’économie sociale requiert une forme de gouvernance collective et démocratique, alors que l’entrepreneuriat social est plutôt agnostique à ce niveau.

Le sociologue français Jean-Louis Laville soutient que la différence est encore plus fondamentale, puisque les deux mouvements sont liés à des idéaux-types de la solidarité qui sont différents [4].

D’un côté, la « solidarité démocratique », ancrée dans les valeurs d’assistance mutuelle, aspirerait à une transformation holistique des modèles économiques à travers la délibération publique. Cette vision correspond au mouvement de l’économie sociale.

De l’autre, la « solidarité philanthropique » serait motivée par l’idée de charité. Plus individualiste, ce type de solidarité est moins opposé aux mécanismes de marchés, dans la mesure où ils permettent d’atteindre des objectifs liés au bien commun. Cette perspective est associée au mouvement de l’entrepreneuriat social.

Enfin, les deux visions diffèrent sur le rôle d’un troisième concept : l’innovation sociale. Bien que l’innovation sociale ait elle aussi de nombreuses définitions, elle réfère généralement à n’importe quelle « réponse nouvelle à une situation sociale jugée insatisfaisante. » [5] L’économie sociale estime que ces solutions peuvent seulement être amenées grâce à une action collective et des changements institutionnels, alors que l’entrepreneuriat social soutient généralement l’idée que des individus – les entrepreneurs – fournissent l’étincelle qui permettra de résoudre des problèmes sociaux. Cette perspective n’est pas sans rappeler le mythe américain du self-made man, avec des philantrocapitalistes légendaires tels que Ford et Rockefeller. Aujourd’hui encore, des demi-dieux de l’industrie des technologies, tels que Gates ou Zuckerberg, sont perçus comme des individus disposant des ressources, de la volonté et de l’ingéniosité nécessaires pour enfin trouver des solutions et faire avancer les choses.

Mais aucune de ces perspectives n’est parfaite. Le tableau suivant, bien que caricatural, nous aide à comprendre comment les deux mouvements diffèrent et attirent des partisans différents, en montrant certaines des critiques que pourraient mutuellement s’adresser chacune des perspectives.

Veut pallier aux problèmes dont il est lui-même la source
Entrepreneuriat social vers ÉS ÉS vers l’entrepreneuriat social
Lourdeur de la décision collective Sacrifice de la gouvernance démocratique au profit d’une élite éclairée et danger de détournement des missions pour intérêt individuel
Incapacité d’impact sur une grande échelle La solidarité est réduite au marché; l’inclusion sociale, à son accès
Dépendance envers l’État

Trop d’importance accordée au respect du cadre légal et oublie la finalité qui est de répondre à un besoin social non satisfait Ne propose pas de nouveau modèle de développement
La forme juridique n’est pas garante d’un impact social positif L’entrepreneuriat social prétend à la nouveauté alors que l’ÉS considère les missions sociales dans les activités économiques depuis longtemps

Source: Matthieu Roy et al. 2016. Synthèse de connaissance: L’entrepreneuriat social et l’entreprise sociale, p. 38.

Conclusion

En conclusion, le momentum dont profite présentement l’entrepreneuriat social soulève plusieurs questions, particulièrement pour le secteur de l’économie sociale au Québec, mais aussi pour quiconque cherche à résoudre des enjeux sociaux. Mentionnons seulement quelques unes de ces questions :

  • Qui doit ou peut prendre en charge le social : l’État, les fondations, la société civile, les entreprises, les entrepreneurs?
  • À quel niveau se situe la transformation sociale souhaitée? Veut-on transformer l’ensemble du système économique ou seulement certaines parties? Est-ce que ce sont les mécanismes de création de valeurs qui sont en cau
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Le 4 octobre, le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, l’honorable Jean-Yves Duclos, a présenté son document de discussion, intitulé Pour une stratégie de réduction de la pauvreté, aux membres du Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences, du développement social et de la condition des personnes handicapées. Ce document, qui vise à amorcer un dialogue au sujet de la réduction de la pauvreté au Canada, présente le contexte et fournit des renseignements de base sur cet enjeu important.

Ce document est diffusé tôt dans le processus pour que les personnes et les organisations intéressées puissent le consulter et l’examiner en prévision des activités de consultation qui auront lieu en 2017. Plus de détails au sujet de ces consultations seront communiqués sous peu. Les questions concernant ce processus peuvent être acheminées à reductionpauvrete à canada.gc.ca.

Un document d’information technique sur la pauvreté au Canada sera affiché sur cette page dans les semaines à venir. Les personnes intéressées peuvent en obtenir une copie immédiatement en envoyant un courriel à reductionpauvrete à canada.gc.ca.

Dans le cadre de l’élaboration de la stratégie canadienne de réduction de la pauvreté, le gouvernement du Canada lancera le projet Combattons ensemble la pauvreté en 2017. Ce projet comprendra des études de cas réalisées dans six collectivités qui serviront à fournir un point de vue régional et à mieux comprendre la pauvreté dans les collectivités de l’ensemble du pays. Ainsi, le gouvernement pourra entendre directement les Canadiens qui vivent dans la pauvreté et s’inspirer de l’expérience des organismes qui offrent des programmes de réduction de la pauvreté.

Source : Emploi et Développement social Canada

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Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinéranceLe 26 septembre, le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, l’honorable Jean-Yves Duclos, a annoncé deux appels de propositions dans le cadre du volet de financement Solutions novatrices à l’itinérance de la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI). Ces deux appels de propositions sollicitent des projets présentant des approches et des idées novatrices visant à prévenir et à réduire l’itinérance, plus particulièrement chez les Autochtones canadiens, les jeunes, les femmes fuyant la violence et les anciens combattants.

L’appel de propositions pour les microsubventions est ouvert jusqu’au 14 novembre 2016. Les intervenants et les organismes sont invités à présenter une demande de financement allant jusqu’à 25 000 $ pour les projets à petite échelle. Ces projets seront axés sur l’étude de pratiques, d’initiatives et d’outils efficaces et novateurs visant à prévenir et à réduire l’itinérance au Canada.

L’appel de propositions pour les projets de contribution est ouvert jusqu’au 14 novembre 2016. Les intervenants et les organismes sont invités à présenter une demande de financement de 25 000 $ à 500 000 $ pour les projets pilotes à grande échelle visant à mettre à l’essai des interventions et des pratiques novatrices prometteuses afin de prévenir et de réduire l’itinérance au Canada.

Lorsque votre demande de financement sera complétée, veuillez soumettre tous les documents requis par courriel à hkd-dci à hrsdc-rhdcc.gc.ca.

Qui est admissible?

Les organismes et les personnes suivants sont admissibles :

  • les organismes sans but lucratif,
  • les gouvernements municipaux,
  • les personnes,
  • les organismes et  instituts de recherche,
  • les établissements publics de santé et d’éducation,
  • les conseils de bande ou les conseils tribaux et autres organisations autochtones,
  • au Québec, Centres intégrés de santé et de services sociaux et les Centres intégrés universitaires de santé et de services sociaux sont admissibles au financement conformément à l’entente Canada-Québec.

Remarque : les entreprises à but lucratif sont admissibles au financement pourvu que la nature et l’intention du projet soient : non commerciales, non conçues pour générer des profits et qu’il bénéficie de l’appui de la communauté locale.

Projets admissibles

Les projets doivent également répondre aux modalités d’application de la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance.

Les projets ne doivent pas inclurent des activités et des coûts déjà financés par l’entremise des volets de financement régionaux (Collectivités désignées, Itinérance dans les collectivités rurales et éloignées et Itinérance chez les Autochtones).

SOURCE : Emploi et Développement social Canada

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Canada's ParliamentLe Conseil sur les politiques du Réseau canadien de DÉC a soumis des recommandations en réponse à l’invitation du gouvernement fédéral pour les ententes de transfert relatives au marché du travail (ETMT). Nos recommandations se concentrent sur la façon dont le gouvernement peut mettre en place les mesures qu’il s’est déjà engagé à mener de manière à maximiser leur impact et la valeur pour les communautés.

Consultez notre soumission au Forum des ministres du marché du travail

Si vous avez également soumis un mémoire, nous aimerions l’inclure ci-dessous…
Veuillez envoyer vos recommandations concernant les ETMT à Matthew Thompson : mthompson à ccednet-rcdec.ca.

If you also submitted a brief we’d love to include it below…
Please send your LMTA recommendations to Matthew Thompson at mthompson at ccednet-rcdec.ca.

Nos recommandations pour les ententes de transfert relatives au marché du travail

  1. IMPACT
    1. Inclure les services intégrés dans le champ des activités admissibles au financement afin d’aider les groupes sous-représentés à intégrer le marché du travail
    2. Supprimer les objectifs de financement (p. ex., le pourcentage obligatoire de transferts alloué au programme de Subvention canadienne pour l’emploi (SCE) chaque année) pour que les provinces et les territoires soient capables d’affecter les transferts à un plus vaste éventail de programmes, dont les programmes d’aide au travail autonome
    3. Garantir une flexibilité dans la longueur du programme afin d’aider les groupes sous-représentés à intégrer le marché du travail
    4. Rétablir les objectifs politiques initiaux des anciennes Ententes sur le marché du travail (EMT) et garantir la flexibilité nécessaire pour que le financement puisse servir à former et à embaucher des groupes en quête d’équité dans les projets d’infrastructure
    5. Étendre le financement pour combler le manque de services qui existe lorsque les chercheurs d’emploi avec des obstacles à l’emploi quittent leur formation pour un emploi
  2. INNOVER
    1. Miser sur le succès des entreprises sociales d’insertion
    2. Élargir l’utilisation de l’approvisionnement social et des ententes relatives aux avantages pour les communautés
    3. Élargir la définition des résultats probants
    4. Soutenir plus largement l’engagement communautaire et la prise de décision à l’échelle locale
  3. INFORMER
    1. Mettre l’accent sur l’évaluation et la communication des résultats dans les programmes financés

Recommandations des membres du RCDÉC

Recommandations présentées par la CEDEC

Recommandations:

  1. Concevoir des ateliers, des outils et des formations permettant aux groupes en situation précaire de prendre conscience de leur potentiel et de le développer.
  2. Créer des ateliers de sensibilisation afin de faire connaître aux employeurs les avantages d’embaucher les groupes en situation précaire.
  3. La promotion ciblée des possibilités du marché du travail au Québec auprès des anglophones;
  4. Le jumelage des anglophones aux débouchés concrets du marché du travail;
  5. La promotion des possibilités reliées à l’entrepreneuriat ou au travail autonome;
  6. Le soutien à la création de petites et moyennes entreprises par l’entremise d’initiatives offrant une formation en entrepreneuriat;
  7. Le renforcement de l’adéquation entre la prévision de la demande du marché du travail au Québec et la prévision de l’offre de la main-d’œuvre anglophone du Québec (à l’échelle provinciale, régionale et locale par secteur et par profession);
  8. L’éducation, le perfectionnement professionnel, la formation et la rééducation professionnelle.
  9. Le développement d’une approche stratégique de mise en valeur de la main-d’œuvre qui centralise une analytique, l’élaboration d’une stratégie.
  10. La coordination et décentralisation de la diffusion d’information sur le marché du travail et la prestation de services.
  11. L’élaboration de prévisions du marché du travail pour les emplois bilingues au Québec et des tableaux de connexion d’emploi
  12. Encourager une culture de soutien pour les anglophones en diminuant la réglementation touchant les aptitudes linguistiques et la sensibilisation des employeurs aux candidats anglophones.

Recommandations présentées par Momentum

Recommandations:

  1. Modifier les ententes sur le Fonds canadien pour l’emploi et démanteler le programme de Subvention canadienne pour l’emploi
    1. Augmenter la flexibilité pour que les provinces et les territoires puissent utiliser le financement pour concevoir et soutenir des programmes qui fonctionnent mieux, c’est-à-dire adaptés aux besoins et aux contextes spécifiques.
    2. Supprimer les objectifs de financement pour que les provinces et les territoires puissent affecter les transferts à un plus vaste éventail de programmes, dont les programmes d’aide au travail autonome.
    3. Inclure des objectifs pour un fonds de SCE utilisé par les sans-emploi pour éviter que la Subvention ne soit uniquement utilisée comme un fonds de développement des compétences
    4. Inclure des objectifs pour les femmes, étant donné le déséquilibre entre les sexes dans la sélection des personnes qui suivent une formation constaté en Alberta
    5. Changer le rôle de l’employeur dans l’intention et la conception de la formation, afin que celles-ci ne soient plus menées par l’employeur, mais qu’il y contribue.
    6. Revoir l’objectif des ententes sur le Fonds canadien pour l’emploi pour que les objectifs politiques initiaux des ententes sur le marché du travail soient rétablis.
  2. Élargir l’admissibilité à l’assurance-emploi (AE)
  3. Augmenter le financement par le biais des ententes de transfert relatives au marché du travail destiné aux occasions de formation professionnelle et aux services axés sur l’emploi et la carrière afin de soutenir tous les Canadiens.
  4. Adapter la formule de répartition du financement qui alloue les transferts fédéraux à des comptes destinés à changer les taux de chômage.
  5. Le rôle des fournisseurs de services ainsi que les rôles du gouvernement et des employeurs doivent être reconnus dans les ETMT.
  6. Un bassin de financement pourrait être réservé pour soutenir les partenariats multisectoriels à l’échelle locale et servirait à faire avancer les objectifs des ententes sur le marché du travail.
  7. Mettre de côté du financement pour l’innovation dans les ententes de transfert relatives au m
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    Matthew Thompson

    Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

    Matthew Thompson

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