Le Fonds pour l'accessibilité

Vous pourriez recevoir jusqu’à 50 000 $, grâce au Fonds pour l’accessibilité du gouvernement du Canada, en vue d’aider à améliorer l’accessibilité de vos installations.

Les demandes de financement soumises au Fonds pour l’accessibilité par des entreprises et des organisations seront acceptées dans le cadre des volets portant sur l’accessibilité en milieu de travail et l’accessibilité dans les collectivités. Si votre entreprise compte moins de 100 employés ou que vous êtes un employeur du secteur communautaire, vous pourriez être admissible à un financement dans le cadre du volet portant sur l’accessibilité en milieu de travail, en vue d’aider à éliminer les obstacles à l’accessibilité au sein de votre environnement de travail, grâce :

  • à des travaux de rénovation;
  • à des travaux de construction;
  • à des travaux de réaménagement;
  • à la mise en place de technologies favorisant un milieu de travail accessible.

Présenter une demande au Fonds pour l’accessibilité

Date limite est le 26 juillet

L’installation de dispositifs d’ouverture automatique des portes, la construction d’un bureau de conception universelle, l’achat de logiciels à commande vocale ou le réaménagement des salles de toilettes en vue de les rendre accessibles ne sont là que quelques exemples des projets admissibles. L’objectif de tous les projets financés doit viser la création d’opportunités d’emplois ou le maintien en emploi de personnes handicapées.

Le gouvernement du Canada versera aux demandeurs retenus un montant équivalant à 65 % des coûts admissibles du projet, jusqu’à concurrence d’un montant maximal de 50 000 $ par projet financé.

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BILL C-286 TO ESTABLISH  A FRAMEWORK FOR THE CO-OPERATIVES SECTORLe 8 juin, Alexandra Mendès, députée fédérale pour Brossard – Saint-Lambert, a déposé le projet de loi C-286 : Loi concernant l’élaboration d’un cadre visant à promouvoir le développement des coopératives au Canada et modifiant la Loi sur le ministère de l’Industrie et d’autres lois.

Le but du projet de loi C – 286 est de prévoir l’élaboration et la mise en œuvre d’un cadre visant à promouvoir le développement des coopératives au Canada ainsi que la modification de la Loi sur le ministère de l’Industrie et d’autres lois afin d’intégrer aux mandats d’organismes et de ministères fédéraux la promotion du modèle des coopératives au Canada.

« Cette loi est la suite du travail entamé par mon collègue, l’honorable Mauril Bélanger (Ottawa-Vanier) et aux recommandations déposées par le Comité spécial sur les coopératives en 2012. Le projet de loi a pour objectif d’établir légalement l’appartenance du secteur des coopératives au ministère de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique du Canada. » a affirmé Mme Mendès.

Le projet de loi exigerait que le ministère de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique – de concert avec d’autres ministères et organismes fédéraux, les gouvernements provinciaux et territoriaux, ainsi que le secteur des coopératives – élabore et mette en œuvre un cadre visant les coopératives. Le cadre aidera à coordonner le travail du gouvernement et du secteur coopératif.

« Nous voulons promouvoir le mouvement des coopératives, contribuer à son essor et faciliter les échanges et la communication entre le gouvernement fédéral et le secteur des coopératives. Nous voulons aussi charger nos organismes de développement économique régional de souligner l’importance des coopératives dans le développement économique du Canada pour qu’ils en fassent la promotion, au même titre que les autres modèles d’affaires. » a déclaré la députée fédérale.   

Le projet de loi modifierait aussi La Loi sur le ministère de l’Industrie et les lois des organismes de développement régional en ajoutant les mots « coopératives » après les petites et moyennes entreprises.

Pour plus de renseignements :
Bureau d’Alexandra Mendès, députée fédérale

613.995.9301

Communiqué de presse

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Ministre Jean-Yves Duclos a adressé les participants et participantes d’ECONOUS2016 dans Montréal, 18 mai, 2016 (voyez le vidéo ci-dessus)

Le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, l’honorable Jean-Yves Duclos, a fourni aujourd’hui des détails additionnels concernant l’augmentation du financement alloué à la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI) qui a été annoncée dans le cadre de l’appui à l’infrastructure sociale du budget de 2016. Les investissements supplémentaires offriront aux collectivités à l’échelle du Canada la souplesse et le soutien dont elles ont besoin afin de contribuer à la prévention et à la réduction de l’itinérance.

L’une des priorités du gouvernement du Canada est de donner à l’ensemble des Canadiens l’occasion d’améliorer leur niveau de vie et de leur permettre de contribuer à la prospérité de notre société et d’en profiter. Afin de respecter cet engagement, le gouvernement reconnaît qu’il doit répondre aux besoins pressants et non satisfaits des collectivités à l’échelle du pays en ce qui concerne l’itinérance.

C’est pourquoi le gouvernement a annoncé, dans le budget de 2016, qu’il investira 111,8 millions de dollars supplémentaires en deux ans, à partir de 2016-2017, dans l’amélioration des services visant à lutter contre l’itinérance, et ce, au moyen de la SPLI. Plus de 12,5 millions de dollars de ce nouveau financement  seront consacrés au volet de financement Solutions innovantes à l’itinérance. Cette importante augmentation permettra à un large éventail d’organismes et d’intervenants d’élaborer et de mettre à l’essai des approches novatrices de prévention et de réduction de l’itinérance, en particulier parmi des populations précises de sans-abri, comme les Canadiens autochtones, les jeunes, les femmes fuyant la violence et les anciens combattants.

De plus, cet investissement permettra aux 61 collectivités désignées de profiter d’une augmentation du financement et permettra à plus de collectivités canadiennes d’avoir accès au financement de la SPLI en assouplissant davantage le volet consacré aux collectivités rurales et éloignées. Les collectivités désignées recevront plus d’information concernant l’affectation de fonds au cours des prochaines semaines.

Dans le budget de 2016, le gouvernement a également présenté un processus d’engagement à grande échelle avec les provinces et les territoires, les Autochtones et les autres collectivités, ainsi que les intervenants clés au cours de l’année à venir afin de mettre au point une stratégie nationale en matière de logement. À cette fin, le gouvernement du Canada entreprendra un vaste processus de consultation à mesure qu’il ira de l’avant avec la conception et la mise en œuvre des investissements futurs en matière de logement et de lutte contre l’itinérance.

Le ministre a en outre eu le bonheur d’annoncer que, pour faire suite au dénombrement ponctuel de 2016 des personnes sans abri ayant pris fin le 30 avril, un deuxième dénombrement ponctuel coordonné à l’échelle nationale aura lieu en 2018 afin de continuer à aider les collectivités à mesurer leurs progrès dans la lutte contre l’itinérance.

Les faits en bref

  • L’investissement de 111,8 millions de dollars visant à lutter contre l’itinérance annoncé dans le budget de 2016 est la première augmentation depuis la création de l’Initiative nationale des sans abri en 1999. 
  • Depuis le lancement de la SPLI, près de 35 000 Canadiens qui étaient sans abri ou à risque de le devenir ont bénéficié de possibilités d’apprentissage et de formation et plus de 34 000 ont reçu de l’aide pour trouver du travail. En outre, plus de 6 000 nouvelles places ont été créées dans des refuges et plus de 82 000 personnes ont été placées dans des logements plus stables.

Citation

« Chaque segment de notre société doit être traité avec dignité et respect et doit avoir l’occasion d’apporter une contribution significative. Le visage de l’itinérance évolue et nous devons nous adapter afin d’offrir le soutien adéquat aux collectivités afin qu’elles puissent développer les capacités pour aider les populations sans domicile à mener des vies satisfaisantes. C’est pour cette raison que, dans le cadre du budget de 2016, nous augmentons le financement qui permettra de répondre aux besoins des collectivités à l’échelle du pays afin de prévenir et de réduire l’itinérance et d’étudier des façons innovantes de répondre aux besoins spécifiques des populations de sans abri. » – L’honorable Jean-Yves Duclos, ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social

Liens connexes

Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance
Le budget de 2016

Renseignements 

Bureau des relations avec les médias
Emploi et Développement social Canada

819-994-5559
media at hrsdc-rhdcc.gc.ca
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CCEDNet's AGM 2015

Suite à la réussite d’ECONOUS2016, le Congrès pancanadien de DÉC à Montréal, l’assemblée générale annuelle (l’AGA) des membres du RCDÉC se tenait entièrement en ligne avec traduction simultanée le 9 juin à :

14h30 à Terre-Neuve, 14h Atlantique, 13h Est, 12h Centre, 11h Rocheuses et 10h Pacifique.


Mises en nomination et appel de résolutions

La date limite pour les mises en nomination et les résolutions était le 19 avril 2016. 
 


Les élections au conseil

Quatre candidatures valides étaient reçues afin de pourvoir à quatre postes, par conséquent les quatre candidats étaient déclarés élus.  Félicitations à Laurie Cook, Walter Hossli, Marianne Jurzyniec et Yvon Poirier.  Rencontrez nos nouveaux administrateurs.


Les documents pour l’AGA

Vous pouvez aussi consulter le règlement du RCDÉC.
 


Inscription

La date limite pour vous inscrire à l’assemblée générale annuelle était le 6 juin.  Tous les membres en règle étaient encouragés à participer. 

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

En 2017, les Canadiens et les Canadiennes de l’ensemble du pays célèbreront le 150e anniversaire de la Confédération du Canada (Canada 150), une étape importante pour notre pays. Le thème général des célébrations de Canada 150 est « Fort. Fier. Libre. », et la vision consiste à apporter sa contribution et à laisser au Canada un héritage durable qui va au-delà de 2017.

À l’occasion des célébrations pangouvernementales de Canada 150, le gouvernement du Canada a lancé le Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150, un investissement de 150 millions de dollars sur deux ans destiné aux projets visant à remettre en état l’infrastructure communautaire et culturelle au Canada. Ces projets seront représentatifs de notre histoire commune et de notre optimisme à l’égard de l’avenir, tout en constituant un héritage durable marquant les célébrations de Canada 150.

Le gouvernement du Canada double son investissement dans l’infrastructure communautaire et culturelle en fournissant 150 millions de dollars supplémentaires sur deux ans afin de rénover, d’agrandir et d’améliorer ces infrastructures dans tout le Canada, y compris les projets visant à promouvoir les priorités du gouvernement afin d’assurer un meilleur avenir aux peuples autochtones et de faire la promotion d’une économie axée sur la croissance propre au moyen du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 (PIC 150).

Dans le cadre de la célébration du 150e anniversaire de la Confédération canadienne du gouvernement fédéral en 2017, ce programme répond à la demande importante concernant les améliorations des infrastructures communautaires.

Le Programme est administré par les organismes de développement régional (ODR) à l’échelle du Canada, chacun des ODR déterminant la façon dont les fonds sont administrés dans sa région respective.

Les fonds seront administré par les 6 agences fédérales de développement régional

Colombie-Britannique | Alberta | Saskatchewan | Manitoba

Diversification de l’économie de l’Ouest Canada (DEO) investira en fournissant 46,2 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans l’Ouest canadien.

Les demandes seront acceptées à DEO jusqu’au mercredi 22 juin 2016 à 13 h, heure du Pacifique | 14 h, heure des Rocheuses | 15 h, heure du Centre

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans l’Ouest canadien, y compris des détails importants concernant l’admissibilité, les exigences relatives aux demandes et les priorités du Programme, seront affichés sur le site Web de DEO

Nord de l’Ontario

L’Initiative fédérale de développement économique pour le Nord de l’Ontario (FedNor) investira en fournissant 6,4 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Nord de l’Ontario.

Les demandes seront acceptées jusqu’à ce que tous les fonds aient été consentis, chaque année, aux projets approuvés.

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Nord de l’Ontario, y compris des détails importants concernant l’admissibilité, les exigences relatives aux demandes et les priorités du Programme, seront affichés sur le site Web de FedNor

Sud de l’Ontario

L’Agence fédérale de développement économique pour le Sud de l’Ontario (FedDev) investira 44,4 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Sud de l’Ontario.

Les demandes à FedDev sont acceptées jusqu’au 26 juin 2016 à 17 h, heure de l’Est. Il est encouragé que les demandes sont soumises rapidement.

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Sud de l’Ontario, y compris des détails importants concernant l’admissibilité, les exigences relatives aux demandes et les priorités du Programme, seront affichés sur le site Web de FedDev

Québec

Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) investira en fournissant 31,2 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Québec.

Les demandes à DEC sont acceptées jusqu’au 26 juin 2015 à 17 h, heure de l’Est.

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Québec, y compris des détails importants concernant l’admissibilité, les exigences relatives aux demandes et les priorités du Programme, seront affichés sur le site Web de DEC

Nouveau-Brunswick | Nouvelle-Écosse | Île-du-Prince-Édouard | Terre-Neuve-et-Labrador

L’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) investira en fournissant 16,6 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Canada atlantique.

Les demandes seront acceptées jusqu’à ce que tous les fonds aient été consentis, chaque année, aux projets approuvés.

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastr

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ECONOUS2016

Les communautés sont au cœur de ce que fait le RCDÉC. Ce ne devrait donc pas être une surprise que lorsque vous rassemblez 230 champions communautaires ensemble pendant trois jours, vous obteniez toute une communauté.

Organisé par la CEDEC, une membre du RCDÉC, ECONOUS2016 était le premier congrès national sur le DÉC depuis plusieurs années, il y avait donc beaucoup de rattrapage à faire, et beaucoup d’intérêt. Les participants venaient de presque chaque province et territoire (la prochaine fois, le Nunavut!) et comportaient un échantillon incroyable d’expériences. Un coup d’œil à ce que certaines des organisations représentaient vous en donne une idée.

Avant le congrès, il y a eu un immense montant de temps de préparation de consacré au design du congrès. Nous avions un excellent Comité de programme issu de divers secteurs qui a donné des conseils sur les choix d’orateurs et d’ateliers, l’appui de Michelle Holliday et Michael Jones sur des stratégies d’engagement, et une importante réunion préliminaire de leaders d’opinion a identifié les questions clés de l’événement. Le rapport de cette réunion a préparé le terrain pour ECONOUS2016, concentrant nos trois jours sur trois grandes questions :

  • Que pouvons-nous célébrer et poursuivre en DÉC?
  • Quelles occasions stratégiques s’offrent à nous présentement?
  • Quel est l’avenir du DÉC et quelle direction est nécessaire?

Rankin MacSween

Afin de commencer par le thème de la célébration, d’avoir Rankin MacSween comme conférencier d’ouverture était tout à fait naturel. Rankin est le PDG de New Dawn Enterprises à Sydney, Nouvelle-Écosse, la première organisation de développement économique communautaire du Canada, qui célèbre son 40e anniversaire cette année. C’est définitivement un jalon à célébrer! Rankin est un raconteur magistral et son allocution d’ouverture a mis l’accent sur les principes qui ont guidé New Dawn Enterprises au cours de son parcours de 40 ans : la foi, l’espoir et la liberté. Mais d’être un des leaders du DÉC au Canada ne signifie pas que c’est toujours facile. Le récit de Rankin à propos de l’expérience de mort imminente de New Dawn dans une bataille épique contre le gouvernement fédéral par rapport à un projet de développement donne à réfléchir. La survie de New Dawn et sa réussite subséquente est une leçon de persistance et de résilience.

Cette leçon est aussi appropriée pour le DÉC au Canada plus généralement. Les décennies depuis que le DÉC est arrivé au Canada ont été celles de plus petits gouvernements et d’individualisme croissant. Dans ce contexte, la portée très diverse d’innovation communautaire présentée dans les ateliers du congrès est encore plus impressionnante.

Angel Gurria

Et il est encourageant d’entendre que les plus hauts niveaux de prise de décision reconnaissent le besoin pour plus de leadership communautaire. Dans ses remarques au congrès, Angel Gurría, le Secrétaire général de l’Organisation de Coopération et de Développement Économique ne pouvait être plus clair : « La seule façon que nous pouvons faire la promotion de la croissance inclusive et durable est en travaillant avec nos communautés locales. Le développement a toujours été un processus du bas vers le haut. »

La plénière de jeudi matin a pris en considération plusieurs occasions stratégiques auxquelles le DÉC fait présentement face. Le professeur renommé de gestion à McGill, Henry Mintzberg a parlé du besoin non seulement de leadership individuel, mais de « communityship », un leadership communautaire, et de rééquilibrer la société avec un secteur « pluriel » fort. Jonathan Rosenthal de la New Economy Coalition a reconnu le besoin de retisser le tissu de nos liens humains et de guérir les blessures historiques de l’altérité. Nancy Neamtan du Chantier de l’économie sociale du Québec a accentué l’énorme potentiel de créer des entreprises communautaires ayant des orientations sociales et Laure Waridel du Centre interdisciplinaire de recherche en opérationnalisation du développement durable a suggéré que le DÉC peut aider à redéfinir la logique du développement pour une qui priorise le bien-être humain et un écosystème viable.

TEF tweet best opening panel ever

ECONOUS Panel May 20 maiLe panel de vendredi matin était un point fort pour plusieurs. Une discussion franche sur l’avenir du DÉC entre deux pionniers du domaine et trois nouvelles voix passionnées a produit un « sandwich à la crème glacée » humain lorsque la jeune entrepreneure algonquine Marie-Cécile Nottaway a remarqué un très pâle Mike Lewis assis entre elle et une Canadienne de première génération Nadia Kidwai. Les questions de diversité et d’inclusion ainsi que la langue et l’encadrement que nous utilisons pour parler du DÉC ont créé des moments très importants et sincères sur scène. Laurent Lessard, de l’entreprise sociale de logements pour étudiants UTILE a suggéré que le DÉC devrait s’affirmer comme une approche de développement avec des économies de « remontée » pour remplacer les manquements du modèle de retombées. Marie-Cécile a révélé qu’elle est en affaires pour sa famille et sa communauté et que « ça prend une communauté pour élever une entreprise ». Le panel s’est terminé avec un appel pour atteindre des publics plus variés avec le message du DÉC.

Carol Anne Hilton IndigenomicsL’allocution de Carol Anne Hilton sur #indigenomics (l’économie autochtone) était une illustration forte de comment ça se passe déjà. Une idée qui a tiré son origine d’un hashtag Twitter, Carol Anne a expliqué la logique qui a mené à sa création : parce que de nouvelles idées et un nouveau langage sont nécessaires, pour fournir une plate-forme pour comprendre, amener de nouvelles perspectives et une sensibilisation croissante. Avec des appels pour plus de responsabilités dans le développement économique et une structure légale en évolution rapide pour les peuples autochtones du Canada, #indigenomics nous rappelle le « POURQUOI » en utilisant la sagesse autochtone pour nous mener au succès économique. 

Jean-Yves Duclos - ECONOUS2016ECONOUS2016 a identifié plusieurs occasions clés pour les leaders communautaires. Deux de celles-ci ont été men

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Économie sociale: 10 millions $ pour le financement d'entreprises

La ministre de l’Économie, de la Science et de la Technologie, Dominique Anglade confirmait mardi un soutien financier de 10 millions $ au Réseau d’investissement social du Québec.

« L’économie sociale a parcouru un bon bout de chemin au Québec depuis 1996. Il lui en reste encore beaucoup à parcourir également. »

Dans le domaine de l’économie sociale, Nancy Neamtan est un chef de file. À la suite du Sommet sur l’économie et l’emploi de 1996, elle a dirigé le Chantier de l’économie sociale. Un poste qu’elle a cédé à Jean-Martin Aussant en août 2015.

« La reconnaissance de l’économie sociale est maintenant acquise. À partir de 1996, tout le monde a compris que l’économie faisait partie de notre vie de tous les jours, et ce, depuis longtemps et qu’elle constituait une partie intégrante de la structure économique du Québec », a déclaré Mme Neamtan qui participait, mardi, à une annonce de la ministre de l’Économie, de la Science et de la Technologie, Dominique Anglade.

Cette dernière confirmait un soutien financier de 10 millions $ au Réseau d’investissement social du Québec (RISQ). Des billets verts qui s’ajoutent dans la cagnotte de ce fonds de capital de risque à but non lucratif créé pour soutenir le démarrage, la consolidation, l’expansion et le redressement de coopératives et autres organismes à but non lucratif.

Nancy Neamtan se souvient d’avoir entendu, dans les débuts du RISQ, qu’il s’agissait ni plus ni moins que de l’argent tiré par les fenêtres. Des sommes prêtées à des entreprises communautaires vouées à la faillite.

La réalité est tout autre, a expliqué Mme Neamtan. « Les taux de perte dans les entreprises d’économie sociale sont inférieurs à ceux des PME et leur durée de vie dépasse celle des entreprises du secteur privé, notamment dans le cas des coopératives. Les entreprises d’économie sociale naissent de l’action collective de citoyens pour répondre à des besoins ou à des aspirations de leur milieu. Avant que ces entreprises rendent l’âme, les gens vont tout faire pour assurer leur survie. »

De l’avis de Nancy Neamtan, l’économie sociale est loin d’avoir atteint son plein potentiel, notamment parce que les instruments financiers ne correspondent pas toujours à sa réalité. 

Problème de sous-capitalisation

De là, l’importance du RISQ qui, depuis sa fondation en 1997, a injecté plus de 25 millions $ dans près de 750 projets qui ont généré des investissements totaux de près de 280 millions $. Les sous du RISQ ont notamment permis la création et le maintien de près de 7000 emplois.

« En économie sociale, le problème de sous-capitalisation est majeur », a soutenu le président du conseil d’administration du RISQ, Richard Gravel.

« Ça se traduit par la difficulté d’accéder à des outils financiers plus traditionnels qui ne sont pas adaptés et qui n’ont pas la capacité d’analyser à leur juste valeur les tenants et les aboutissants d’une entreprise d’économie sociale. »

Selon M. Gravel, les entreprises d’économie sociale n’ont cessé de démontrer « qu’elles peuvent être viables et prospères pourvu que l’on permette d’avoir un financement adapté ».

Pour la ministre Anglade, « il ne peut exister de développement économique au Québec sans développement social. L’un doit marcher main dans la main avec l’autre. »

Dans son plan d’action gouvernemental en économie sociale, Québec entend investir plus de 500 millions $ entre 2015 et 2020 pour créer et maintenir 30 000 emplois.

En un mot

L’économie sociale: L’économie sociale regroupe des entreprises dont les propriétaires sont soit les personnes qui utilisent les services, ceux qui y travaillent ou des citoyens, citoyennes. Ces entreprises vendent un produit ou un service qui répond à un besoin exprimé par la communauté ou un groupe de personnes. Les profits sont réinvestis dans l’entreprise pour améliorer les emplois ou développer de nouveaux services, par exemple. Leur priorité, c’est la personne et non l’argent à tout prix.

Originalement publié le 17 mai 2016 par le Soleil (écrit par Gilbert Leduc)

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Emploi et Développement social CanadaEmploi et Développement social Canada (EDSC) invite les organisations autochtones à soumettre leur demande pour obtenir du financement sous forme de contribution dans le cadre du Fonds pour les compétences et les partenariats (FCP), et ce, pour une période déterminée. Les propositions doivent démontrer des approches fondées sur les partenariats qui visent l’élaboration d’activités dans le cadre des volets Formation menant à l’emploi ou Innovation dans le but d’améliorer les résultats sur le plan de l’emploi pour les Autochtones.

Le Fonds pour les compétences et les partenariats est un programme axé sur la demande et fondé sur les partenariats qui appuie les priorités gouvernementales grâce à des partenariats stratégiques en finançant des projets qui contribuent au développement des compétences et à la formation des travailleurs autochtones afin qu’ils occupent des emplois valorisants à long terme.

Sessions d’information sur l’appel de propositions 2016 pour le Fonds pour les compétences et les partenariats

Participez à un des trois webinaires gratuits qui se tiendront :

  • Mardi le 7 juin de 13h à 14h30 HNE (anglais)
  • Mercredi le 8 juin de 10h à 11h30 HNE (français)
  • Mercredi le 8 juin de 13h à 14h30 HNE (anglais)

Pour vous inscrire, envoyez un courriel à ALMP-PAMT à hrsdc-rhdcc.gc.ca, en précisant la séance à laquelle vous souhaitez participer.

Résumé de l’appel de propositions

  • La durée maximale des projets est de quatre ans (48 mois).
  • Le montant total du financement demandé à EDSC ne doit pas dépasser 10 millions de dollars par projet.
  • Sous le volet Formation menant à l’emploi, les propositions recevront une contrepartie supplémentaire si au moins 50 p. 100 de la valeur totale du projet provient de partenaires (p. ex., de grandes organisations du secteur privé).
  • Comme il s’agit d’un processus concurrentiel, ce ne sont pas toutes les propositions soumises en réponse à cet appel de propositions qui seront retenues, puisque le financement est limité et assujetti aux considérations budgétaires annuelles d’EDSC et à l’affectation de fonds par le Parlement.
  • Le gouvernement du Canada se réserve le droit d’accepter une proposition en entier ou en partie et de tenir compte de facteurs comme la portée géographique et les exigences en matière de langues officielles.

Comment présenter votre demande

Vous devez présenter votre demande au plus tard le 5 juillet 2016, à 23 h 59 (HNE).

Vous êtes encourager à utiliser les Services en ligne des subventions et contributions (SELSC).

Créer un compte avec les SELSC

Vous pouvez également envoyer vos demandes par courriel à NC-SPF-FCP-GD à hrsdc-rhdcc.gc.ca ou par la poste à l’adresse ci-dessous.

Fonds pour les compétences et les partenariats – Appel de propositions de 2016
Emploi et Développement social Canada 

140 Promenade du Portage

Portage IV, 4e étage – arrêt postal 421 

Gatineau (Québec)

K1A 0J9

Plus d’information sur le Fonds pour les compétences et les partenariats

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Diplôme de 2e cycle en développement économique communautaire à l’Université ConcordiaDiplôme de 2e cycle en développement économique communautaire à l’Université Concordia

« Pour vous, pour nous, pour tout le monde »

Pour vous

Poursuivez vos études sans mettre votre vie entre parenthèses.

En suivant nos cours mensuels de fin de semaine, vous pouvez acquérir des connaissances théoriques et pratiques qui enrichiront  votre travail ou votre engagement communautaire, sans interrompre vos activités pour autant. Le programme a été adapté aux besoins de ses étudiantes et étudiants

Pour nous

Joignez-vous à une communauté qui favorise l’innovation sociale.

Étudiez à Concordia, université où diverses entreprises sociales et collectives sont déjà à l’œuvre et où les initiatives locales foisonnent. Bénéficiez d’une expérience unique d’apprentissage en groupe aux côtés de membres de la communauté, de camarades de classe, de diplômés et de professeurs. Et ce, à Montréal, une métropole dynamique, engagée sur le plan de la culture, et forte d’une tradition d’action communautaire pour le changement social, politique et économique.

Pour tout le monde

Saisissez les défis sociaux, économiques et environnementaux si complexes de notre époque, et travaillez à les relever.

Utilisez vos connaissances pour contribuer à transformer l’avenir. Formulez politiques et programmes, et façonnez institutions et communauté tout en œuvrant avec d’autres à (r)établir les liens unissant les gens à la terre. Certains de nos étudiants et étudiantes travaillent aujourd’hui au sein de mouvements de justice sociale, de groupes environnementalistes, d’organismes communautaires et d’initiatives d’économie sociale.

Ils acceptent toujours des applications pour septembre 2016

Poser votre candidature pour le Diplôme de 2e cycle en DÉC à l’Université Concordia

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Gouvernement de l'Ontario Salle de presseÀ l’occasion de la 11e conférence annuelle Discovery des Centres d’excellence de l’Ontario, la province a annoncé que le Programme des bons de l’Ontario pour l’impact social a été reconduit pour une deuxième année. Ce programme efficace, qui est administré de concert avec les Centres d’excellence de l’Ontario, octroiera 200 bons d’une valeur de jusqu’à 3 000 $ chacun à des entrepreneurs sociaux admissibles un peu partout dans la province pour qu’ils puissent suivre des programmes de formation pertinents, tels que planification des affaires ou marketing, et développer leurs activités.

L’an dernier, 125 bons ont été entièrement souscrits au cours des six mois qui ont suivi le lancement du programme, permettant aux participants de développer leurs affaires en termes de clientèle et de partenariats grâce à des programmes de formation utiles. Les participants au programme pilote comprennent des entreprises sociales de divers secteurs comme la santé, les technologies propres, les médias numériques et la technologie de l’information et des communications, et la fabrication de pointe.

L’Ontario annonce également le nom des lauréates et lauréats du concours Jeunes entrepreneurs, faites votre présentation d’affaires. Six entrepreneurs prometteurs auront le droit de participer au programme Entreprise d’été, qui offre des séances de mentorat et un financement.

Créer des possibilités pour les jeunes entrepreneurs et aider les nouvelles entreprises à réussir s’inscrit dans le plan économique du gouvernement, qui vise à favoriser l’essor de l’Ontario et à concrétiser sa priorité, à savoir stimuler l’économie et créer des emplois. 

Les organismes prestataires qui souhaitent présenter une demande à cet égard pourront le faire entre le 9 mai 2016 et le 13 juin 2016.

Les entrepreneurs et entreprises sociales qui souhaitent présenter une demande pourront le faire entre le 29 août 2016 et le 31 juillet 2017.

POUR EN SAVOIR DAVANTAGE

SOURCE: Ministère du Développement économique, de l’Emploi et de l’Infrastructure

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The Financial and Consumer Services Commission

La Commission des services financiers et des services aux consommateurs (FCNB) est heureuse de présenter plusieurs ateliers gratuits qui permettront aux participants d’en apprendre davantage sur les nouvelles règles relatives aux corporations de développement économique communautaire, en collaboration avec le ministère des Finances et le Co-operative Enterprise Council. Ces ateliers informatifs s’adressent aux avocats, propriétaires d’entreprise, coopératives, comptables, entrepreneurs, entreprises sociales et professionnels dans le domaine du développement économique.

Pleines voiles est le nom de la principale initiative de la FCNB en matière de développement des marchés financiers. Grâce à Pleines voiles, la FCNB stimule et soutient le développement des marchés financiers du Nouveau-Brunswick :

  • en menant constamment des recherches et des consultations sur les enjeux qui touchent les marchés financiers;  
  • en étant au service des émetteurs et des marchés du Nouveau-Brunswick;  
  • en faisant évoluer la situation de l’entrepreneuriat par des activités éducatives et en favorisant l’amélioration de l’infrastructure des marchés financiers;  
  • en offrant des conseils crédibles et éclairés aux décideurs et aux responsables de l’élaboration des programmes;  
  • en faisant valoir les intérêts des émetteurs et des marchés auprès des intervenants;
  • en dialoguant avec les principaux intervenants pour faire progresser des dossiers d’intérêt commun dans une perspective commune.

Cliquez-ici pour en savoir plus sur comment prévoir un atelier à l’intention de votre groupe.

Inscrire à Inscrire à Apprendre les rouages financiers : Les Corporations de développement économique communautaire

Les temps et lieux d’ateliers de Pleines-voiles :

Moncton
Organisé par le Centre Venn
le mardi 24 mai 2016
de 9 h à 11 h

Sackville
le mardi 24 mai 2016
de 13 h à 15 h

Saint John
Organisé par Connexionworks
le mercredi 25 mai 2016
de 9 h à 11 h

Sussex
le mercredi 25 mai 2016
de 13 h à 15 h

Fredericton
Organisé par Planet Hatch
le mardi 31 mai 2016
de 9 h à 11 h

SOURCE: Commission des services financiers et des services aux consommateurs

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Prosperité CanadaProspérité Canada lance un appel de demandes auprès d’organismes à but non lucratif ou de bienfaisance pour faire partie du nouveau Projet des champions de l’autonomisation financière.

Prospérité Canada établira des partenariats avec cinq organismes au pays afin d’améliorer le bien-être financier de plus d’un million de Canadiennes et de Canadiens qui vivent avec de faibles revenus.

Un financement de projet allant jusqu’à 150 000 $ annuellement sera distribué sur une période de 4,5 années à chacun des organismes pour les aider à mettre en œuvre un ensemble de cinq interventions en matière d’autonomisation financière et d’en accroître la portée. Tout au long du projet, les organismes seront désignés comme étant des champions de l’autonomisation financière (CAF). 

Cet appel de demandes s’adresse essentiellement aux organismes à but non lucratif ou de bienfaisance qui :

  • œuvrent en milieu urbain;
  • offrent actuellement des interventions en matière d’autonomisation financière à des personnes qui vivent avec de faibles revenus;
  • sont des évaluateurs proactifs de leurs programmes. 

Veuillez cliquer sur les liens ci-dessous pour consulter les renseignements concernant le projet, ainsi que les critères et lignes directrices pour la présentation d’une demande. Si vous croyez qu’il s’agit d’une occasion favorable pour votre organisme, veuillez remplir le formulaire de demande en ligne et soumettre tous les documents pertinents avant le jeudi 30 juin 2016, 17 h (HAE). 

Participez à une séance d’information par webinaire

Trois webinaires d’information auront lieu à l’intention des organismes afin que des questions puissent être posées concernant le processus de demande. Veuillez consulter la documentation de l’appel de demandes et inscrivez-vous à l’une des séances suivantes: 

SOURCE : Prosperité Canada

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