Chaque année, les membres du RCDÉC sont appelés à soumettre des candidatures pour les sièges vacants du conseil d’administration du RCDÉC. Cette année, il y avait quatre sièges à pourvoir.

Quatre nominations ont été proposées avant la date limite. Le directeur des élections annonce que les quatre personnes suivantes ont été élues par acclamation :

Ces résultats seront adoptés lors de l’assemblée générale annuelle des membres du RCDÉC le 9 juin.

Félicitations à ces chefs de file hors pair du DÉC du Canada qui se joignent aux membres dévoués du conseil d’administration du RCDÉC.
 


Laurie Cook

Laurie Cook est responsable du Community Sector Council of Nova Scotia et chef de projet de l’initiative des pôles de rencontre de Centraide Halifax. L’année dernière, elle s’occupait à titre bénévole de la liaison avec les membres pour le RCDÉC de la région atlantique. Elle se passionne pour le développement communautaire, un secteur dans lequel elle travaille depuis de nombreuses années à titre de facilitatrice et de développeuse communautaire. Laurie habite Musquodoboit Harbour, la région rurale de la ville. En 2006, elle a présidé un processus d’établissement d’une vision communautaire qui a mené à plusieurs initiatives communautaires qu’elle a également cofondées : réaménagement d’une vieille école, conception d’un service de transport coopératif rural, développement d’un nouvel organisme de femmes pour l’autonomisation économique des femmes, cocréation d’un groupe de soutien par les pairs Eastern Shore Mental Health.


Walter Hossli

Walter Hossli est un leader du secteur communautaire depuis ces 25 dernières années. Il est le fondateur et le directeur émérite de Momentum, un organisme de développement économique communautaire (DÉC) qui s’associe à des personnes à faible revenu dans le but d’augmenter leur prospérité. Organisme primé, Momentum offre 20 programmes, travaille avec 4 000 participants par année et est considéré comme un leader parmi les organismes de bienfaisance de Calgary. Après 15 ans dans le secteur privé, Walter a effectué des études en travail social avant de rejoindre le secteur communautaire. Il est membre du conseil d’administration de la Calgary Foundation depuis 2010. Il a écrit « Competition in the Voluntary Sector: the Case of Community Based Trainers in Alberta » publié par la Muttart Foundation.


Marianne Jurzyniec

Marianne Jurzyniec est actuellement directrice des services financiers de Affinity Credit Union à Regina en Saskatchewan. Elle complète le programme en études de la justice à l’Université de Regina et envisage de faire une maîtrise en administration des affaires spécialisée en développement économique communautaire afin de parfaire sa carrière professionnelle dans ce domaine. En 2011, Marianne est devenue membre du comité permanent des nouveaux leaders du Réseau canadien de développement économique communautaire et a rencontré des personnes qui partagent des objectifs similaires aux siens. Toutes ces activités lui ont permis de découvrir une passion pour les coopératives et sa communauté. Elle a vécu en milieu rural et urbain. Elle a pu donc constater la différence de fonctionnement des coopératives dans ces deux environnements ce qui l’a incité à chercher des moyens de réunir ces deux aspects.


Yvon Poirier

Yvon Poirier est membre du depuis 2003, d’abord comme membre individuel, et depuis plus de 5 ans, en tant que représentant de la CDÉC de Québec. Il est membre du Conseil d’administration depuis décembre 2012 et est secrétaire du Conseil d’administration depuis juin 2013. Il est membre du Comité de gouvernance depuis 2006 et il a été au cœur des modifications apportés au Règlements généraux en 2007. Il a aidé à la mise en place des élections en ligne et il a été Président d’élections à plusieurs reprises.

Yvon Poirier est impliqué dans le travail international du RCDÉC depuis 2004. Depuis 2013 il est membre du Conseil d’administration du Réseau intercontinental de promotion de l’économie sociale solidaire (RIPESS), organisation dont le RCDÉC est membre depuis 2002. Par le biais du RIPESS, il a été impliqué dans le processus de l’adoption des Objectifs de développement de l’ONU pour la période 2015-2030.

Share

Baromètre de l'achat responsable 2016Espace québécois de concertation sur les pratiques d’approvisionnement responsable (ECPAR), un organisme à but non lucratif basé à Montréal, Québec, encourage et soutient des entreprises, des gouvernements, et des institutions dans l’achat responsable.

ECPAR est en train d’engager les entreprises et les institutions gouvernementales à travers le Canada pour participer à leur étude Baromètre de l’achat responsable 2016. Répondre au questionnaire vous demandera de 30 à 45 minutes. Participer à cette étude (vous demandera de 30 à 45 minutes) vous donne accès à une fiche personnalisée situant votre performance quant aux cinq (5) composantes de l’achat responsable, de même que votre positionnement sur le marché.    

Au Québec, 66% des répondants au sondage 2012 avaient des pratiques d’achat responsable qui inclut des critères socio-environnementaux. Qu’est-ce que la situation ressemble dans le contexte canadien aujourd’hui?

Le Baromètre de l’achat responsable mesure et rend compte des pratiques et avancées en matière d’achat responsable au Canada.

La date limite pour participer est le 29 avril

Pourquoi participer ?

Participer à cette étude vous donne accès à une fiche personnalisée situant votre performance quant aux cinq (5) composantes de l’achat responsable, de même que votre positionnement sur le marché.

Qui doit participer ?

Les entreprises et organismes publics dont le volume d’achat est de 50 millions $ et plus. 

Le questionnaire doit être rempli par les responsables achats, de concert, si nécessaire, avec les équipes développement durable / environnement et celles qui conçoivent les devis techniques. Merci de le transmettre à qui de droit si nécessaire. 

Comment participer ?

Tout simplement, remplissez le questionnaire en ligne avant le 29 avril.

L’Espace québécois de concertation sur les pratiques d’approvisionnement responsable (ECPAR) réalise l’édition 2016 du Baromètre en collaboration avec la Chaire de recherche Marcelle-Mallet et le Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services (CIRAIG).

Share

Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Budget 2016 : Assurer la croissance de la classe moyenneLe budget 2016 a été déposé aujourd’hui à la Chambre des communes. À l’occasion des consultations prébudgétaires, le RCDÉC ainsi que plusieurs membres et partenaires avaient formulé des recommandations publiées sur notre site Web.

Il semble que ce budget contienne des mesures positives et prévoie des investissements visant à réduire la pauvreté et les inégalités, à améliorer l’accessibilité au logement abordable, à réduire l’itinérance et à investir dans les Premières Nations. Pourtant, il rate l’occasion de renforcer le rôle que le leadership communautaire peut jouer pour soutenir ces investissements. Le budget ne fait aucune mention du développement économique communautaire, des entreprises sociales, des coopératives, de la finance sociale, de l’investissement d’impact, de l’approvisionnement social, des Sociétés d’aide au développement des collectivités/Corporations au bénéfice du développement communautaire et des ententes sur les avantages communautaires.

Mesures budgétaires positives

Le budget contient des mesures potentiellement positives en matière d’énergie renouvelable et de vitalité rurale (les numéros de pages renvoient à la version française du budget en format PDF).

  • Il propose de verser 128,8 millions de dollars sur cinq ans à Ressources naturelles Canada afin de mettre en place des politiques et des programmes axés sur l’efficacité énergétique. Il propose aussi d’accorder 10,7 millions de dollars sur deux ans à Affaires autochtones et du Nord Canada afin de mettre en œuvre des projets d’énergie renouvelable dans les collectivités autochtones et nordiques hors réseau. Les Premières Nations bénéficieront aussi de nouveaux fonds qui seront consacrés au Fonds d’infrastructure pour les Premières Nations qui soutiendra une gamme d’investissements dans l’infrastructure communautaire, y compris les systèmes énergétiques. Ceci pourrait être une occasion importante pour les membres du RCDÉC tels que Aki Energy, une entreprise des Premières Nations travaillant dans le domaine de l’énergie renouvelable communautaire.
  • Les collectivités rurales sont seulement mentionnées en ce qui a trait à l’accès à des connexions à large bande meilleures et plus fiables (p. 117).

Opportunités politiques en cours

En dépit du fait que le budget ne prévoit pas de nouveaux investissements, un certain nombre d’opportunités politiques importantes sont mises en oeuvre au niveau fédéral :

Enfin, il convient de noter l’augmentation prévue des investissements du gouvernement fédéral dans le transport en commun, l’infrastructure verte et l’infrastructure sociale au cours des 10 prochaines années (p. 96 du document). Même si le budget de cette année ne contient pas de mesures destinées aux infrastructures de la finance sociale, des avantages pour la communauté ou de l’approvisionnement social, étant donné l’ampleur et l’échéancier de ces futurs investissements, il est d’autant important pour nous de les influencer.

Ci-dessous quelques réactions de membres et partenaires du RCDÉC

Share

Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Planifier un avenir durableLe ministère Environnement et Changement climatique Canada procède actuellement à une consultation publique sur la Stratégie fédérale de développement durable (SFDD).

Ayant participé au processus de la société civile concernant les Objectifs de développement durable Post-2015, et ayant été présent à l’ONU lors de l’adoption des Objectifs, il est apparu qu’il était nécessaire de formuler les commentaires suivants pour cette consultation.

Message envoyé le 8 mars

Il est fort difficile d’apprécier ce qui est proposé comme nouvelle Stratégie fédérale de développement durable.

En particulier parce que cette stratégie ne touche que quelques aspects des ODD 2030. On ne cesse de répéter, et le document Vers 2030 de l’ONU l’affirme haut et fort, qu’il faut voir les 17 Objectifs comme un tout. Il faut avoir une approche holistique, car tout est inter relié.

Par exemple, comment améliorer la Santé, bien-être et qualité de vie des humains sans parler de lutte à la pauvreté ? Sans parler de logements décents, de soins de santé et de services sociaux adéquats, notamment pour les plus vulnérables comme les personnes âgées ou avec des handicaps.

L’approche de la situation des peuples autochtones est bizarre. Oui, il faut de l’eau potable, mais il faut également des niveaux de vie adéquats, la lutte contre les discriminations, etc.

En somme, il nous faut un plan global.

Yvon Poirier à l’ONU lors de l’adoption de l’Agenda 2030

Yvon Poirier (en haut à droite, derrière Madani Koumaré du RENAPESS) à l’ONU lors de l’adoption de l’agenda 2030

J’étais personnellement présent à l’ONU lors de l’adoption de l’Agenda 2030. J’y étais avec une ONG internationale.  À l’époque, c’était toujours avec un gouvernement Conservateur qui, non seulement n’y croyait pas, mais tentait de saboter. D’ailleurs au mois d’août, la délégation canadienne faisait inscrire dans le cahier des débats que le Canada ne reconnaissait pas le Droit au développement des peuples autochtones et que les lois du Canada avaient préséance.

Maintenant que nous avons un gouvernement nettement plus progressiste sur ces questions, il est important qu’il implique la population du Canada dans la construction d’une stratégie afin d’atteindre l’ensemble des Objectifs, qui sont universels.

L’invitation est lancé de participer à cette consultation.


Yvon PoirierYvon Poirier est Secrétaire du Conseil d’administration du Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) et Président du Comité international.

Il est également membre du Conseil d’administration du Réseau intercontinental de promotion de l’économie sociale solidaire (RIPESS).  À ce titre, il participe à diverses activités du réseau dont la participation dans le Groupe de travail inter-institutions de l’ONU sur l’ESS (Économie sociale solidaire). Récemment, il participait, en tant que délégué du RIPESS  dans le groupe des Organisations de la société civile (OSC), à l’Assemblée générale de l’ONU qui adoptait les Objectifs de développement durable (ODD) pour la période 2015 à 2030.  Il accompagnait son collègue du Mali qui avait été sélectionné comme orateur dans un dialogue interactif pendant le l’Assemblée générale.

Pendant ses années dans l’enseignement et le syndicalisme, il s’est continuellement impliqué dans les mouvements sociaux, notamment au niveau du développement local et le développement économique communautaire. Ainsi, il était président de la Corporation de développement économique communauté (CDÉC) lors de la fondation en 1993-1994. 
Il est impliqué dans le RIPESS depuis 2004 et il a écrit divers documents portant sur l’origine des concepts en ESS et sur le rôle des syndicats québécois en ESS.  Il a participé à plusieurs forums Sociaux Mondiaux et à diverses rencontres des membres du RIPESS, et ce notamment en Asie. 

Share

Mobilisons Local Mobilisons Local est une plateforme Web qui combine le bénévolat 2.0, la cocréation et le sociofinancement pour développer des projets de quartiers.

Elle est une tribune de rencontre entre les citoyens, les professionnels, les entreprises qui veulent s’impliquer concrètement dans leur communauté et des porteurs de projets (organismes, tables de quartiers, entreprises d’économie sociale, commerces locaux, etc) qui visent l’amélioration des conditions de vie dans leurs quartiers.

Mobilisons Local offre des occasions concrètes aux citoyens engagés de faire la différence dans leur communauté en s’impliquant dans des projets qui leur tiennent à cœur. Les types d’implication sont multiples et variées en fonction des moyens de chaque citoyen. Ils peuvent prendre la forme d’offre d’expertises bénévoles, de dons en nature et de financement participatif pour aider à la réalisation de projets locaux.

Visiter le site web de Mobilisons Local

Les retombées socioéconomiques attendues de Mobilisons Local

Retombées générales

  • Améliorer la participation et l’engagement des citoyens 
  • Améliorer la collaboration et les échanges entre les acteurs locaux et la cohésion sociale dans les quartiers; 
  • Améliorer le sentiment d’appartenance dans les quartiers 
  • Contribuer au développement local et à l’amélioration de la qualité de vie dans les quartiers 
  • Mettre en valeur des expertises locales et les secteurs d’activités distinctifs des territoires.

Retombées pour les entrepreneurs sociaux et privés

  • Accéder à une plateforme foisonnante en à idées et en opportunités
  • Tester leurs propres idées d’affaires (étude de marché) 
  • Accéder à une première base de clients engagés 
  • Accéder à un réseau d’acteurs mobilisés et prêts à supporter des entrepreneurs 
  • Accéder à des experts et à des ressources en entrepreneuriat 
  • Accéder à du financement libre de toute garantie 
  • Contribuer au développement de leur localité

Retombées pour les organismes communautaires

  • Accéder à un financement alternatif approprié pour les projets communautaires.
  • Augmentation de la visibilité, 
  • Pouvoir d’influence accru : aider les promoteurs à bien identifier les besoins locaux 
  • Développement des partenariats avec les autres acteurs économiques

Connectez-vous à Mobilisons Local et découvrez des projets près de chez vous. Inscrivez-vous avant le 31 mars 2016 et courrez la chance de gagner une tablette Samsung ou des t-shirts «J’aime mon quartier».

Share

2016 Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéralL’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral (ABGF) de 2016 dévoilée aujourd’hui par le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA) prévoit un déficit fédéral de 29,2 milliards de dollars en 20162017, compte tenu des mesures du programme libéral. Elle présente aussi un plan directeur démontrant comment le gouvernement pourrait accepter un déficit de 37,9 milliards de dollars tout en maintenant le ratio de la dette-au-PIB du Canada.

Cette année, l’ABGF prévoit des mesures pour appuyer le développement économique communautaire, dont : 

  • la création d’une Agence nationale de développement communautaire ;
  • l’élaboation d’une stratégie d’achat comportant une pondération de la valeur sociale et environnementale dans tous les achats municipaux et propose que tous les contrats de plus de 500 000 $ comportent une disposition relative aux retombées communautaires ;
  • un fonds fédéral de revitalisation des quartiers d’un valeur de 500 millions de dollars sur cinq ans

L’ABGF, qui en est à sa 21e année, réunit des économistes canadiens de premier plan et des spécialistes sectoriels pour produire un plan économique progressiste détaillé qui prévoit aussi les moyens de le payer. Les mesures proposées dans l’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral sortirait 1,1 million de Canadiens de la pauvreté, réduiraient l’inégalité des revenus, propulseraient la croissance économique et, à leur point culminant, auraient créé 520 000 nouveaux emplois, ce qui ramènera à 6 % le taux de chômage du Canada.

« Il ne faut pas laisser le concept des déficits fédéraux, même relativement importants, nous effrayer et nous empêcher d’effectuer des investissements des plus nécessaires au Canada. Chaque dollar d’un déficit fédéral représente un dollar de surplus pour les provinces, les familles et les entreprises du Canada », affirme David Macdonald, économiste principal.

Telecharger l’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral (ABGF) de 2016

« L’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral illustre comment des dépenses bien structurées font plus que compenser tout endettement supplémentaire en renforçant l’économie. » L’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral hausse la barre de la transparence en illustrant les effets distributionnels qu’ont sur les familles canadiennes les changements proposés aux niveaux de la fiscalité, des transferts et des dépenses de programme − ce qu’aucun budget public, fédéral ou provincial, n’a jamais fait.

L’ABGF met aussi l’accent sur des politiques visant à lutter contre l’inégalité des revenus — et non à l’aggraver. La tranche inférieure de 90 % des familles (qui gagnent moins de 165 000 $ par année) profiterait d’un avantage net découlant des mesures de l’ABGF qui ont trait aux dépenses de programme, à la fiscalité et aux mesures de transfert, tandis que la tranche supérieure de 5 % des personnes salariées verraient leurs impôts augmenter d’environ 2,6 % sur leur revenu moyen.

« La capacité ou l’imagination du Canada n’affiche aucun déficit, affirme Kate McInturff, chercheuse principale du CCPA. Il y a plus que suffisamment de marge de manoeuvre budgétaire pour garantir un meilleur avenir à tous. Ce qu’il nous faut maintenant, c’est une croissance qui hausse le niveau de vie général au lieu de gonfler l’épargne de quelques nantis. »

Le plan de l’ABGF :

  • impose une taxe nationale sur le carbone de 30 $ la tonne et un remboursement pour les familles à faible revenu;
  • favorise une population active très qualifiée en éliminant les frais de scolarité dans les universités;
  • s’attaque à la crise du logement, de l’eau potable et de l’éducation qui sévit en permanence dans les Premières Nations;
  • adopte un plan fédéral détaillé de lutte contre la pauvreté qui réduit celleci de moitié chez les aînés et du quart chez les enfants;
  • intègre les soins de longue durée, les soins à domicile et l’assurance-médicaments dans le système de santé financé par le secteur public du Canada;
  • répare nos villes en affectant 7 milliards de dollars au renouvellement des infrastructures municipales;
  • répond aux besoins des familles d’aujourd’hui en investissant dans des services de garde à l’enfance abordables et améliorant le congé parental

« On reconnaît généralement qu’un déficit important s’impose au Canada. L’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral prouve que nous pouvons lutter contre les changements climatiques tout en créant des emplois et démontre comment réduire la pauvreté par une croissance économique responsable », déclare M. Macdonald.


Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral 2016 : C’est le temps d’agir est disponible sur le site Web du CCPA : http://policyalternatives/abgf2016

Pour en savoir davantage, communiquer avec Kerri-Anne Finn, directrice des Communications, Centre canadien de politiques alternatives, au 613 563-1341, poste 306, ou au 613 266-9491.

Share

Voilà l’occasion privilégiée d’obtenir une aide financière non remboursable grâce au Programme d’immobilisation en entrepreneuriat collectif (PIEC) pour les entreprises d’économie sociale souhaitant :

  • rénover;
  • construire; ou
  • acquérir;

un bâtiment pour le développement de leurs affaires et de leur offre de service.

Le PIEC constitue l’une des mesures phares du  Plan d’action gouvernemental en économie sociale (2015-2020), rendu public  en mai 2015. Il dispose d’une enveloppe globale de 20 millions de dollars, répartie sur cinq ans.

Objectifs

Soutenir les entreprises d’économie sociale dans leurs projets immobiliers pour : 

  • favoriser leur développement;
  • stimuler la vitalité socioéconomique des territoires où elles sont situées;
  • accroître la qualité de leur environnement au moyen de pratiques écoresponsables.

Clientèle visée

Les entreprises d’économie sociale ayant des projets d’acquisition, de rénovation ou de construction d’un bâtiment. Les entreprises admissibles sont :

  • les organismes à but non lucratif; et
  • les coopératives;

​telles que définies dans la Loi sur l’économie sociale (RLRQ, chapitre E-1.1.1).

Projets admissibles

Le projet doit  être lié à la mission d’une entreprise d’économie sociale admissible et doit respecter au moins l’un des critères suivants : 

  • faire partie d’un plan d’expansion;
  • faire partie d’un plan de développement de l’offre de services; ou
  • être nécessaire au maintien des activités.

De plus, l’entreprise doit démontrer que le projet est nécessaire :

  • à son développement entrepreneurial;
  • à l’accomplissement de sa mission collective.

L’entreprise doit également démontrer :

  • que 50 % de ses revenus annuels totaux proviennent d’autofinancement;
  • que toutes les autres sources de financement connues ne peuvent compléter le montage financier nécessaire.

Les projets admissibles se divisent en trois volets :

  • Volet rénovation : la réfection, l’amélioration, la restauration ou l’agrandissement d’un bâtiment servant à la production ainsi qu’à la vente ou à la desserte de biens et de services.
  • Volet construction : la construction, le recyclage ou la reconstruction d’un bâtiment servant à la production ainsi qu’à la vente ou à la desserte de biens et de services.
  • Volet acquisition : l’acquisition d’un bâtiment servant à la production ainsi qu’à la vente ou à la desserte de biens et de services.

Appel de projets

Les entreprises d’économie sociale intéressées par le PIEC doivent préalablement remplir le formulaire d’admissibilité.

Si elles sont admissibles à ce programme, elles recevront un lien leur permettant d’accéder au formulaire de demande d’aide financière.

Période

Du 1er au 31 mars 2016 inclusivement.

Documents

Comité national de sélection

Composé de représentants du Ministère et d’Investissement Québec, ce comité sélectionne les projets qui seront retenus pour financement, selon les priorités gouvernementales en matière de création et de maintien d’emplois, ainsi que de développement économique.

Communiqué

Programme d’immobilisation en entrepreneuriat collectif – La ministre Anglade annonce un premier appel de projets et confirme l’enveloppe de 20 millions de dollars

Pour plus d’information

Communiquez avec la direction régionale du Ministère de votre territoire.

SOURCE: Ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation

Share

L’assemblée générale annuelle (A.G.A.) du Réseau canadien de DÉC aura lieu le 9 juin 2016 à 13h HE (14h30 Terre-Neuve, 14h Atlantique, 13h Est, 12h Centre, 11h Rocheuses, 10h Pacifique) en ligne. 


MISES EN NOMINATION 2016

Les mises en nomination sont ouvertes pour quatre postes au Conseil d’administration du RCDÉC. Toute membre du RCDÉC désirant investir ses énergies et visions dans le mouvement de DÉC du Canada est vivement encouragée à soumettre une candidature. Les mises en nomination doivent être soumises au plus tard le 19 avril 2016.

Pour plus d’information : Mises en nomination 2016 (en pdf et Word)


APPEL DE RÉSOLUTIONS 2016

Toutes les résolutions doivent être transmises au RCDÉC par courriel au plus tard le 19 avril à 17 h (heure de l’Est).

Toutes les personnes ayant parrainé des résolutions seront contactées au plus tard le 26 avril. Ces personnes seront alors avisées que leur résolution sera présentée au cours de l’A.G.A., ou que leur résolution a été rejetée, car elle ne respectait pas les exigences requises.

Pour plus d’information : Appel de résolutions 2016

Share

L’assemblée générale annuelle (A.G.A.) du Réseau canadien de DÉC aura lieu le 9 juin 2016 à 13h HE (14h30 Terre-Neuve, 14h Atlantique, 13h Est, 12h Centre, 11h Rocheuses, 10h Pacifique) en ligne. 


MISES EN NOMINATION 2016

Les mises en nomination sont ouvertes pour quatre postes au Conseil d’administration du RCDÉC. Toute membre du RCDÉC désirant investir ses énergies et visions dans le mouvement de DÉC du Canada est vivement encouragée à soumettre une candidature. Les mises en nomination doivent être soumises au plus tard le 19 avril 2016.

Pour plus d’information : Mises en nomination 2016 (en pdf et Word)


APPEL DE RÉSOLUTIONS 2016

Toutes les résolutions doivent être transmises au RCDÉC par courriel au plus tard le 19 avril à 17 h (heure de l’Est).

Toutes les personnes ayant parrainé des résolutions seront contactées au plus tard le 26 avril. Ces personnes seront alors avisées que leur résolution sera présentée au cours de l’A.G.A., ou que leur résolution a été rejetée, car elle ne respectait pas les exigences requises.

Pour plus d’information : Appel de résolutions 2016

Share

Lors de sa dernière rencontre, le conseil d’administration du RCDÉC a appuyé la campagne Our Power, qui encourage les approches communautaires en matière d’énergie renouvelable.

Our Power, une initiative de la TREC Renewable Energy Co-operative, est une voix pour les personnes et les organismes qui croient et sont impliqués dans des projets d’énergie renouvelable au Canada et dans le monde.

L’automne dernier, le conseil d’administration du RCDÉC a défini la justice climatique et l’énergie renouvelable communautaire comme des priorités clés du Réseau, faisant ainsi le lien entre la force entrepreneuriale et le souci d’équité du développement économique communautaire et la nécessité de réaliser une transition vers une économie à faibles émissions de carbone. 

Là où il existe un environnement politique favorable et les incitatifs adéquats, les projets communautaires d’énergie renouvelable ont des impacts économiques importants, générant des actifs et des avantages pour les collectivités.

Les recommandations relatives à l’énergie renouvelable communautaire font partie du dernier mémoire du RCDÉC présenté lors des consultations prébudgétaires.

Pour en savoir plus et se joindre à la campagne Our Power, visitez le site Web.

En savoir plus :

Share

Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Le député de Toronto, Ahmed Hussen, a déposé un projet de loi d’initiative parlementaire qui permettrait au gouvernement fédéral avant d’attribuer un marché pour la construction, l’entretien ou la réparation d’ouvrages publics, d’immeubles ou de biens fédéraux, d’exiger que les soumissionnaires fournissent des renseignements sur les retombées locales que généreront les travaux.

Ce projet de loi définit les avantages pour les communautés comme étant « des retombées sociales et économiques générées à l’échelle locale par des travaux de construction, d’entretien ou de réparation, notamment la création d’emplois et les possibilités de formation, l’amélioration de l’espace public et toute autre retombée précisée par la population locale ».

Inclure les ententes sur les avantages pour les communautés dans les investissements dans les infrastructures sociales prévus par le gouvernement fédéral faisait partie des recommandations présentées le mois dernier par Michael Toye, directeur général du Réseau canadien de DÉC lors des consultations prébudgétaires.

Consultez le texte de loi et suivez les développements du projet de loi

Lectures supplémentaires

Ressources supplémentaires

Share

Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Condition féminine Canada invite les organismes à lui proposer des projets afin d’accroître la participation des femmes à la vie démocratique et publique.

Le nouvel appel de propositions – Soutenir l’autonomie des femmes – est divisé en deux volets :

Dans le premier volet : 

  • Outiller les femmes autochtones pour renforcer les communautés

Le deuxième volet comportera deux thèmes distincts. Les projets du premier thème :

  • Outiller les femmes pour la vie politique
  • Outiller les femmes pour l’action communautaire 

Une session d’information PORTANT SUR LE DEUXIÈME VOLET sera offerte le 15 mars 2016 à 9 h 30 (heure de l’Est).

Voici l’ information pour participer
1-877-413-4790

Identifiant : 3640924

Si vous n’êtes pas en mesure d’y participer, veuillez nous en informer par courriel  à :  anne.gauthier à cfc-swc.gc.ca

Share