Canada-Wide Social Enterprise Sector Survey

En 2014 et 2015, l’enquête sur le secteur des entreprises sociales a recueilli des données d’entreprises sociales à but non-lucratif dans toutes les provinces et territoires du Canada (à l’exception du Québec, où le Comité sectoriel de la main d’oeuvre de l’économie sociale et l’action communautaire a mené une enquête sur le secteur).

En 2013 et 2014, les 1 350 entreprises sociales à travers le Canada qui ont répondu à l’enquête ont rapporté 1,19 milliards $ du chiffre d’affaires, dont plus de 828 millions $ provenant de ventes. Ils ont payé 442 millions $ en salaires à 29 200 employés, dont 80% étaient des employés d’une mission ciblée. Les entreprises sociales à travers le Canada ont également formé 116 000 personnes, ont fourni des services à plus de 5 480 000 personnes, et impliqué 116 000 bénévoles.

Le rapport complet sur cet enquête sera publié le 18 mai lors du Congrès ECONOUS2016 à Montréal, et lors de la conférence 2016 de l’Association de recherche sur les organismes sans but lucratif et de l’économie sociale (ANSER-ARES) à Calgary du 1er au 3 juin.

Source: Social Enterprise Sector Survey

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Canada's ParliamentLe Comité politique du Réseau canadien de DÉC a soumis une réponse à l’invitation du gouvernement fédéral de recevoir des soumissions prébudgétaires pour le budget fédéral de 2016 et le directeur général, Michael Toye l’a présentée au Comité permanent des finances. La soumission est centrée sur les façons que le gouvernement peut mettre en œuvre les mesures qu’il s’est déjà engagé à entreprendre pendant l’élection et dans les lettres de mandat ministérielles; des façons qui maximiseront leur succès et leur valeur pour les communautés.

Lisez toute la soumission prébudgétaire

Regardez la présentation de Michael Toye

Si vous avez aussi soumis un mémoire, nous serions ravis de l’inclure plus bas…
Veuillez envoyer votre soumission prébudgétaire à Matthew Thompson à mthompson at ccednet-rcdec.ca.

Nos recommandations pour le budget fédéral de 2016 :

1. Infrastructure sociale :
a.  inclure un fonds de financement social et un programme de subventions d’infrastructures sociales qui pourraient tirer profit d’investissements privés et fournir des capitaux de contrepartie pour des projets durables d’infrastructures sociales;
b.  inclure une composante de pointage d’impact social à tous les contrats d’infrastructure et aux récipiendaires;
c.  inclure des ententes de bénéfice communautaire, en s’appuyant sur la Loi 6 de l’Ontario.
2. Énergies renouvelables communautaires :
a.  les investissements en nouvelles infrastructures devraient inclure des critères qui priorisent le financement de projets d’énergie propre pour les communautés vulnérables aux changements climatiques;
b.  du financement devrait être disponible et abordable pour les communautés et les promoteurs de projets à travers la Banque de l’infrastructure du Canada (BIC), incluant des garanties fédérales de prêts afin d’appuyer les investissements privés.
3. Accès aux programmes pour PME pour les entreprises communautaires :
a.  que les entreprises sociales, les OSBL, et les coopératives aient accès aux mesures fiscales et de réglementation existantes ainsi qu’aux programmes de développement des affaires qui sont actuellement disponibles pour les petites et moyennes entreprises par des efforts de conscientisation des représentants du gouvernement afin de s’assurer de conditions équitables pour les modes alternatifs d’incorporation.
4. Partenariats pour la mise en œuvre :
a.  Une table ronde qui rassemble des représentants de la communauté du DÉC et des ministères gouvernementaux faciliterait la coconstruction et le raffinement continu de politiques publiques pertinentes à l’appui des communautés.

Lisez toute la soumission prébudgétaire

Soumissions prébudgétaires des membres du RCDÉC :

Le budget fédéral : Miser sur la valeur sociale à même les dépenses existantes – David LePage | Accelerating Social Impact CCC Ltd., Conseil pour les entreprises sociales du Canada
Recommandations :
1.  Mettre en oeuvre une politique d’approvisionnement social applicable à toutes les dépenses gouvernementales;
2.  Miser sur les investissements dans les infrastructures afin de produire un impact social;
3.  Soutenir le renforcement des capacités des entreprises sociales.
 
Priorités pour le budget fédéral de 2016 – Momentum
Recommandations:
1.  Travailler en collaboration avec les provinces et les territoires pour élaborer une stratégie nationale de réduction de la pauvreté qui s’attaque aux causes profondes de la pauvreté;
2.  Renforcer la promotion des REEE et du Bon d’études canadien pour assurer leur adoption accrue;
3.  Prendre des mesures afin de mieux protéger les consommateurs contre les coûts élevés des services financiers marginaux;
4.  Modifier les ententes sur le Fonds canadien pour l’emploi existantes pour que les fonds puissent être attribués à des programmes de perfectionnement des compétences au lieu de l’attribution requise au Fonds canadien pour l’emploi;
5.  Soutenir la création d’outils de sociofinancement.
 
Favoriser la création d’emplois, la croissance économique et la prospérité à long terme par le modèle coopératif – Coopératives et mutuelles Canada
Recommandations:
1.  investir 50 millions de dollars sur 5 ans dans le Fonds canadien d’investissement coopératif (FCIC), montant qui s’ajoutera aux 25 millions de dollars déjà amassés par le secteur coopératif;
2.  soutenir le développement coopératif en travaillant de concert avec les coopératives et les mutuelles pour élaborer et mettre en œuvre une stratégie canadienne de développement coopératif;
3.  légifére

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Knack TeamOn February 16th, Knack, a new initiative of Potluck Café Society, incubated and closely supported by LEDlab, made their first public appearance.

Hosted by local business, The Pint, Knack brought out more than 60 employers and social entrepreneurs to learn more about their strategy to create new local jobs for DTES residents.

Knack seeks to provide flexible, part time employment opportunities to people who are likely to be on income assistance.

A Business in Vancouver interview with Knack team Anna Migicovsky and Colin Stansfield sums it up nicely:

“Welfare rates have not gone up in nine years, but in 2012 the province changed the rules to allow people receiving social assistance to keep more of their earned income before their benefits are clawed back. People with disabilities can earn up to $800 a month; people deemed employable can earn $200 a month; and people with “persistent and multiple” barriers to employment can earn $500 a month.

Using figures provided by the Ministry of Social Development and Innovation, [Knack] calculates that there are currently a total of 383,000 work hours per month currently going unused from the 7,000 DTES residents who collect social assistance, representing $56 million a year.

The idea for Knack is not to create full-time jobs in order for people to get off welfare, Migicovsky said.

“It’s a very diverse population and not everyone is able to work 40 hours a week full-time,” Migicovsky said.

Doing a few hours of work a day can not only supplement a monthly welfare check of just [$635] a month, it can improve health and well-being.”

Read the whole Business in Vancouver article here and check out some photos of the Knack launch!

Source: LEDLab


What is Knack?
Knack (as in, one has a knack for something) is an initiative of Potluck Café Society. Knack is the only employment program in Vancouver using digital badges to showcase employment related skill sets. For employers, Knack is a hiring strategy to achieve community impact through inclusive employment. For people facing barriers to employment, Knack is a clear path to meaningful work through skills-based training.

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co-operators

Co-operators a annoncé qu’elle remettra huit dons qui totalisent 120 000 $ à des organismes à travers le pays qui travaillent à améliorer l’autonomie et l’employabilité des jeunes marginalisés et des personnes souffrant de problèmes de santé mentale. Le montant provient du Fonds de développement économique communautaire de Co-operators.

« Beaucoup de jeunes dans des communautés partout au Canada ont besoin de soutien pour surmonter des obstacles et réaliser leur plein potentiel. C’est exactement ce que ces organismes offrent », a déclaré Kathy Bardswick, présidente et chef de la direction de Co-operators. « Les services et le soutien qu’ils fournissent rendent les jeunes plus autonomes et les communautés plus inclusives et équitables. »

Voici les organismes qui recevront des dons :

Choices for Youth – St. John’s (Terre-Neuve-et-Labrador) – 20 000 $
Le programme « Train the Trades » de Choices for Youth offre des emplois en construction et de la formation aux jeunes à risque et sans-abri pour les aider à se trouver un emploi durable dans les métiers spécialisés.

Co-opérative Open Sky – Région du Sud-Est (Nouveau-Brunswick) – 10 000 $
Open Sky fournit des services d’hébergement, de formation professionnelle et de renforcement des capacités personnelles aux jeunes adultes aux prises avec des problèmes sociaux ou de santé mentale. Ce don soutiendra le projet « Roots of Resilience » qui aide les participants à améliorer leurs compétences professionnelles et à acquérir une expérience de travail par le placement en entreprise.

Destination Travail du Sud-Ouest de l’Île de Montréal – LaSalle (Québec) – 20 000 $
Destination Travail exploite l’École du milieu LaSalle, un lieu d’apprentissage alternatif qui offre aux jeunes marginalisés des ressources afin de développer des compétences professionnelles et des aptitudes en entrepreneuriat.

Furniture Bank – Etobicoke (Ontario) – 20 000 $
Furniture Bank récupère auprès de donateurs des meubles usagés, mais toujours en bon état, et les remet à des personnes et des groupes marginalisés. Furniture Link, son entreprise sociale, fournit un service de collecte et de livraison de meubles qui offre des séances de préparation à l’emploi et à la vie active ou des possibilités d’emploi aux jeunes à risque. Les participants reçoivent de la formation en milieu de travail et bénéficient d’une expérience de travail rémunérée d’une durée de six mois à un an.

FortWhyte Alive – Winnipeg (Manitoba) – 10 000 $
FortWhyte Alive exploite toute l’année les fermes FarmWhyte, une entreprise sociale qui s’engage à utiliser des pratiques d’agriculture urbaine durables pour renforcer les compétences et la préparation à l’emploi des jeunes du centre-ville. Le programme en quatre étapes leur donne des compétences de base en agriculture, en élevage et en apiculture, un programme de stages et d’emplois d’été, un programme de leadership et de mentorat, ainsi que la possibilité de contribuer à Harmony Honey, une coopérative gérée par des jeunes.

Ignite Adult Learning Corporation Foundation – Regina (Saskatchewan) – 10 000 $
Ignite aide les jeunes adultes à risque de 19 à 30 ans à devenir des citoyens autonomes et productifs en leur donnant de la formation, de l’expérience et des compétences. Le programme FLAMES, qui vise l’apprentissage de compétences utiles à l’emploi, comprend 32 semaines de travail à l’interne et 11 semaines d’apprentissage chez un employeur local.

Foothill Special Needs Association for Parents and Siblings – High River (Alberta) – 20 000 $
L’organisme Foothill SNAPS vise les jeunes marginalisés qui ont des problèmes de santé mentale. Son programme de préparation au travail H.I.R.E. (Having Inclusive Rewarding Employment) vise les personnes de 18 ans et plus qui sont confrontées à des obstacles à l’emploi. Le projet vise à créer des occasions pour la communauté et les employeurs, ainsi qu’à sensibiliser les employeurs et à leur offrir du soutien.

Take a Hike Youth at Risk Foundation – Vancouver (Colombie-Britannique) – 10 000 $
Take a Hike est un programme d’éducation alternative à temps plein qui mobilise les jeunes à risque grâce à une combinaison unique d’apprentissage basé sur l’aventure, les études, la thérapie et l’engagement communautaire. Les responsables du programme travaillent de pair avec des organismes communautaires pour obtenir du matériel et offrir aux participants des expériences de travail et de la formation pratique.

À propos du Fonds de développement économique communautaire de Co-operators :

Le Fonds de développement économique communautaire de Co-operators a été créé en 1995 et soutient les organismes qui aident les jeunes marginalisés et les personnes qui souffrent de problèmes de santé mentale à devenir autonomes. Grâce au fonds, des dons de plus de 5,2 millions de dollars ont été versés à 128 organismes à travers le Canada.

À propos de Co-operators :

Le Groupe Co-operators limitée est une coopérative entièrement canadienne, et son actif s’élève à plus de 40 milliards de dollars sous administration. Par l’entremise de ses filiales, Co-operators offre de l’assurance habitation, automobile, vie, collective, voyage, entreprise et agricole, ainsi que des produits de placements. Co-operators est réputée pour son engagement communautaire et ses efforts visant à créer un avenir plus durable. Co‑operators se classe parmi les employeurs de choix au Canada selon Aon, parmi les 50 meilleures entreprises citoyennes au Canada selon Corporate Knights, et figure au palmarès des 50 entreprises citoyennes établi par Sustainalytics et publié dans L’actualité. Pour obtenir de plus amples renseignements, visitez le www.cooperators.ca.

SOURCE : Co-operators

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Le Conseil de la coopération de l’Ontario Le Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO), un membre du Réseau canadien de DÉC, est heureux d’annoncer la réception d’un appui important de la part de la Fondation Trillium de l’Ontario pour la réalisation d’un beau projet de développement économique communautaire dans le Centre-Sud-Ouest de l’Ontario.

L’appui financier de 75 000 $ permettra de former les organisations sans but lucratif de cinq régions cibles à la diversification de leurs revenus par le biais de l’entreprise sociale. Il aidera également à mieux préparer la relève francophone de ces régions. Les lieux qui ont été désignés par ce projet pilote sont Toronto, Windsor, London ainsi que les régions du Niagara et de Simcoe. L’équipe du CCO du bureau de Toronto se déplacera dans ces communautés au courant de l’année 2016 pour y donner des présentations bilingues. Des jeunes d’âge secondaire seront associés aux présentations en français pour se familiariser avec les organismes de leur environnement, mieux comprendre leurs enjeux et participer à leur épanouissement.

Dans le cadre du projet, deux vidéos seront produites pour mettre en lumière des organisations sans but lucratif ayant franchi le pas de l’entreprise sociale et qui se sont mises à vendre des produits ou des services sur le marché. Des micro-subventions seront également proposées à des organisations souhaitant se lancer pour diversifier leurs revenus.

 « Nous sommes enthousiastes à l’idée de pouvoir collaborer avec la Fondation Trillium de l’Ontario sur ce projet. Il s’agit d’une opportunité unique en son genre pour l’expansion des entreprises collectives dans le Centre-Sud-Ouest de l’Ontario. Bien évidemment, l’entrepreneuriat des organismes communautaires est un facteur déterminant de leur durabilité et c’est sur cela que nous voulons insister tout particulièrement » d’ajouter Julien Geremie, Directeur du développement au CCO.

Le CCO aimerait remercier la Fondation Trillium de l’Ontario pour cette subvention de taille. Celle-ci témoigne de l’engagement, du dynamisme et de l’ambition du Gouvernement de l’Ontario à l’endroit des communautés francophones et bilingues de notre province.

La Fondation Trillium de l’Ontario, un organisme du gouvernement de l’Ontario, est la fondation subventionnaire la plus importante au Canada. Elle aide à bâtir des communautés saines et dynamiques. La Fondation octroie annuellement 110 millions de dollars à environ 1 000 organismes de bienfaisance et sans but lucratif dans toute la province.

Le Conseil de la coopération de l’Ontario est l’organisme par excellence pour l’éducation, la promotion, la concertation et l’offre de services-conseils en vue d’assurer un développement durable des coopératives et entreprises sociales francophones en Ontario.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Julien Geremie, Directeur du développement
Conseil de la coopération de l’Ontario
416-364-4545 – julien.geremie at cco.coop

Autres formats de lecture :
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Hommage aux agents de changementJe veux rendre hommage à ces personnes qui, jour après jour, œuvrent à développer leur communauté, à améliorer les conditions et la qualité de vie de leur territoire. Qui sont ces personnes ? Que font-elles exactement ? Je vais vous le dire…

Être un agent de changement ou de développement, c’est être une espèce de bibitte géante, infatigable, au regard transversal, à plusieurs têtes, aux multiples bras tendus. Mais encore ?

Ces hommes et ces femmes doivent mobiliser leur milieu, dégager des stratégies, établir des alliances, concilier les positions, orienter les actions, créer des cadres de concertation, coordonner le travail des structures de concertation, associer des expertises et des compétences différentes, faire la promotion de projets et de territoires, exercer un bon leadership, animer des réunions, faire preuve de rigueur, avoir un esprit de synthèse, être à l’écoute, savoir résoudre des conflits, donner du feed-back efficace, être un bon facilitateur pour permettre aux idées des partenaires d’émerger et de se conjuguer. Tout en ayant des objectifs en tête, éviter de prendre position et tenir compte de ce que les autres apportent pour bien accompagner les partenaires dans une action concertée. Conserver des relations interpersonnelles harmonieuses tout en visant le maximum d’efficacité au niveau des résultats visés. Savoir user de tact, animer avec diplomatie et susciter la plus grande collaboration possible de la part des partenaires, le travail d’équipe étant la clé du succès. Connaître et comprendre les caractéristiques principales de sa communauté afin que les solutions proposées soient efficaces, durables et mobilisatrices. De plus, ils et elles doivent intervenir de manière à permettre aux citoyens de se développer pleinement et de pouvoir participer activement dans le respect des droits fondamentaux. Ils et elles font preuve de souplesse, de flexibilité, de sensibilité, de jugement; sont capables de cerner et de mettre en valeur les compétences disponibles au sein du groupe; capables de stimuler, encourager et canaliser l’énergie. Ils et elles sont à l’affut de ce qui se passe dans la communauté, accumulent de l’information, participent à des formations, assurent les processus démocratiques….et bien d’autres. OUF !!!

Ces personnes reçoivent-elles toute la reconnaissance méritée ? Pas vraiment, pas toujours. Elles travaillent souvent dans des conditions difficiles, décevantes : salaire peu élevé, peu de soutien, peu de moyens, parfois isolées. Et pourtant, et pourtant elles sont animées d’une passion qui transcende ces conditions, elles ont la conviction de pouvoir changer et d’améliorer leur milieu en collaboration avec les acteurs mobilisés et concertés.

Malheureusement, la passion ne suffit pas lorsque la conjoncture n’est pas favorable. Et tout ce travail se perd, toute cette énergie s’amenuise, toute cette synergie tombe.

Alors, à vous tous et toutes qui avez été et êtes des agents de changement, les Isabelle, Christian, Jennyfer, Carole, Marie-Pierre, Danielle, François, David, Geneviève, Julie, Maurice, Michaël, Bertrand, Catherine, Annie, Dominique, Suzie, Nicolas, Jacques, Valérie et les autres, recevez mes hommages. Vous êtes mes idoles !!

Originalement publié par Nous.blogue le 26 août 2015

Monique Côté


Depuis avril 2014, Monique Côté est directrice générale du Réseau québécois de revitalisation intégrée, un organisme provincial à but non lucratif qui regroupe et soutient des démarches de concertation dans la lutte contre la pauvreté et la revitalisation de territoires. De 2008 à 2014, elle a coordonné une de ces démarches, l’approche territoriale intégrée pour deux quartiers de l’arrondissement de Beauport.

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ccuaLa création d’une nouvelle association professionnelle au profit des caisses d’épargne et de crédit a été annoncée le 27 janvier. L’Association canadienne des coopératives financières (ACCF) soutiendra et défendra une industrie des caisses d’épargne et de crédit en croissance, concurrentielle et fructueuse au Canada. L’ACCF est la première organisation nationale gouvernée par des caisses d’épargne et de crédit au Canada, dont l’engagement distinctif est centré sur les valeurs coopératives.

L’association professionnelle sensibilisera le public aux particularités coopératives des caisses d’épargne et de crédit au sein du marché des services financiers et fera la promotion du rôle important que peuvent jouer les caisses d’épargne et de crédit dans les collectivités locales et l’économie nationale. L’ACCF mènera également des recherches spécialisées et rendra des services à valeur ajoutée aux caisses d’épargne et de crédit ainsi qu’aux caisses populaires à l’extérieur du Québec.

L’ACCF appartient à ses membres, et ceux-ci la dirigent : elle regroupe 316 caisses d’épargne et de crédit et caisses populaires représentant un actif de plus de 185,7 milliards de dollars. Ces caisses d’épargne et de crédit et caisses populaires répondent aux besoins de plus de 5,57 millions de membres; elles sont réparties en plus de 1 817 centres de services partout au Canada et sont gérées par plus de 2 800 administrateurs bénévoles; enfin, elles emploient plus de 28 500 Canadiens.

« La création de l’Association canadienne des coopératives financières et le transfert des actifs de l’ancienne Centrale des caisses de crédit du Canada surviennent à un moment important : en partageant une même vision du succès, les caisses d’épargne et de crédit n’ont jamais été mieux positionnées pour offrir un avenir plus radieux aux Canadiens — un avenir qui puise aux forces et à la diversité de la finance coopérative », dit Martha Durdin, présidente et chef de la direction de l’ACCF.

L’ACCF a lancé un nouveau site Web (www.ccua.com) afin de diffuser les initiatives et les activités des caisses d’épargne et de crédit.

Voir le communiqué de presse ici


Source: Coopératives et mutuelles Canada

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Cadre stratégique 2012-2017: Une vision renouvelée du développement économique régionalDéveloppement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) sollicite les idées et les opinions du public et des intervenants économiques sur les atouts, les défis ou les problèmes économiques auxquels font face les entreprises et les collectivités au Québec ainsi que les pistes de solutions qui pourraient être envisagées.

DEC a pour mission de promouvoir le développement économique à long terme des régions du Québec en accordant une attention particulière aux régions à faible croissance économique ou à celles qui n’ont pas suffisamment de possibilités d’emplois productifs.

En 2016, DEC procèdera à l’élaboration d’un nouveau Cadre stratégique 2016-2021 qui oriente ses programmes et services et lui permet de mettre en œuvre sa mission. Pour en apprendre davantage, consultez le Cadre stratégique actuel.

La période des consultations est ouverte jusqu’au 29 février 2016.

Sans s’y limiter, DEC s’intéresse particulièrement aux sujets suivants :

  • la croissance économique, le commerce et le développement des marchés
  • l’innovation et les grappes industrielles
  • le passage au numérique et les technologies web
  • les technologies propres et une économie qui s’inscrit dans le cadre du développement durable
  • la participation économique des communautés
  • le développement économique des villes
  • le développement et la diversification économiques des collectivités

Pourquoi participer?

Les idées et les opinions recueillies seront analysées et ensuite utilisées dans l’élaboration du Cadre stratégique 2016-2021 qui tiendra compte des besoins sur le terrain. Ce dernier présentera la vision renouvelée de DEC du développement économique des régions du Québec. La participation à cet appel est aussi une occasion d’engager et d’entretenir un dialogue ouvert avec le gouvernement et de faire partie de la réflexion sur ses initiatives et ses programmes.

Avis

Veuillez noter que les renseignements recueillis sont conformes aux exigences de la Loi sur l’accès à l’information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. DEC est autorisé à recueillir les informations et les renseignements personnels en vertu de l’alinéa 11(1) d) et du paragraphe 12 f) de la Loi sur l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec. Prenez note que vos renseignements seront traités de façon confidentielle et serviront uniquement aux fins de cet exercice.

Prochaines étapes

Ce dialogue s’inscrit dans le cadre d’une stratégie d’engagement plus large qui vise à établir des discussions soutenues avec le public et les experts du développement économique régional. Cet appel aux idées servira à entamer le dialogue et sera suivi par des tables rondes auxquelles des acteurs du développement économique seront invités à participer.

Les idées et les opinions reçues feront l’objet d’une analyse. Les résultats seront présentés dans un rapport qui sera publié sur notre site web et diffusé également par le biais de nos comptes médias sociaux. Soyez à l’affût, en vous abonnant au compte Twitter de DEC (@DevEconCan) et à leur page sur LinkedIn.

Comment participer?

Accédez au questionnaire en ligne pour soumettre vos idées et opinions.

Pour en savoir plus

Pour signaler un problème technique ou pour obtenir une version papier du questionnaire, veuillez communiquer par téléphone au 1-844-641-5883. Les questionnaires remplis peuvent être acheminés par télécopieur au 514-283-8429 ou par la poste à l’adresse suivante :

Développement économique Canada pour les régions du Québec
Direction générale des politiques, de la recherche et des programmes

1255, rue Peel, bureau 900

Montréal (Québec)  H3B 2T9

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Manitoba Parliament BuildingLe ministre du Logement et du Développement communautaire, Mohinder Saran, a annoncé, à l’occasion de la cérémonie d’inauguration des travaux d’un projet de logement multifamilial de 19 unités qui sera construit en partie par des entreprises sociales, que le gouvernement du Manitoba va créer un nouveau fonds d’emprunt de 10 millions de dollars destiné aux entreprises sociales axées sur la création d’emploi et les occasions de formation pour les personnes confrontées à des obstacles à l’emploi.

« Le Manitoba est fier d’investir dans des solutions uniques afin de relever des enjeux difficiles tels que la pauvreté, le chômage et l’exclusion sociale », a déclaré le ministre. « Ce nouveau fonds d’emprunt fournira aux entreprises sociales les outils financiers dont elles ont besoin pour réussir. Un plus grand nombre de Manitobaines et Manitobains auront l’occasion d’apprendre de nouvelles compétences, d’accéder aux soutiens sociaux, de participer à des formations et de trouver un emploi intéressant ».

Le nouveau fonds d’emprunt pour l’entreprise sociale de 10 millions dollars permettra aux entreprises sociales axées sur l’emploi d’accéder au capital par le biais d’options de financement flexibles dont des prêts de démarrage, des prêts d’urgence ou d’exploitation et des garanties de prêts. Les entreprises sociales sont des organismes à but non lucratif qui utilisent un modèle d’entreprise pour réaliser des objectifs sociaux, une approche qui selon le ministre peut effectivement permettre aux personnes aux prises avec des obstacles à l’emploi de sortir de la pauvreté.

Ce fonds d’emprunt s’inspire des recommandations de la Stratégie d’entreprise sociale du Manitoba 2015 et sera développé en partenariat avec le secteur de l’entreprise sociale, a fait remarquer le ministre.

Manitoba Social Enterprise Strategy: A Strategy for Creating Jobs through Social Enterprise« Accéder au montant d’argent nécessaire au bon moment, ainsi qu’étudier et développer des marchés, y compris l’approvisionnement public, sont des éléments importants de la Stratégie d’entreprise sociale du Manitoba », a déclaré Sarah Leeson-Klym, directrice régionale du Réseau canadien de développement économique communautaire. « Alors que la communauté accueille cette stratégie, nous sommes heureux que la province trouve des moyens de soutenir l’impact des entreprises sociales axées sur la formation et l’emploi tout en réalisant ses engagements dans le domaine du logement abordable ».

Le ministre a souligné ce nouvel engagement à l’occasion de la cérémonie de la première pelletée de terre de Austin Family Commons, un nouveau projet de logements abordables qui remplacera trois terrains vacants situés au 150 Austin St. North.

« Le projet Austin Family Commons fera une vraie différence pour les familles du quartier North Point Douglas », a déclaré le ministre Saran. « Nous nous réjouissons de travailler en partenariat avec les organismes communautaires, nos constructeurs et les entreprises sociales, car la construction de ces nouvelles unités se traduira par la création d’emploi pour les personnes confrontées à des obstacles à l’emploi. Toute la communauté y gagne».

Une fois terminé, Austin Family Commons sera un bâtiment de 3 étages et aura 19 unités d’appartements destinées aux familles. Les loyers seront abordables et la moitié des unités auront des loyers liés au revenu. Le ministre a observé que ce projet est proche de tout un éventail de services et d’infrastructures locales et des grands axes de transport en commun sur Main Street, une situation idéale pour les travailleuses et les travailleurs locaux et les futures locataires.

 « Rien ne vaut un emploi pour lutter contre la pauvreté et tous ses symptômes », a déclaré Lucas Stewart, directeur général de Manitoba Green Retrofit (MGR). « Les entreprises sociales comme MGR utilisent des outils entrepreneuriaux afin de créer des emplois intéressants et surtout durables pour les Manitobaines et les Manitobains qui seraient autrement au chômage. Le financement de ce fonds d’emprunt procurera aux entreprises sociales des outils qui leur permettront de jouer un plus grand rôle dans beaucoup de projets semblables. C’est une bonne politique et une façon intelligente de dépenser ».

Le ministre Saran a fait observer que ce projet soutient l’engagement du Manitoba à développer de nouveaux logements locatifs abordables pour les familles. Le ministre a ajouté que la construction devrait être finie début 2017.

Le ministre a également annoncé que le gouvernement du Manitoba mettra en œuvre une politique d’approvisionnement à impact social à l’ensemble du gouvernement afin d’élargir le soutien du secteur public pour les entreprises sociales et de contribuer à ce que l’approvisionnement déjà existant engendre plus d’emplois pour les personnes exclues du marché du travail.

Pour plus d’information sur la Stratégie d’entreprise sociale du Manitoba et le logement abordable au Manitoba, visitez www.gov.mb.ca/housing.

SOURCE: Province du Manitoba

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Le ministre de l'Économie, Jacques DaoustQuébec a confirmé l’octroi d’une somme de plus de 40 millions de dollars étalée sur cinq ans afin d’appuyer le développement de l’entrepreneuriat collectif dans la province.

Il s’agit d’un des aspects de son Plan d’action gouvernemental dans le secteur de l’économie sociale, qui prévoit des investissements totaux de 100 millions de dollars d’ici 2020.

La nouvelle a été confirmée à Montréal par le ministre de l’Économie, Jacques Daoust, ainsi que le directeur général du Chantier de l’économie sociale, Jean-Martin Aussant, en poste depuis août dernier.

Ainsi, 30 millions de dollars seront disponibles, sous forme de prêts, pour les diverses entreprises du secteur de l’économie collective, a souligné le ministre Daoust.

Un montant de 5 millions de dollars sera également consacré afin d’appuyer les 21 pôles régionaux d’économie sociale du Québec.

De plus, un congé d’intérêts supplémentaire de 2,5 millions de dollars est accordé à la Fiducie du Chantier de l’économie sociale, ce qui permettra à l’organisme à but non lucratif d’accroître ses interventions.

Finalement, le Chantier recevra une aide financière de 3 millions de dollars répartie sur cinq ans, ce qui, de l’avis de M. Aussant, représente entre 30 et 40 pour cent de son financement.

Selon M. Daoust, le secteur de l’économie sociale compte quelque 150 000 travailleurs répartis à travers 7000 entreprises dont le chiffre d’affaires a été de plus de 33 milliards de dollars l’an dernier.


Source : La Presse

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Un nouveau fonds en soutien aux projets structurants à Trois-RivièresJusqu’au 31 mars 2016, Innovation et Développement économique (IDE) Trois-Rivières invite les promoteurs à soumettre leurs projets dans le cadre de la Politique de soutien aux projets structurants pour améliorer les milieux de vie du nouveau Fonds de développement des territoires.

La Politique a été adoptée par le conseil municipal de la Ville de Trois-Rivières le 14 décembre dernier. Sa mise en oeuvre a été confiée à Innovation et Développement économique Trois-Rivières.

« Nous souhaitons que ce fonds soit une bougie d’allumage en facilitant la réalisation de projets qui stimuleront le développement économique de notre communauté », déclare Mario De Tilly, directeur général d’IDE Trois-Rivières.

Pour être admissibles, les projets doivent avoir des retombées tangibles et être créateurs d’emplois. Ces subventions, non remboursables, visent à soutenir le développement et le dynamisme de notre communauté.

Critères de sélection

Les projets et secteurs d’activités ciblés par la Politique sont le tourisme, l’entrepreneuriat, le communautaire et l’immigration, le développement des arts et de la culture, ainsi que le développement industriel, commercial, agricole et scientifique. Les coopératives, les organismes sans but lucratif, les entreprises privées incorporées et les entreprises publiques sont invités à déposer leurs projets.

Les dépenses suivantes sont admissibles : les immobilisations et les équipements, les projets collectifs d’outils d’information, les projets d’études nécessitant une expertise spécifique en vue de préparer un projet structurant et l’achat de technologies, de logiciels ou progiciels, de brevets et toute autre dépense de même nature.

Processus de sélection

IDE Trois-Rivières recevra les demandes jusqu’au 31 mars 2016, 16 h. Par la suite, un comité se réunira pour étudier les projets et retenir ceux qui se seront démarqués.

Pour consulter la Politique et connaître les critères d’admissibilité complets, rendez-vous sur leur site web.

Source :
Laurence Gagné

Stagiaire en communication                                      

IDE Trois-Rivières

819 374-4061, poste 5144

Pour plus d’information :   

Mario De Tilly

Directeur général

IDE Trois-Rivières

819-374-4061, poste 5133


Source: Innovation et Développement économique Trois-Rivières

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JACQUES BEAUDETLa Corporation de développement économique communautaire (CDEC) de Québec a récemment signé deux nouvelles ententes qui lui permettront de mieux aider les entreprises d’économie sociale de Québec.

Le remplacement du CLD de Québec disparu l’an dernier se précise de plus en plus. En vertu d’un accord avec la division de l’entrepreneuriat et du développement régional de la Ville de Québec, la CDEC est devenue le porte-étendard officiel des compagnies d’économie sociale. Cette nouvelle situation implique que l’organisation, qui conseille les entrepreneurs depuis plus de 20 ans, élargisse son territoire en couvrant toute la Ville de Québec ainsi que Saint-Augustin-de-Desmaures et L’Ancienne-Lorette.

JACQUES BEAUDET, directeur général, assure que les entreprises ne seront pas perdantes. « L’une des critiques était qu’elles étaient obligées de cogner à six ou sept portes », indique-t-il. On souhaite maintenant s’assurer de part et d’autre qu’il y ait un suivi dans les démarches. « Si un entrepreneur (social) va ailleurs, il va nous être référé automatiquement », ajoute-t-il.

Parmi les autres changements, la CDEC, n’étant pas gestionnaire de fonds, a récemment conclu une entente avec le Réseau d’investissement social du Québec (RISQ) qui lui permettra de proposer du financement en capitalisation c’est-à-dire de l’argent pour les étapes suivant le prédémarrage notamment l’ouverture. Lors de l’étude d’un dossier, l’organisation pourra prêter entre 20 000$ et 50 000$, puis accompagner l’entrepreneur pour trouver la somme restante. Cette forme de financement existait déjà auparavant, mais était moins connue dans la Capitale-Nationale. « Le RISQ vient du Québec. Si l’on peut aller chercher 200 000$ la première année par exemple, c’est de l’argent que les organisations du territoire n’auront pas à prêter et qu’ils pourront prêter à d’autres entreprises », explique M. Beaudet. Il croit que plus d’entrepreneurs pourront ainsi être soutenus. La CDEC était déjà mandataire de l’aide technique depuis plus d’une quinzaine d’années. Ce soutien financier permet la réalisation des études nécessaires à la réalisation des projets.

Informations supplémentaires sur les services : www.fonds-risq.qc.ca et www.cdecdequebec.qc.ca.

Auteur: Jacques Beaudet, directeur général de la CDEC de Québec. 
Photos : Courtoisie

Source: Le Carrefour de Québec

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