Le conseil d’administration du RCDÉC est heureux d’annoncer la nomination de Walter Hossli à titre d’administrateur pour un mandat qui prendra fin à l’assemblée générale annuelle de 2016.

Walter Hossli est un leader du secteur communautaire depuis ces 25 dernières années. Il est le fondateur et le directeur émérite de Momentum, un organisme de développement économique communautaire (DÉC) qui s’associe à des personnes à faible revenu dans le but d’augmenter leur prospérité. Organisme primé, Momentum offre 20 programmes, travaille avec 4 000 participants par année et est considéré comme un leader parmi les organismes de bienfaisance de Calgary. Après 15 ans dans le secteur privé, Walter a effectué des études en travail social avant de rejoindre le secteur communautaire. Il assume de nombreuses fonctions en tant que bénévole et a joué des rôles clés dans plusieurs grandes initiatives de collaboration ou au sein du secteur. Par exemple, en 2003, il a fait partie intégrante de Collectivités Dynamiques Calgary, un organisme voué à la réduction durable de la pauvreté par l’engagement citoyen et la participation du secteur. Collectivités Dynamiques Calgary  a réussi à augmenter la participation de la municipalité dans la lutte à la pauvreté. Il est membre du conseil d’administration de la Calgary Foundation depuis 2010. Il a écrit « Competition in the Voluntary Sector: the Case of Community Based Trainers in Alberta » publié par la Muttart Foundation.

Outre son engagement au Canada, Walter offre régulièrement son temps et ses connaissances à l’étranger, en Afrique et en Amérique Centrale. En 2011, Health Nexus et 3M Canada ont retenu Walter parmi les finalistes du Prix 3M de leadership en santé, qui reconnaît les meilleurs leaders communautaires du pays qui ont su renforcer leur collectivité grâce à leur contribution et leur dévouement et à l’esprit de changement qu’ils ont insufflé.

Walter vit à Calgary avec sa femme Sybille et leurs deux enfants. C’est un jardinier passionné et primé.

En savoir plus sur Walter et les membres du conseil

Tous les membres du RCDÉC peuvent faire partie du conseil, dont certains postes d’administrateurs sont élus chaque année. Si vous êtes intéressé à vous joindre au conseil, veuillez nous contacter. Vous pouvez également attendre l’appel de candidatures aux postes du conseil qui est habituellement envoyé aux membres au mois de février.

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

APPEL DE COLLABORATION

Kaléidoscope. Vol. 3. No 2. automne 2015

Le titre provisoire du prochain dossier thématique de la revue Kaléidoscope est : le développement collectif : rempart contre les inégalités sociales?

Les deux derniers numéros de Kaléidoscope ont documenté ce changement d’époque à l’aune de la rigueur budgétaire et de l’austérité qui est le notre. Dans le prochain numéro ils veulent puiser sur le terrain, les expériences, l’innovation sociale et la réflexion citoyenne, qui devraient permettre la prise en charge du développement collectif en conditions de diminution du soutien de l’État. Dans le contexte actuel, ils sont plusieurs à annoncer l’approfondissement de toutes les inégalités : sociales, économiques, territoriales, dans l’accès à l’éduction, à la santé, à la culture. Ont-ils raison?

Voici de quoi allumer cet été morose.

Certains soulignent que les individus et les collectivités les plus démunis souffriront le plus dans ce nouveau période. Que la pauvreté et l’exclusion deviennent la norme d’un changement d’époque ou l’État se concentre dans ces fonctions essentielles et tout un chacun se replie sur ses intérêts immédiats. Est-ce que les citoyens sauront prendre la relève? Quelles formes prennent ces efforts sur le terrain? Comment les apprentissages de développement collectif survivront dans le nouveau contexte? Est-ce que l’économie sociale et solidarité, les fondations et autres institutions, dont les municipalités, peuvent remplacer les politiques publiques de participation citoyenne de l’ancien modèle québécois? Comment assurer l’égalité des chances, l’éducation et la santé pour tous? Quels ajustements sont nécessaires aux politiques vis-à-vis la pauvreté, l’itinérance, l’accueil des immigrants de soutien à l’économie sociale ?

Vous pouvez également contribuer aux rubriques
Alimentez la rubrique ‘Études de K’ avec des initiatives porteuses en développement collectif près de chez vous ! Vous pouvez également proposer d’autres collaborations, sur politiques publiques; pratiques citoyennes; territoires numériques; l’international; sur la gestion des initiatives de développement collectif.

Partagez vos événements! Vous organisez prochainement un événement ou une activité en développement collectif ? Les lecteurs seraient heureux d’en apprendre davantage.

C’est autour de toutes ces questions et bien d’autres que Kaléidoscope sollicite vos idées de textes, de pistes de recherches ou de personnes intéressantes à contacter pour nous en parler.  Faites part à l’adresse dès aujourd’hui. Et ce jusqu’au 15 août prochain.

Lire l’appel de collaboration détaillé

Le numéro sera lancé le 17 septembre 2015 lors du 27e colloque annuel du Réseau québécois des villes et villages en santé, à Salaberry-de Valleyfield. C’est un rendez-vous!

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APPEL DE COLLABORATION

Kaléidoscope. Vol. 3. No 2. automne 2015

Le titre provisoire du prochain dossier thématique de la revue Kaléidoscope est : le développement collectif : rempart contre les inégalités sociales?

Les deux derniers numéros de Kaléidoscope ont documenté ce changement d’époque à l’aune de la rigueur budgétaire et de l’austérité qui est le notre. Dans le prochain numéro ils veulent puiser sur le terrain, les expériences, l’innovation sociale et la réflexion citoyenne, qui devraient permettre la prise en charge du développement collectif en conditions de diminution du soutien de l’État. Dans le contexte actuel, ils sont plusieurs à annoncer l’approfondissement de toutes les inégalités : sociales, économiques, territoriales, dans l’accès à l’éduction, à la santé, à la culture. Ont-ils raison?

Voici de quoi allumer cet été morose.

Certains soulignent que les individus et les collectivités les plus démunis souffriront le plus dans ce nouveau période. Que la pauvreté et l’exclusion deviennent la norme d’un changement d’époque ou l’État se concentre dans ces fonctions essentielles et tout un chacun se replie sur ses intérêts immédiats. Est-ce que les citoyens sauront prendre la relève? Quelles formes prennent ces efforts sur le terrain? Comment les apprentissages de développement collectif survivront dans le nouveau contexte? Est-ce que l’économie sociale et solidarité, les fondations et autres institutions, dont les municipalités, peuvent remplacer les politiques publiques de participation citoyenne de l’ancien modèle québécois? Comment assurer l’égalité des chances, l’éducation et la santé pour tous? Quels ajustements sont nécessaires aux politiques vis-à-vis la pauvreté, l’itinérance, l’accueil des immigrants de soutien à l’économie sociale ?

Vous pouvez également contribuer aux rubriques
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C’est autour de toutes ces questions et bien d’autres que Kaléidoscope sollicite vos idées de textes, de pistes de recherches ou de personnes intéressantes à contacter pour nous en parler.  Faites part à l’adresse dès aujourd’hui. Et ce jusqu’au 15 août prochain.

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Le numéro sera lancé le 17 septembre 2015 lors du 27e colloque annuel du Réseau québécois des villes et villages en santé, à Salaberry-de Valleyfield. C’est un rendez-vous!

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Le Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences, du développement social et de la condition des personnes handicapées de la Chambre des communes a publié un rapport sur le potentiel de la finance sociale à mobiliser les capitaux pour générer des résultats sociaux et économiques au Canada.

Exploration du potentiel de la finance sociale au Canada fait suite à une étude au cours de laquelle le Comité a entendu 51 témoignages, dont ceux de plusieurs membres et partenaires du RCDÉC et de notre directeur général, Mike Toye.

Plusieurs recommandations du Comité reprennent les priorités politiques pour l’économie sociale établies par le RCDÉC et ses partenaires.

Le Comité a formulé plusieurs observations dont les suivantes :

  • les gouvernements partout dans le monde utilisent de plus en plus les instruments de la finance sociale
  • la tendance, au Canada et à l’étranger, est à l’engagement croissant des actionnaires et des capitaux dans le marché de la finance sociale
  • la finance sociale peut contribuer à la mise au point de solutions authentiquement nouvelles et novatrices vis-à-vis d’enjeux sociaux des plus complexes

Le Comité a constaté qu’il se dégageait des témoignages un consensus sur la capacité de la finance sociale d’aborder des problèmes sociaux persistants, quoique les opinions n’étaient pas les mêmes sur la manière dont les outils de finance sociale devraient être appliqués. La plupart des témoignages étaient axés sur les changements à la réglementation qui accorderaient aux organismes caritatifs et sans but lucratif la flexibilité nécessaire pour participer à des activités générant des revenus; le besoin de mesurer les résultats sociaux à l’aide de mesures adéquates et les défis connexes; la nécessité de renforcer la capacité sur le marché et le rôle du gouvernement (financier ou autre) dans le développement du marché de la finance sociale.

Dans leurs opinions dissidentes, le Nouveau Parti démocratique et le Parti libéral ont exprimé des préoccupations entre autres à l’égard de l’utilisation des obligations à impact social.

Le Comité a émis les recommandations suivantes

RECOMMANDATION 1

Le Comité recommande à Emploi et Développement social Canada de miser sur les travaux du Conseil consultatif national du Canada auprès du Groupe de travail sur l’investissement social du G8 en mettant sur pied un comité consultatif composé de représentants des secteurs public,  privé, sans but lucratif et caritatif afin qu’il participe à la définition d’une stratégie nationale sur le développement du marché de la finance sociale au Canada.

RECOMMANDATION 2

Le Comité recommande à Emploi et Développement social Canada d’examiner, de concert avec d’autres ministères, la structure et les sources de financement des fonds de capital catalyseur dans d’autres administrations et de formuler des recommandations sur la meilleure façon d’établir un fonds semblable au Canada.

RECOMMANDATION 3

Le Comité recommande au gouvernement fédéral d’évaluer les mesures législatives et stratégiques, au besoin, afin d’accorder davantage de flexibilité aux organismes de bienfaisance afin qu’ils puissent mener des activités commerciales visant à réinvestir les profits dans leurs activités caritatives.

RECOMMANDATION 4

Le Comité recommande au ministère des Finances et à l’Agence du revenu du Canada d’examiner les règlements en vigueur concernant les activités lucratives d’organismes sans but lucratif, et d’envisager des solutions pour permettre à certains organismes sans but lucratif ayant un objectif social clair de produire, dans certaines circonstances, un excédent de revenus.

RECOMMANDATION 5

Le Comité recommande au ministère des Finances et à l’Agence du revenu du Canada d’examiner les politiques en vigueur concernant les investissements liés à un programme afin d’améliorer la communication ou la clarté de ces mesures, au besoin.

RECOMMANDATION 6

Le Comité recommande à Emploi et Développement social Canada de collaborer avec les provinces et les intervenants concernés pour établir des lignes directrices nationales sur la définition et la mesure des effets des projets de finance sociale afin de veiller à la fiabilité et à l’uniformité des normes de mesure des résultats sociaux à l’échelle du Canada.

RECOMMANDATION 7

Le Comité recommande au gouvernement fédéral d’élargir les critères d’admissibilité aux programmes de soutien aux petites et moyennes entreprises, comme le Réseau Entreprises Canada d’Industrie Canada, afin d’inclure explicitement les organismes caritatifs et sans but lucratif œuvrant dans le domaine de la finance sociale, lorsqu’indiqué, et d’étudier la création de programmes visant le développement des capacités techniques de ces acteurs de participer au marché de la finance sociale.

RECOMMANDATION 8

Le Comité recommande à Emploi et Développement social Canada, de concert avec les ministères et organismes fédéraux concernés, d’explorer l’approvisionnement social.

RECOMMANDATION 9

Le Comité recommande à Emploi et Développement social de continuer d’encourager la collaboration intersectorielle dans le domaine de la finance sociale en tenant régulièrement des réunions avec des intervenants des secteurs à but lucratif, caritatif et sans but lucratif afin d’encourager la création de partenariats et la communication de renseignements et de pratiques exemplaires.

TÉLÉCHARGEZ LE RAPPORT 

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Vous avez un projet communautaire à saveur économique à lancer ?
Vous souhaitez créer un produit ou un service original pour la communauté ?

L’Astrolabe déchaîné est un concours qui vise à reconnaître et à mettre en valeur les projets des communautés francophones de l’Ontario.

Le concours vise à permettre aux organismes locaux et régionaux francophones de l’Ontario de présenter un projet de développement économique communautaire à accomplir dans l’année et pour lequel ils pourront obtenir un appui financier.

Prix de 10 000 $

L’organisme gagnant de L’Astrolabe déchaîné désigné par le jury reçoit :

  • Couverture médiatique provinciale
  • Promotion sur le site internet et dans les médias sociaux de L’Assemblée – durée 1 an
  • Adhésion gratuite de deux (2) ans à L’Assemblée
  • Accès illimité au Centre d’information en ressources financières (CIRF)
  • Accès au salon VIP lors du Grand Rassemblement de L’Assemblée à Toronto
  • Une (1) paire de billets VIP pour le Grand Spectacle de clôture du 400e à Toronto
  • DVD souvenir de la soirée L’Astrolabe déchaîné
  • Reconnaissance dans le matériel promotionnel de L’Assemblée

Prix de 5 000 $

L’organisme “coup de coeur du public” de L’Astrolabe déchaîné reçoit :

  • Couverture médiatique provinciale
  • Promotion sur le site internet et dans les médias sociaux de L’Assemblée – durée 6 mois
  • Adhésion gratuite d’un (1) an à L’Assemblée
  • Accès illimité au Centre d’information en ressources financières (CIRF)
  • Accès au salon VIP lors du Grand Rassemblement de L’Assemblée à Toronto
  • Une (1) paire de billets VIP pour le Grand Spectacle de clôture du 400e à Toronto
  • DVD souvenir de la soirée L’Astrolabe déchaîné
  • Reconnaissance dans le matériel promotionnel de L’Assemblée

Les organismes finalistes de L’Astrolabe déchaîné reçoivent :

  • Accès au salon VIP lors du Grand Rassemblement de L’Assemblée à Toronto
  • Une (1) paire de billets VIP pour le Grand Spectacle de clôture du 400e à Toronto
  • DVD souvenir de la soirée L’Astrolabe déchaîné
  • Reconnaissance dans le matériel promotionnel de L’Assemblée

Déroulement du concours

Pré-sélection
Chaque organisme candidat devra déposer un dossier de candidature contenant la présentation du projet sous la forme d’une vidéo de deux (2) minutes. Parmi les candidatures reçues, 10 projets seront sélectionnés pour participer à la finale.

Finale
Chaque finaliste aura trois (3) minutes pour faire une présentation en direct du projet présélectionné et pour répondre aux questions du jury.

Dates importantes à retenir

Lancement du concours – jeudi 4 juin 2015
Date limite des soumissions – mardi 15 septembre 2015, à 16 h

Dévoilement des finalistes – mercredi 30 septembre 2015

Finale au Westin Harbour Castle, à Toronto – samedi 24 octobre 2015

Plus d’information sur L’Astrolabe déchaîné

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

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Le gouvernement du Canada a publié une nouvelle demande de propositions afin de recevoir des soumissions en vue d’octroyer jusqu’à trois contrats distincts pour s’attaquer à des problèmes sociaux persistants.

Les soumissionnaires retenus travailleront de concert avec diverses organisations, comme des organismes caritatifs et des organismes à but non lucratif, afin d’offrir une aide accrue aux personnes dans le besoin. Ce nouveau partenariat attirera des investissements privés qui aideront à solutionner certains enjeux, notamment le chômage, la pauvreté et l’itinérance. Les propositions de projets pourraient aussi comprendre des initiatives visant à contrer l’isolement social des aînés et des services visant à aider les jeunes vulnérables à faire la transition de l’école au monde du travail.

Annoncée dans le budget de 2015, l’Initiative de l’accélérateur de finance sociale donnera l’occasion à des investisseurs de financer des organismes communautaires qui tentent de régler des problèmes sociaux persistants. Le processus d’acquisition vise à obtenir le meilleur rapport qualité-prix pour les Canadiens tout en améliorant l’accès, en renforçant la concurrence et en donnant une chance égale à tous.

La demande de propositions est affichée sur le site Achats et ventes Canada pour le compte d’Emploi et Développement social Canada et elle prendra fin le 17 juillet 2015.

Les soumissions retenues devraient être annoncées en août 2015.

Les faits en bref

  • L’initiative fait appel à un vaste éventail de participants afin de trouver des idées d’interventions plus efficaces dans de nombreux domaines, tout en appliquant des pratiques exemplaires du secteur privé.
  • Selon les prévisions, les contractants devraient commencer à travailler avec les participants avant janvier 2016, et cela pourrait prendre jusqu’à quatre mois pour que les participants et leurs propositions terminent le processus relatif à l’Initiative de l’accélérateur de finance sociale.

Liens connexes

Initiative de l’accélérateur de finance sociale

Plan d’action économique du Canada

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

La semaine dernière, les membres du RCDÉC se sont rassemblés en ligne pour participer à l’assemblée générale annuelle (AGA).

C’est la première fois que nous avons tenu une AGA entièrement virtuelle. Suite à notre transfert vers la nouvelle Loi canadienne sur les organisations à but non lucratif, nous sommes à présent légalement en mesure de tenir une rencontre officielle des membres de façon virtuelle. L’année dernière, nous avions expérimenté la participation en ligne, des membres participaient en personne à Winnipeg et d’autres virtuellement. Cependant, nous n’avions jamais organisé d’AGA entièrement virtuelle avec une plateforme webinaire bilingue pour proposer, appuyer et voter les résolutions, avec une salle de téléconférence en anglais, une salle de téléconférence en français et un service de traduction simultanée entre les deux. C’était une initiative ambitieuse!

Heureusement, tout s’est bien passé : la réunion s’est bien déroulée et nous avons reçu des commentaires très positifs sur le niveau d’interaction.

Mike Toye, directeur général du RCDÉC, a présenté les temps de forts de l’année passée à partir de notre rapport annuel virtuel. Le thème de cette année Unir les communautés pour le changement voulait mettre en évidence le rôle que le RCDÉC joue en tant que réseau établissant des liens entre les leaders communautaires et soutenant leurs efforts pour améliorer les conditions de vie de tout un chacun.

Les membres ont accueilli William (Bill) Ninacs au Conseil d’administration et ont exprimé leur gratitude à Caroline Lachance et Indu Krishnamurthy membres sortants ainsi qu’à notre directeur régional du Manitoba, Brendan Reimer, qui s’est retiré l’année dernière après avoir travaillé 11 ans au sein du RCDÉC.

Nous tenons à remercier les membres qui ont participé, les membres du personnel qui ont vu à l’organisation logistique et les membres du Conseil d’administration du RCDÉC qui ont su guidé le Réseau tout au long de l’année.

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Matthew Thompson

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Matthew Thompson

Cliquez sur l’image ci-dessous pour lire notre rapport annuel 2014

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Matthew Thompson

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Matthew Thompson

Chaque année, les membres du RCDÉC sont appelés à soumettre des candidatures pour les sièges vacants du conseil d’administration du RCDÉC. Cette année, il y avait quatre sièges à pourvoir.

Cinq nominations ont été proposées avant la date limite. Le directeur des élections, Yvon Poirier, a annoncé un élection pour pourvoir les quatre sièges au conseil.

Les élections 2015 pour le conseil d’administration du RCDÉC ont eu lieu du 29 avril au 11 mai grâce à un nouveau système en ligne. Le directeur des élections a approuvé un système de vote préférentiel selon le modèle de scrutin à vote unique transférable écossais. En triant les candidats par ordre de préférence, les choix permettent à élire quatre candidats qui sont soutenus par la majorité des électeurs.

Après validation des résultats, le directeur des élections a déclaré élus pour des mandats de trois ans :

Ces résultats étaient adoptés lors de l’assemblée générale annuelle des membres du RCDÉC le 29 mai.

Félicitations à ces chefs de file hors pair du DÉC du Canada qui se joignent aux membres dévoués du conseil d’administration du RCDÉC.

 


Christine Landry     Winnipeg, Manitoba

Christine travaille à Développement des collectivités Manitoba, l’association regroupant les 16 sociétés d’aide au développement des collectivités (SADC) du Manitoba, depuis 2000.

En tant que coordonnatrice de projet, Christine Landry travaille conjointement avec les 16 SADC. Elle œuvre à renforcer la capacité des SADC afin d’aider les collectivités rurales, nordiques et autochtones à développer le secteur des entreprises et à renforcer leurs capacités en DÉC. Christine est très active au sein du RCDÉC. Depuis 2004, elle fait partie du comité de planification du Rassemblement annuel du DÉC. Elle était également membre du comité de planification du Congrès pancanadien du RCDÉC 2009 à Winnipeg.

Chaque année, Christine travaille conjointement avec les SADC pour la planification de leur conférence provinciale annuelle, un événement qui s’adresse à tous les fournisseurs de services en DÉC de la province. Par ailleurs, elle est responsable du marketing et des communications de l’association. Christine était également membre du comité de gouvernance provisoire du RCDÉC du Manitoba qui a élaboré un modèle visant à améliorer les communications et l’efficacité du Réseau.
 


William (Bill) Ninacs     Victoriaville, Québec

Mon parcours inclut des postes de gestionnaire dans les secteurs public et privé ainsi qu’une vaste expérience dans le domaine communautaire où j’ai aidé soutenir des groupes de revendication et de services, de coopératives de consommation et de travail et d’autres organismes sociaux. J’ai été actif sur le plan du DÉC pendant plus de 25 ans, notamment en tant que coordonnateur de la première corporation de développe¬ment communautaire au Québec et comme codirecteur du Réseau canadien de DÉC.  Depuis plus d’une vingtaine d’années, je suis chercheur dans ce domaine et dans ceux de l’intervention axée sur l’empowerment, du développement des communautés locales et de l’économie sociale, avec des publications en français et en anglais. J’ai enseigné à la School of Community Economic Development du Southern New Hampshire University et au programme en DÉC de l’Université Concordia. J’occupe actuellement aussi un poste de professeur associé à l’Université du Québec en Outaouais. 
 


Élodie Bedouet    Thunder Bay, Ontario

Élodie est directrice générale de l’Association des francophones du Nord-Ouest de l’Ontario à Thunder Bay. Depuis plusieurs années, elle travaille dans le domaine du DÉC avec les communautés francophones en Ontario et dans les Territoires du Nord-Ouest. Par ailleurs, elle s’intéresse de près à l’entreprise sociale. Diplômée en science politique de l’Université de Montréal (spécialisation : économie politique internationale), elle a mené des recherches sur le développement économique et l’éducation au Chili pour le compte d’une agence de l’ONU et a travaillé sur des projets d’inclusion des jeunes au moyen des nouvelles technologies au Maroc.
 


Ryan Gibson    Halifax, Nouvelle-Écosse

Je m’intéresse vivement à la façon dont nous pourrions encore mieux utiliser le développement économique communautaire pour stimuler le développement des régions rurales et nordiques. Au cours des dix dernières années, j’ai travaillé avec des organismes bénévoles, des collectivités et le gouvernement sur des initiatives de DÉC axées sur le développement rural, la philanthropie, la gouvernance et les politiques publiques. Je suis professeur adjoint en géographie à l’Université Saint Mary à Halifax et ancien président de la Fondation canadienne pour la revitalisation rurale. Tout au long de mon engagement actif au sein du RCDÉC, j’ai été membre de plusieurs comités et j’ai siégé au comité exécutif. J’aimerais continuer à collaborer au conseil d’administration a

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Matthew Thompson

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Matthew Thompson

Le Plan d’action gouvernemental en économie sociale 2015-2020 prévoit un investissement total de plus de 100 millions de dollars sur cinq ans pour outiller les entreprises d’économie sociale du Québec. Les mesures qui seront mises en place contribueront à créer ou à maintenir 30 000 emplois et généreront des investissements totaux de plus de 500 millions de dollars d’ici 2020.

Ce plan, qui a été conçu grâce à la collaboration de nombreux partenaires privés et publics, vise entre autres à optimiser l’offre de services des entreprises d’économie sociale afin de répondre à trois grands défis sociétaux : l’aide à domicile pour les personnes en perte d’autonomie, l’insertion au marché du travail et la relève entrepreneuriale.

Les entreprises d’économie sociale, aussi appelées entreprises collectives, produisent et vendent des biens et des services de différentes natures tout en répondant à des besoins sociaux comme l’intégration socioprofessionnelle, la création d’emplois, le maintien de services de proximité et la préservation de la vie culturelle locale. Le Québec compte actuellement plus de 7 000 entreprises d’économie sociale, qui procurent de l’emploi à plus de 150 000 personnes.

En savoir davantage et consulter le plan d’action et ses mesures

D’autres ressources

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Matthew Thompson

C’est plus que jamais le temps de dire qui nous sommes !

L’enquête nationale sur la main-d’oeuvre de l’économie sociale et de l’action communautaire, réalisée par le CSMO-ÉSAC, est la seule enquête qui permet le recueil de données sur ce vaste secteur d’emploi.  Plus vous serez nombreux à y participer (coordonnateur-trice et/ou directeur-trice d’organisme communautaire, entreprise d’économie sociale (OBNL ou coop), regroupement d’organismes et/ou d’entreprises d’économie sociale (OBNL ou coopératives)), plus il sera possible d’obtenir des données  justes et précises.

Voir les partenaires de l’enquête. Voir l’enquête 2012.

Complétez le questionnaire

Vous avez jusqu’à la fin août pour y répondre, alors n’oubliez pas de l’inscrire à votre agenda !

Vous pourriez gagner un i Pad Air 2. Voir les règlements du concours.

COMMENT POUVEZ-VOUS NOUS AIDER?

Partagez avec vos membres, vos partenaires et regroupements ! Voir la pub !

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La campagne La ville, c’est nous, sollicitera la participation de citoyens et d’organisations de l’ensemble du pays; elle a pour objectif de créer une nouvelle vision ainsi qu’un plan d’action afin de déterminer comment nous pouvons édifier des villes agréables à vivre, soit des lieux attrayants et sains où il fait bon vivre, travailler et s’amuser, pour tous les Canadiens

Nous VOUS encourageons à vous impliquer

Les tables rondes sont un moyen plaisant et dynamique de contribuer à la campagne La ville, c’est nous. Tissez des liens avec d’autres membres de votre collectivité et développez une vision commune concernant les besoins à combler pour que les villes deviennent des lieux où il fait bon vivre, travailler et s’amuser.

Une table ronde peut être organisée dans votre salon, sur un banc de parc, dans une salle de conférence bref, dans un endroit propice à se rassembler et discuter. Il ne vous reste qu’à joindre une table ronde près de chez vous ou à organiser la vôtre!

Qu’est-ce qu’une table ronde?

  • 10 à 30 personnes
  • Une place pour la réunion
  • Une copie de la trousse d’outils
  • Des marqueurs, un tableau de papier, et des post-its

Visitez lavillecestnous.ca/roundtables à trouver une table ronde locale

Vous trouverez également d’information sur les évènements qui se sont déjà tenus. Toutes les tables rondes doivent être complétés d’ici le 30 juin.

Pendant que vous êtes au lavillecestnous.ca, prenez un moment pour lire les idées qui ont été soumises, vote sur les idées des autres peuples, et de contribuer à la discussion en ligne pour aider à informer le plan d’action.

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Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

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