BUDGET 2021: UNE RELANCE AXÉE SUR LES EMPLOIS, LA CROISSANCE ET LA RÉSILIENCELe budget fédéral d’hier contenait deux engagements financiers pour faire avancer la stratégie fédérale d’innovation sociale et de finance sociale, qui constituent une base pour faire avancer ce dossier.

Le gouvernement s’est engagé à :

  • Renouveler le Programme de préparation à l’investissement avec un investissement de 50 millions de dollars sur deux ans.  (Les demandes étaient pour un programme permanent de 100 millions de dollars par an).
  • Lancer les décaissements déjà prévus du Fonds de finance sociale de 755 millions de dollars et déployer jusqu’à 220 millions de dollars au cours de ses deux premières années, dès cette année.

Pour en savoir plus :

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BUDGET 2021: UNE RELANCE AXÉE SUR LES EMPLOIS, LA CROISSANCE ET LA RÉSILIENCELe budget fédéral d’hier contenait deux engagements financiers pour faire avancer la stratégie fédérale d’innovation sociale et de finance sociale, qui constituent une base pour faire avancer ce dossier.

Le gouvernement s’est engagé à :

  • Renouveler le Programme de préparation à l’investissement avec un investissement de 50 millions de dollars sur deux ans.  (Les demandes étaient pour un programme permanent de 100 millions de dollars par an).
  • Lancer les décaissements déjà prévus du Fonds de finance sociale de 755 millions de dollars et déployer jusqu’à 220 millions de dollars au cours de ses deux premières années, dès cette année.

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Diagramme de la fenêtre d'Overton : Plus libre en haut et Moins libre en bas et l'éventail des considérations politiques allant de l'impensable au radical à l'acceptable au raisonnable au populaire à la politique publique et inversement (la fenêtre d'Overton se situe entre ce qui est acceptable à chaque extrémité).La fenêtre d’Overton (lien en anglais) : Un espace idéal pour des politiques qui concordent avec le programme du gouvernement et qui est à la portée des politiques politiquement acceptables pour les électrices et électeurs à un moment donné.

Depuis l’été dernier, les efforts ont été intensifiés afin de demander une stratégie d’innovation sociale et de finance sociale dans le cadre de la relance après la COVID-19. Ces efforts sont venus de partout.

  • Les membres du Groupe sur l’économie citoyenne ont identifié l’innovation sociale et la finance sociale comme l’une de leurs trois recommandations clé pour la relance à la suite de la COVID-19 et ont soulevé la question à maintes reprises :
    • lors de réunions avec le ministre Hussen, le personnel de la ministre Anand, le personnel de la ministre Joly, le personnel du Centre de développement économique rural, les sénatrices Ratna Omidvar et Lucie Moncion et le secrétaire parlementaire Sean Fraser;
    • dans leurs deux documents prébudgétaires (août et février);
    • dans des lettres envoyées au premier ministre Trudeau, aux ministres Freeland, Champagne, Fortier, Guilbeault, Joly, Monsef et Qualtrough, au chef de l’opposition Erin O’Toole ainsi qu’ aux députés Candice Bergen, Dan Albas et Peter Julian.
  • La campagne Impact Response, menée par SVX et soutenue par plus de 100 leaders, a esquissé trois actions clés pour répondre aux impacts sociaux et économiques de la COVID-19 en mobilisant la finance sociale et l’entreprise sociale.
  • La campagne d’écriture de lettres du RCDÉC a généré des lettres d’électeurs de plus de 50 circonscriptions qui ont écrit à leurs députés pour la mise en œuvre des 12 recommandations du groupe directeur sur la co-création, l’accélération du Fonds de finance sociale ainsi que l’expansion et le renouvellement du Programme de préparation à l’investissement (PPI).
  • Tous les membres non gouvernementaux du groupe directeur sur la co-création ont signé une lettre aux ministres Hussen et Qualtrough les exhortant à accélérer le déploiement du Fonds de finance sociale.
  • Le RCDÉC et son conseil des politiques ont inclus l’innovation sociale et la finance sociale comme l’une de nos priorités politiques nationales, et en ont discuté longuement avec le personnel d’EDSC, le personnel politique du ministre Hussen, le personnel politique de la ministre Qualtrough, les députés Matthew Green et Leah Gazan, la sénatrice Nancy Hartling, ainsi que la cheffe du Parti vert Annamie Paul.
  • Ryan Turnbull, député de Whitby, a été un défenseur infatigable de l’innovation sociale et de la finance sociale, il a créé le caucus de l’innovation sociale du Parti libéral, organisé des discussions en table ronde avec des parties prenantes et plaidé la cause auprès de ses collègues parlementaires.

Nous avons travaillé fort pour nous assurer que le prochain budget fédéral contienne un engagement clair face à l’innovation sociale et la finance sociale. Jusqu’à présent, ça fonctionne. Le discours change. Capture d'écran d'une des visites virtuelles que nous avons organisées pour le ministre Hussen

En février, le RCDÉC a accueilli le ministre Hussen pour une visite virtuelle d’une semaine d’exemples d’innovation sociale de l’ensemble du pays. Selon des sources ministérielles, le ministre Hussen utilise ces exemples régulièrement dans des réunions et conversations, notamment dernièrement lors d’un discours public à l’Université d’Ottawa. La majorité du caucus libéral a signé une lettre aux ministres Freeland et Hussen leur demandant d’accélérer le Fonds de finance sociale et de renouveler et étendre le PPI et 25 sénateurs ont fait de même dans une autre lettre conjointe.

Plus récemment, grâce à nos efforts et à ceux des autres, un certain nombre d’éditoriaux ont été publiés dans des médias et des publications politiques de premier plan:

Notre fenêtre d’Overton est ouverte. Le gouvernement s’est engagé, à maintes reprises, à mieux rebâtir. Les organismes de la société civile et le public en général demandent que la relance après la COVID-19 soit équitable et durable, qu’elle renforce les communautés et accroisse la résilience. Une stratégie d’innovation sociale et de finance sociale est la façon d’y arriver.

Est-ce que nos efforts seront suffisants? Nous le découvrirons le 19 avril à la sortie du budget fédéral.

*The opinions expressed in blog posts are those of the author(s) and do not necessarily reflect the position of CCEDNet

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Les Prix Plus forts ensemble célèbrent les membres individuels et organisationnels qui ont fait des contributions exceptionnelles au développement économique communautaire ou qui ont fait preuve de leadership remarquable au RCDÉC afin de réaliser notre vision de communautés durables, équitables et inclusives qui créent leur avenir.

En 2019, les premiers prix ont été octroyés à trois personnes qui étaient devenues membres honoraires à vie au cours des ans : Eunice Grayson, Stewart Perry et Rankin MacSween.  En 2020, un Prix a été décerné à Diana Jedig pour son leadership de longue date au sein du conseil d’administration. Nous poursuivons notre tradition de reconnaître et d’honorer quatre membres du RCDÉC chaque année qui ont fait progresser le développement économique communautaire en travaillant à renforcer et à faire progresser les économies locales durables et équitables.

Un des quatre prix sera nommé le Prix de leadership jeunesse en honneur de l’engagement de Stewart Perry par rapport au leadership jeunesse dans le domaine du développement économique communautaire. Ce prix soutient l’action et l’innovation accomplie par de jeunes personnes qui ont créé un impact social positif au sein de leur communauté.

Nous sommes honorés de souligner le travail inestimable de notre réseau. Les membres du RCDÉC sont vivement encouragés à déposer la candidature de leurs pairs. La date limite pour déposer les candidatures est le 7 mai 2021 à 11 h 59, HNE.

Les lauréates et lauréats des Prix Plus forts ensemble de 2021 seront acclamés lors de la 22e assemblée générale annuelle, le 11 juin 2021.

Prochaines étapes :

  1. Veuillez lire les critères suivants, le processus de mise en candidature et les renseignements sur le processus de sélection sur cette page avant de déposer votre candidature.
  2. Veuillez répondre à toutes les questions du formulaire de mise en candidature et le soumettre.
  3. Veuillez envoyer une copie signée du formulaire de consentement de la candidate ou du candidat à Adriana Zylinski au courriel en prenant soin d’inscrire en objet [Prix Plus forts ensemble – « nom de la personne mise en candidature »] en plus d’indiquer que vous avez également soumis le formulaire de mise en candidature.

Critères

Les personnes mises en candidature doivent être des membres du RCDÉC en règle depuis au moins 1 an et faire preuve de leadership pour faire progresser le DÉC dans l’un ou plusieurs des domaines suivants :

  • renforcer des systèmes de soutien communautaires et créer de solutions qui profitent et dynamisent les personnes dans le besoin;
  • travail de revendication et de politiques qui encourage les représentants municipaux, provinciaux ou fédéraux à agir en faveur d’économies communautaires équitables, inclusives et durables;
  • favoriser des environnements d’apprentissage entre pairs et créer des liens de collaboration entre pairs qui engagent et créent de la capacité pour les autres afin de devenir des agents de changement dans leurs communautés;
  • Catégorie jeunesse : contribution importante ou innovation réalisée par une jeune personne (moins de 30 ans) qui a créé un impact social positif ou qui a inspiré d’autres personnes à s’engager afin de soutenir leurs communautés.

Processus de mise en candidature

Les candidatures peuvent être déposées par une ou un membre individuel ou organisationnel en règle qui ne siège pas au comité de sélection des Prix Plus forts ensemble. Les personnes ayant déjà remporté un prix ne peuvent être mises en candidature à nouveau, toutefois, les personnes ayant déjà été mises en candidature peuvent l’être.

Processus de sélection

Le comité de sélection des Prix Plus forts ensemble, composé de membres du conseil d’administration et de personnel du RCDÉC examinera les formulaires de candidatures et fera la sélection du ou des lauréates et lauréats de prix.

Le comité évaluera et notera les candidatures en fonction du contenu écrit du formulaire de mise en candidature et d’une évaluation du mérite.

Soutien 

Si vous avez des questions ou si vous avez besoin d’aide pour faire parvenir votre candidature, veuillez contacter Adriana Zylinski à .

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Affiche de CréeAction : Le Réseau canadien de développement économique communautaire est heureux d’inviter les membres organisationnels à faire une demande pour devenir un employeur par l’entremise du programme CréeAction : programme d’innovation sociale inclusive. Vous n’êtes pas déjà membre? Vérifiez comment vous pouvez vous joindre au réseau (incluant des options d’accessibilité) en consultant la page d’adhésion au RCDÉC.

À propos

Le but de CréeAction est de fournir des emplois et des occasions d’apprentissages pertinents pour leurs carrières à de jeunes déscolarisés sans emploi (NEET) qui font face à des obstacles à l’emploi.  Ces placements auront lieu selon les conditions d’une entente de contribution entre le Réseau canadien de DÉC et Emploi et Développement social Canada dans le cadre de la Stratégie emploi et compétences jeunesse.

Le Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) et l’Association nationale des Centres d’amitié (ANCA) travaillent en collaboration afin de mettre en œuvre le programme CréeAction à l’aide de financement en provenance d’Emploi et Développement social Canada et avec du soutien pour l’évaluation de la Société de recherche sociale appliquée (SRSA).

Tous les placements d’expérience de travail soutiendront de jeunes personnes afin de faire progresser leurs intérêts de carrière dans le développement économique communautaire et l’économie sociale et/ou de la prestation de services autochtone hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones.

Cet appel de propositions est pour les placements qui se tiendront du 21 juin au 17 décembre 2021 (26 semaines). Le programme CréeAction fournira un salaire de 19,50 $/heure pour 37,5 heures/semaine aux jeunes. Les employeurs peuvent choisir d’augmenter le salaire de leurs jeunes à leurs frais. La date limite pour déposer des demandes est le 9 avril 2021 à 23 h 59, heure normale du Pacifique.

Les employeurs seront sélectionnés en fonction des critères suivants :

  • engagement à soutenir et à concilier les besoins des jeunes faisant face à des obstacles et une volonté d’accroître la capacité organisationnelle en conséquence;
  • un engagement face au principe que le programme CréeAction est avant tout un programme conçu pour soutenir les jeunes personnes avec des obstacles à l’emploi;
  • une volonté d’embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme;
  • avoir un poste disponible qui s’aligne avec le niveau d’une jeune personne avec des obstacles à l’emploi, et avoir la volonté d’adapter le poste en fonction des compétences/capacités de la personne qui a été identifiée pour le poste;
  • engagement et capacité organisationnelle d’aider les jeunes avec leur travail quotidien, de leur fournir de l’encadrement et du soutien pour le développement de leur carrière;
  • diversité géographique (p. ex. rurale, éloignée, autochtone, nordique, communautés francophones à l’extérieur du Québec ainsi que les communautés urbaines défavorisées ayant des populations de nouveaux immigrants);
  • capacité avérée à recruter et à soutenir des personnes qui sont autochtones, noires, racialisées, LGBTQ2S+, de nouveaux arrivants au Canada, francophones ou qui vivent avec une incapacité;
  • engagement à participer dans un réseau de soutien entre pairs des employeurs;
  • dévouement à aider la ou le jeune à transposer son expérience dans un emploi à temps plein ou d’étude;
  • capacité de recruter et de soutenir des jeunes déscolarisés sans emploi (NEET);
  • capacité de recruter et de soutenir des jeunes de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
  • capacité à soutenir de façon adéquate le développement de compétences des jeunes avec du soutien supplémentaire des partenaires de CréeAction.
  • pertinence de l’expérience de travail proposée en relation avec le développement économique communautaire et l’innovation sociale (consultez la définition du DÉC du Réseau canadien de DÉC) et/ou de la prestation de services autochtones hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones (visitez le site Web de l’ANCA).

La priorité sera accordée aux organisations qui offrent des soutiens sociaux aux adultes ou jeunes dans le cadre de leur mandat (p. ex. organisations qui servent ou soutiennent les personnes nouvellement arrivées, réfugiées, qui ont survécu à la violence ou fuyant l’abus ou les personnes ayant auparavant été incarcérées et les personnes qui vivent avec ou qui surmontent des défis de santé mentale ou des troubles de consommation de substances ou encore de précarité des logements, etc.).

Les employeurs :

  • offriront une occasion pertinente d’emploi de 26 semaines;
  • chercheront activement des jeunes de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
  • embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme CréeAction;
  • offriront aux jeunes une session d’orientation relative à l’employeur;
  • développeront, au début du placement, un plan d’apprentissage avec les jeunes;
  • développeront et mettront en œuvre un plan afin de fournir suffisamment de services de soutien pour permettre aux jeunes de réussir leur placement;
  • fourniront des ressources et du temps suffisants pour superviser efficacement et offrir du mentorat aux jeunes à l’expérience de travail;
  • s’engageront à avoir des réunions hebdomadaires avec les jeunes afin de soutenir leurs objectifs d’apprentissage;
  • planifieront un minimum de :
    • six (6) heures par semaine pour que le jeune à l’expérience de travail participe à des activités d’apprentissage entre pairs;
    • trois (3) journées de travail pour que le jeune participe à un événement d’apprentissage en personne ou en ligne.
  • fourniront, avec l’appui du programme CréeAction des conseils de carrière, de la rétroaction régulière et des conseils aux jeunes et aideront les jeunes à accéder à de la formation ou des emplois pertinents pour leur future carrière à la fin de leur placement;
  • fourniront aux jeunes tous les matériaux de travail raisonnablement nécessaires;
  • fourniront au Réseau canadien de DÉC des rapports d’avancement périodiques et produiront des rapports sur les résultats à la fin de l’expérience de travail;
  • participeront à trois (3) sessions nationales virtuelles des employeurs avec le Réseau canadien de DÉC et d’autres organisations choisies;
  • travailleront avec les évaluateurs du programme CréeAction sur les activités liées à l’évaluation, telles que les activités relatives aux évaluations de mi-parcours et de fin de placement;
  • identifieront des candidats avant le 4 juin afin de permettre aux jeunes de commencer leurs pla
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    Matthew Thompson

    Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

    Matthew Thompson

Affiche de CréeAction : Le Réseau canadien de développement économique communautaire est heureux d’inviter les membres organisationnels à faire une demande pour devenir un employeur par l’entremise du programme CréeAction : programme d’innovation sociale inclusive. Vous n’êtes pas déjà membre? Vérifiez comment vous pouvez vous joindre au réseau (incluant des options d’accessibilité) en consultant la page d’adhésion au RCDÉC.

À propos

Le but de CréeAction est de fournir des emplois et des occasions d’apprentissages pertinents pour leurs carrières à de jeunes déscolarisés sans emploi (NEET) qui font face à des obstacles à l’emploi.  Ces placements auront lieu selon les conditions d’une entente de contribution entre le Réseau canadien de DÉC et Emploi et Développement social Canada dans le cadre de la Stratégie emploi et compétences jeunesse.

Le Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) et l’Association nationale des Centres d’amitié (ANCA) travaillent en collaboration afin de mettre en œuvre le programme CréeAction à l’aide de financement en provenance d’Emploi et Développement social Canada et avec du soutien pour l’évaluation de la Société de recherche sociale appliquée (SRSA).

Tous les placements d’expérience de travail soutiendront de jeunes personnes afin de faire progresser leurs intérêts de carrière dans le développement économique communautaire et l’économie sociale et/ou de la prestation de services autochtone hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones.

Cet appel de propositions est pour les placements qui se tiendront du 21 juin au 17 décembre 2021 (26 semaines). Le programme CréeAction fournira un salaire de 19,50 $/heure pour 37,5 heures/semaine aux jeunes. Les employeurs peuvent choisir d’augmenter le salaire de leurs jeunes à leurs frais. La date limite pour déposer des demandes est le 9 avril 2021 à 23 h 59, heure normale du Pacifique.

Les employeurs seront sélectionnés en fonction des critères suivants :

  • engagement à soutenir et à concilier les besoins des jeunes faisant face à des obstacles et une volonté d’accroître la capacité organisationnelle en conséquence;
  • un engagement face au principe que le programme CréeAction est avant tout un programme conçu pour soutenir les jeunes personnes avec des obstacles à l’emploi;
  • une volonté d’embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme;
  • avoir un poste disponible qui s’aligne avec le niveau d’une jeune personne avec des obstacles à l’emploi, et avoir la volonté d’adapter le poste en fonction des compétences/capacités de la personne qui a été identifiée pour le poste;
  • engagement et capacité organisationnelle d’aider les jeunes avec leur travail quotidien, de leur fournir de l’encadrement et du soutien pour le développement de leur carrière;
  • diversité géographique (p. ex. rurale, éloignée, autochtone, nordique, communautés francophones à l’extérieur du Québec ainsi que les communautés urbaines défavorisées ayant des populations de nouveaux immigrants);
  • capacité avérée à recruter et à soutenir des personnes qui sont autochtones, noires, racialisées, LGBTQ2S+, de nouveaux arrivants au Canada, francophones ou qui vivent avec une incapacité;
  • engagement à participer dans un réseau de soutien entre pairs des employeurs;
  • dévouement à aider la ou le jeune à transposer son expérience dans un emploi à temps plein ou d’étude;
  • capacité de recruter et de soutenir des jeunes déscolarisés sans emploi (NEET);
  • capacité de recruter et de soutenir des jeunes de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
  • capacité à soutenir de façon adéquate le développement de compétences des jeunes avec du soutien supplémentaire des partenaires de CréeAction.
  • pertinence de l’expérience de travail proposée en relation avec le développement économique communautaire et l’innovation sociale (consultez la définition du DÉC du Réseau canadien de DÉC) et/ou de la prestation de services autochtones hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones (visitez le site Web de l’ANCA).

La priorité sera accordée aux organisations qui offrent des soutiens sociaux aux adultes ou jeunes dans le cadre de leur mandat (p. ex. organisations qui servent ou soutiennent les personnes nouvellement arrivées, réfugiées, qui ont survécu à la violence ou fuyant l’abus ou les personnes ayant auparavant été incarcérées et les personnes qui vivent avec ou qui surmontent des défis de santé mentale ou des troubles de consommation de substances ou encore de précarité des logements, etc.).

Les employeurs :

  • offriront une occasion pertinente d’emploi de 26 semaines;
  • chercheront activement des jeunes de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
  • embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme CréeAction;
  • offriront aux jeunes une session d’orientation relative à l’employeur;
  • développeront, au début du placement, un plan d’apprentissage avec les jeunes;
  • développeront et mettront en œuvre un plan afin de fournir suffisamment de services de soutien pour permettre aux jeunes de réussir leur placement;
  • fourniront des ressources et du temps suffisants pour superviser efficacement et offrir du mentorat aux jeunes à l’expérience de travail;
  • s’engageront à avoir des réunions hebdomadaires avec les jeunes afin de soutenir leurs objectifs d’apprentissage;
  • planifieront un minimum de :
    • six (6) heures par semaine pour que le jeune à l’expérience de travail participe à des activités d’apprentissage entre pairs;
    • trois (3) journées de travail pour que le jeune participe à un événement d’apprentissage en personne ou en ligne.
  • fourniront, avec l’appui du programme CréeAction des conseils de carrière, de la rétroaction régulière et des conseils aux jeunes et aideront les jeunes à accéder à de la formation ou des emplois pertinents pour leur future carrière à la fin de leur placement;
  • fourniront aux jeunes tous les matériaux de travail raisonnablement nécessaires;
  • fourniront au Réseau canadien de DÉC des rapports d’avancement périodiques et produiront des rapports sur les résultats à la fin de l’expérience de travail;
  • participeront à trois (3) sessions nationales virtuelles des employeurs avec le Réseau canadien de DÉC et d’autres organisations choisies;
  • travailleront avec les évaluateurs du programme CréeAction sur les activités liées à l’évaluation, telles que les activités relatives aux évaluations de mi-parcours et de fin de placement;
  • identifieront des candidats avant le 4 juin afin de permettre aux jeunes de commencer leurs placements d’expérience de travail le 21 janvier.
  • deviendront membre du Réseau canadien de DÉC, s’ils ne le sont pas déjà.

Les partenaires de CréeAction (RCDÉC, ANCA et SRSA)  :

  • couvriront les coûts d’emploi à temps plein pour les jeunes de l’expérience de travail à un taux de 19,50 $/heure (bien que les employeurs peuvent choisir d’augmenter le montant);
  • aideront les employeurs en leur donnant les conseils nécessaires et le soutien pour atteindre les objectifs du programme;
  • fourniront, en collaboration avec les employeur, des soutiens globaux sur mesure pour les jeunes y compris de soutenir la capacité d’employeurs dans leur capacité de fournir des appuis sociaux aux jeunes;
  • fourniront un programme solide d’apprentissage entre pairs et de mentorat pour le développement profession des jeunes à l’expérience de travail pour la durée du placement;
  • coordonneront des appels vidéo hebdomadaires pour que les jeunes apprennent, partagent leurs expériences et se réseautent;
  • organiseront une plateforme virtuelle pour que les jeunes se regroupent et partagent des expériences tout au long du programme CréeAction;
  • coordonneront trois (3) appels vidéo pour que les employeurs partagent des expériences et se réseautent;
  • travailleront avec les employeurs pour offrir du soutien par la médiation ou pour résoudre des disputes qui surviennent avec les jeunes à l’expérience de travail;
  • travailleront en étroite collaboration avec les employeurs en cas de crise ou de conflit avec le placement d’expérience de travail, y compris toute décision de mettre fin au placement d’expérience de travail en dernier recours;
  • réaliseront des évaluations de mi-parcours et des sondages de fin de placement auprès des jeunes et des employeurs afin de suivre les progrès, mesurer les apprentissages des jeunes et enregistrer les résultats, les attentes en matière de carrière et la satisfaction des jeunes.

Afin de participer au programme CréeAction, les jeunes admissibles doivent :

  • ​être déscolarisés et sans emploi (NEET);
  • être une jeune personne ayant des obstacles à l’emploi;
  • être âgés de 15 à 30 ans (inclusivement) au début du placement;
  • détenir la citoyenneté canadienne, la résidence permanente ou être des personnes protégées conformément à la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés;
  • être légalement autorisés à travailler au Canada;
  • être légalement autorisés à travailler conformément aux lois et règlements provinciaux/territoriaux pertinents.

Comment faire une demande?

Remplissez un formulaire de demande en ligne ici

Si vous avez besoin d’un formulaire de demande hors ligne, veuillez contacter Matthew Thompson aux coordonnées ci-dessous. La date limite pour le dépôt des demandes des employeurs est le 9 avril 2021 à 23 h 59, heure normale du Pacifique.

Les jeunes intéressés au programme devraient postuler directement auprès des employeurs. Les employeurs retenus seront annoncés sur le site Web du Réseau canadien de DÉC.

Pour plus de renseignements, veuillez contacter Matthew Thompson, Directeur de l’engagement, ou Adriana Zylinski, Pilote de l’engagement du Réseau, à .

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Nous vous invitons à participer à l’assemblée générale annuelle (AGA) du RCDÉC! Veuillez inscrire les dates ci-dessous à votre agenda dès maintenant.

11 juin 2021

10h Pacifique, 11h Rocheuses, 12h  Centre, 13h Est, 14h Atlantique, 14h30 Terre-Neuve

Suite au succès des six dernières années, l’AGA sera entièrement virtuelle et bilingue. Les membres pourront présenter des propositions, voter et faire des commentaires en anglais ou en français, et ce, du confort de leur ordinateur personnel. 

Vous pouvez consulter le règlement du RCDÉC ici.

Les documents pour l’AGA

Les documents pour l’AGA seront affichés ici à mesure qu’ils deviennent disponibles.

Appel de résolutions

Nous n’acceptons plus des résolutions soumises en ligne.

Nominations au conseil

Les candidatures sont maintenant fermés. Cette année, il y avait quatre sièges à pourvoir. Quatre nominations ont été proposées, donc, notre directrice des élections a déclaré que les quatre personnes ont été élues par acclamation. Rencontrez les nouveaux membres du conseil d’administration.

Prix Plus forts ensemble

Nous n’acceptons plus de nominations.

S’inscrire maintenant

La date limite pour s’inscrire à l’AGA est le 8 juin.  Tous les membres en règle sont encouragés à participer.


Cette année, nous sommes ravis d’offrir une journée de soutien à l’apprentissage et au réseautage des membres, en plus de notre réunion d’affaires annuelle.  Pour vous inscrire, assurez-vous de donner votre nom afin de participer à l’AGA et recevoir un lien vers une journée d’activités spéciales pour les membres!  Voici ce que comprend la journée.

11 h à 12 h 30, ET – SURFER LES VAGUES DU LEADERSHIP À TRAVERS LA COVID-19

Que vous soyez une direction générale ou en début de carrière, il n’y a aucun doute que la dernière année vous a mis au défi, tant personnellement que professionnellement. Travailler pour atteindre des communautés viables, équitables et inclusives pendant une pandémie vous a probablement exigé d’aiguiser plusieurs nouvelles compétences, d’abandonner beaucoup de contrôle et de développer des mécanismes de réaction par rapport à des changements quasi constants.

Le leadership intentionnel n’a jamais été aussi précieux. Suzanne Gibson, notre merveilleuse animatrice du programme de leadership communautaire, vous mènera dans des exercices qui portent sur des styles de leadership, la gestion du changement et le pouvoir.

Cette session de 90 minutes vous offrira aussi du temps guidé pour contextualiser ce que vous vivez sur votre trajet personnel de leadership, ainsi que la chance d’entendre vos pairs parmi les membres du RCDÉC partager les défis et les possibilités de leadership pendant la COVID-19.


Lauren Eddy12 h 30 à 12 h 45, ET – INVITEÉ MUSICAL LAUREN EDDY 


12 h 45 à 13 h, ET – Pause


13 h à 14 h, ET – RÉUNION D’AFFAIRES DE L’AGA


14 h à 14 h 20 – PLUS FORTS ENSEMBLE

Une célébration du rôle indispensable de leadership joué par nos membres du RCDÉC dans des communautés à travers le Canada.


14 h 20 à 14 h 30, ET – Pause


14 h 30 à 16 h, ET – VISITES DE PERRON : CRÉER LE QUARTIER DE MEMBRES 

Plus nous connaissons nos voisins, mieux nous pouvons collaborer afin de créer de merveilleux endroits où vivre. Un quartier de membres est la même chose! Il est temps de célébrer d’avoir survécu à l’année, de nous fortifier pour la route à venir, et de rassembler notre expertise collective alors que nous nous tournons vers ce qui s’en vient.

Qu’est-ce qui est le plus vivant pour vous et votre communauté en ce moment? Comment cela s’inscrit dans la direction que vous souhaitez que notre réseau prenne?

Joignez-vous à nous sur le perron, et apprenez à connaître vos voisins membres alors que nous traçons nos actifs de quartier et reconnaissons les possibles lacunes. Apportez votre histoire à partager!

En nous connaissant et en nous écoutant les uns les autres plus en profondeur, nous pouvons presque façonner nos efforts pour un avenir qui nous soutient toutes et tous. Avec des portes et des fenêtres ouvertes, devenons de bons voisins.


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image de la visite virtuelle avec Min HussenPendant la semaine du 8 au 12 février, le RCDÉC a eu le grand plaisir de visiter, virtuellement bien sûr, neuf exemples d’innovation du leadership communautaire au Canada. Ces visites faisaient partie d’une tournée organisée par le RCDÉC pour l’honorable Ahmed Hussen, ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social.

Nous avons découvert les initiatives de transition en matière d’emploi de Mother Earth Recycling, Embers Staffing Solutions et Build Up Saskatoon. Nous avons été inspirés par les projets de revitalisation de Greater Dorchester Moving Forward Co-op, Shorefast et Community Seniors Co-operative.

SE Health nous a montré que des modèles peuvent prendre de l’envergure tout en conservant une approche axée sur la communauté. Nous avons vu les petites entreprises Akoma Holdings et Kaapittiaq axées sur la communauté et les personnes qui la constituent et non sur les profits. La plupart de nos guides ont souligné de l’importance de la durabilité écologique dans leur philosophie et leur activité. Ils ont provoqué des réflexions profondes sur des défis majeurs et complexes avec lesquels notre pays est aux prises : le logement, les soins aux personnes âgées, le système judiciaire et bien plus.

anciens et fondateurs du café KaapittiaqEn fin de compte, nous avons été épatés par l’incroyable leadership et innovation qui existent au sein des communautés partout au pays. (Nous avons également réalisé que nous sommes vraiment impatients de retrouver un monde post-COVID pour pouvoir réellement rencontrer quelques-unes de ces personnes hors du commun.)

Nous avons fini cette tournée avec une table ronde entre le ministre Hussen et les membres du Groupe sur l’économie citoyenne. Durant cette discussion, le ministre Hussen nous a fait part de son appréciation du travail réalisé par les organismes au sein de leurs communautés et de l’innovation dont ils font preuve pour résoudre des problèmes sociaux complexes. L’écosystème de l’économie sociale québécoise a été pris comme exemple pour illustrer les réalisations possibles dans chaque région du Canada avec un soutien et un investissement adéquats de la part du gouvernement. Des représentants d’organismes autochtones et de femmes ont soutenu que l’innovation sociale et la finance sociale peuvent créer des opportunités pour les personnes les plus sévèrement touchées par la pandémie.

Image de la visite virtuelle avec min hussenC’était un beau moyen de passer une semaine agréable. Mais, il ne s’agissait pas seulement de nous divertir. La raison d’être de cette tournée était de voir certains des impacts du Programme de préparation à l’investissement (PPI), de mettre en évidence des exemples d’initiatives qui peuvent s’étendre au programme Innovation sociale et finance sociale (misant sur notre campagne de l’année passée) et de découvrir des moyens de créer des emplois et de contribuer à une relance économique forte de façon à promouvoir l’inclusion et la résilience tout en protégeant les Canadiennes et les Canadiens les plus vulnérables.

À chaque étape de cette tournée, nos guides ont insisté sur les besoins dans les domaines suivants : finance sociale, approvisionnement social, partage des connaissances d’une communauté à l’autre, accès accru à l’innovation fédérale, développement commercial, programmes de formation professionnelle, écosystème en faveur de l’économie sociale. Ils ont parlé du besoin de cocréation avec le gouvernement afin de s’assurer que les changements politiques et législatifs répondent aux besoins des communautés. Coïncidence ou non, ces thèmes récurrents font tous partie des 12 recommandations du Groupe directeur chargé de la co-création de la stratégie d’innovation sociale et de finance sociale. Le RCDÉC travaille d’arrache-pied pour sensibiliser les décideurs politiques à ces recommandations. Plus précisément, nous revendiquons que le prochain budget fédéral prévoit du financement pour renouveler et élargir le PPI, accélérer le Fonds de finance sociale et mettre en œuvre une stratégie complète d’innovation sociale et de finance sociale, répondant aux 12 recommandations.

Logo du Programme de préperation à l'investissementFavoriser l’innovation sociale au Canada changerait fortement et fondamentalement la façon dont les communautés et les leaders communautaires se perçoivent en tant qu’agents de changements positifs. Vous pouvez aider à faire passer le message en :

*Les opinions exprimées dans des billets de blogue sont celles de l’auteur; elles ne reflètent pas nécessairement celles du RCDÉC.

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L’Initiative pour des collectivités en santé est un investissement de 31 millions de dollars du gouvernement du Canada pour transformer les espaces publics en réponse à la COVID-19.

Les lieux publics de nos collectivités sont les liants de nos collectivités. Ils créent un sentiment d’appartenance, d’interdépendance et de cohésion sociale, ils favorisent notre identité collective et ce en dépit de nos différences. La COVID-19 a imposé d’importantes contraintes pour l’accès et l’utilisation de ces espaces dans les collectivités canadiennes. Les impacts du virus ont été extrêmement divers, mettant en lumière les inégalités entre les communautés et affectant de façon disproportionnée des personnes déjà en situation de vulnérabilité.

Confrontées à ces défis, les collectivités ont fait preuve de beaucoup de créativité en proposant des solutions temporaires et à plus long terme aux difficultés engendrées par la COVID-19. Beaucoup de collectivités répondent aux besoins immédiats tout en réfléchissant à la façon de construire des espaces à l’épreuve de futures pandémies. Nous voyons les lieux publics se transformer, souvent à l’aide du numérique, pour permettre aux gens et aux communautés de rester en contact, en sécurité et en santé, tout en respectant les mesures et les normes de santé publique comme la distanciation physique et le port de couvre-visage.

L’Initiative pour des collectivités en santé fournira un financement à un large éventail d’organismes (gouvernements locaux, organismes de bienfaisance, OBNL et communautés autochtones) pour des projets, des programmes et des services qui aident les collectivités à :

  • créer des espaces publics sécuritaires et vivants;
  • améliorer les options en matière de mobilité;
  • fournir des solutions numériques novatrices afin d’augmenter la connectivité sociale et d’améliorer la santé. 

Les organismes peuvent déposer une demande à l’Initiative pour des collectivités en santé, à compter du 9 février 2021, et jusqu’au 9 mars 2021, à 17 h (HNP). 

En savoir plus sur l’Initiative canadienne pour des collectivités en santé

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L’Initiative pour des collectivités en santé est un investissement de 31 millions de dollars du gouvernement du Canada pour transformer les espaces publics en réponse à la COVID-19.

Les lieux publics de nos collectivités sont les liants de nos collectivités. Ils créent un sentiment d’appartenance, d’interdépendance et de cohésion sociale, ils favorisent notre identité collective et ce en dépit de nos différences. La COVID-19 a imposé d’importantes contraintes pour l’accès et l’utilisation de ces espaces dans les collectivités canadiennes. Les impacts du virus ont été extrêmement divers, mettant en lumière les inégalités entre les communautés et affectant de façon disproportionnée des personnes déjà en situation de vulnérabilité.

Confrontées à ces défis, les collectivités ont fait preuve de beaucoup de créativité en proposant des solutions temporaires et à plus long terme aux difficultés engendrées par la COVID-19. Beaucoup de collectivités répondent aux besoins immédiats tout en réfléchissant à la façon de construire des espaces à l’épreuve de futures pandémies. Nous voyons les lieux publics se transformer, souvent à l’aide du numérique, pour permettre aux gens et aux communautés de rester en contact, en sécurité et en santé, tout en respectant les mesures et les normes de santé publique comme la distanciation physique et le port de couvre-visage.

L’Initiative pour des collectivités en santé fournira un financement à un large éventail d’organismes (gouvernements locaux, organismes de bienfaisance, OBNL et communautés autochtones) pour des projets, des programmes et des services qui aident les collectivités à :

  • créer des espaces publics sécuritaires et vivants;
  • améliorer les options en matière de mobilité;
  • fournir des solutions numériques novatrices afin d’augmenter la connectivité sociale et d’améliorer la santé. 

Les organismes peuvent déposer une demande à l’Initiative pour des collectivités en santé, à compter du 9 février 2021, et jusqu’au 9 mars 2021, à 17 h (HNP). 

En savoir plus sur l’Initiative canadienne pour des collectivités en santé

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Mitacs Logo
Scotiabank Logo

Depuis plus de 20 ans, Mitacs a collaboré avec plus de 100 universités et établissements postsecondaires, des milliers d’entreprises, des OSBL ainsi que les gouvernements au niveau fédéral, provincial et territorial pour établir des partenariats qui appuient l’innovation industrielle et sociale au Canada. 

La Banque Scotia et Mitacs unissent leurs forces pour créer le Fonds de recherche de la Banque Scotia sur la résilience économique (FRBSRE). Ce partenariat de 300 000 $ sur trois ans soutiendra la recherche afin de faire progresser la résilience économique dans les communautés à travers le Canada. 

La résilience économique comprend trois objectifs de progrès pour les individus et les communautés.

  • Inclusion :  l’accès étendu et la participation aux opportunités économiques
  • Stabilité :  la capacité de conserver un bien-être financier malgré l’incertitude et les défis
  • Mobilité :  la capacité d’améliorer les conditions économiques et financières 

Les objectifs du FRBSRE sont les suivants :

  • soutenir la prochaine génération capable de trouver des solutions aux problèmes et s’assurer que les étudiantes et les étudiants sont activement impliqués dans des recherches communautaires innovantes, utiles et pertinentes
  • permettre à des OSBL et des organismes de bienfaisance canadiens d’accéder aux ressources qualifiées d’établissements d’enseignement afin de fournir des connaissances ayant trait à la résilience économique des communautés canadiennes
  • réduire l’écart entre le besoin de recherche scientifique et l’impact communautaire
  • renforcer les relations entre les OSBL canadiens et le milieu postsecondaire à l’aide de collaborations et de partage de connaissances
  • réduire les barrières financières pour que les OSBL canadiens accèdent à de l’expertise de recherche
  • accroître le nombre de chercheuses et chercheurs qui représentent la communauté des personnes autochtones, noires et de couleur (PANDC)
  • continuer d’orienter la stratégie d’impact social de la Banque Scotia afin de s’assurer qu’elle investisse dans des projets qui ont un impact

Thèmes de recherche du FRBSRE

Dans le cadre de cette initiative, le partenariat sollicitera des demandes de recherche qui s’inscrivent dans les trois thèmes clés ci-dessous.

  • Accélérer l’intégration des nouvelles et nouveaux arrivants
    • L’intégration réussie et rapide des nouvelles et nouveaux arrivants favorise l’autonomie financière et la contribution à la société. La prospérité et la résilience économique du Canada sont fortement liées au nombre et à la réussite des personnes immigrées. 
    • Les projets de recherche proposés cibleront les nouvelles et nouveaux arrivants au Canada (au cours des trois dernières années), y compris les personnes immigrées et réfugiées ainsi que les travailleuses et travailleurs étrangers temporaires pour aider à accélérer leur accès à des emplois valorisants. Les éléments essentiels à l’intégration pourraient inclure la langue, la culture et les aptitudes à la vie quotidienne, la formation permettant de se qualifier et de trouver un emploi et les réseaux de soutien. 
  • Accroître la diplomation du secondaire et la participation postsecondaire
    • Les études secondaires et postsecondaires accroissent les perspectives d’emploi, les opportunités de vie et les chances de réussite financière. 
    • Les projets de recherche proposés cibleront les populations défavorisées, y compris les communautés autochtones du Canada et les jeunes à risque afin d’ultimement faciliter la croissance du taux de diplomation du secondaire et de participation postsecondaire. L’enseignement postsecondaire est défini largement afin d’inclure les programmes universitaires, collégiaux et de formation professionnelle. 
  • Éliminer les obstacles à l’avancement professionnel pour les groupes marginalisés
    • Les personnes et groupes défavorisés doivent surmonter plus fréquemment que d’autres des obstacles pour intégrer le marché de l’emploi et obtenir des promotions. Cette situation est injuste et improductive. 
    • Les projets de recherche proposés cibleront l’appui aux femmes, à la communauté PANDC, ainsi qu’à d’autres groupes en quête d’équité (p. ex. personnes vivant avec une incapacité, vétérans, LGBTQ, etc.) afin de déterminer comment éliminer les obstacles qui les empêchent d’obtenir des emplois valorisants, de réduire les écarts en représentation dans les directions et de trouver des solutions pour l’accès aux emplois et aux promotions. 

Date limite pour le dépôt des EI : 11 février 2021

En savoir plus et poser sa candidature

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson
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Depuis plus de 20 ans, Mitacs a collaboré avec plus de 100 universités et établissements postsecondaires, des milliers d’entreprises, des OSBL ainsi que les gouvernements au niveau fédéral, provincial et territorial pour établir des partenariats qui appuient l’innovation industrielle et sociale au Canada. 

La Banque Scotia et Mitacs unissent leurs forces pour créer le Fonds de recherche de la Banque Scotia sur la résilience économique (FRBSRE). Ce partenariat de 300 000 $ sur trois ans soutiendra la recherche afin de faire progresser la résilience économique dans les communautés à travers le Canada. 

La résilience économique comprend trois objectifs de progrès pour les individus et les communautés.

  • Inclusion :  l’accès étendu et la participation aux opportunités économiques
  • Stabilité :  la capacité de conserver un bien-être financier malgré l’incertitude et les défis
  • Mobilité :  la capacité d’améliorer les conditions économiques et financières 

Les objectifs du FRBSRE sont les suivants :

  • soutenir la prochaine génération capable de trouver des solutions aux problèmes et s’assurer que les étudiantes et les étudiants sont activement impliqués dans des recherches communautaires innovantes, utiles et pertinentes
  • permettre à des OSBL et des organismes de bienfaisance canadiens d’accéder aux ressources qualifiées d’établissements d’enseignement afin de fournir des connaissances ayant trait à la résilience économique des communautés canadiennes
  • réduire l’écart entre le besoin de recherche scientifique et l’impact communautaire
  • renforcer les relations entre les OSBL canadiens et le milieu postsecondaire à l’aide de collaborations et de partage de connaissances
  • réduire les barrières financières pour que les OSBL canadiens accèdent à de l’expertise de recherche
  • accroître le nombre de chercheuses et chercheurs qui représentent la communauté des personnes autochtones, noires et de couleur (PANDC)
  • continuer d’orienter la stratégie d’impact social de la Banque Scotia afin de s’assurer qu’elle investisse dans des projets qui ont un impact

Thèmes de recherche du FRBSRE

Dans le cadre de cette initiative, le partenariat sollicitera des demandes de recherche qui s’inscrivent dans les trois thèmes clés ci-dessous.

  • Accélérer l’intégration des nouvelles et nouveaux arrivants
    • L’intégration réussie et rapide des nouvelles et nouveaux arrivants favorise l’autonomie financière et la contribution à la société. La prospérité et la résilience économique du Canada sont fortement liées au nombre et à la réussite des personnes immigrées. 
    • Les projets de recherche proposés cibleront les nouvelles et nouveaux arrivants au Canada (au cours des trois dernières années), y compris les personnes immigrées et réfugiées ainsi que les travailleuses et travailleurs étrangers temporaires pour aider à accélérer leur accès à des emplois valorisants. Les éléments essentiels à l’intégration pourraient inclure la langue, la culture et les aptitudes à la vie quotidienne, la formation permettant de se qualifier et de trouver un emploi et les réseaux de soutien. 
  • Accroître la diplomation du secondaire et la participation postsecondaire
    • Les études secondaires et postsecondaires accroissent les perspectives d’emploi, les opportunités de vie et les chances de réussite financière. 
    • Les projets de recherche proposés cibleront les populations défavorisées, y compris les communautés autochtones du Canada et les jeunes à risque afin d’ultimement faciliter la croissance du taux de diplomation du secondaire et de participation postsecondaire. L’enseignement postsecondaire est défini largement afin d’inclure les programmes universitaires, collégiaux et de formation professionnelle. 
  • Éliminer les obstacles à l’avancement professionnel pour les groupes marginalisés
    • Les personnes et groupes défavorisés doivent surmonter plus fréquemment que d’autres des obstacles pour intégrer le marché de l’emploi et obtenir des promotions. Cette situation est injuste et improductive. 
    • Les projets de recherche proposés cibleront l’appui aux femmes, à la communauté PANDC, ainsi qu’à d’autres groupes en quête d’équité (p. ex. personnes vivant avec une incapacité, vétérans, LGBTQ, etc.) afin de déterminer comment éliminer les obstacles qui les empêchent d’obtenir des emplois valorisants, de réduire les écarts en représentation dans les directions et de trouver des solutions pour l’accès aux emplois et aux promotions. 

Date limite pour le dépôt des EI : 11 février 2021

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