Le Fonds d’innovation pour la gouvernance et la gestion des entreprises collectivesFilaction, Fondaction et la Caisse d’économie solidaire Desjardins s’unissent pour créer le Fonds INNOGEC, un fonds d’innovation pour soutenir la gouvernance et la gestion des entreprises d’économie sociale. Mis en place en partenariat avec le Ministère de l’économie, de la Science et de l’Innovation, le Fonds INNOGEC permettra à ces entreprises de propriété collective de bénéficier de services conseils accessibles en gestion et en gouvernance. 150 000$ sont ainsi mis à disposition sous forme de contribution non remboursable servant au paiement jusqu’à concurrence de 40% des frais d’honoraires professionnels pour de interventions conseils.

« Nous sommes heureux de ce partenariat qui répond au besoin des entreprises collectives d’accéder à de l’aide technique spécifique et adaptée à la nature de leur entreprise, se réjouit Milder Villegas, directeur général de Filaction. Grâce au Fonds INNOGEC, les entreprises de l’économie sociale pourront mettre en valeur leurs projets. »

« Depuis ses débuts, Fondaction accorde une attention particulière aux entreprises d’économie sociale dans une perspective de développement durable. À ce jour, près de 30 % des investissements de Fondaction sont effectués auprès d’entreprises d’économie sociale et solidaire, ce qui est trois fois plus élevé que le poids de l’économie sociale dans l’économie du Québec. Nous sommes fiers de pouvoir continuer à les soutenir, y compris par notre implication dans ce fonds », explique Léopold Beaulieu, président et directeur général de Fondaction.

« C’est avec fierté que la Caisse d’économie solidaire orientera ses membres vers INNOGEC. Cette initiative contribue au renforcement et au perfectionnement des compétences en gestion et des capacités des entrepreneurs collectifs du Québec, souligne Marc Picard, directeur général de la Caisse. Notre institution financière compte plus de 3000 membres entreprises collectives, qui l’ont choisie pour son expertise, sa créativité ainsi que son sens de l’initiative et de l’engagement dans le cadre de nombreux projets partenariaux comme celui du fonds INNOGEC. »

Le Fonds INNOGEC propose aux entreprises une contribution non remboursable afin de financer l’appel à des conseillers externes pour des interventions d’aide. Les services visés par l’initiative sont larges, couvrant des activités de planification stratégique, de plan d’affaires, de diagnostics organisationnels, d’études de marché, ou encore de communications. Il s’agira d’opérations ponctuelles au service du développement des entreprises utilisatrices.

Doté d’une enveloppe de 150 000 $, le Fonds INNOGEC agit en complémentarité de la capacité propre des entreprises. Le Fonds INNOGEC a reçu l’appui du Ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation pour 50 % de son financement.

Il offre un soutien en contribution non remboursable d’une valeur pouvant contribuer à réduire jusqu’à 40 % des frais d’honoraires de consultants, pour une contribution maximale de 15000$ par projet. L’allocation sera accordée sous présentation d’une demande à partir du site internet de Filaction, au https://filaction.qc.ca/fonds-innogec, selon les critères suivants : le mode de propriété de l’entreprise, la pertinence de son projet, l’impact social attendu, la démonstration de la capacité de compléter le financement total, l’impact du projet sur le développement de l’entreprise.

Ce Fonds pourra agir en complémentarité avec d’autres mesures comme le programme d’aide technique du Réseau d’investissement social du Québec (RISQ) et le programme de relève d’entreprise du Centre de transfert d’entreprise du Québec (CTEQ). De son côté, MCE Conseils a annoncé, dans le cadre de son trentième anniversaire, le lancement du Fonds d’accessibilité solidaire, d’une valeur de 50 000 $. Lorsque les services de MCE conseil seront retenus, la conjugaison de l’aide apporté par ces deux fonds pourra réduire jusqu’à 50 % les coûts des interventions soutenues pour l’entreprise d’économie sociale utilisatrice de ses services de consultation.

FilactionÀ propos de Filaction

Filaction est un fonds de développement qui soutient des PME québécoises, notamment de l’économie sociale, de la culture et du tourisme. Travaillant en étroite collaboration avec les acteurs du développement local et régional, il contribue aussi à la capitalisation de fonds dédiés à différentes clientèles ciblées d’entrepreneurs, par exemple les femmes et les communautés culturelles ainsi que des secteurs d’activité moins bien desservis. Filaction a été créé en 2001 à l’initiative de Fondaction, d’où proviennent ses capitaux investis. Pour en savoir plus : www.filaction.qc.ca

FondactionÀ propos de Fondaction

Fondaction investit auprès des PME québécoises afin de contribuer au maintien et à la création d’emplois au Québec, dans une perspective de développement durable. Il gère un actif de près de 1,6 milliard de dollars provenant de l’épargne-retraite recueillie auprès de près de 132 000 actionnaires. Par ses investissements ou ses engagements, soit directement, soit par l’entremise de fonds partenaires ou spécialisés, Fondaction appuie le développement de plus de 1 050 PME qui contribuent de manière distinctive au développement économique, social et environnemental du Québec parmi lesquelles on retrouve plusieurs entreprises de l’économie sociale. Pour en savoir plus : www.fondaction.com

Caisse d'économie solidaireÀ propos de la Caisse d’économie solidaire

Avec un volume d’affaires de 1,6 milliard de dollars, la Caisse d’économie solidaire Desjardins est la principale institution financière spécialisée en économie sociale et en investissement responsable au Québec. Créée il y a 46 ans, la Caisse d’économie solidaire compte plus de 3000 membres entreprises collectives et 11 000 membres individuels. Pour en savoir plus : www.caissesolidaire.coop

SOURCE : CNW Telbecource

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EcoNous2017: Innover pour une prospérité partagéeL’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt

Entendez-vous le cri des bernaches dans le ciel? Vous pouvez vous inscrire à EcoNous2017 dès maintenant et ces oiseaux ne laisseront pas passer une telle occasion. Ces « lèves tôt » obtiendront une réduction de geese in v formation100 $ sur leur inscription, soit 20 % de rabais! Et si vous êtes membre du Réseau canadien de DÉC vous profitez d’un spécial sur le buffet, soit 100 $ de réduction additionnelle.

Ne laissez pas passer cette occasion. Joignez-vous à notre groupe, à notre volée, et ensemble nous irons beaucoup plus loin!

Inscrivez-vous econous.ca/fr/inscription

Depuis trop longtemps, l’économie se réduit à ne concerner que « moi-même »

Malgré le discours politique d’austérité, nous vivons dans une période de prospérité incomparable. Cette prospérité a rendu certaines personnes très riches alors d’autres en ont été injustement exclues. Alors que notre société fétichise les nouveaux et riches entrepreneurs d’aujourd’hui, que connaissons-nous des humbles innovateurs qui cherchent avant toute chose à générer une prospérité partagée, en particulier avec et pour ceux qui sont constamment exclus de l’économie? À EcoNous2017, vous aurez l’occasion de rencontrer ces leaders et d’apprendre les stratégies utilisées pour bâtir des économies communautaires fortes et inclusives, qui donnent la priorité aux populations et à la planète. EcoNous2017 contribuera à montrer que l’économie peut être pensée par et pour nous.

Pourquoi participer à CE Congrès?

Food for Thought
Food for Thought
 
Beakerhead photo taken by Trevor Lalonde
Beakerhead (photo par Trevor Lalonde)

Bon, d’accord, vous êtes peut-être fatigué de participer à des congrès. Ou peut-être, vous avez besoin d’être un peu plus stratégique avec le budget dont vous disposez pour ces congrès (j’ai déjà mentionné que la prospérité n’était pas partagée équitablement en ce moment, n’est-ce pas?). Voici trois raisons pour lesquelles je pense qu’EcoNous2017 devrait faire partie des congrès auxquels vous allez participer cette année :

Calgary abrite une innovation florissante

EcoNous2017 explorera les innovations de tout le Canada, néanmoins, nous accorderons une attention particulière à Calgary et à l’Alberta.

  • Arrivez tôt pour profiter de l’occasion de participer à l’une de nos quatre visites (deux à Calgary et deux à Olds et à Cochrane, des localités avoisinantes)
  • Food for Thought vous donnera l’occasion de savourer les meilleurs produits de Calgary tout en discutant avec des chefs et des agriculteurs
  • De nombreux ateliers mettront en valeur des initiatives et des développements inspirants situés dans la province. Ceux-ci aborderont des thèmes tels que créer et connecter des entreprises locales, les énergies renouvelables, la propriété collective, l’intégration des nouveaux arrivants sur le marché du travail, l’élaboration des politiques, l’investissement en DÉC, l’approvisionnement social et bien plus!
  • Jeudi, vous aurez de nouveau l’occasion de participer aux visites locales en découvrant des brasseries locales ou en participant à deux autres événements dynamiques qui auront lieu en même temps à Calgary : TechStock et Beakerhead

Établissez des liens avec des personnes dédiées à changer l’économie

Les délégués qui participent au congrès pancanadien de développement économique communautaire ont une passion éternelle pour encourager des communautés prospères, créer de bons emplois et faire affaire autrement. Les liens que vous établirez ici contribueront à inspirer votre propre travail et déboucheront peut-être sur des partenariats percutants. Nous avons fait en sorte que le programme contienne beaucoup de pauses réseautage pour vous permettre d’avoir le temps d’approfondir les liens que vous aurez établis lors des autres activités du programme. Pour avoir une idée des participants, jetez un coup d’œil aux organismes représentés lors des congrès précédents.

Chief Robert Joseph
Chief Robert Joseph
Shaun Loney
Shaun Loney

Les conversations que nous aurons sont nécessaires.

Les idées, c’est bien. Mais, si nous ne les développons pas par le dialogue et en explorant comment transformer la théorie en pratique, nous risquons de reproduire les vieilles idées que nous désirons changer. Nos principaux conférenciers, le chef Robert Joseph et Shaun Loney, débuteront EcoNous2017 en entamant une des conversations des plus indispensables que nous devons avoir dans ce pays : comprendre les fondements économiques de la réconciliation entre les peuples autochtones et les peuples non autochtones. Nous nous pencherons aussi sur les questions reliées au changement climatique, au travail précaire, aux disparités économiques, etc. Même si nous faisons face à des défis gigantesques, EcoNous2017 les abordera dans un esprit d’espoir et en ayant en perspective des solutions pratiques pour aller de l’avant.

Et lorsque le Congrès sera terminé, les conversations, elles, ne s’arrêteront pas. Au cours de notre dernière journée, nous consacrerons beaucoup de temps à collaborer sur des idées pratiques et réalisables que les participants ont élaborées selon une démarche de conception et d’accompagnement par les pairs et grâce aux talents présents dans la salle. Il y aura également des occasions de poursuivre l’engagement avec les partenaires collaboratifs qui ont accueilli le congrès à Calgary.

Si vous avez des questions sur le Congrès, n’hésitez pas à me contacter mthompson at ccednet-rcdec.ca.


Matthew Thompson

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Greg Macleod

C’est avec les cœurs gros que nous avons appris hier le décès de l’un des grands champions du développement économique communautaire au Canada, le Père Greg MacLeod. Travaillant dans le contexte des stocks de poissons en déclin et des fermetures de mines de charbon en Nouvelle-Écosse, le Père MacLeod, comme plusieurs autres à travers le Canada et les États-Unis, a suivi les pas des pionniers du Antigonish Movement. Tout comme le Père J.J. Tompkins avant lui, il a tenté de bâtir de la résilience économique et de l’autonomie pour les Néo-écossais par l’éducation des adultes.

Ordonné par l’Église catholique en 1961, le Père MacLeod a été un éducateur tout au long de sa vie, enseignant en premier au Xavier Junior College à Sydney, Nouvelle-Écosse et en fondant plus tard le Tompkins Institute à l’Université du Cap Breton. C’est à l’aide du Tompkins Institute qu’il a aidé à fonder New Dawn Enterprises à Sydney, Nouvelle-Écosse en 1976, maintenant la plus ancienne corporation de développement communautaire et un membre fondateur du Réseau canadien de DÉC. New Dawn a depuis cru jusqu’à 175 employés, desservant 600 Cap-Bretonnais chaque jour à l’aide de ses entreprises et projets. En 1989, il a aussi contribué à la fondation du BCA Group (Banking Community Assets), un fonds d’investissement en DÉC au Cap Breton qui a rassemblé plus de 2 millions de dollars en capitaux pour le développement d’entreprises locales.

« Je crois dans le marché, mais il doit être appartenu et contrôlé localement. Le problème avec l’économie mondiale est qu’elle est contrôlée par des propriétaires absents, ce qui est pourquoi nous mettons l’accent sur les marchés contrôlés localement et ce que j’appelle le “développement fondé sur l’emplacement”. »

                                       – de A Method of Transforming the World avec Greg MacLeod

La vidéo ci-dessous, produite par le Père MacLeod, explore le succès remarquable et le potentiel des corporations de développement communautaire et a été originalement diffusée par Community-Minded TV à Spokane, Washington.

D’autres hommages au Père Greg MacLeod dans les médias :

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Les élections de 2017 pour le conseil d’administration du RCDÉC sont ouvertes d’aujourd’hui jusqu’au 19 mai.

Six candidats se présentent aux quatre postes disponibles au conseil d’administration. 

Ici on vous présente, en ordre aléatoire, les six candidat(e)s aux élections du conseil d’administration du RCDÉC en 2017.


Wendy Keats     Salisbury, Nouveau Brunswick

Wendy KeatsWendy est cofondatrice et directrice générale du Co-operative Enterprise Council du Nouveau-Brunswick, le principal organisme de DÉC de la province. Auparavant, elle était consultante et formatrice privée en DÉC pendant 18 ans. Au cours de ces années, elle a travaillé avec près de 200 groupes communautaires, en autres dans les domaines du développement organisationnel, de la planification stratégique, de la gouvernance et de la gestion de projets. Wendy est médiatrice certifiée et elle a été membre du personnel enseignant du Centre d’études en résolution de conflits de l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard pendant plus de 10 ans. Elle offre des services de formation et de médiation à tous les niveaux de gouvernement, aux entreprises et à la communauté. Wendy siège à plusieurs conseils d’administration et comités reliés au DÉC. Elle se passionne plus particulièrement pour l’engagement des jeunes et les énergies renouvelables. Elle vit totalement « hors réseau » dans les bois de Salisbury où elle s’occupe de son jardin et se détend sur les bords de la rivière quand le monde trépidant du DÉC le lui permet.

Carol Madsen     Vancouver, Colombie-Britannique

Carol MadsenCarol Madsen siège au conseil d’administration du Réseau canadien de DÉC depuis 2005. Elle enseigne au Centre pour le développement communautaire durable de l’Université Simon Fraser depuis neuf ans. Elle a également enseigné à l’École des affaires publiques et communautaires de l’Université Concordia et à l’École de travail social de l’Université de la Colombie-Britannique. Auparavant, elle a dirigé le Pathways Information Centre, un projet de DÉC de Tradeworks Training Society situé dans le quartier Downtown Eastside à Vancouver. Carol a également été représentante régionale du Programme canadien d’assistance technique en DÉC pour la Colombie-Britannique et directrice de Bridging the Divides, un projet de recherche-action participative en DÉC mené dans deux communautés rurales de la C.-B. Depuis plus de 25 ans, Carole est active dans les domaines du DÉC, de la justice sociale et du développement international. Sa passion : créer une société canadienne plus équitable pour toutes et tous.


François Hastir     Thunder Bay, Ontario

François Hastir

Passionné par le milieu coopératif et des entreprises sociales, François s’est impliqué activement au sein de plusieurs Conseils d’administration, dont la Fondation pour l’éducation à la coopération et à la mutualité, la Table de concertation en développement coopératif et mutualiste de Montréal-Laval, la Caisse populaire Desjardins Centre-est de la métropole, et la Fédération Québécoise des coopératives en milieu scolaire (FQCMS). Il a également accompagné plusieurs entreprises sociales et coopératives dans des mandats de consultants pour la planification stratégique et l’élaboration de politiques, statuts et règlements.

François Hastir est titulaire d’un baccalauréat en communications et politique et d’une formation en droit. Après avoir occupé les fonctions de gestionnaire régional pour le nord de l’Ontario au sein du Conseil de la coopération de l’Ontario, il est maintenant directeur général par intérim de l’Association des francophones du Nord-Ouest de l’Ontario. Il est également administrateur chez Coopératives et Mutuelles Canada.


Kaye Grant     Winnipeg, Manitoba

Kaye Grant

Située à Winnipeg, Kaye est la principale consultante de Reconnaissance Management Consulting Group inc. Kaye est aussi la directrice des communications de la Fédération canadienne des coopératives de travail (FCCT), une organisation communautaire nationale, bilingue menée par ses membres qui soutient la croissance et le développement des coopératives de travail.

Kaye travaille depuis plus de 20 ans au sein du secteur des OSBL et des entreprises sociales dans plusieurs fonctions. L’expérience de Kaye auprès du secteur des OSBL et des groupes communautaires locaux lui permet de conserver des relations de travail au sein de la communauté. Kaye est coprésidente de Bike Winnipeg et la représentante de la FCCT au conseil de la Manitoba Co-op Association.

Kaye est une membre active du RCDÉC au Manitoba depuis neuf ans et a régulièrement présenté The Gathering event au Manitoba. Kaye est passionnée par la diminution de la pauvreté et a concentré son travail auprès d’organisations qui contribuent à cet objectif.


Derek Pachal     Winnipeg, Manitoba

Derek PachalDerek Pachal has been active with CCEDNet since its inception in 1999 and has contributed locally serving on the CCEDNet-Manitoba Advisory Committee and the Annual Gath

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Motion M-100 Adopted in Unanimity by House of Commons

Le Parlement du Canada a voté à l’unanimité pour adopter la motion M-100, en envoyant un message et un mandat clairs au gouvernement du Canada. M-100 est une motion d’initiative parlementaire, déposée par la députée libérale Alexandra Mendès (Brossard – St-Lambert), afin d’établir un cadre qui favorisera la reconnaissance et le développement des coopératives au Canada.

La motion demande également à Innovation, Sciences et Développement économique (ISDÉ) d’établir une stratégie nationale de développement coopératif.

Le président de CMC, Doug Potentier, a applaudi le vote: « Cette motion constitue une étape importante vers la compréhension par le public et le gouvernement de la manière dont les coopératives contribuent à la croissance économique et à la prospérité, conformément aux priorités des gouvernements. La transition énergétique, le développement des communautés autochtones et rurales, les plates-formes numériques émergentes, les soins à domicile, les soins de santé et de nombreux autres défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui sont idéalement adaptés aux solutions coopératives. »

Le résultat du vote était de 248 en faveur et de zéro contre.

Texte de la Motion

Que, de l’avis de la Chambre, le gouvernement devrait reconnaître l’apport important des coopératives à l’économie et veiller à ce qu’elles continuent à prendre de l’essor en prenant des mesures concrètes, notamment : a) élaborer, en collaboration avec les gouvernements provinciaux et territoriaux, les communautés autochtones et le secteur coopératif, une stratégie fédérale de coopération visant à promouvoir et à appuyer le secteur canadien des coopératives; b) présenter des rapports d’étape périodiques sur les objectifs et les cibles préalablement établis.

Contexte

En 2012, un Comité spécial sur le statut des coopératives, présidé par le député Blake Richards, a fait une série de recommandations. Une recommandation clé qui a été acceptée et promulguée par le gouvernement était de transférer la responsabilité des coopératives de son foyer historique au Secrétariat d’Agriculture et Agroalimentaire Canada à Industrie Canada (maintenant ISDÉ). Ce mouvement représente mieux la diversité actuelle des entreprises qui innovent avec le modèle coopératif et constitue une étape vers l’égalité d’accès aux programmes de soutien aux entreprises.

Le transfert de responsabilité, disait-on, assurerait un point focal unique au gouvernement pour faciliter le développement, l’innovation et la croissance dans le secteur coopératif du Canada. Le gouvernement s’est également félicité de l’opportunité de s’engager avec les coopératives et d’examiner davantage leurs programmes d’affaires pour aider à soutenir le secteur. Ce fut une bonne nouvelle dans le secteur coopératif. Malheureusement, il n’y avait aucune instruction ou clarté sur la façon dont la relation entre le ministère et le secteur coopératif devrait évoluer. Maintenant, quatre ans plus tard, il y a eu des mouvements très limités sur de nombreux aspects de la relation envisagée.

M-100 est la plate-forme sur laquelle le gouvernement peut s’engager auprès des intervenants coopératifs et mutuels. Pour résoudre nos défis ensemble en utilisant le modèle coopératif, le gouvernement du Canada doit promouvoir le modèle coopératif, contribuer à son développement et faciliter l’échange et le dialogue avec le secteur coopératif. Motion M-100 est un catalyseur pour atteindre cet objectif.

SOURCE : Coopératives et mutuelles Canada

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Carol Anne HiltonLe conseil d’administration du Réseau canadien de DÉC (RCDÉC) est heureux d’annoncer la nomination de Carol Anne Hilton à titre d’administratrice pour un mandat qui prendra fin à l’assemblée générale annuelle de 2018.

Carol Anne Hilton est chef de la direction de Transformation International, une entreprise primée de développement économique et social. Carol Anne est une entrepreneure réputée et éminente des Premières Nations, elle est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université Hertfordshire, en Angleterre. Carol Anne est issue de la nation Nuu-chah-nulth de l’île de Vancouver.

Le travail de Carol Anne consiste à intégrer le point de vue du milieu autochtone, tout en réunissant des membres des Premières Nations, de l’industrie et du gouvernement en vue de concevoir de nouvelles approches pour assurer un développement durable et inclusif. Carol Anne apporte en outre une vaste expérience en gestion de projets dans les domaines de la gestion des ressources, de la gouvernance et du développement régional.

Carol Anne est en train d’écrire « Indigenomics – a Global Power Shift » et elle a enseigné au programme de Leadership de l’école de commerce du Collège Camosun, au programme de maîtrise de planification communautaire de l’Université Winnipeg et plus récemment au programme Indigenous Business du Banff Center.

Transformation InternationalTransformation a reçu plusieurs prix : le prix BC Aboriginal Outstanding Business Achievement Award, le prix Creating Wealth Award du National Indigenous Council of Elders et le prix Business of the Year Award de la corporation de développement économique Nuu-chah-nulth. En novembre 2015, Carol Anne a été sélectionné par le gouvernement de la C.-B. pour son travail dans le domaine du multiculturalisme.

Elle a récemment été nommée membre du Conseil consultatif en matière de croissance économique. Carol Anne est actuellement directrice du Vancouver Island Investment Fund, du World Fisheries Trust, de la Victoria Community Micro Lending Society et du Community Social Planning Council. Elle a également été directrice du conseil fondateur de l’autorité de la santé des Premières Nations et du Council of Hesquiaht First Nation pendant 9 ans.

En savoir plus sur Carol Anne et d’autres membres du Conseil

Tous les membres du RCDÉC peuvent faire partie du conseil, dont certains postes d’administrateurs sont élus chaque année. Si vous êtes intéressé à vous joindre au conseil, veuillez nous contacter. Vous pouvez également attendre l’appel de candidatures aux postes du conseil qui est habituellement envoyé aux membres au mois de février.

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Le Chantier de l’économie socialeLe Chantier de l’économie sociale accueille favorablement divers éléments du Budget déposé aujourd’hui par le ministre des Finances du Québec, Carlos Leitão. Certaines mesures contribueront directement à stimuler le développement économique provenant de l’entrepreneuriat collectif, l’un des trois piliers fondamentaux de l’économie du Québec, qui compte plus de 7000 entreprises et représente plus de 40G$ de chiffre d’affaires.

Au premier chef, la mesure rétablissant le financement des Pôles d’économie sociale à 100 000$ par année par Pôle permettra à ces acteurs importants de remplir convenablement leur mission de développement économique, culturel et social partout au Québec. Comme le souligne Béatrice Alain, directrice des Partenariats au Chantier, « les Pôles d’économie sociale jouent un rôle essentiel dans la création de partenariats, la mise sur pied de nouvelles entreprises collectives et la maximisation du potentiel des entreprises existantes. Ces organisations sont au cœur de l’innovation sociale sur tout le territoire et leur financement rétabli offre à toutes les régions du Québec un outil stratégique de développement plus fort ».

Par ailleurs, le Chantier salue l’aide consentie dans plusieurs secteurs propices à l’économie sociale et il veillera à s’assurer que l’entrepreneuriat collectif obtienne sa juste part des mesures annoncées dans des domaines tels que:

  • L’agroalimentaire novateur, entre autres par le soutien à l’agriculture urbaine, au développement de serres en entreprises collectives et à la relève agricole;
  • La transformation numérique de la presse écrite pour l’information locale et régionale par le biais d’entreprises médiatiques collectives;
  • L’ajout de fonds locaux de solidarité de la FTQ et la modification à la norme d’investissement de Fondaction/CSN qui permettront le développement de nouvelles entreprises;
  • L’habitation collective;
  • Les mesures de soutien à la recherche et développement, qui devront être accessibles aux entreprises collectives qui en sont actuellement exclues;
  • Le soutien à la recherche en politiques publiques qui devra avoir à l’esprit les mesures fiscales favorisant l’économie sociale;
  • Le développement de la culture entrepreneuriale chez les jeunes, qui devra couvrir le domaine de l’entrepreneuriat collectif.

« Les entreprises collectives jouent un rôle de premier plan dans l’économie québécoise et font du Québec un leader mondial en économie sociale. Il importe donc qu’elles puissent disposer des outils nécessaires pour se développer et ainsi contribuer à la hauteur de leur potentiel. Le Budget déposé aujourd’hui par le ministre des Finances constitue à divers égards un pas dans la bonne direction pour l’entrepreneuriat collectif et nous réitérons notre volonté de collaborer avec le gouvernement, notamment la ministre Anglade, afin de poursuivre dans cette voie », a conclu Jean-Martin Aussant, directeur général du Chantier.

À propos du Chantier de l’économie sociale

Le Chantier de l’économie sociale est une organisation autonome et non partisane qui a pour principaux mandats la promotion et le développement de l’entrepreneuriat collectif au Québec. Corporation à but non lucratif, le Chantier réunit des promoteurs d’entreprises d’économie sociale (coopératives et organismes sans but lucratif) œuvrant dans de multiples secteurs d’activités (environnement, services de proximité, communications, loisir, technologies, habitation, ressources naturelles, enfance-famille, formation, financement, culture, etc.), des représentants des grands mouvements sociaux et des acteurs du développement local en milieux urbain et rural.

L’économie sociale au Québec en bref

Le Québec compte plus de 7 000 entreprises d’économie sociale qui représentent globalement un chiffre d’affaires dépassant les 40 milliards de dollars. Celles-ci procurent un emploi à plus de 210 000 personnes, ce qui représente 5 % de l’emploi total au Québec.

SOURCE: Le Chantier de l’économie sociale

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city of ottawa

La Ville d’Ottawa recherche des demandes pour des projets qui promouvront le développement économique et procureront des bienfaits environnementaux, culturels ou sociaux. 

Le Programme de financement du développement économique communautaire (DEC) offre chaque année un soutien financier aux projets qui favorisent la création d’emplois, la diversité économique, l’entrepreneuriat et le développement des petites entreprises, le perfectionnement des compétences, l’innovation et le tourisme, tout en contribuant aux sphères environnementale, sociale et culturelle. 

Quiconque souhaite faire financer un projet doit remplir le formulaire de demande du Programme de financement du développement économique communautaire.

Envoyer un courriel à la coordonnatrice du Programme de financement du DÉC pour le formulaire de demande

Le financement accordé se situera entre 5 000 $ et 50 000 $. Pour un financement supérieur à 25 000 $, il faut joindre à la demande un plan de projet et un budget détaillés. Le plan de projet résume le travail à effectuer et décrit en détail les buts, les activités, les résultats escomptés et les ressources. Il doit concorder avec le budget et faire état des délais d’exécution. Par ailleurs, l’achat de biens et de services doit assurer une optimisation des ressources et suivre les pratiques d’approvisionnement éthiques et équitables. Veuillez noter que les bénéficiaires de financement doivent dépenser la totalité des fonds accordés et présenter les rapports exigés d’ici le 31 décembre 2017.

Le projet, l’initiative, l’activité ou le programme doit satisfaire aux principaux critères suivants :

  • Démontrer les effets positifs qu’il aura sur le développement économique local;
  • Démontrer un réel besoin d’aide financière ainsi qu’une optimisation des ressources;
  • Démontrer les bienfaits qu’il procurera à la collectivité sur le plan environnemental, social ou culturel.

Pour plus d’information veuillez visiter ottawa.ca/fr/hotel-de-ville/financement/financement-du-developpement-economique

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La troisième édition de la Zone des entreprises sociales et du concours de présentations aura lieu les 15 et 16 mai prochains dans le cadre de la conférence Discovery 2017. L’événement est organisé par les Centres d’excellence de l’Ontario (CEO) en partenariat avec le ministère du Développement économique et de la Croissance.

Sur invitation, vingt-quatre entreprises ontariennes présenteront leur innovation sociale dans la salle des exposants de la conférence Discovery. L’exposition contribuera au rayonnement des entreprises de ce créneau, notamment auprès d’investisseurs privés potentiels, et intéressera l’écosystème de l’innovation dans son ensemble.

Les demandeurs retenus disposeront d’un kiosque (6 pi x 8 pi) et de deux laissez-passer pour la conférence. Pour ceux qui viennent de l’extérieur de la région du Grand Toronto, les frais de déplacement couverts. Ce rendez-vous exceptionnel sera l’occasion de côtoyer des spécialistes, des acteurs de l’industrie, des bailleurs de fonds gouvernementaux et des investisseurs, d’assister à de passionnants débats d’experts et conférences, de nouer des contacts et de s’entretenir avec des experts sectoriels.

De plus, dans le cadre du concours de présentations, cinq à huit entreprises de la Zone auront une tribune où se disputer un prix d’une valeur de 25 000 $ aux fins du développement de leurs activités. Ce prix comprend une bourse de 10 000 $ du MDEC, une bourse de 5 000 $ de la Banque de développement du Canada (BDC) et pour 10 000 $ de services juridiques fournis par le cabinet Norton Rose Fulbright. Bien que la participation au concours de présentations soit tout à fait facultative, nous encourageons les entreprises souhaitant exposer dans la Zone à saisir cette chance d’accélérer leur développement.

Admissibilité

  • Nous sommes à la recherche d’entreprises sociales basées en Ontario, qui sont en démarrage ou ont atteint la phase de développement et qui remplissent les critères suivants :
  • Constitution en société : organisations à but lucratif, organisations sans but lucratif ou coopératives canadiennes constituées en société.
  • Recettes : organisations qui génèrent actuellement des recettes, conformément à un modèle d’entreprise évolutif axé sur la croissance.
  • Impact : impact social et environnemental démontrable et mesurable dans des secteurs précis, y compris (sans exclure d’autres domaines) les technologies propres, la santé et le mieux-être, les technologies éducatives et sociales, les produits alimentaires et de consommation ainsi que l’immobilier à impact important.
  • Capitaux : organisations qui ont réuni des capitaux d’investissement par le passé ou qui comptent le faire dans les six à douze prochains mois.

Marche à suivre pour présenter une demande

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Le Budget fédéral alternatif 2017 : Les enjeux sont élevés, les choix sont clairs

De plus en plus de Canadiens et Canadiennes subissent les effets des inégalités au quotidien. C’est pourquoi nous exhortons le gouvernement fédéral à déposer un budget qui respecte ses promesses de réduire les inégalités des revenus et stimule la croissance inclusive. Le Budget fédéral alternatif 2017 : Les enjeux sont élevés, les choix sont clairs offre une voie claire à suivre pour un avenir plus équitable et durable.

Cette année, le Budget fédéral alternatif (BFA) propose un budget fédéral qui prend des mesures décisives pour offrir aux Canadiens ce qui est important pour eux: la création d’emplois, la réduction des inégalités des revenus, la réduction de la pauvreté, l’élimination des échappatoires fiscales injustes et coûteuses, et dynamiser l’économie. Les mesures proposées dans le BFA permettraient à 1,1 million de Canadiens de sortir de la pauvreté, réduiraient l’inégalité des revenus, doubleraient la croissance économique à 5,4% et, à leur point culminant, entraîneraient la création de 460 000 nouveaux emplois, ce qui ferait descendre à 6,4% le taux de chômage du Canada.

En ce qui concerne le développement économique communautaire (DEC), le BFA propose :

Transfert au titre des infrastructures communautaires

Intervention : Créer un transfert au titre des infrastructures locales stable, suffisant et à long terme d’une valeur de 5,4 milliards de dollars par année. Le transfert sera administré par une nouvelle Agence nationale de développement communautaire composée de représentants de tous les ordres de gouvernement et chargée d’éliminer les obstacles à la transmission transparente des ressources publiques, notamment à l’aide des mesures suivantes :

  • Élaborer des critères d’approbation de projets simplifiés et convenus entre les parties qui intègrent la transparence, de nouveaux mécanismes de production de rapports et des vérifications particulières aux fonds effectuées par des vérificateurs indépendants;
  • Déterminer des buts communs entre les provinces et fournir des services spécialisés aux municipalités;
  • Élaborer et coordonner une Politique nationale du transport collectif et un Plan national de gestion des biens municipaux durables;
  • Créer une stratégie d’approche continue pour promouvoir l’élaboration en commun de politiques publiques auprès

    de tous les ordres de gouvernement, des intervenants et des partenaires de la société civile;

  • Élaborer et coordonner une stratégie nationale sur la remise en valeur des friches industrielles afin de redonner à d’anciens sites industriels une utilisation économique et communautaire productive;
  • Aider les municipalités à établir et appliquer des stratégies communautaires pour lutter contre les changements climatiques.

Appuyer les entreprises communautaires

  1. Approvisionnement social
    Intervention : Adopter une politique d’approvisionnement social comprenant la mise en œuvre de la pondération de la valeur sociale dans toutes les demandes de proposition et les marchés du gouvernement fédéral.
    Intervention : Inclure des ententes sur les avantages communautaires dans les projets fédéraux de développement, tel qu’il est proposé dans le projet de loi C-227, un projet de loi d’initiative parlementaire à l’étude à la Chambre des communes.
  2. Accès aux services actuels de soutien aux entreprises
    Intervention : Accroître la capacité des services offerts aux PME et à l’accès à ceuxci par l’intermédiaire de Réseau Entreprises Canada et d’autres programmes fédéraux de développement des entreprises. Il y aurait également lieu d’informer les fonctionnaires au sujet de ces programmes afin d’assurer l’égalité des chances pour les autres types d’entreprises. (Coût : 10 millions de dollars par année pendant cinq ans.)
  3. Accès aux capitaux
    Intervention : Offrir un crédit d’impôt de 30 % sur les fonds d’investissement dans le développement économique communautaire pour accélérer leur développement partout au pays. (Coût : 15 millions de dollars par année pendant cinq ans.)

Cadre stratégique et optique de DEC

Intervention : Élaborer et mettre en œuvre un cadre stratégique fédéral de DEC qui s’inspirera de celui qu’utilise actuellement le Manitoba. Le cadre comporterait une optique de DEC – une série de questions pour aider les ministères à déterminer la mesure dans laquelle ils intègrent les principes du DEC dans des initiatives gouvernementales.

Fonds et programme de revitalisation des quartiers

Intervention : Établir un programme et un fonds fédéraux de revitalisation des quartiers pour favoriser une approche de DEC dans des collectivités rurales et urbaines ciblées en fonction de leur besoin d’une revitalisation physique, sociale, économique et culturelle.
(Coût : 100 millions de dollars par année pendant cinq ans.)

Pour en savoir davantage, consultez le rapport et documents connexes ci-dessous:

SOURCE : Centre canadien de politiques alternatives

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L’assemblée générale annuelle (A.G.A.) du Réseau canadien de DÉC aura lieu en ligne le 7 juin à 14 h 30 HAT, 14 h HAA, 13 h HAE, 12 h HAC, 11 h HAR, 10 h HAP​


MISES EN NOMINATION 2017

Les mises en nomination sont ouvertes pour quatre postes au Conseil d’administration du RCDÉC. Toute membre du RCDÉC désirant investir ses énergies et visions dans le mouvement de DÉC du Canada est vivement encouragée à soumettre une candidature. Les mises en nomination doivent être soumises au plus tard le 18 avril 2017.

Pour plus d’information : Mises en nomination 2017 (en pdf et Word)


APPEL DE RÉSOLUTIONS 2017

Toutes les résolutions doivent être transmises au RCDÉC par courriel au plus tard le 18 avril à 17 h (heure de l’Est).

Toutes les personnes ayant parrainé des résolutions seront contactées au plus tard le 26 avril. Ces personnes seront alors avisées que leur résolution sera présentée au cours de l’A.G.A., ou que leur résolution a été rejetée, car elle ne respectait pas les exigences requises.

Pour plus d’information : Appel de résolutions 2017

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Le Prix de l'excellence coopérativeLe Prix de l’excellence coopérative est un prix prestigieux visant à récompenser une réalisation inspirante d’un membre de la Fédération de l’habitation coopérative du Canada (FHCC) qui laisse un héritage durable. Ce prix aide à promouvoir les principes coopératifs, l’habitation coopérative et la FHCC en célébrant nos valeurs en action.

Chaque année, à l’assemblée générale annuelle, les membres de la FHCC célèbrent les réalisations individuelles et collectives au sein du mouvement de l’habitation coopérative. Pour connaître les lauréats précédents, consultez les comptes rendus des assemblées annuelles précédentes.

Critères

Pour recevoir le Prix de l’excellence coopérative, une coopérative doit satisfaire à un ou plusieurs des critères suivants :

  • un engagement exceptionnel à l’endroit des valeurs du mouvement coopératif international
  • une réussite remarquable dans la gouvernance et/ou la gestion coopérative
  • un dévouement à l’endroit du changement social, du développement communautaire et/ou du développement durable
  • un engagement important à l’endroit des jeunes membres de coopératives ou des membres provenant de groupes sous-représentés (diversité), ou un appui pour des mesures permettant aux membres de coopératives de vieillir chez soi

Modalités de mise en candidature

La date limite à proposer votre candidature est le 1er avril. Le lauréat sera annoncé à l’AGA de la FHCC et recevra un prix de 2 500 $. Pour plus de précisions, veuillez communiquer avec Cynthia Mitchell, Gestionnaire de programmes, Engagement des membres, au 1-800-465-2752, poste 226, téléc. : 613-230-2231, ou par courriel à

Proposer votre candidature au Prix de l’excellence coopérative de FHCC

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