Ottawa, 4 avril 2013 – Le Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO) devient l’association provinciale de toutes les coopératives et entreprises sociales de l’Ontario francophone. Une nouvelle vision, mission et des axes d’action et valeurs reformulés accompagneront cette évolution de mandat d’envergure.

Depuis longtemps déjà, le CCO travaille sur le terrain avec une constellation d’entreprises sociales, que celles-ci soient constituées en coopératives ou non. Cette grande nouvelle permet au CCO d’officialiser son positionnement stratégique durable au cœur de l’économie sociale ontarienne. Tous les services actuellement offerts seront élargis afin que l’ensemble des entreprises sociales puissent en bénéficier. La structure d’adhésion de l’organisme sera également revisitée en ce sens.

Élaboré lors de sa dernière planification stratégique 2013-2016, ce changement sera proposé aux membres lors de la prochaine Assemblée générale annuelle du CCO au mois d’octobre 2013. Il crée une situation inédite où toutes les entreprises sociales et coopératives vont pouvoir se retrouver sous un même toit. Les possibilités de collaboration et d’avancement collectif sont infinies.
D’autres modifications sont incluses dans le nouveau plan stratégique, telles que l’ajout de la finance sociale et de la recherche aux axes prioritaires, l’intégration du développement durable comme huitième valeur coopérative et autres.

En faisant ces changements majeurs, le CCO se positionne à l’avant-garde du mouvement coopératif et des entreprises sociales. Créée il y a bientôt cinquante ans, l’organisation anticipe l’avenir de l’entrepreneuriat collectif avec un grand enthousiasme.

Le Conseil de la coopération de l’Ontario, plus que jamais la porte d’entrée de l’économie sociale en Ontario français !

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Luc Morin, Directeur général

613-745-8619 poste 22

http://www.cco.coop

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Le 19 mars, le gouvernement du Québec a présenté la Loi sur l’économie sociale.

Ce projet de loi a pour objet de reconnaître la contribution de l’économie sociale au développement socioéconomique du Québec et d’établir le rôle du gouvernement dans ce domaine. Il vise par ailleurs à promouvoir l’économie sociale, à en soutenir le développement par l’élaboration ou l’adaptation d’outils d’intervention et à favoriser l’accès aux mesures et aux programmes de l’Administration pour les entreprises d’économie sociale.

Le projet de loi désigne le Chantier de l’économie sociale et le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité comme étant les interlocuteurs privilégiés du gouvernement en cette matière.

Le projet de loi précise également les fonctions du ministre des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire en matière d’économie sociale et il crée la Table des partenaires en économie sociale afin de le conseiller dans ce domaine.

Le projet de loi prévoit que les ministres du gouvernement doivent prendre en considération l’économie sociale dans les mesures et les programmes existants, dans leur mise à jour ainsi que dans l’élaboration de nouveaux outils destinés aux entreprises. Il prévoit de plus que, lorsqu’ils le considèrent opportun, les ministres mettent en valeur les initiatives réalisées sur le territoire du Québec dans ce domaine.

Enfin, le projet de loi propose des mesures visant à assurer l’imputabilité de l’Administration en la matière par des moyens de planification, de suivi et de reddition de comptes dont, notamment, l’adoption d’un plan d’action et le dépôt de rapports sur l’application de la loi.

Le RCDÉC félicite le Chantier de l’économie sociale et le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité pour cette réalisation importante. 

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L’assemblée générale annuelle (A.G.A.) du Réseau canadien de DÉC aura lieu le 6 juin, 2013 à WInnipeg, Manitoba


MISES EN NOMINATION 2013

La date limite pour les mises en nomination était le 8 avril 2013.  Les résultats seront affichés sur notre page de l’assemblée générale annuelle 2013. 

 


APPEL DE RÉSOLUTIONS 2013

La date limite pour les résolutions était le 8 avril 2013.  Les résolutions admissibles seront affichées sur notre page de l’assemblée générale annuelle 2013. 

 

 

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La clé de la croissance économique, c’est l’investissement communautaire; l’austérité n’est pas la solution.

Les mesures d’austérité ne vont pas relancer une économie déjà en stagnation, prévient le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA).
 
Avec la publication de l’édition annuelle de son Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral (ABGF), le CCPA montre comment un plan qui renforce l’économie, améliore la qualité de vie pour tous les Canadiens et élimine le déficit d’ici 2016 pourrait remplacer l’austérité qui tue la croissance. L’Alternative budgétaire pour le gouvernement fédéral montre ce que le gouvernement fédéral pourrait faire s’il décidait de s’attaquer sérieusement aux principales préoccupations sociales, économiques et environnementales des Canadiens.
 
« Au lieu d’établir des budgets les yeux fermés, l’ABGF répond aux problèmes auxquels la plupart des Canadiens font face tous les jours. Elle investit dans des programmes bons pour la croissance et bons pour la population canadienne tout en équilibrant les budgets », a déclaré Armine Yalnizyan, économiste principale au CCPA, dans un communiqué de presse publié en début de semaine.
 
Au lieu de s’obstiner à vouloir réduire le déficit, le CCPA préconise d’investir dans des services et des programmes dont les communautés canadiennes ont grand besoin. Des dépenses gouvernementales ciblées dans des domaines tels que le programme national de services de garde à l’enfance, les centres de soins communautaires et les réparations des infrastructures peuvent stimuler l’emploi et renforcer les économies locales partout au pays. Les initiatives proposées dans l’ABGF comprennent un cadre stratégique sur le développement économique communautaire et un Fonds de revitalisation des quartiers. Selon le CCPA, le plan de l’ABGF pourrait créer 200 000 à 300 000 emplois à temps plein.
 
Le plan de l’ABGF :
  • réduit la pauvreté et l’inégalité en investissant dans les services de garde à l’enfance, l’assurance-médicaments, le logement abordable, les mesures de soutien du revenu et les études postsecondaires;
  • s’attaque à la crise permanente du logement, de l’eau potable et de l’éducation dans les Premières Nations;
  • met en œuvre un plan public, transparent et à long terme d’investissements dans l’infrastructure;
  • crée 300 000 emplois et ramène le taux de chômage à 6 % d’ici 2014;
  • ajoute une nouvelle tranche supérieure de l’impôt sur le revenu des particuliers, referme les échappatoires fiscales les plus importantes et met en œuvre une retenue d’impôt sur les paradis fiscaux.
 
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Au cours de la dernière année, nous avons redoublé d’efforts pour améliorer notre site Web et augmenter notre capacité virtuelle afin d’établir des liens entre nos membres et les personnes qui s’engagent à bâtir des économies inclusives et durables au Canada. Vous remarquerez que nos rubriques Liste des événements et Offres d’emploi comportent beaucoup plus d’information. De plus, au cours des prochains mois, nous allons transférer notre répertoire des membres en ligne. Ainsi, le monde entier pourra facilement découvrir le travail exceptionnel de nos nombreux membres dont le dynamisme n’a d’égal que la diversité.

Parmi ces améliorations, on compte cette dernière nouveauté : un blogue. Nous y publierons vos points de vue et vos commentaires sur tout ce qui est lié au DÉC. Vous voulez devenir blogueur, écrivez-nous sans plus tarder :  !

Plus d’information à venir!  

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Le Reseau canadien de DÉC est heureux d’annoncer le retour de CréeAction!

Maintenant à sa neuvième incarnation, le programme CréeAction sera encore financé par Ressources humaines et Développement des compétences Canada (subordonnée à l’approbation finale du financement). Le but de ce programme est d’offrir un stage de six mois aux jeunes diplômés d’études supérieures qui envisagent une carrière en développement économique communautaire (DÉC). Nous recruterons une quarantaine d’organismes communautaires de DÉC qui accueilleront des stagiaires pendant l’équivalent de 25 semaines entre le 1er avril et le 30 septembre 2013.

Comment ce programme fonctionne-t-il ?

Les organismes soumettent une demande d’accueil de stagiaires au Réseau canadien de DÉC par courriel ou télécopieur (voir les coordonnées ci-dessous). Le Réseau canadien de DÉC fera la sélection des organismes d’accueil. Par la suite, les organismes d’accueil sélectionneront les stagiaires selon les critères spécifiques du stage.

Parmi les stages éligibles, notons la gestion de projets, la recherche participative, les communications, l’entrepreneuriat social, la planification d’entreprise, le marketing social, le financement en DÉC et l’inventaire des atouts. Pour cette édition le RCDÉC priorisera les stages qui renforcent les capacités et la viabilité des entreprises communautaires novatrices de même que les stages qui soutiennent le développement de nouvelles entreprises communautaires. Pour avoir des exemples de stages de travail en DÉC de la dernière admission, cliquez ici.

Le Réseau canadien de DÉC exige que les organismes d’accueil soient membres du Réseau canadien de DÉC ou soient disposés à devenir membres si leur demande d’accueil de stagiaires est approuvée. Pour de plus amples renseignements sur l’adhésion, veuillez cliquer ici.

Le Réseau canadien de DÉC fera la sélection des organismes d’accueil selon les critères suivants :

  • La pertinence du stage proposé par rapport à la priorité des entreprises communautaires et par rapport au développement économique communautaire (pour une définition du DÉC, veuillez cliquer ici) ;
  • La capacité organisationnelle et l’engagement à soutenir les stagiaires dans leur travail quotidien, dans le mentorat et dans le développement de leur carrière ;
  • La diversité géographique (par exemple les régions rurales, éloignées, autochtones ou nordiques, les communautés francophones hors Québec, les communautés urbaines défavorisées ayant des populations des nouveaux immigrants) ;
  • L’expérience préalable dans d’autres programmes de stage ou d’autres programmes étudiants ;
  • Le dévouement à aider le participant ou la participante à transposer son expérience dans un emploi à temps plein ou d’étude ;
  • La capacité de recruter des stagiaires de milieux différents.

Le Réseau canadien de DÉC accordera la préférence aux organismes qui peuvent recruter avec succès des participantes ou des participants autochtones, francophones, des minorités visibles, ainsi que des personnes handicapées.

Le Réseau canadien de DÉC sera responsable :

  • de gérer le Programme de stages en DÉC ;
  • d’embaucher les stagiaires en défrayant un montant de 15,00 dollars l’heure pour un total de 35 heures par semaine pendant de 25 semaines ;
  • de coordonner les téléconférences téléphoniques mensuelles pour les stagiaires afin de partager leurs expériences et réseauter ;
  • de fournir aux participants et participantes des occasions d’apprentissage par les pairs et du mentorat pour soutenir le développement et la mise en œuvre d’un projet de présentation avec un sous-groupe de leurs pairs liées à un aspect spécifique du développement d’entreprises sociales pertinentes pour leur intérêt et leur placement ;
  • de contribuer à l’encadrement de carrière continue et au soutien liés à l’emploi pour les participants et les participantes.

Les organismes d’accueil seront responsables :

  • de superviser le travail des stagiaires ;
  • de contribuer activement aux opportunités d’apprentissage des stagiaires ;
  • de contribuer à l’encadrement de carrière continue et au soutien liés à l’emploi pour les participants et les participantes ;
  • de permettre aux stagiaires de consacrer environ un jour par semaine à leurs projets de présentation ;
  • de soutenir le développement de projet de présentation du participant ou de la participante par l’intégration des activités de l’organisme dans le projet.

Pour être accepté-e comme participant ou participante dans ce programme, le candidat ou candidate doit :

  • être âgé-e de 15 à 30 ans (inclusivement) au moment de l’inscription ou de la sélection;
  • être titulaire d’un diplôme d’études postsecondaires;
  • ne pas être aux études;
  • être citoyen-ne canadien-e, résident-e permanent-e ou avoir reçu le statut de réfugié-e du Canada;
  • avoir le droit de travailler conformément aux lois et règlements provinciaux et territoriaux pertinents;
  • ne pas percevoir de prestations d’assurance-emploi.
  • ne pas travailler dans son domaine d’études (sous-emploi, chômage) ;
  • envisager une carrière professionnelle dans le développement économique communautaire ;
  • ne pas avoir participé au programme Objectif carrière dans le passé.

Comment soumettre une demande ?

La date limite pour les organismes d’accueil pour soumettre une demande est le vendredi 8 mars à 17 h 00, heure du Pacifique. Veuillez télécharger le formulaire de demande des organismes d’accueil.

Les jeunes souhaitant participer au programme peuvent soumettre une demande au Réseau canadien de DÉC ou présenter leur demande directement aux organismes d’accueil. La liste des organismes d’accueil sélectionnés sera affichée sur le site Web du Réseau canadien de DÉC.

Pour plus d’information et pour soumettre votre demande, veuillez communiquer avec Matthew Thompson par courriel à mthompson at ccednet-rcdec.ca ou par téléphone au 416-760-2578.

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Plusieurs membres du RCDÉC sont parmi les 13 organismes communautaires à l’échelle du Canada qui bénéficieront d’un financement de 255 000 $ de Co-operators.  Le financement, fourni par le Fonds de développement économique communautaire (Fonds DEC) de la Fondation Co-operators, appuie divers programmes dont l’objectif est de renforcer les collectivités, de St John’s à Vancouver, en offrant de la formation et des occasions d’emploi pour aider les résidents à surmonter leurs difficultés.

Les six organismes suivants reçoivent des subventions totalisant 120 000 $ :

Houselink Community Homes, Toronto (20 000 $)
Houselink gère The Silver Brush, une entreprise qui offre des services fiables de peinture d’intérieur à prix concurrentiel dans le secteur commercial et résidentiel. The Silver Brush aide les employés à acquérir des compétences professionnelles dans le but d’éliminer les obstacles au maintien en emploi dans l’avenir.

FarmStart, Guelph, Ontario (20 000 $)
FarmStart met sur pied des programmes qui procurent aux entrepreneurs en agriculture écologique des ressources pour les aider à lancer leur entreprise et à la faire prospérer. FarmStart appuie surtout les nouveaux Canadiens, les jeunes sans expérience de l’agriculture et ceux qui optent pour l’agriculture comme deuxième carrière.

Supporting Employment and Economic Development (SEED) Winnipeg Inc, Winnipeg (20 000 $)
SEED aide les personnes et les groupes à faible revenu à mettre sur pied ou à faire croître des entreprises, y compris les coopératives, pour réduire la pauvreté et contribuer au renouvellement des collectivités du centre-ville à Winnipeg. Grâce à leurs efforts, ils procurent des emplois aux membres de groupes à risque tout en assurant une nouvelle vitalité sociale et économique dans des quartiers défavorisés.

New Community Youth Development Corporation, Saskatoon (20 000 $)
La subvention de Co-operators aidera YDC à ouvrir un café qui procurera de l’emploi et un revenu à des jeunes filles qui tentent de quitter le trottoir. Ce programme sera lié au programme d’étude secondaire de façon à ce que les jeunes filles puissent aussi obtenir des aptitudes de vie et des crédits en cuisine tout en travaillant.

The Cleaning Solution, Vancouver (20 000 $)
The Cleaning Solution offre des services écologiques de nettoyage aux organismes sans but lucratif et à des clients du secteur privé, et appuie les personnes vivant avec une maladie mentale en leur offrant un emploi de qualité.

Common Thread Cooperative, Vancouver (20 000 $)
Common Thread est une coopérative sans but lucratif regroupant des organismes qui offrent des programmes de couture, et des entreprises qui permettent d’acquérir des compétences et de trouver des emplois aux personnes désavantagées vivant à Vancouver. Le financement permettra d’appuyer un projet appelé Stretching Our Fabric: New Products and New Skills, grâce auquel la coopérative donnera de la formation et élargira sa gamme de produits.

Un autre montant de 135 000 $ annoncé aujourd’hui est constitué d’affectations annuelles à sept organismes, découlant d’engagements pluriannuels de financement déjà approuvé :

  • Stella Burry Community Services (St. John’s, Terre-Neuve-et-Labrador)
  • Causeway Work Centre (Ottawa)
  • Enterprising Non-Profits (Toronto)
  • Sistering: A Woman’s Place (Toronto)
  • Community Ownership Solutions (Winnipeg)
  • Atira Women’s Resource Society (Vancouver)
  • JustWork Economic Initiative (Vancouver)

« Ces organismes travaillent avec les collectivités pour les rendre plus saines et plus équitables en offrant un appui précieux et des occasions d’emploi à des gens qui n’y arriveraient probablement pas seuls, affirme Kathy Bardswick, présidente et chef de la direction de Co-operators. Notre soutien leur permettra d’accroître leur influence sur leurs collectivités. »

Le Fonds DEC, qui a été créé en 1995 pour célébrer le 50e anniversaire de Co-operators,  a permis à cette dernière de verser 3,8 M$ à 91 organismes. Le Fonds DEC est une composante de la Fondation Co-operators, qui appuie les entreprises communautaires et d’autres nobles causes à l’échelle du pays. Pour plus de renseignements sur le Fonds et ses récipiendaires, visitez le site www.cooperators.ca/fr-CA/About-Us/foundation/ced.aspx

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Le concours À go, on change le monde! 2013 est lancé!

Vous êtes un jeune entrepreneur social? Vous souhaitez démarrer une entreprise à finalité sociale ou venez de le faire et vous avez besoin d’un coup de pouce financier?

Voici des bourses pour vous!

25 000$ de bourses vous sont ainsi offertes par les partenaires de l’Institut du Nouveau Monde, partageant le souhait de soutenir des entrepreneurs sociaux en démarrage.

Date limite pour postuler au concours: 12 avril 2013 


 Critères généraux pour postuler au concours:

  1. Être citoyen canadien ou résident permanent; 
  2. Être en pré-démarrage ou avoir démarré depuis moins d’un an (un plan d’affaires n’est pas exigé) 
  3. Être un entrepreneur social  

Certains critères s’appliquent spécifiquement pour chaque bourse, nous vous invitons donc à vérifier votre éligibilité pour chacune d’entre elles. 

Bourse Caisse d’Économie Solidaire Desjardins
Une bourse de 5 000$ pour un projet collectif d’économie sociale et trois bourses de 2 500$ pour un projet d’entrepreneuriat social.

Bourse J. Armand Bombardier

Une bourse de 5 000$ pour un projet d’entrepreneuriat social 

Bourse CDEC de Montréal
Une bourse de 4 500$ pour un projet collectif d’économie sociale

 
Bourse Les Offices jeunesse internationaux du Québec 

Deux bourses de 1 500$ pour un séjour exploratoire dans un pays couvert par LOJIQ

Pour plus d’informations ou pour postuler, voir le site ou contactez Athina Limnatitis au (514) 934-5999 poste 231 ou à athina.limnatitis at inm.qc.ca

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Le Réseau canadien de DÉC s’est récemment adressé au ministre des Finances, Jim Flaherty, pour exprimer notre soutien à trois recommandations formulées dans le rapport du Comité permanent des finances dans le cadre des consultations prébudgétaires. Le rapport intitulé Emplois, croissance, productivité et changements démographiques : défis et opportunités pour le Canada comprend des recommandations qui soulignent l’importance de renforcer la croissance des secteurs des coopératives et des entreprises sociales et d’apporter un soutien aux communautés linguistiques en situation minoritaire.

Les recommandations mises en évidence dans la lettre du RCDÉC sont les suivantes :

#34. Que le gouvernement fédéral examine les moyens d’inclure les coopératives et les nouvelles formes d’entreprises sociales et de finances sociales dans le champ d’application des politiques et des programmes.

#35. Que, pour augmenter les occasions de développement coopératif, le gouvernement fédéral forge un nouveau partenariat avec le secteur coopératif et Industrie Canada.

#58. Que le gouvernement fédéral renouvelle la Feuille de route pour la dualité linguistique canadienne en visant spécialement à améliorer l’efficience et le ciblage du soutien apporté aux communautés linguistiques en situation minoritaire.

Le RCDÉC trouve encourageant de voir cet engagement en faveur des initiatives de DÉC qui créent des opportunités économiques et améliorent les conditions sociales et environnementales partout au Canada.

Lire la lettre (en anglais) >>

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Juste avant les vacances de Noël, l’Assemblée nationale du Québec a adopté un projet de Loi d’intérêt privé constituant la première Mutuelle de microfinance au Canada.

Élaborée par le Fonds d’emprunt Québec, la Mutuelle de microfinance offrira des services de micro-épargne et de micro-assurance qui s’ajouteront aux services déjà offerts par le Fonds, soit le microcrédit, l’accompagnement et la formation. Les services de micro-assurance seront offerts de concertation avec une compagnie d’assurance établie.

Au cours de ces dernières années, le secteur de la mutuelle de microfinance a connu un essor exponentiel. De 2000 à 2010, le nombre d’institutions en microfinance dans le monde est passé de 900 à 10 000 et le montant des prêts alloués de 7 milliards à 65 milliards USD. Ainsi, ce secteur a offert des services à près de 500 millions de personnes économiquement actives qui ne pouvaient néanmoins pas accéder à des services financiers.

Le modèle d’affaires d’une mutuelle de microfinance est très répandu à travers le monde, notamment en Europe et aux États-Unis, et ce, depuis une vingtaine d’années. Au Québec toutefois, un tel projet ne pouvait être mis en place sans un cadre législatif approprié combinant des éléments de la Loi sur les assurances du Québec, qui régit les mutuelles, et de la Loi sur les coopératives de services financiers. Ce cadre permettrait ainsi à une structure juridique d’offrir des services d’assurance et financiers à ses membres. Le Fonds d’emprunt Québec a choisi une structure en mutuelle, car « une mutuelle est une entreprise qui appartient à la communauté. Sa mission et ses objectifs sont intrinsèquement liés au développement des personnes et des communautés. De cette manière, les utilisateurs s’approprient leurs outils de développement ».

Visionner notre webinaire sur la Mutuelle de microfinance >>

Loi adoptée par l’Assemblée nationale du Québec >>

Consultez le communiqué de presse >>

Téléchargez les coupures de presse sur la Mutuelle de microfinance >>

C’est quoi la différence entre une coop et une mutuelle?  Le CQCM explique >>

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Le conseil d’administration du RCDÉC est heureux d’annoncer la nomination d’Yvon Poirier comme directeur pour un mandat qui prend fin à l’assemblée générale annuelle 2013.

Yvon a une longue histoire dans les mouvements syndicaux et sociaux au Québec et au Canada.  Entre autres, il était président pour la mise en place de la Corporation de développement économique communautaire (CDÉC) de Québec en 1994, et membre du Comité organisateur des Rencontres mondiales de développement local tenues à Sherbrooke en 1998.  Il est coéditeur depuis novembre 2003 d’un bulletin électronique mensuel international sur le développement local publié en 4 langues.  Il est membre du RCDÉC depuis 2003, et impliqué dans le sous-comité international de 2003 à 2007, ensuite Président du Comité international du RCDÉC depuis sa mise en place en 2007.  Co-auteur avec Emily Kawano de Visions Related to Building the Solidarity Economy and Related Alternatives in North America, il représente la CDÉC de Québec au RCDÉC.

Pour en savoir plus sur Yvon et d’autres membres du Conseil >>

Tous les membres du RCDÉC sont éligibles à sièger au conseil d’administration.  Il y a des postes élus par les membres à chaque année.  Si vous êtes intéressé(e) à vous joindre au conseil, communiquez avec Michael Toye ou surveillez les bulletins d’information aux membres pour de l’information sur les mises en candidature au conseil, qui sera disponible dès février. 

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Suite à l’appel de propositions pour des mesures à prendre dans le budget fédéral 2013, le RCDÉC a préparé des recommandations qui favorisent une approche de développement économique communautaire au sein du gouvernement fédéral.  Nos recommandations, envoyées au Comité pernanent des finances, expliquent comment le développement économique communautaire soutient la reprise économique.  Le soutien aux entreprises communautaires qui contribue à la création d’emplois et la productivité est notamment proposé.  Notre memoire souligne aussi comment des approches communautaires peuvent jouer un rôle à réduire les pénuries de main d’oeuvre. 

>> Lire le mémoire prébudgétaire du RCDÉC

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