En février 2020, le Réseau canadien de DÉC a publié une déclaration de solidarité avec les chefs héréditaires, les membres de la communauté et les défenseurs de la terre de la nation Wet’suwet’en.

Après dix-neuf mois, la situation n’a pas beaucoup changé. Les défenseurs de la terre continuent à s’opposer à la construction du gazoduc Coastal GasLink. De leur côté, le gouvernement et le secteur des entreprises ignorent ces revendications et déploient une police militarisée pour expulser par la force les peuples autochtones de leurs propres terres. Cependant, la situation se déroule, cette fois-ci, juste après les inondations et les glissements de terrain sans précédent qui ont ravagé le territoire ainsi qu’une grande partie de la Colombie-Britannique, sans parler de la pandémie qui est loin de prendre fin. Tout ceci expose avec une clarté frappante la relation entre le colonialisme, la crise climatique et la quête effrénée de profit de l’industrie extractive.

Depuis février 2020, l’équipe, le conseil d’administration et les membres du RCDÉC ont entamé plusieurs processus destinés à approfondir notre compréhension collective du colonialisme de peuplement et de la suprématie blanche. Dans notre Théorie du changement, nous nous sommes engagés à mettre en place « une approche intersectionnelle, intersectorielle et collaborative » visant une libération collective qui nous permette de bâtir un monde où « des collectivités durables, inclusives et équitables [décident] de leurs propres avenirs ». Dans nos Priorités politiques, nous désignons la réconciliation, le dialogue de nation à nation et la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (DNUDPA) comme principes directeurs de notre travail. Tout au long de notre parcours d’apprentissage interne de l’anti-oppression, l’équipe et le conseil d’administration se sont demandé comment des forces telles que le racisme systémique, le patriarcat et le colonialisme pouvaient resurgir dans notre travail. Tous ses engagements ont renforcé notre résolution à agir pour la décolonisation et la justice économique. 

L’autodétermination est au cœur du développement économique communautaire. Le consentement préalable, libre et éclairé des chefs héréditaires, qui selon la loi et la gouvernance de la nation Wet’suwet’en sont responsables de prendre les décisions concernant les terres ancestrales, n’a toujours pas été obtenu. C’est pourquoi, nous réaffirmons notre solidarité avec les chefs héréditaires, les membres de la communauté et les défenseurs de la terre de la nation Wet’surette’en.

Nous partageons notre déclaration ci-après. (Veuillez noter que nous avons mis à jour notre liste de ressources .)


20 février 2020 – Nous reconnaissons la souveraineté de la nation Wet’suwet’en sur ces terres non cédées et que tous les chefs héréditaires des cinq clans Wet’suwet’en ont rejetés le pipeline Coastal GasLink de TC Énergie. Nous demandons à la GRC de se retirer immédiatement des territoires Wet’suwet’en.

Le gouvernement canadien s’est engagé à rétablir les relations avec les peuples autochtones. Les titres de propriété autochtone sont protégés par la constitution canadienne et ont été maintenus par des décisions de la Cour Suprême du Canada. Tant la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (UNDRIP – appuyée par le Canada en 2016 et par la C.-B. en 2019) que la Commission de vérité et réconciliation du Canada affirment le principe fondamental du « consentement préalable, libre et éclairé » non seulement des conseils de bande élus, mais aussi des clans et des chefs héréditaires. Nous demandons aux gouvernements fédéral et provincial de respecter UNDRIP en honorant le droit de la nation Wet’suwet’en au consentement préalable, libre et éclairé et de négocier avec la nation Wet’suwet’en sur une véritable base de nation à nation.

Avec un respect profond pour les connaissances traditionnelles autochtones, le RCDÉC reconnaît les liens inextricables entre le capitalisme extractif et le colonialisme, et milite pour des leviers économiques du changement qui contribue au bien-être communautaire et environnemental.

Le peuple Wet’suwet’en se tient debout pour protéger les terres et les eaux et pour démontrer au monde ce que ça signifie de définir le futur par des approches démocratiques, participatives et communautaires. Ce faisant, ils affirment aussi la souveraineté sur le soin et la conservation de notre demeure commune — la définition originale « d’économie ».

Les coûts de construction à eux seuls pour le gazoduc Coastal GasLink sont estimés à 6,6 milliards de dollars. Le montant ne tient pas compte de la dépense du déploiement de la GRC; et n’inclus pas non plus les milliards de dollars en subventions que le gouvernement canadien paie à l’industrie pétrolière et gazière chaque année.

Certaines Premières Nations Wet’suwet’en ont signé des ententes sur les répercussions et les avantages et obtiendraient des occasions économiques pour leurs communautés. Mais imaginez si un investissement équivalent était plutôt fait uniquement dans une transition pour une économie écologique créée par la coopération et la décolonisation. Nous serions en mesure d’aborder la crise climatique avec les ressources et l’urgence qu’elles exigent, tout en donnant l’accès à des services communautaires essentiels et à du travail décent.

Dans cette ère de crise climatique, il est plus important que jamais auparavant que les décisions qui ont un impact sur les communautés soient ancrées dans les connaissances locales et menées par des communautés. Les défenseurs de la terre Wet’suwet’en nous apprennent tous comment défendre une réalité économique qui honore la terre et tous les êtres et qui priorise le bien-être communautaire plutôt que les profits du secteur privé.

Nous demandons des investissements afin de créer une société où toutes les personnes et les communautés, maintenant et dans le futur, puissent avoir une bonne qualité de vie. Nous demandons à nos membres, collaborateurs, amis et alliés de se joindre en solidarité avec la nation Wet’suwet’en en condamnant la violence coloniale continue contre les peuples et les communautés autochtones, incluant le retrait forcé et en encourageant les voix et les actions des défenseurs de la terre et leurs alliés.

Solidairement,

Le Réseau canadien de développement économique communautaire


Vous souhaitez avoir une meilleure compréhension de la situation?

Nous encourageons les personnes à continuer d’apprendre et à faire leur propre recherche. Nous vous partageons quelques ressources ci-dessous :

  • Consulter le site Web Gidimt’en Yintah Access pour lire des articles et visionner des vidéos sur la situation en première ligne
  • Lire l’analyse de 
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Entreprises riveraines colorées à Moncton, NBLa COVID -19 menace d’accélérer la retraite des propriétaires d’entreprises dans les zones rurales du Canada atlantique. Il s’agit d’un véritable défi. Les coopératives et l’entreprise sociale peuvent offrir une solution.

Selon les derniers rapports du Conseil économique des provinces de l’Atlantique (CÉPA), sur le plan économique, les communautés rurales ont été beaucoup plus touchées par la COVID-19 que d’autres régions. De plus, le processus de recouvrement démontre que certains groupes semblent bien s’en tirer tandis que d’autres sont beaucoup plus touchés par la pandémie, y compris les femmes, les jeunes, ainsi que les groupes marginalisés et racisés.

Bien que le projet de Redressement, stabilisation et relève d’entreprise ait été conçu il y a près de deux ans, soit au moment où le Réseau canadien de DÉC et ses partenaires communautaires du Canada atlantique ont établi qu’il fallait un plan pour préserver l’économie locale en incitant les propriétaires d’entreprise qui prenaient leur retraite à convertir leur entreprise en entreprise sociale ou en coopérative, depuis la pandémie, ce besoin est devenu encore plus important et concerne un public beaucoup plus large.

En collaboration avec Flourish Community Development Co-op, le Co-operative Enterprise Council of New Brunswick, la CDR-Acadie et une panoplie d’intervenants nationaux et locaux qui œuvrent dans le domaine du transfert d’entreprise, nous avons réalisé un projet de recherche-action afin de recueillir des données sur la situation économique locale, regrouper les outils qui existent déjà pour appuyer le processus de transfert d’entreprise à vocation sociale et tester des ressources d’apprentissage et d’autres contenus auprès de groupes d’intervenants variés et des communautés.

L’ampleur du défi que représente la relève d’entreprise pour le Canada atlantique est très grande. La relève sociale est une solution durable. Cependant, le manque de sensibilisation à la relève sociale en tant qu’option et de ressources pour soutenir les personnes qui choisissent cette option est considérable.

L’équipe de recherche élabore actuellement une stratégie basée sur ces résultats, axée sur la sensibilisation, le renforcement des capacités et le pilotage de relèves sociales soutenues.

Téléchargez

Pour en savoir plus, veuillez communiquer avec :

Laurie Cook de Flouris à

Sarah Leeson-Klym de

Pour en savoir plus sur la succession sociale :

  • Le Legacy Leadership Lab du WISIR de l’Université de Waterloo est une ressource importante dans ce domaine. Lisez son rapport final pour en savoir plus sur ses conclusions et ses projets pour l’avenir.
  • CoopConvert est un projet de collaboration et de recherche portant spécifiquement sur les conversions d’entreprises en coopératives. Il dispose d’un nombre croissant d’études de cas et de rapports disponibles en ligne.

Le projet de Redressement, stabilisation et relève d’entreprise est financé par l’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APÉCA) dans le cadre de la Mesure de recherche stratégique-Atlantique, qui permet d’analyser les enjeux socioéconomiques majeurs du Canada atlantique. Les opinions exprimées dans cette étude ne reflètent pas les opinions de l’APÉCA ni du gouvernement du Canada. Les auteurs de cette étude sont responsables de l’exactitude, la fiabilité et la pertinence des renseignements.

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Sarah Leeson-Klym

Sarah Leeson-Klym

Entreprises riveraines colorées à Moncton, NBLa COVID -19 menace d’accélérer la retraite des propriétaires d’entreprises dans les zones rurales du Canada atlantique. Il s’agit d’un véritable défi. Les coopératives et l’entreprise sociale peuvent offrir une solution.

Selon les derniers rapports du Conseil économique des provinces de l’Atlantique (CÉPA), sur le plan économique, les communautés rurales ont été beaucoup plus touchées par la COVID-19 que d’autres régions. De plus, le processus de recouvrement démontre que certains groupes semblent bien s’en tirer tandis que d’autres sont beaucoup plus touchés par la pandémie, y compris les femmes, les jeunes, ainsi que les groupes marginalisés et racisés.

Bien que le projet de Redressement, stabilisation et relève d’entreprise ait été conçu il y a près de deux ans, soit au moment où le Réseau canadien de DÉC et ses partenaires communautaires du Canada atlantique ont établi qu’il fallait un plan pour préserver l’économie locale en incitant les propriétaires d’entreprise qui prenaient leur retraite à convertir leur entreprise en entreprise sociale ou en coopérative, depuis la pandémie, ce besoin est devenu encore plus important et concerne un public beaucoup plus large. 

En collaboration avec Flourish Community Development Co-op, le Co-operative Enterprise Council of New Brunswick, la CDR-Acadie et une panoplie d’intervenants nationaux et locaux qui œuvrent dans le domaine du transfert d’entreprise, nous avons réalisé un projet de recherche-action afin de recueillir des données sur la situation économique locale, regrouper les outils qui existent déjà pour appuyer le processus de transfert d’entreprise à vocation sociale et tester des ressources d’apprentissage et d’autres contenus auprès de groupes d’intervenants variés et des communautés.

L’ampleur du défi que représente la relève d’entreprise pour le Canada atlantique est très grande. La relève sociale est une solution durable. Cependant, le manque de sensibilisation à la relève sociale en tant qu’option et de ressources pour soutenir les personnes qui choisissent cette option est considérable.

L’équipe de recherche élabore actuellement une stratégie basée sur ces résultats, axée sur la sensibilisation, le renforcement des capacités et le pilotage de relèves sociales soutenues.

Téléchargez

Pour en savoir plus, veuillez communiquer avec :

Laurie Cook de Flouris à chutzpah (à) accesswave.ca

Sarah Leeson-Klym de sleesonklym (à) ccednet-rcdec.ca 

Pour en savoir plus sur la succession sociale : 

  • Le Legacy Leadership Lab du WISIR de l’Université de Waterloo est une ressource importante dans ce domaine. Lisez son rapport final pour en savoir plus sur ses conclusions et ses projets pour l’avenir.
  • CoopConvert est un projet de collaboration et de recherche portant spécifiquement sur les conversions d’entreprises en coopératives. Il dispose d’un nombre croissant d’études de cas et de rapports disponibles en ligne.

Le projet de Redressement, stabilisation et relève d’entreprise est financé par l’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APÉCA) dans le cadre de la Mesure de recherche stratégique-Atlantique, qui permet d’analyser les enjeux socioéconomiques majeurs du Canada atlantique. Les opinions exprimées dans cette étude ne reflètent pas les opinions de l’APÉCA ni du gouvernement du Canada. Les auteurs de cette étude sont responsables de l’exactitude, la fiabilité et la pertinence des renseignements.

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Le Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO) lance une nouvelle et importante contribution à l’écosystème de la finance sociale en partenariat avec le RCDÉC. Ils ont étudié la situation et les perspectives des pratiques de l’investissement communautaire participatif en Ontario. Ce nouveau rapport comprend une analyse de l’écosystème actuel pour ce modèle prometteur en Ontario ainsi qu’une étude de l’environnement réglementaire actuel, et les compare avec d’autres provinces et territoires du Canada.

« Les organismes d’investissement communautaire… comblent efficacement l’écart entre les investisseurs locaux et les entreprises locales qui ont besoin de financement. Ils créent des fonds d’impact rentables, contrôlés et dirigés par la communauté. Un dollar qui circule plus longtemps au sein de la communauté verra son effet multiplicateur augmenté proportionnellement. En d’autres termes, lorsque l’argent local est investi dans des projets et des populations locales, il reste dans la collectivité sous forme de salaires, de loyers et d’achats locaux, augmentant par là même occasion son impact sur le développement économique communautaire. Les OIC représentent des mesures concrètes qui fournissent un capital local flexible provenant des membres de la communauté pour des priorités décidées localement. »

Le rapport basé sur cette analyse exhaustive propose des recommandations qui sont détaillées par différents groupes. Ils recommandent, par exemple, que les investisseurs intéressés fassent preuve de patience et qu’ils s’emploient aussi à être proactifs face à d’importantes problématiques émergentes qui pourraient bénéficier d’investissements et d’implications communautaires. Les organismes gouvernementaux de réglementation pourraient créer un environnement plus favorable en simplifiant le processus de placement ou en offrant des incitatifs aux investisseurs en rendant ce genre d’investissements admissibles aux REER ou en créant un autre crédit d’impôt.

Parallèlement à ce rapport, le CCO lance également le Guide de démarrage d’un organisme d’investissement communautaire de l’Ontario, une adaptation du document original créé en Colombie-Britannique. Ceci représente une étape importante dans le renforcement des capacités de l’écosystème ontarien en soutien aux modèles d’investissement dirigé par la communauté.

Pour en savoir plus sur ce rapport ontarien ou pour solliciter des appuis pour un OIC basé en Ontario, contactez Édouard Sylvestre, auteur du rapport et membre de l’équipe du CCO, edouard.sylvestre (à) cco.coop.

—-

Ce projet a été réalisé en partenariat avec la Fondation Trillium de l’Ontario. Il recoupe également le travail du RCDÉC tout au long du Programme de préparation à l’investissement (PPI) du gouvernement fédéral récemment achevé. Au sein de ce programme, nous avons rassemblé des leaders intéressés dans les modèles des OIC de plusieurs régions du pays et nous leur avons demandé de réfléchir à ce qui est nécessaire pour renforcer et améliorer le profil de ces modèles dirigés localement et appartenant à la communauté dans le paysage émergeant de la finance sociale.

Pour en savoir plus sur le travail du RCDÉC sur les OIC ou sur le Programme de préparation à l’investissement, contactez Sarah Leeson-Klym, sleesonklym (à) ccednet-rcdec.ca.

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Sarah Leeson-Klym

Sarah Leeson-Klym

Le Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO) lance une nouvelle et importante contribution à l’écosystème de la finance sociale en partenariat avec le RCDÉC. Ils ont étudié la situation et les perspectives des pratiques de l’investissement communautaire participatif en Ontario. Ce nouveau rapport comprend une analyse de l’écosystème actuel pour ce modèle prometteur en Ontario ainsi qu’une étude de l’environnement réglementaire actuel, et les compare avec d’autres provinces et territoires du Canada.

« Les organismes d’investissement communautaire… comblent efficacement l’écart entre les investisseurs locaux et les entreprises locales qui ont besoin de financement. Ils créent des fonds d’impact rentables, contrôlés et dirigés par la communauté. Un dollar qui circule plus longtemps au sein de la communauté verra son effet multiplicateur augmenté proportionnellement. En d’autres termes, lorsque l’argent local est investi dans des projets et des populations locales, il reste dans la collectivité sous forme de salaires, de loyers et d’achats locaux, augmentant par là même occasion son impact sur le développement économique communautaire. Les OIC représentent des mesures concrètes qui fournissent un capital local flexible provenant des membres de la communauté pour des priorités décidées localement. »

Le rapport basé sur cette analyse exhaustive propose des recommandations qui sont détaillées par différents groupes. Ils recommandent, par exemple, que les investisseurs intéressés fassent preuve de patience et qu’ils s’emploient aussi à être proactifs face à d’importantes problématiques émergentes qui pourraient bénéficier d’investissements et d’implications communautaires. Les organismes gouvernementaux de réglementation pourraient créer un environnement plus favorable en simplifiant le processus de placement ou en offrant des incitatifs aux investisseurs en rendant ce genre d’investissements admissibles aux REER ou en créant un autre crédit d’impôt.

Parallèlement à ce rapport, le CCO lance également le Guide de démarrage d’un organisme d’investissement communautaire de l’Ontario, une adaptation du document original créé en Colombie-Britannique. Ceci représente une étape importante dans le renforcement des capacités de l’écosystème ontarien en soutien aux modèles d’investissement dirigé par la communauté.

Pour en savoir plus sur ce rapport ontarien ou pour solliciter des appuis pour un OIC basé en Ontario, contactez Édouard Sylvestre, auteur du rapport et membre de l’équipe du CCO, edouard.sylvestre (à) cco.coop.

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Ce projet a été réalisé en partenariat avec la Fondation Trillium de l’Ontario. Il recoupe également le travail du RCDÉC tout au long du Programme de préparation à l’investissement (PPI) du gouvernement fédéral récemment achevé. Au sein de ce programme, nous avons rassemblé des leaders intéressés dans les modèles des OIC de plusieurs régions du pays et nous leur avons demandé de réfléchir à ce qui est nécessaire pour renforcer et améliorer le profil de ces modèles dirigés localement et appartenant à la communauté dans le paysage émergeant de la finance sociale.

Pour en savoir plus sur le travail du RCDÉC sur les OIC ou sur le Programme de préparation à l’investissement, contactez Sarah Leeson-Klym, sleesonklym (à) ccednet-rcdec.ca.

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Une nouvelle cohorte de députés se rendra à Ottawa le 22 novembre.  Nous voulons nous assurer qu’ils agissent en faveur des économies communautaires ! 

Le soutien aux économies communautaires est la meilleure voie à suivre pour le Canada en vue d’une relance économique post-COVID qui bénéficie à tout le monde.  La meilleure façon pour le gouvernement fédéral de soutenir les économies communautaires est de mettre en œuvre les recommandations du Groupe directeur chargé de la co-création de la stratégie d’innovation sociale et de finance sociale.  Ces recommandations portent sur le développement de compétences relatives aux entreprises sociales, d’approvisionnement social, du déblocage des capitaux privés, de l’accroissement de l’accès au marché et de changements réglementaires.  

Appel à l’action

Contribuez à la campagne en contactant votre député.e à ce sujet!  Vous avez plusieurs possibilités: 

  1. Appelez-les, passez à leur bureau ou demandez-leur un rendez-vous.  N’hésitez pas à utiliser ces notes d’allocution lorsque vous leur parlez ou que vous parlez à leur personnel.
  2. Envoyez-leur un courriel – nous avons préparé un gabarit pour vous.
  3. Contactez-les via les médias sociaux.  Voici un exemple de tweet et un exemple de message Facebook – adaptez-les comme vous le souhaitez !

Vous ne connaissez pas votre député.e?  Trouvez-les et leurs coordonnées ici.

N’oubliez pas de nous faire savoir ce que vous avez fait (en envoyant un courriel à ), et nous vous reconnaîtrons, vous et votre député, sur les médias sociaux ! 

Un peu de contexte

En 2018, le Groupe directeur sur la co-création d’une Stratégie d’innovation sociale et de finance sociale a publié son rapport, Pour l’innovation inclusive : Nouvelles idées et nouveaux partenariats pour des collectivités plus fortes.  À la suite de la publication du rapport, le gouvernement fédéral a établi la Stratégie d’innovation sociale et de finance sociale et, en 2018, a annoncé un Fonds de financement social de 755 millions de dollars et un Programme de préparation à l’investissement de 50 millions de dollars ; le budget fédéral de 2021-22 a réaffirmé les engagements de lancer le Fonds de financement social de 755 millions de dollars avec jusqu’à 220 millions de dollars déployés au cours de ses deux premières années, et a renouvelé le Programme de préparation à l’investissement pour 50 millions de dollars supplémentaires sur deux ans.  MAIS, peu de mesures ont été prises concernant les autres recommandations !

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Une nouvelle cohorte de députés se rendra à Ottawa le 22 novembre.  Nous voulons nous assurer qu’ils agissent en faveur des économies communautaires ! 

Le soutien aux économies communautaires est la meilleure voie à suivre pour le Canada en vue d’une relance économique post-COVID qui bénéficie à tout le monde.  La meilleure façon pour le gouvernement fédéral de soutenir les économies communautaires est de mettre en œuvre les recommandations du Groupe directeur chargé de la co-création de la stratégie d’innovation sociale et de finance sociale.  Ces recommandations portent sur le développement de compétences relatives aux entreprises sociales, d’approvisionnement social, du déblocage des capitaux privés, de l’accroissement de l’accès au marché et de changements réglementaires.  

Appel à l’action

Contribuez à la campagne en contactant votre député.e à ce sujet!  Vous avez plusieurs possibilités: 

  1. Appelez-les, passez à leur bureau ou demandez-leur un rendez-vous.  N’hésitez pas à utiliser ces notes d’allocution lorsque vous leur parlez ou que vous parlez à leur personnel.
  2. Envoyez-leur un courriel – nous avons préparé un gabarit pour vous.
  3. Contactez-les via les médias sociaux.  Voici un exemple de tweet et un exemple de message Facebook – adaptez-les comme vous le souhaitez !

Vous ne connaissez pas votre député.e?  Trouvez-les et leurs coordonnées ici.

N’oubliez pas de nous faire savoir ce que vous avez fait (en envoyant un courriel à ), et nous vous reconnaîtrons, vous et votre député, sur les médias sociaux ! 

Un peu de contexte

En 2018, le Groupe directeur sur la co-création d’une Stratégie d’innovation sociale et de finance sociale a publié son rapport, Pour l’innovation inclusive : Nouvelles idées et nouveaux partenariats pour des collectivités plus fortes.  À la suite de la publication du rapport, le gouvernement fédéral a établi la Stratégie d’innovation sociale et de finance sociale et, en 2018, a annoncé un Fonds de financement social de 755 millions de dollars et un Programme de préparation à l’investissement de 50 millions de dollars ; le budget fédéral de 2021-22 a réaffirmé les engagements de lancer le Fonds de financement social de 755 millions de dollars avec jusqu’à 220 millions de dollars déployés au cours de ses deux premières années, et a renouvelé le Programme de préparation à l’investissement pour 50 millions de dollars supplémentaires sur deux ans.  MAIS, peu de mesures ont été prises concernant les autres recommandations !

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Aujourd’hui à Victoriaville, Québec, une websérie de huit capsules vidéos portant sur les refléxions de Bill Ninacs a été lancée. 

À travers cette série, Bill partage sa vision de l’évolution de différents phénomènes sociaux et sociétaux depuis le début de sa carrière. Il y aborde, entre autres, l’intervention sociale, la concertation, l’innovation et le développement intégré.

À travers des histoires tirées de son vécu personnel et professionnel, il amène l’auditoire à considérer les sujets sous un nouvel angle. En complément, Bill propose des documents de référence puisés dans ses travaux afin d’approfondir les thématiques explorées dans les capsules.  L’approche intimiste des vidéos donne l’impression d’être en conversation avec Bill et de prendre un verre avec lui.

« Je tente depuis très longtemps d’harmoniser le développement économique et le développement social. Je dois continuer à contribuer, car le monde n’a pas encore changé comme je souhaiterais qu’il change. J’ai donc encore du travail à faire » indique monsieur Ninacs, qui se dit tout de même optimiste face à l’avenir.

« Bill Ninacs s’est révélé un acteur clé dans la création du Collectif des partenaires en développement des communautés, et surtout, il a été au cœur des réflexions sur le développement des communautés au Québec. Ce projet est une façon extraordinaire de continuer à faire rayonner l’importance d’un développement de communauté solidaire ! » soutient madame Nadia Cardin, coordonnatrice du Collectif des partenaires en développement des communautés.

Logos des partenaires« En contribuant à la série vidéo, notre intention était de rendre facilement accessible l’immense contribution de Bill Ninacs. L’apport de sa réflexion et de sa pratique est incontournable pour quiconque s’intéresse à des sujets aussi importants que la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale, l’action communautaire, la mobilisation des communautés ou l’empowerment. Il est une référence en matière de renforcement de la capacité d’agir des communautés », affirme monsieur Jean-Marc Chouinard, président de la Fondation Lucie et André Chagnon.

« La Ville n’a pas hésité à soutenir le projet de série. Les réflexions véhiculées par M. Ninacs sont assurément en cohérence avec la municipalité en ce qui a trait au développement durable, incluant le développement social et économique. La Ville de Victoriaville a la volonté d’offrir à sa population un environnement harmonieux, inclusif, durable. Par son implication monumentale au sein du monde communautaire, M. Ninacs a bonifié notre milieu de vie » déclare Antoine Tardif, maire de Victoriaville.

Bill Ninacs a contribué au développement de plusieurs initiatives communautaires. Il a notamment participé à la fondation du Conseil québécois de développement social et de la toute première corporation de développement communautaire au Québec, la Corporation de développement communautaire des Bois-Francs (CDCBF). Il a également milité pour la défense des droits des personnes handicapées, la lutte à la pauvreté et le soutien aux populations vulnérables, toujours dans l’optique de favoriser l’équité.  Finalement, et non le moindre, il a été récipiendaire du Prix Plus forts ensemble du RCDÉC en juin 2021.  

La série, qui s’adresse à toute personne intéressée par les enjeux sociaux, se veut très accessible. Elle est sous-titrée en anglais et en français et que la langue des signes québécoise (LSQ) y a été intégrée. L’ensemble des capsules ainsi que des liens menant vers de la documentation complémentaire sont disponibles au billninacs.ca.

billninacs.ca

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Affiche de CréeAction : Le Réseau canadien de développement économique communautaire est heureux d’annoncer sa troisième invitation aux membres organisationnels à faire une demande pour devenir un employeur par l’entremise du programme CréeAction : programme d’innovation sociale inclusive. Vous n’êtes pas déjà membre? Vérifiez comment vous pouvez vous joindre au réseau (incluant des options d’accessibilité) en consultant la page d’adhésion au RCDÉC.

À propos

Le but de CréeAction est de fournir des emplois et des occasions d’apprentissages pertinents pour leurs carrières à de jeunes déscolarisés sans emploi (NEET) qui font face à des obstacles à l’emploi.  Ces stages professionnels auront lieu selon les conditions d’une entente de contribution entre le Réseau canadien de DÉC et Emploi et Développement social Canada dans le cadre de la Stratégie emploi et compétences jeunesse.

Le Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) et l’Association nationale des Centres d’amitié (ANCA) travaillent en collaboration afin de mettre en œuvre le programme CréeAction à l’aide de financement en provenance d’Emploi et Développement social Canada et avec du soutien pour l’évaluation de la Société de recherche sociale appliquée (SRSA).

Tous les stages professionnels soutiendront de jeunes personnes afin de faire progresser leurs intérêts de carrière dans le développement économique communautaire, l’innovation sociale et/ou de la prestation de services autochtone hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones.

Cet appel de propositions est pour les stages qui se tiendront du 10 janvier au 8 juillet 2022 (26 semaines). Le programme CréeAction fournira un salaire de 19,50 $/heure pour 37,5 heures/semaine aux jeunes. Les employeurs peuvent choisir d’augmenter le salaire de leurs jeunes à leurs frais. La date limite pour déposer des demandes est le 22 octobre 2021 à 23 h 59, heure normale du Pacifique.

Les employeurs seront sélectionnés en fonction des critères suivants :

  • engagement à soutenir et à concilier les besoins des jeunes faisant face à des obstacles à l’emploi et une volonté d’accroître la capacité organisationnelle en conséquence;
  • un engagement face au principe que le programme CréeAction est avant tout un programme conçu pour soutenir les jeunes personnes face à des obstacles à l’emploi;
  • une volonté d’embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme;
  • avoir un poste disponible qui s’aligne avec le niveau d’une jeune personne face à des obstacles à l’emploi, et avoir la volonté d’adapter le poste en fonction des compétences/capacités du jeune engagé;
  • engagement et capacité organisationnelle d’aider les jeunes avec leur travail quotidien, de leur fournir de l’encadrement et du soutien pour le développement de leur carrière;
  • diversité géographique (p. ex. rurale, éloignée, autochtone, nordique, communautés francophones à l’extérieur du Québec ainsi que les communautés urbaines défavorisées ayant des populations de nouveaux immigrants);
  • capacité avérée à recruter et à soutenir des personnes qui sont autochtones, noires, racialisées, LGBTQ2S+, de nouveaux arrivants au Canada, francophones ou qui vivent avec une incapacité;
  • engagement à participer dans un réseau de soutien entre pairs des employeurs;
  • dévouement à aider la ou le jeune à transposer son expérience dans un emploi à temps plein ou d’étude;
  • capacité de recruter et de soutenir des jeunes déscolarisés sans emploi (NEET);
  • capacité de recruter et de soutenir des jeunes de diverses origines et confrontés à des obstacles à l’emploi;
  • capacité à soutenir de façon adéquate le développement de compétences des jeunes avec du soutien supplémentaire des partenaires de CréeAction.
  • pertinence de l’expérience de travail proposée en relation avec le développement économique communautaire et l’innovation sociale et/ou de la prestation de services autochtones hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones (visitez le site Web de l’ANCA).

La priorité sera accordée aux organismes qui offrent des soutiens sociaux aux adultes ou jeunes dans le cadre de leur mandat (p. ex. organismes qui servent ou soutiennent les personnes nouvellement arrivées, réfugiées, qui ont survécu à la violence ou fuyant l’abus ou les personnes ayant auparavant été incarcérées et les personnes qui vivent avec ou qui surmontent des défis de santé mentale ou des troubles de consommation de substances ou encore de précarité des logements, etc.).

Les employeurs :

  • offriront une occasion pertinente d’emploi de 26 semaines;
  • chercheront activement des jeunes de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
  • embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme CréeAction;
  • offriront aux jeunes une session d’orientation relative à l’employeur;
  • développeront, au début du placement, un plan d’apprentissage avec les jeunes;
  • développeront et mettront en œuvre un plan afin de fournir suffisamment de services de soutien pour permettre aux jeunes de réussir leur placement;
  • fourniront des ressources et du temps suffisants pour superviser efficacement et offrir du mentorat aux jeunes à l’expérience de travail;
  • s’engageront à avoir des réunions hebdomadaires avec les jeunes afin de soutenir leurs objectifs d’apprentissage;
  • planifieront un minimum de :
    • six (6) heures par semaine pour que le jeune à l’expérience de travail participe à des activités d’apprentissage entre pairs;
    • trois (3) journées de travail pour que le jeune participe à un événement d’apprentissage en personne ou en ligne.
  • fourniront, avec l’appui du programme CréeAction des conseils de carrière, de la rétroaction régulière et des conseils aux jeunes et aideront les jeunes à accéder à de la formation ou des emplois pertinents pour leur future carrière à la fin de leur placement;
  • fourniront aux jeunes tous les matériaux de travail raisonnablement nécessaires;
  • contacter le Réseau canadien de DÉC pour obtenir un soutien et des conseils en cas de problèmes que vous ou le jeune rencontrez et chaque fois que le jeune peut s’absenter du travail;
  • participeront à trois (3) ou plus sessions nationales virtuelles des employeurs avec le Réseau canadien de DÉC et d’autres organismes choisies;
  • travailleront avec les évaluateurs du programme CréeAction sur les activités liées à l’évaluation, telles que les activités liées à un contrôle à mi-parcours et une évaluation finale ;
  • identifieront des candidats avant le 17 décembre afin de permettre aux jeunes de commencer leurs stages professionnels le 10 janvier.
  • deviendront membre du Réseau canadien de DÉC après la sélection,
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    Matthew Thompson

    Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

    Matthew Thompson

Affiche de CréeAction : Le Réseau canadien de développement économique communautaire est heureux d’annoncer sa troisième invitation aux membres organisationnels à faire une demande pour devenir un employeur par l’entremise du programme CréeAction : programme d’innovation sociale inclusive. Vous n’êtes pas déjà membre? Vérifiez comment vous pouvez vous joindre au réseau (incluant des options d’accessibilité) en consultant la page d’adhésion au RCDÉC.

À propos

Le but de CréeAction est de fournir des emplois et des occasions d’apprentissages pertinents pour leurs carrières à de jeunes déscolarisés sans emploi (NEET) qui font face à des obstacles à l’emploi.  Ces stages professionnels auront lieu selon les conditions d’une entente de contribution entre le Réseau canadien de DÉC et Emploi et Développement social Canada dans le cadre de la Stratégie emploi et compétences jeunesse.

Le Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) et l’Association nationale des Centres d’amitié (ANCA) travaillent en collaboration afin de mettre en œuvre le programme CréeAction à l’aide de financement en provenance d’Emploi et Développement social Canada et avec du soutien pour l’évaluation de la Société de recherche sociale appliquée (SRSA).

Tous les stages professionnels soutiendront de jeunes personnes afin de faire progresser leurs intérêts de carrière dans le développement économique communautaire, l’innovation sociale et/ou de la prestation de services autochtone hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones.

Cet appel de propositions est pour les stages qui se tiendront du 10 janvier au 8 juillet 2022 (26 semaines). Le programme CréeAction fournira un salaire de 19,50 $/heure pour 37,5 heures/semaine aux jeunes. Les employeurs peuvent choisir d’augmenter le salaire de leurs jeunes à leurs frais. La date limite pour déposer des demandes est le 22 octobre 2021 à 23 h 59, heure normale du Pacifique.

Les employeurs seront sélectionnés en fonction des critères suivants :

  • engagement à soutenir et à concilier les besoins des jeunes faisant face à des obstacles à l’emploi et une volonté d’accroître la capacité organisationnelle en conséquence;
  • un engagement face au principe que le programme CréeAction est avant tout un programme conçu pour soutenir les jeunes personnes face à des obstacles à l’emploi;
  • une volonté d’embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme;
  • avoir un poste disponible qui s’aligne avec le niveau d’une jeune personne face à des obstacles à l’emploi, et avoir la volonté d’adapter le poste en fonction des compétences/capacités du jeune engagé;
  • engagement et capacité organisationnelle d’aider les jeunes avec leur travail quotidien, de leur fournir de l’encadrement et du soutien pour le développement de leur carrière;
  • diversité géographique (p. ex. rurale, éloignée, autochtone, nordique, communautés francophones à l’extérieur du Québec ainsi que les communautés urbaines défavorisées ayant des populations de nouveaux immigrants);
  • capacité avérée à recruter et à soutenir des personnes qui sont autochtones, noires, racialisées, LGBTQ2S+, de nouveaux arrivants au Canada, francophones ou qui vivent avec une incapacité;
  • engagement à participer dans un réseau de soutien entre pairs des employeurs;
  • dévouement à aider la ou le jeune à transposer son expérience dans un emploi à temps plein ou d’étude;
  • capacité de recruter et de soutenir des jeunes déscolarisés sans emploi (NEET);
  • capacité de recruter et de soutenir des jeunes de diverses origines et confrontés à des obstacles à l’emploi;
  • capacité à soutenir de façon adéquate le développement de compétences des jeunes avec du soutien supplémentaire des partenaires de CréeAction.
  • pertinence de l’expérience de travail proposée en relation avec le développement économique communautaire et l’innovation sociale et/ou de la prestation de services autochtones hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones (visitez le site Web de l’ANCA).

La priorité sera accordée aux organismes qui offrent des soutiens sociaux aux adultes ou jeunes dans le cadre de leur mandat (p. ex. organismes qui servent ou soutiennent les personnes nouvellement arrivées, réfugiées, qui ont survécu à la violence ou fuyant l’abus ou les personnes ayant auparavant été incarcérées et les personnes qui vivent avec ou qui surmontent des défis de santé mentale ou des troubles de consommation de substances ou encore de précarité des logements, etc.).

Les employeurs :

  • offriront une occasion pertinente d’emploi de 26 semaines;
  • chercheront activement des jeunes de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
  • embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme CréeAction;
  • offriront aux jeunes une session d’orientation relative à l’employeur;
  • développeront, au début du placement, un plan d’apprentissage avec les jeunes;
  • développeront et mettront en œuvre un plan afin de fournir suffisamment de services de soutien pour permettre aux jeunes de réussir leur placement;
  • fourniront des ressources et du temps suffisants pour superviser efficacement et offrir du mentorat aux jeunes à l’expérience de travail;
  • s’engageront à avoir des réunions hebdomadaires avec les jeunes afin de soutenir leurs objectifs d’apprentissage;
  • planifieront un minimum de :
    • six (6) heures par semaine pour que le jeune à l’expérience de travail participe à des activités d’apprentissage entre pairs;
    • trois (3) journées de travail pour que le jeune participe à un événement d’apprentissage en personne ou en ligne.
  • fourniront, avec l’appui du programme CréeAction des conseils de carrière, de la rétroaction régulière et des conseils aux jeunes et aideront les jeunes à accéder à de la formation ou des emplois pertinents pour leur future carrière à la fin de leur placement;
  • fourniront aux jeunes tous les matériaux de travail raisonnablement nécessaires;
  • contacter le Réseau canadien de DÉC pour obtenir un soutien et des conseils en cas de problèmes que vous ou le jeune rencontrez et chaque fois que le jeune peut s’absenter du travail;
  • participeront à trois (3) ou plus sessions nationales virtuelles des employeurs avec le Réseau canadien de DÉC et d’autres organismes choisies;
  • travailleront avec les évaluateurs du programme CréeAction sur les activités liées à l’évaluation, telles que les activités liées à un contrôle à mi-parcours et une évaluation finale ;
  • identifieront des candidats avant le 17 décembre afin de permettre aux jeunes de commencer leurs stages professionnels le 10 janvier.
  • deviendront membre du Réseau canadien de DÉC après la sélection, s’ils ne le sont pas déjà.

Les partenaires de CréeAction (RCDÉC, ANCA et SRSA)  :

  • payer directement les jeunes à un taux de 19,50 $/heure (bien que les employeurs soient invités à compléter ce montant) et couvrir les MERC (coûts obligatoires liés à l’emploi) ;
  • aideront les employeurs en leur donnant les conseils nécessaires et le soutien pour atteindre les objectifs du programme;
  • fourniront, en collaboration avec les employeur, des soutiens globaux sur mesure pour les jeunes y compris de soutenir la capacité d’employeurs dans leur capacité de fournir des appuis sociaux aux jeunes;
  • fourniront un programme solide d’apprentissage entre pairs et de mentorat pour le développement profession des jeunes à l’expérience de travail pour la durée du placement;
  • coordonneront des appels vidéo hebdomadaires pour que les jeunes apprennent, partagent leurs expériences et se réseautent;
  • organiseront une plateforme virtuelle (Slack) pour que les jeunes se regroupent et partagent des expériences tout au long du programme CréeAction;
  • coordonneront trois (3) appels vidéo pour que les employeurs partagent des expériences et se réseautent;
  • travailleront avec les employeurs pour offrir du soutien par la médiation ou pour résoudre des disputes qui surviennent avec les jeunes à l’expérience de travail;
  • travailleront en étroite collaboration avec les employeurs en cas de crise ou de conflit avec le placement d’expérience de travail, y compris toute décision de mettre fin au placement d’expérience de travail en dernier recours;
  • réaliseront des enquêtes de base, de fin de placement et de suivi après 3 mois auprès des jeunes, ainsi qu’une enquête de fin de placement auprès des employeurs, afin de suivre les progrès, d’assurer le suivi de l’apprentissage des jeunes et enregistrer les résultats, les attentes en matière de carrière et la satisfaction des jeunes.

Afin de participer au programme CréeAction, les jeunes admissibles doivent :

  • ​être déscolarisés et sans emploi (NEET);
  • être une jeune personne ayant des obstacles à l’emploi;
  • être âgés de 15 à 30 ans (inclusivement) au début du placement;
  • détenir la citoyenneté canadienne, la résidence permanente ou être des personnes protégées conformément à la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés;
  • être légalement autorisés à travailler au Canada;
  • être légalement autorisés à travailler conformément aux lois et règlements provinciaux/territoriaux pertinents.

Comment faire une demande?

Remplissez un formulaire de demande en ligne ici

Si vous avez besoin d’un formulaire de demande hors ligne, veuillez contacter Matthew Thompson aux coordonnées ci-dessous. La date limite pour le dépôt des demandes des employeurs est le 22 octobre 2021 à 23 h 59, heure normale du Pacifique.

Les jeunes intéressés au programme devraient postuler directement auprès des employeurs. Les employeurs retenus seront annoncés sur le site Web du Réseau canadien de DÉC.

Pour plus de renseignements, veuillez contacter Matthew Thompson, Directeur de l’engagement, ou Andri Mulia, Responsable de programme et de l’engagement, à .

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Les approches du DÉC qui ont un ferme engagement pour les processus démocratiques génèrent les stratégies les plus pertinentes, résilientes, adaptatives, équitables et efficaces pour le bienfait et la prospérité des collectivités.  De la même façon, la démocratie au niveau macroéconomique met le pouvoir entre les mains des populations et favorise des politiques et des prises de décisions plus pertinentes pour nos collectivités et plus proches de nos réalités.

Nous pouvons, et nous devrions, nous engager dans notre démocratie entre les élections. Néanmoins, les périodes électorales nous donnent l’occasion de rappeler aux politiciennes et aux politiciens que nous sommes là, que nous avons voix au chapitre et que nous allons l’utiliser!

Passez à l’action, impliquez-vous

  • Écoutez vos candidats locaux, les chefs de partis et les discours électoraux. Qui soutient les économies locales durables et inclusives? Faites attention aux engagements et au langage qui sont compatibles avec les priorités politiques pancanadiennes du RCDÉC, telles que
    • Réconciliation, dialogue de nation à nation avec les Premières nations, les Inuits et les Métis
    • Leadership des populations noires et autochtones, des personnes de couleur et de tout groupe luttant pour l’équité; démantèlement du racisme et du sexisme institutionnels et de toute autre forme d’oppression systémique
    • Transition juste vers un avenir écologique viable et faible en carbone
    • Économie sociale, entreprise sociale, innovation sociale, finance sociale
    • Approvisionnement social
    • Fonds d’investissement communautaire
    • Entreprises locales appartenant à la communauté
    • Réseau à large bande / Internet à haute vitesse communautaire
    • Développement de la main-d’œuvre, en particulier des groupes vulnérables et sous-représentés
    • Emploi décent
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Les approches du DÉC qui ont un ferme engagement pour les processus démocratiques génèrent les stratégies les plus pertinentes, résilientes, adaptatives, équitables et efficaces pour le bienfait et la prospérité des collectivités.  De la même façon, la démocratie au niveau macroéconomique met le pouvoir entre les mains des populations et favorise des politiques et des prises de décisions plus pertinentes pour nos collectivités et plus proches de nos réalités.

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    • Transition juste vers un avenir écologique viable et faible en carbone
    • Économie sociale, entreprise sociale, innovation sociale, finance sociale
    • Approvisionnement social
    • Fonds d’investissement communautaire
    • Entreprises locales appartenant à la communauté
    • Réseau à large bande / Internet à haute vitesse communautaire
    • Développement de la main-d’œuvre, en particulier des groupes vulnérables et sous-représentés
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