Le Réseau canadien de DÉC invite les personnes intéressées à poser leur candidature au poste à la coordination du congrès pancanadien et de l’engagement des membres.

EcoNous

Bandeau d'EcoNous2018

À PROPOS DU RÉSEAU CANADIEN DE DÉC

Le Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) est une association pancanadienne fondée sur des valeurs dont la mission est de renforcer les conditions sociales, économiques et environnementales des collectivités canadiennes. Nos membres viennent de tout le Canada. Ils travaillent sur le terrain dans les milieux ruraux, urbains, autochtones et nordiques. Le RCDÉC rassemble un large éventail d’intérêts communautaires inclusifs en vue d’influencer dans un effort commun les politiques, de créer des économies locales plus fortes et plus justes, de lutter contre la pauvreté et l’itinérance et d’investir dans des collectivités durables. Notre siège social se situe au Québec et le personnel du RCDÉC travaille en Ontario et au Manitoba. Pour plus d’informations sur le Réseau, veuillez consulter notre site Web : ccednet-rcdec.ca/fr

À PROPOS DU POSTE

EcoNous (le congrès pancanadien de DÉC) et l’engagement des membres sont intimement liés. EcoNous est l’un des principaux mécanismes permettant aux membres du RCDÉC de communiquer avec des pairs innovateursest un des principaux mécanismes pour tisser des liens avec des pairs inspirants des quatre coins du Canada, en apprennent davantage sur des stratégies qui produisent des impacts positifs sur le plan économique, social et environnemental, et ce au niveau local; de partager des réussites, des enjeux et des questionnements; et de redoublent d’efforts pour insuffler le changement dans les communautés au moyen de nouvelles idées, connaissances et relations. Le congrès exigera la majeure partie du temps de la coordonnatrice ou le coordonnateur du congrès pancanadien et de l’engagement des membres et devrait être considéré comme un complément aux activités de l’engagement des membres. En dehors des périodes de pointe de planification du congrès, la coordonnatrice ou le coordonnateur du congrès pancanadien et de l’engagement des membres se concentrera sur d’autres façons d’engager les membres du RCDÉC.

Lire l’offre d’emploi complète

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

La garantie solidaire (Vous êtes un organisme à but non lucratif ou une coopérative ?) (Vous avez des projets et besoin de capital?)La Caisse d’économie solidaire Desjardins, la Fondation McConnell, la Fondation Lucie et André Chagnon et la Fondation Mirella et Lino Saputo ont lancé la Garantie solidaire. Fruit d’une collaboration sans précédent, la Garantie solidaire est un outil financier conçu pour soutenir l’essor de l’économie sociale et de l’action communautaire au Québec. Agissant comme endosseurs, les fondations privées offrent 15 M$ en garantie pour permettre à des organismes communautaires, des entreprises d’économie sociale, des coopératives et des organismes à but non lucratif d’obtenir un prêt à la Caisse d’économie solidaire Desjardins, une coopérative financière spécialisée en économie sociale et en finance solidaire. L’accès au crédit ainsi facilité leur permet de réaliser des projets qui n’auraient pu l’être autrement, de générer davantage de retombées positives pour la communauté, et d’injecter 15 M$ dans le secteur de l’économie sociale et de l’action communautaire au Québec.

Pallier les insuffisances du marché

Les banques associent les organisations d’économie sociale et d’action communautaire, souvent à tort, un plus grand risque que les entreprises privées. Elles rencontrent des difficultés inhérentes à leur statut ou à leur mission telles l’impossibilité de mobiliser une mise de fonds, de fournir les garanties exigées, de rentabiliser l’action sociale ou environnementale, ou encore d’inclure les dons du public dans l’évaluation de leur capacité de remboursement d’un prêt.

Un nouvel outil au cœur de l’écosystème 

La Garantie solidaire se veut un outil de plus pour boucler des montages financiers en collaboration avec les acteurs de la finance solidaire au Québec. La Garantie solidaire vient s’ajouter aux solutions disponibles et facilite la réalisation de projets de développement en action communautaire et en économie sociale au Québec.

La Garantie solidaire

Pour avoir accès à la Garantie solidaire, les organisations devront faire la démonstration de la viabilité économique de leur projet et de leur capacité de remboursement du prêt. Les organisations qui se prévalent de la Garantie solidaire doivent verser à leur endosseur des frais de garantie représentant 1 % par an du montant cautionné initialement, calculés selon la durée du cautionnement. Ces frais s’ajoutent aux frais de crédit liés à l’emprunt, versés à la Caisse d’économie solidaire. Les organisations intéressées à faire une demande doivent le faire auprès de la Caisse d’économie solidaire.

L’économie sociale au Québec

À l’échelle du Québec seulement, l’apport de l’économie sociale dans le développement économique est considérable. L’économie sociale représente plus de 7 000 entreprises, 210 000 emplois et un chiffre d’affaires avoisinant les 40 milliards $, soit plus de 10 % du produit intérieur brut du Québec (PIB).

Source: Caisse d’économie solidaire

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Aujourd’hui, le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, l’honorable Jean-Yves Duclos, et la ministre de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et du Travail l’honorable, Patty Hajdu, ont annoncé le lancement d’Innovation inclusive : Nouvelles idées et nouveaux partenariats pour des communautés plus fortes, les recommandations finales du Groupe directeur sur la co-création d’une Stratégie d’innovation sociale et de finance sociale.

Le rapport comprend 12 recommandations sur les façons d’intégrer l’innovation sociale, c’est-à-dire des idées qui aident les communautés à relever plus efficacement un défi, et la finance sociale, c’est-à-dire des investissements financiers qui génèrent des retombées sociales ou environnementales, dans une stratégie globale visant à bâtir des communautés plus inclusives et prospères et, ce faisant, à améliorer la vie des Canadiens vulnérables et à créer une classe moyenne plus inclusive.

Le gouvernement du Canada s’est engagé à appuyer des solutions novatrices qui permettent de trouver de nouvelles façons d’aider les communautés à s’attaquer aux problèmes sociaux les plus complexes et les plus tenaces. En éliminant les obstacles qui empêchent les Canadiens les plus vulnérables de trouver un emploi et de participer pleinement à la vie de leur communauté, le gouvernement créera une classe moyenne plus diversifiée et plus inclusive.

Le gouvernement examine actuellement les recommandations du Groupe directeur, qui éclaireront la stratégie finale du gouvernement en matière d’innovation sociale et de finance sociale.

Téléchargez Innovation inclusive : Nouvelles idées et nouveaux partenariats pour des communautés plus fortes

Seule une vision d’ensemble peut créer les conditions nécessaires pour l’innovation sociale.

D’un océan à l’autre, des particuliers et des organisations de tous les secteurs de la société se réunissent pour former des réseaux relationnels, ou des écosystèmes, à l’intérieur desquels ils travaillent pour rendre leurs collectivités plus inclusives grâce à l’innovation sociale et à la finance sociale. Nous parlerons des organismes à vocation sociale pour désigner les divers organismes faisant partie de ces écosystèmes qui comprennent les organismes de bienfaisance, les organismes à but non lucratif, les coopératives ainsi que les entreprises privées qui se consacrent à une mission sociale ou environnementale.

Nous croyons que le gouvernement a un rôle essentiel à jouer pour soutenir ces écosystèmes en comblant les principales lacunes associées à six domaines d’intervention interreliés :

  1. Les compétences et les capacités, afin que les organismes à vocation sociale et les participants à des activités à vocation sociale disposent des connaissances et des ressources nécessaires pour adopter des approches d’innovation sociale et de finance sociale;
  2. Le financement, pour que les organismes à vocation sociale et les participants à des activités à vocation sociale disposent des ressources financières requises afin de concevoir, de mettre à l’essai, d’adopter et de développer des solutions novatrices aux problèmes sociaux, économiques ou environnementaux;
  3. L’accès aux marchés, pour permettre aux organismes à vocation sociale de trouver des acheteurs pour leurs biens et leurs services;
  4. Un cadre politique et réglementaire habilitant, qui crée les conditions propices à l’épanouissement des organismes d’innovation sociale et de finance sociale et des organismes à vocation sociale;
  5. Le développement des données et des connaissances, afin que les organismes à vocation sociale et les bailleurs de fonds puissent collaborer en se fondant sur les solutions les plus efficaces, mettre au point de meilleurs biens et services, puis en mesurer l’impact et évaluer les progrès réalisés;
  6. Les efforts de sensibilisation et de mobilisation visant à stimuler l’intérêt et à renforcer le soutien en vue de faire progresser les approches d’innovation sociale et de finance sociale.

Table des matières

Sommaire
1. Introduction
2. Que sont l’innovation sociale et la finance sociale?
3. Écosystèmes canadiens d’innovation sociale et de finance sociale: avancées et défis

3.1. Capacités et compétences
3.2. Financement
3.3. Accès aux marchés
3.4. Cadre politique et réglementaire
3.5. Développement et partage des données et des connaissances
3.6. Sensibilisation et mobilisation
4. Innovation sociale et finance sociale en contexte autochtone
5. Recommandations en vue d’instaurer une approche intégrée à l’appui de l’innovation sociale et de la finance sociale
5.1. Structures de gouvernance et administratives
5.2. Capacités et compétences
5.3. Financement et capitaux
5.4. Accès aux marchés
5.5. Cadre politique et réglementaire
5.6. Développement et partage des données  et des connaissances
5.7. Sensibilisation et mobilisation
6. Conclusion
Annexe – Processus de consultation du public et des partenaires

Source – Gouvernement du Canada, 31 août 2018

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Une chance pour tous - la première Stratégie canadienne de réduction de la pauvretéLe Canada est une nation prospère et pourtant, en 2015, près d’un Canadien sur huit vivait dans la pauvreté. La vision décrite par Une chance pour tous : la première Stratégie canadienne de réduction de la pauvreté est celle d’un Canada exempt de pauvreté. Lorsque nos concitoyens sont laissés derrière, nous en subissons tous les conséquences. Nous sommes tous concernés : les gouvernements, les organismes communautaires, le secteur privé et les Canadiens qui travaillent fort jour après jour pour subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille.

D’un point de vue global, Une chance pour tous réunit les investissements réalisés par le gouvernement depuis 2015, totalisant 22 milliards de dollars, afin d’appuyer le bien-être social et économique des Canadiens. D’ici 2019, ces mesures auront permis d’aider 650 000 Canadiens à se sortir de la pauvreté, et elles continueront à porter leurs fruits dans les années à venir.

Une chance pour tous donne également le ton aux prochains investissements gouvernementaux en matière de réduction de la pauvreté et se base sur trois piliers d’action :

La dignité : Aider les Canadiens à se sortir de la pauvreté en répondant à leurs besoins fondamentaux, notamment un logement sûr et abordable, une alimentation saine et des soins de santé.

L’égalité des chances et l’inclusion : Aider les Canadiens à se joindre à la classe moyenne en favorisant leur pleine participation à la société et l’égalité des chances.

La résilience et la sécurité : Soutenir la classe moyenne en s’assurant que les Canadiens ne sombrent pas dans la pauvreté et en favorisant la sécurité financière et la résilience.

Lisez Une chance pour tous – la première Stratégie canadienne de réduction de la pauvreté

Pour la toute première fois de l’histoire de ce pays, la Stratégie instaure une mesure officielle de la pauvreté : le seuil officiel de la pauvreté au Canada. Ce dernier s’appuie sur le coût d’un panier de biens et services dont les personnes seules et les familles ont besoin pour répondre à leurs besoins fondamentaux et atteindre un niveau de vie modeste au sein des communautés canadiennes.

Une chance pour tous établit, également pour la première fois, des cibles de réduction de la pauvreté ambitieuses et concrètes : une réduction de 20 % d’ici 2020 et de 50 % d’ici 2030, d’après les données de 2015, grâce auxquelles nous atteindrons le plus faible taux de pauvreté de l’histoire du Canada.

Un Comité consultatif national sur la pauvreté conseillera le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social sur la réduction de la pauvreté et rendra publics chaque année les progrès réalisés.

Le gouvernement propose également de présenter au Parlement la première loi sur la réduction de la pauvreté de l’histoire du Canada, dans laquelle seraient inscrits les cibles, le seuil officiel de la pauvreté au Canada et le Comité consultatif.

Table des matières

Dédicace
Message du ministre

Préface de Miles Corak, économiste en résidence à Emploi et Développement social Canada

Résumé

Chapitre 1 : Une chance pour tous

Chapitre 2 : Faire le point sur les réussites

Chapitre 3 : Dignité

Chapitre 4 : Égalité des chances et inclusion

Chapitre 5 : Résilience et sécurité

Chapitre 6 : Collaborer avec les provinces, les territoires et les communautés

Chapitre 7 : Collaborer avec les peuples autochtones

    Premières Nations

    Inuits

    Métis

Chapitre 8 : Obtenir des effets durables

Chapitre 9 : Améliorer les outils de mesure de la pauvreté

Chapitre 10 : Analyse comparative entre les sexes plus

Chapitre 11 : Le Canada en 2030

Annexe 1 : Détails statistiques

Annexe 2 : Initiatives gouvernementales qui appuient la réduction de la pauvreté

Source : Emploi et Développement social Canada

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Lors de la dernière réunion du conseil d’administration du RCDÉC, Laurie Cook a été choisie à titre de nouvelle présidente du conseil. Elle reprend le flambeau de Ryan Gibson qui était président depuis 2015.

Laurie est directrice, Développement stratégique et Apprentissage sur mesure au Community Sector Council de la Nouvelle-Écosse. Sa passion est le développement communautaire et elle est active professionnellement dans le domaine depuis de nombreuses années comme animatrice et intervenante communautaire. Elle a été élue au conseil du RCDÉC pour la première fois en 2016. Consultez la biographie complète de Laurie.

Le conseil remercie chaleureusement Ryan Gibson pour son leadership au cours des trois dernières années.

Les nouveaux administrateurs du conseil du RCDÉC sont :

  • Laurie Cook, présidente
  • Carol Madsen, vice-présidente
  • Diana Jedig, trésorière
  • Yvon Poirier, secrétaire

En savoir plus sur le conseil du RCDÉC >>

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EconoUs2018Je veux juste dire que je suis extrêmement heureuse de coorganiser EcoNous2018 avec le RCDÉC. J’en suis heureuse pour deux raisons…

La première raison est que dans mon milieu, celui du secteur environnemental à but non lucratif, nous avons souvent le sentiment que nous devons fondamentalement changer la manière dont notre société voit et estime l’environnement naturel et qu’il existe un lien intrinsèque entre la justice sociale et l’environnement. Imaginez ma surprise et ma joie lorsque j’ai découvert toutes ces personnes engagées dans le DÉC qui partagent les mêmes opinions! D’expérience, il n’y avait pas beaucoup de communication entre les personnes engagées dans l’environnement et celles engagées dans le DÉC, mais j’ai appris au cours de l’année dernière que ces personnes partagent une vision commune pour un monde meilleur. Je suis très contente que ce congrès soit axé sur les thèmes suivants « Peuple, Planète et Économie », ceci nous aide à créer des liens et à mieux travailler ensemble.

Eco-Confluence 2017

New Brunswick Environmental NetworkLa seconde raison est que le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick, comme le suggère son nom, est un organisme provincial. De temps en temps, je voyage dans d’autres provinces pour parler de notre travail, mais il est rare que je puisse montrer notre belle province à des personnes venant d’ailleurs. Je suis donc ravie de pouvoir présenter des personnes et des paysages remarquables du Nouveau-Brunswick à mes camarades du Canada et d’ailleurs. Dans cet esprit, notre équipe a organisé des visites de sites qui permettront de découvrir les côtes du Nouveau-Brunswick (les falaises rocheuses de la baie de Fundy et les plages sablonneuses du détroit de Northumberland), les cultures acadiennes et mi’kmaq, la scène artistique locale et bien plus encore. Je suis vraiment impatiente de vous rencontrer.


Raissa MarksRaissa Marks travaille avec le RENB depuis 2006. Elle est originaire du comté Albert au Nouveau-Brunswick. Après son école secondaire, elle a passé 10 années d’apprentissage, de travail et de vie à l’extérieur de la province, à Montréal, à Toronto et en Virginie. Maintenant, elle vit à Riverview avec son mari Chris et son chien Roxie. Un secret bien gardé, Raissa a travaillé pour le Réseau comme étudiante en 1990 et en 1998!

 

 

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Le gouvernement doit penser et agir différemment, en repensant la manière dont les organismes à vocation sociale sont soutenus et en renforçant le pouvoir des solutions venant des communautés pour les défis qui les concernent. Libérons les énergies de l’innovation sociale et de la finance sociale pour relever les défis sociaux et environnementaux les plus complexes du Canada.

Qu’est-ce que l’innovation sociale et la finance sociale? 

De nombreux organismes communautaires, comme vous, s’engagent à trouver des solutions transformatrices, mais nous faisons face à des difficultés dans nos efforts.

C’est pourquoi le gouvernement du Canada a nommé une équipe diversifiée ayant pour mandat de guider l’élaboration d’une stratégie d’innovation sociale et de finance sociale pour le Canada. Les membres de ce Groupe directeur, qui sont issus de tous les secteurs et de toutes les régions, a entrepris de vastes consultations publiques au cours de l’année écoulée.

Il est temps d’élaborer une stratégie d’innovation sociale et de finance sociale pour le CanadaDécouvrez ce qu’ils ont entendu dans cette brochure

Pourquoi est-ce important? Les organismes à vocation sociale forment un écosystème interconnecté riche de contributeurs importants à la croissance économique et à notre bien-être individuel et collectif. Notre objectif est d’avoir une stratégie d’innovation sociale et de finance sociale intégrée dans le budget fédéral de 2019, mais nous avons besoin de votre aide!

Alors, comment pouvez-vous aider?

Joignez-vous à la conversation. Contactez votre député ou députée.

Informez-les de votre soutien pour une stratégie.

Savez-vous qui est votre député ou députée ? Trouver le à partir de votre code postal ICI

Participez à la Journée iMPact: Invitez votre député ou députée à rejoindre votre organisation

Du 15 août au 16 septembre 2018, Imagine Canada invitera les députés et députées fédéraux à participer au Défi impact social qui consiste à passer une journée entière avec un organisme communautaire dans leur circonscription afin d’observer les équipes et d’apprendre sur la réalité de leur travail.

Parfois, une connaissance sur le terrain est un facteur important dans le soutien accordé. Profitez de cette occasion pour informer votre député de l’impact réel qu’une stratégie soutenue par le gouvernement pourrait avoir sur les défis auxquels sont confrontés les concitoyens dans leurs régions.

Si votre organisme n’est pas en mesure de participer au Défi impact social, il y a d’autres façons de s’impliquer pour donner aux organismes communautaire l’occasion de nouer le dialogue avec leurs représentants fédéraux. Savoir plus ici

Envoyer un courriel ou une lettre à votre député ou députée

Pour écrire une lettre percutante, essayez de la personnaliser! Expliquez l’importance des obstacles rencontrés par votre organisme, avec des exemples de la manière dont l’innovation sociale et la finance sociale créer de meilleurs résultats sociaux et environnementaux.

Pour obtenir des conseils généraux pour vous permettre d’écrire un lettre plus efficace, envoyez un courriel à innovate4impact à sisfs.ca

L’utilisation des médias sociaux

  • Nouer le dialogue avec votre député ou députée par un tweet sur Twitter en utilisant les hashtags # innovate4impact #sisfs
  • Communiquer des informations sur la stratégie sur la page de Facebook de votre circonscription
  • Partager la vidéo sur les réseaux sociaux pour faire connaître l’innovation sociale et la finance sociale
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CCEDNet's 2018 Annual General Meeting

Le 14 juin, les membres du RCDÉC se sont rassemblés en ligne pour participer à l’assemblée générale annuelle 2018 (AGA).

Le RCDÉC organisait une AGA complètement virtuelle pour une quatrième année de suite. Notre plate-forme en ligne permet de proposer, d’appuyer et de voter des propositions, contenait un salon de discussion pour des commentaires et des questions par écrit, l’intégration avec une ligne de téléconférence en anglais et une ligne de téléconférence en français et de la traduction simultanée entre les deux lignes.

Visionner l’enregistrement de l’AGA

Notre président du conseil, Ryan Gibson, a aidé à faciliter le déroulement de la réunion dans une heure. La rétroaction par rapport à l’AGA a été très positive encore cette année. Voici quelques-unes des choses que les membres ont dites par rapport à l’AGA :

  • Les fonctionnalités disponibles en ligne ont permis d’avoir une réunion d’une grande qualité. Un moyen formidable et accessible d’inclure tout le monde. Excellent travail et félicitations.
  • Excellente présidence de la part du président de la séance! Une réunion menée de façon très efficace. Très impressionnant. Beau travail!
  • Excellent travail! J’ai vraiment apprécié le fait que l’AGA virtuelle élimine les barrières géographiques à la participation.
  • J’ai beaucoup apprécié la mise à jour et le rapport de Mike Toye. Les points saillants de l’année écoulée montrent l’incroyable travail accompli par le RCDÉC.
  • J’adore! C’est parfois plus interactif qu’une réunion en personne. C’est fantastique de voir toutes ces personnes qui ont participé et c’est un bon rappel de qui sont les membres.
  • Je trouve cette façon de fonctionner pour l’AGA très pertinente étant donné que l’organisation est pancanadienne: pas de frais de déplacement, une heure seulement, etc. Poursuivre la plateforme billingue.

Le Directeur général du RCDÉC, Mike Toye a présenté les grandes lignes de 2017 ainsi que les états financiers audités.

Regardez les Faits marquants de 2017

Les membres ont félicité Emmanuel Bertrand-Gauvin, Ryan Gibson, Carol Anne Hilton, et Luc Morin pour le renouvellement de leurs mandats. Les membres ont aussi exprimé leur gratitude à l’égard des membres sortants Christine Landry et Élodie Grunerud.

Merci beaucoup aux membres qui ont participé, aux employés qui ont fait l’organisation logistique et aux membres du conseil d’administration du RCDÉC qui guident le réseau au cours de l’année.

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Dans le cadre du plan Investir dans le Canada, on demandera désormais aux bénéficiaires de financement fédéral pour de nouveaux projets de grandes infrastructures publiques d’examiner comment leurs projets peuvent créer des possibilités de formation et d’emploi pour les groupes sous-représentés, ainsi que des possibilités d’approvisionnement pour les petites et moyennes entreprises et pour les entreprises sociales.

L’honorable Amarjeet Sohi, ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, et l’honorable Ahmed Hussen, ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, ont annoncé une nouvelle mesure visant à s’assurer que, dans le cadre des nouveaux projets d’infrastructure qu’ils construisent, les promoteurs prennent en considération les répercussions sociales et économiques de leurs projets dans les collectivités et la façon dont ils peuvent encourager une participation inclusive. 

Dans le cadre du plan Investir dans le Canada, on demandera désormais aux bénéficiaires de financement fédéral pour de nouveaux projets de grandes infrastructures publiques d’examiner comment leurs projets peuvent créer des possibilités de formation et d’emploi pour les groupes sous-représentés, ainsi que des possibilités d’approvisionnement pour les petites et moyennes entreprises et pour les entreprises sociales.

Les exigences relatives aux avantages communautaires en matière d’emploi prévoient l’établissement de cibles dans le cadre des grands projets d’infrastructure afin d’offrir des possibilités de formation, d’emploi et/ou d’approvisionnement à un large éventail de Canadiens. On a préparé des lignes directrices générales pour expliquer les exigences dans le cadre de l’initiative.  

Les demandeurs dans le cadre des grands projets devront maintenant établir et viser des cibles liées aux possibilités de formation et d’emploi pour les groupes qui sont identifiés comme étant sous-représentés dans la main-d’œuvre ou qui sont confrontés à des obstacles en matière d’accès au marché du travail, y compris les suivants :

  • les Autochtones;    
  • les femmes;
  • les personnes handicapées;
  • les anciens combattants;
  • les jeunes;
  • les apprentis;
  • les immigrants récents.

Conformément à la nouvelle exigence, les projets visés devront également offrir des possibilités aux petites et moyennes entreprises et aux entreprises sociales. Il s’agit des entreprises exploitées par des organisations de bienfaisance ou à but non lucratif, ou qui sont conçues pour offrir une valeur sociale.

Pour chaque projet de plus de 10 millions de dollars (pour la plupart des administrations), les provinces et les territoires détermineront au moins trois de ces groupes ciblés qui profiteront de possibilités de formation, d’emploi ou d’approvisionnement. Les projets sont affichés sur la Carte des projets du plan Investir dans le Canada, dans le site Web d’infrastructure Canada, et on indiquera si l’exigence d’avantages communautaires en matière d’emploi a été appliquée. Dans les cas où cette exigence ne peut être appliquée, une justification sera fournie.

En plus des ententes bilatérales du plan Investir dans le Canada conclues entre Infrastructure Canada et les provinces et les territoires, cette nouvelle exigence s’applique également à tous les projets dans le cadre du récent Fonds d’atténuation et d’adaptation en matière de catastrophes et à toutes les propositions finales présentées en vue d’un examen au titre du Défi des villes intelligentes.

Source : Infrastructure Canada

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

RIPESS

Au cours des 30 dernières années, les organisations et entreprises de l’économie sociale solidaire (ESS) ont grandi dans le monde entier. Parfois, elles sont assimilées au développement local, au développement communautaire, ou à l’économie solidaire ou économie sociale. Elles ont toutes des approches similaires, elles sont dirigées par la communauté ou la société civile. Dans de nombreux cas, elles se sont développées dans certains secteurs défavorisés de la société, qui ne sont d’aucun intérêt pour les acteurs de  la mondialisation néolibérale impulsée par le marché; mais pas seulement. De nos jours, l’ESS existe aussi dans tous les secteurs de l’économie: la production, la finance, la distribution, l’échange, la consommation et la gouvernance. Un historique partiel des initiatives d’ESS est présenté dans le document intitulé « Économie sociale solidaire et concepts apparentés Les origines et les définitions : une perspective internationale », publié en 2014, ainsi que d’autres éléments de définition dans le document de la Vision Globale du RIPESS sur l’ESS.

À mesure que le secteur s’est développé et s’est structuré en réseaux, l’interaction avec les autorités publiques à tous les niveaux s’est développée. De nombreux gouvernements et autorités locales ont signé des contrats pour fournir des produits ou des services produits par l’ESS. Dans de nombreux pays, cela a évolué vers des politiques publiques à grande échelle en faveur de programmes tels que les garderies, la gestion des déchets, le logement coopératif, etc. La législation sur les coopératives existait déjà dans de nombreux pays. Cependant, dans la plupart des pays, l’accent était strictement mis sur les coopératives et n’incluait pas les organisations sans but lucratif. Les nouvelles lois embrassent une perspective beaucoup plus large, tout en incluant les coopératives.

Au fil du temps, cela a évolué vers la notion de co-construction des politiques publiques, incluant les législations. Par co-construction, nous entendons travailler de concert avec les ministères et les autres autorités publiques pour concevoir des politiques et des programmes. Au fil du temps, les gouvernements et les autorités locales ont réalisé que cette approche participative est le meilleur moyen de mettre en place des politiques efficaces qui auraient beaucoup plus de chances de réussir. Beaucoup d’actions de plaidoyer de la part des acteurs de l’ESS ont été et sont encore nécessaires pour atteindre ce résultat. Généralement, les organismes publics réalisent des consultation, souvent de manière très formelle, mais ils ne travaillent pas toujours dans une logique de co-construction participative.

Le RIPESS a adopté et promu cette approche participative dès sa création il y a 20 ans. Ce concept a été largement débattu lors du 3e Forum Mondialisation de la Solidarité, organisé à Dakar, au Sénégal, par le RIPESS en novembre 2005. Après les crises mondiales de 2008, de nombreux pays ont adopté des politiques et une législation reconnaissant l’ESS. Depuis lors, entre autres, RIPESS travaille à rendre les progrès visibles dans les différents continents, à l’échelle locale, nationale ou mondiale:

Par ailleurs, pour renforcer son approche sur le sujet, le RIPESS a établi en 2016 une alliance avec le GSEF (Forum Mondial pour une Économie Sociale)- Le GSEF est une association internationale réunissant des gouvernements locaux (principalement des villes) et des acteurs de la société civile qui reconnaissent l’économie sociale comme un facteur clé du développement économique local, afin de promouvoir les politiques publiques d’ESS. Cela permet notamment d’assurer une approche oú tant le point de vue du gouvernement local (GSEF) que le point de vue des acteurs de l’ESS (RIPESS) est pris en compte. Cela a également conduit le RIPESS à établir un partenariat avec le FMDV (Fonds mondial pour le développement des villes). Ces partenariats sont importants pour la promotion des politiques publiques aux niveaux local et régional des gouvernements. Il est également essentiel pour localiser la mise en œuvre des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies. La prochaine réunion importante aura lieu en octobre pour le Forum GSEF2018 de Bilbao.

Au cours des mois et pour les années à venir, le RIPESS et ses membres prévoient d’approfondir la compréhension du processus de co-construction des politiques publiques, afin de s’assurer que les réseaux de l’ESS profitent des expériences déjà existantes et contribuent à l’extension de ce processus. L’idée serait de réaliser des études de cas et, au fil du temps, décrivant en détail comment les acteurs de l’ESS préconisent et collaborent avec les acteurs publics pour la conception et la mise en œuvre réussies de politiques publiques. Par exemple, le cas du Mali, un pays qui a adopté en 2014 une politique publique nationale pour l’ESS, ou celui de la loi-cadre adoptée dans la province de Québec en 2012 pourraient être un bon point de départ. Nous organiserons également des wébinaires afin de présenter et de discuter en détail des différents exemples.

Publié à l’origine par RIPESS 


Yvon PoirierYvon Poirier a une longue histoire dans les mouvements syndicaux et sociaux au Québec et au Canada. Entre autres, il était président pour la mise en place de la Corporation de développement économique communautaire (CDÉC) de Québec en 1994, et membre du Comité organisateur des Rencontres mondiales de développement local tenues à Sherbrooke (Québec) en 1998. De novembre 2003 à juillet 2013, il a coédité un bulletin électronique mensuel international sur le développement local durable publié en 4 langues. Il est membre du RCDÉC depuis 2003, d’abord comme membre individuel et depuis 2012 il représente la CDÉC de Québec.Il e

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Le Conseil de la coopération de l’Ontario Le Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO), un membre du RCDÉC, a reçu une médaille du Sénat, le jeudi 31 mai, pour souligner son role dans le développement économique de la province.

Les médailles sont décernées aux Canadiens et organisations qui sont impliqués dans leurs communautés et qui, grâce à leur générosité, leur dévouement, leur bénévolat et leur travail acharné, font de leur région, un endroit où il fait mieux vivre.

Depuis 1964, le CCO s’implique dans les milieux du développement économique, social et communautaire en assurant notamment la promotion, le développement durable et l’innovation des coopératives et des entreprises sociales en Ontario. Les entreprises sociales et les coopératives façonnent les communautés francophones de l’Ontario depuis des décennies, étant à la base de l’autonomisation de ces communautés autrement en situation minoritaire. Ces modèles de développement sont aussi des modèles d’émancipation, ayant en effet permis de doter les communautés francophones de leurs propres institutions, de leurs propres organisations, bref, de leur propre identité.

« C’est un immense honneur pour nous que de recevoir cette recompense des plus prestigieuses. Cette médaille n’est pas seulement une reconnaissance du travail de notre organisation, elle fait aussi l’éloge des communautés francophones de l’Ontario dans toutes leurs diversités. Parce qu’elles choisissent tous les jours de se prendre en charge par des modèles de développement social et économique raisonnés, ces communautés ont fait de l’Ontario une vitrine mondiale d’économie sociale et coopérative », déclare Claudette Gleeson, Présidente du CCO.

Dans le cadre d’une cérémonie qui s’est déroulée au Sénat du Canada à Ottawa en présence de plusieurs dignitaires, la sénatrice Lucie Moncion a remis aux représentants du CCO une médaille commémorative qui souligne la contribution exemplaire de l’organisme dans les communautés francophones de l’Ontario.

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Le Centre international de transfert d’innovations et de connaissances en économie sociale et solidaire, C.I.T.I.E.S., a procédé à l’inauguration de son siège social, situé au sein de la Maison de l’économie sociale dans le quartier Centre-Sud de Montréal.

En présence de plus d’une centaine d’invités – partenaires et représentants des gouvernements d’ici et d’ailleurs, dont M. Gerardo Pisarello, vice-maire de Barcelone, et M. Alvaro Porro, commissaire politique à l’économie sociale de BarceloneC.I.T.I.E.S. a présenté sa vision et ses orientations, qui lui permettent de se positionner comme un outil de collaboration international au service de villes innovantes et engagées en matière d’économie sociale, lançant ainsi officiellement ses activités en sol montréalais.

C.I.T.I.E.S. soutient le développement territorial et promeut la coopération, le partage des connaissances et l’adaptation des meilleures pratiques en économie sociale sur le plan international.

Par le biais d’activités d’échange, de transfert, de formation et de conseil sur les politiques publiques et les mécanismes de collaboration entre les gouvernements locaux et les acteurs de la société civile, le centre facilite l’émergence de projets communs et multiterritoriaux.

L’organisme regroupe des membres gouvernementaux, académiques et praticiens de Séoul (Corée du Sud), Barcelone (Espagne), Bilbao (Espagne) et Montréal, tous des territoires reconnus à l’échelle internationale pour leurs pratiques en économie sociale et solidaire. C.I.T.I.E.S. travaille également en collaboration avec des acteurs d’autres territoires souhaitant améliorer leurs pratiques.

Mis sur pied pour donner suite à la mobilisation résultant du Forum mondial de l’économie sociale –GSEF2016, troisième édition du Global Social Economy Forum (GSEF) coorganisé par la Ville de Montréal et le Chantier de l’économie sociale, c’est tout naturellement que les partenaires fondateurs[1] ont convenu d’établir le siège social de l’organisation à Montréal.

« Non seulement la métropole bénéficie d’une expertise et d’un leadership reconnus en matière d’économie sociale, mais sa diversité culturelle, son statut de pôle universitaire et sa tradition de collaboration entre les gouvernements et la société civile ont également été des facteurs déterminants dans le choix de l’emplacement de C.I.T.I.E.S. En outre, l’appui financier des gouvernements du Canada et du Québec, et de la Ville de Montréal, a été fondamental pour assurer le démarrage de l’organisation », a déclaré M. Martin Van Den Borre, directeur général de C.I.T.I.E.S.

C.I.T.I.E.S. mobilise l’expertise de partenaires de différents territoires, afin de développer et d’adapter des pratiques validées et porteuses en économie sociale, incluant la production et l’adaptation des politiques publiques. Au-delà des activités de transfert et d’accompagnement, c’est aussi un formidable outil de solidarité internationale, en faveur d’un développement inclusif et durable pour les communautés. « Nos activités de transfert avec Séoul et Barcelone ont déjà débuté, notamment sur les questions de la finance solidaire, du logement et de l’entrepreneuriat jeunesse. Notre équipe est aussi en pourparlers avec plusieurs autres villes d’Asie, d’Amérique et d’Europe qui souhaitent participer activement à notre réseau », a souligné Mme Béatrice Alain, présidente de C.I.T.I.E.S.

« Montréal abrite déjà 65 organisations internationales, soit la plus grande communauté au Canada et en Amérique du Nord, après Washington et New York. L’arrivée d’une organisation phare comme C.I.T.I.E.S. permet de renforcer et de promouvoir cet écosystème unique, en plus de positionner la métropole au cœur des discussions internationales sur l’économie sociale et solidaire », a déclaré M. Hubert Bolduc, président-directeur général de Montréal International. « Nous savons à quel point les organisations internationales sont stratégiques pour Montréal et il est fondamental de les appuyer pour les voir grandir dans notre métropole. »

Source : Montréal International

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