Appel National D’idées De Projets : Ce Lieu ImporteLa Fiducie nationale du Canada invite les groupes communautaires qui veulent entreprendre des projets pour leur rue principale à participer cet automne à un concours national de sociofinancement. Le concours Ce lieu importe 2016 leur offre la possibilité de recueillir des fonds, de joindre de nouveaux publics et de gagner deux prix de 40 000 $. La Fiducie nationale recherche des projets qui contribueront à la vitalité d’une rue principale traditionnelle et qui nourriront la fierté communautaire.

« Les rues principales traditionnelles du Canada recèlent un énorme potentiel, a fait valoir la directrice générale de la Fiducie nationale Natalie Bull. La rue principale, c’est là où convergent les arts, la culture et la vie citoyenne, et c’est là où prospèrent les petites entreprises au Canada. Le concours Ce lieu importe2016 vise à réunir des partenaires communautaires et des jeunes qui veulent revitaliser leur rue principale et entreprendre des projets qui produiront des retombées économiques, sociales, culturelles ou environnementales positives pour leur collectivité. »

À propos du concours

Ce lieu importe est une initiative qui permet à tous les Canadiens de participer au renouveau des lieux magnifiques du Canada. Dans le concours de 2016, les groupes de projet participants auront la possibilité d’attirer des votes, de sensibiliser le public et de gagner des prix monétaires pour mettre en œuvre leur projet.

Dans Ce lieu importe, les groupes de projet admissibles seront en compétition dans deux catégories :

  • Localités de 50 000 habitants ou moins – Fierté locale
  • Localités de plus de 50 000 habitants – Flambeau urbain

Un gagnant sera désigné dans chacune des deux catégories, selon le nombre de votes reçus, et il recevra un prix monétaire de 40 000 $. Le vote sera ouvert au public, sans qu’aucune contribution ne soit nécessaire. Cependant, les groupes de projet recevront 1 vote supplémentaire pour chaque dollar recueilli par sociofinancement.

Le concours se déroulera du 4 octobre 2016 au 15 novembre 2016.

Consultez le texte complet du règlement

Critères d’admissibilité

Les groupes de projet admissibles au concours Ce lieu importe doivent démontrer que leur projet répond à un ou plusieurs des objectifs clés suivants :

  1. Protéger des lieux : Améliorer l’environnement physique de la rue principale (p. ex., renouveau d’un immeuble ou d’un espace public)
  2. Créer des liens : Faire découvrir l’histoire, le patrimoine et la diversité culturelle d’un lieu à la communauté et aux visiteurs (p. ex., une appli décrivant des attractions du patrimoine local)
  3. Célébrer la communauté : Réunir les gens pour qu’ils redécouvrent et célèbrent l’identité locale (p. ex., organiser une activité célébrant la cuisine locale)

Un projet doit pouvoir être entrepris dans les 12 mois suivant la fin du concours.

Consultez le texte complet des critères d’admissibilité

Inscrivez votre projet

Pour participer au concours Ce lieu importe 2016, un groupe doit inscrire son projet. Les projets inscrits seront évalués par un jury, pour s’assurer qu’ils répondent aux critères d’admissibilité.

Inscrivez un projet

Les projets doivent être inscrits au plus tard le mardi 30 août 2016. Les projets participants seront annoncés le 23 septembre 2016.


À propos de Ce lieu importe

La plateforme de sociofinancement Ce lieu importe de la Fiducie nationale du Canada est la seule au pays vouée aux lieux du patrimoine. Depuis son lancement en 2015, Ce lieu importe a rapporté plus de 375 000 $ pour d’importants projets du patrimoine, grâce aux contributions de Canadiens de partout au pays ainsi que des commanditaires et des partenaires de la Fiducie nationale.

La Fiducie nationale du Canada remercie son partenaire fondateur, la Fondation RBC, de son appui.

Vous avez des questions? Envoyez-nous un courriel à celieuimporte à fiducienationalecanada.ca ou téléphonez-nous au 1-866-964-1066.

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Forum des ministres du marché du travail

Les ententes de transfert relatives au marché du travail appuient l’élaboration et la mise en œuvre des programmes et services qui répondent aux besoins en matière d’emploi de tous les travailleurs canadiens, y compris des personnes handicapées, des travailleurs âgés, des travailleurs peu-qualifiés, des jeunes, d’autres groupes sous-représentés et des employeurs.

Afin de veiller à ce que ces ententes demeurent pertinentes, flexibles et adaptées aux besoins et aux priorités actuels et émergeants du marché du travail, les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux responsables du marché du travail ont annoncé le 28 juin 2016 (voir Communiqué du 28 juin 2016) le lancement de vastes consultations au cours de l’été afin de recueillir les perspectives des intervenants et d’orienter les investissements futurs en matière de programmes et services d’emploi et de formation professionnelle.

Les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux mèneront de vastes consultations auprès des intervenants, y compris des organisations d’employeurs, des chercheurs d’emploi, des groupes sous-représentés, des établissements d’enseignement postsecondaire et de formation professionnelle, des think tanks et des individus. En juillet et en août 2016, ils mèneront une série de tables rondes et inviteront les intervenants à partager leurs points de vue sur la manière dont les ententes de transfert relatives au marché du travail peuvent mieux répondre aux besoins des marchés du travail au Canada. Les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux entreprendront également leurs propres consultations auprès d’intervenants additionnels.   

Afin d’orienter les consultations, le FMMT a élaboré un document de discussion sur l’évolution de la conjoncture économique et du marché du travail au Canada, les ententes de transfert actuelles relatives au marché du travail, ainsi que des thèmes de discussion clés pour les consultations. Le document comprend également une série de questions.

En plus de participer aux tables rondes, les intervenants sont invités à soumettre leurs réponses aux questions en utilisant le document de discussion d’ici le 19 août 2016 au Secrétariat du FMMT (fmmt.flmm à mess.gouv.qc.ca).

Pour plus d’informations sur les consultations pancanadiennes, veuillez contacter le Secrétariat du FMMT (fmmt.flmm à mess.gouv.qc.ca).  

Source: Le Forum des ministres du marché du travail

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Service CanadaEmploi et Développement social Canada (EDSC) accepte présentement des propositions des organismes qui souhaitent recevoir une aide financière dans le cadre du programme Connexion compétences.

Les activités du projet peuvent être réalisées au niveau provincial, territorial ou de portée locale. Les activités doivent avoir lieu dans seulement une province ou un territoire.

Le programme de Connexion compétences fait partie de la Stratégie emploi jeunesse (SEJ). En offrant un soutien financier aux organismes, le programme Connexion compétences vise à aider les jeunes à surmonter les obstacles à l’emploi et à acquérir un éventail de compétences et de connaissances afin d’intégrer le marché du travail d’aujourd’hui et de demain, ainsi qu’à faire la promotion de l’éducation et des compétences comme des éléments essentiels pour intégrer le marché du travail. Ces obstacles comprennent, entre autres, les défis que doivent relever les jeunes immigrants récemment arrivés au pays, les jeunes handicapés, les jeunes chefs de famille monoparentale, les jeunes n’ayant pas terminé leurs études secondaires, les jeunes Autochtones, et les jeunes qui vivent dans des régions rurales ou éloignées.

Présentez une demande au Connexion compétences maintenant

Date limite: 12 août 2016 à 23:59 (Horaire du pacifique)

Il y a 2 (deux) volets pour cet appel de propositions.

Si possible, veuillez soumettre seulement une proposition (par volet) qui peut inclure des activités multiples dans la même province ou territoire.

Volet 1 donnera la priorité et accordera des points supplémentaires aux projets qui mettent l’accent sur les priorités suivantes de programme pour cet appel de propositions :

  • Les projets qui ciblent les emplois verts
  • Les projets qui intègrent les compétences essentielles
  • Les projets qui ciblent les jeunes femmes à risqu
  • Les projets qui ciblent les jeunes autochtones
  • Les projets qui répondent à une forte demande des besoins du marché du travail et qui sont actuellement comblés par l’utilisation de travailleurs étrangers temporaires
  • Les bénéficiaires qui intègrent un minimum de 20% de financement provenant d’autres sources
  • Les projets qui facilitent la mobilité des jeunes et qui leur permettent d’accéder à des possibilités d’emploi

Volet 2 mettra l’accent sur des projets qui démontrent une dimension d’innovation sociale, plus particulièrement, mais non exclusivement :

  • Test des approches novatrices
  • L’entreprise sociale

Veuillez noter que les propositions sous le volet 2 de l’appel de propositions peuvent inclure certains ou tous les éléments du volet 1, mais elles seront différenciées par la composante Innovation sociale utilisée pour atteindre les résultats escomptés du projet.

Source : Service Canada

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House of Commons

Le Comité permanent des finances de la Chambre des communes a lancé le processus des consultations prébudgétaires et invite les Canadiens à y prendre part. Un rapport sur les consultations sera déposé à la Chambre des communes en décembre 2016. Le ministre des Finances prendra en considération les suggestions faites par les Canadiens et le rapport sur les consultations prébudgétaires du Comité quand viendra le temps de préparer le budget fédéral de 2017.

« Je suis fier d’annoncer le lancement des consultations prébudgétaires du Comité des finances de la Chambre en vue du budget de 2017 », a affirmé l’honorable Wayne Easter, C.P., député de Malpeque et président du Comité permanent des finances de la Chambre des communes. « Chaque année, le Comité reprend cet important processus et est toujours très reconnaissant des propositions intéressantes et réfléchies des Canadiens en vue d’une possible inclusion dans le prochain budget fédéral. »

Les témoignages et les mémoires au Comité à l’automne 2016 devraient porter principalement sur les questions suivantes :

  1. Quelles mesures fédérales aideraient les Canadiens en général – et certains groupes en particulier, comme les chômeurs, les peuples autochtones, les personnes handicapées et les personnes âgées – à maximiser, de la manière qui leur conviendrait, leurs contributions à la croissance économique du pays?
    • Par exemple, quelles mesures relatives à l’éducation et à la formation, à la mobilité de la main-d’œuvre, à l’adaptation en milieu de travail, à l’information sur le marché du travail et à l’impôt des particuliers seraient les plus utiles pour favoriser la croissance économique du pays?
  1. Quelles mesures fédérales aideraient les entreprises canadiennes – de toutes les régions et de tous les secteurs – à atteindre leurs objectifs d’expansion, d’innovation et de prospérité et, ce faisant, à contribuer à la croissance économique du pays?
    • Par exemple, quelles mesures relatives à l’aide aux entrepreneurs, à l’investissement et au commerce intérieur et international, aux organismes de développement régional, aux impôts et au financement des entreprises aideraient les entreprises à maximiser leur contribution à la croissance économique du Canada?
  1. Quelles mesures fédérales feraient en sorte que les collectivités urbaines, rurales et éloignées du Canada permettent à leurs résidents de contribuer comme ils le souhaitent à la croissance économique du pays et aux entreprises de prendre de l’expansion, de prospérer et de s’assurer une clientèle nationale et internationale afin de contribuer à la croissance économique?
    • Par exemple, quelles mesures concernant l’Internet à large bande et d’autres types d’infrastructures, les arts, les loisirs, le tourisme et l’adaptation aux changements climatiques aideraient les collectivités à appuyer les résidents et les entreprises qui tentent de profiter de débouchés et de contribuer à la croissance économique du pays?

La date limite pour les mémoires écrits au Comité est le vendredi 5 août 2016, à 23 h 59, heure avancée de l’Est. Les mémoires ne devraient pas dépasser 2 000 mots, résumé inclus. Les mémoires qui ne respectent pas cette limite ne seront pas examinés par le Comité. Après traduction, les mémoires seront remis aux membres du Comité et diffusés sur le site Web du Comité.

Les mémoires écrits peuvent être envoyés à l’adresse suivante : .

Pour en savoir plus sur les consultations prébudgétaires de cette année, il suffit de consulter la page Web de l’étude.

Le conseil sur les politiques du RCDÉC va élaborer des recommandations sur la base de nos priorités politiques.  Les recommandations de 2016 du RCDÉC et des membres sont disponibles ici

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parlons logement

Le 28 juin, le gouvernement fédéral annonçait son processus de consultation longuement attendu pour le développement d’une Stratégie nationale sur le logement. Le gouvernement est à la recherche de vos commentaires en ce moment. Les membres du RCDÉC demandent le développement d’une Stratégie nationale sur le logement depuis plusieurs années.

La consultation aura lieu en deux étapes. La première étape impliquera l’élaboration de résultats et d’objectifs de haut niveau pour une Stratégie nationale sur le logement. La deuxième étape sera de consulter les Canadiens sur des recommandations et innovations spécifiques de politiques dans de nombreux axes thématiques dans le domaine du logement.

Pour plus d’information sur la première étape, et pour soumettre des idées sur les résultats de haut niveau, visitez le site web de consultation officiel du gouvernement : www.parlonslogement.ca.

Les commentaires des groupes de revendication seront très importants pendant ces consultations, comme c’est expliqué dans ce blogue (seulement en anglais) par Right to Housing, qui est membre du RCDÉC. L’association canadienne d’habitation et de rénovation urbaine a remanié sa page web Un toit pour tous afin de partager sa documentation de référence, ses rapports et les précédentes interventions de l’ACHRU pour aider à alimenter les commentaires. Le site web fournit aussi un questionnaire qui veut obtenir des commentaires sur une gamme de questions politiques par rapport à l’envergure de la Stratégie nationale sur le logement.

Faites vos commentaires!

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GSEF2016

Plus de 2 000 personnes provenant des quatre coins de la planète sont attendues au Palais des congrès de Montréal (Canada) du 7 au 9 septembre prochain afin de participer au Forum mondial de l’économie sociale – GSEF2016. Cette troisième édition, organisée conjointement par la Ville de Montréal et le Chantier de l’économie sociale, se tiendra sous le thème de la collaboration entre les gouvernements locaux et les acteurs de l’économie sociale et solidaire (ÉSS) pour le développement des villes.

La programmation de trois jours mettra en valeur plus de 90 initiatives d’économie sociale de plus de 35 pays à travers le monde. Ces initiatives seront présentées notamment sous forme d’ateliers ou de groupes de travail rassemblés selon quatre thématiques : création d’entreprises et d’emplois, cohésion sociale, qualité et cadre de vie ainsi que gouvernance.

« La collaboration entre les gouvernements locaux et les organisations en économie sociale ne cesse de croître depuis les dernières années et contribue sans contredit au développement intelligent et durable des villes. Montréal est fière d’être l’hôte de cette rencontre qui contribuera concrètement à positionner l’économie sociale comme moteur de développement économique équitable et durable », a déclaré le maire de Montréal, Denis Coderre.

« Le modèle québécois en entrepreneuriat collectif suscite l’intérêt sur le plan international et fait office de référence, notamment en ce qui a trait à la collaboration de la société civile et des pouvoirs publics dans la coconstruction des politiques publiques. Ceci dit, le Québec est loin d’être seul et fait partie d’un mouvement global grandissant en faveur d’un développement plus équitable et durable où l’économie sociale joue un rôle majeur. Le GSEF2016 se veut un lieu d’échanges et de réflexions qui permettra aux participants de s’inspirer des meilleures pratiques d’ici et d’ailleurs », a ajouté le directeur général du Chantier de l’économie sociale, M. Jean-Martin Aussant.

Plus d’information sur GSEF2016

Des visites terrain pour mieux comprendre la réalité québécoise

Les participants pourront également prendre part à près d’une vingtaine de visites terrain en marge du Forum pour faire la découverte d’entreprises d’économie sociale de Montréal et du Québec œuvrant dans différents secteurs. En plus de mettre en valeur l’économie sociale au Québec, ces visites terrain seront l’occasion de rencontrer et de discuter avec les acteurs de premier plan de ces initiatives.

Plénière d’ouverture : engagements institutionnels et politiques pour l’ÉSS

La plénière d’ouverture du forum se tiendra le 7 septembre 2016 à 9 h et mettra à l’honneur les coprésidents de l’association GSEF, MM. Park Won-soon, maire de Séoul et Kyong Yong Song, président du Seoul Social Economy Network ainsi que les coorganisateurs du GSEF2016, MM. Denis Coderre, maire de Montréal et Jean-Martin Aussant, directeur général du Chantier de l’économie sociale. Cette plénière sera suivie, à 10 h 30, d’une session spéciale dans laquelle l’ensemble des maires de tous les continents attendus au GSEF2016 démonteront leur engagement envers l’ÉSS à titre de levier d’un développement plus équitable et durable.

Par ailleurs, plusieurs villes ont déjà confirmé leur participation au Forum dont : Addis Abeba (Éthiopie), Bamako (Mali), Bilbao (Espagne), Dakar (Sénégal), Göteborg (Suède), Lille (France), Madrid (Espagne), Mondragon (France), Paris (France), Rio de Janeiro (Brésil), Séoul (Corée du Sud), Turin (Italie), Vancouver (Canada) et Yaoundé (Cameroun).

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Salle de presse de l'Ontario

L’Ontario investira 70 millions de dollars au cours des sept prochaines années pour élargir le Fonds de développement économique pour les Autochtones, lancé en 2014. Avec un investissement combiné total de 95 millions de dollars sur 10 ans, le fonds continuera de viser les objectifs suivants :

  • Aider les communautés autochtones à élaborer des stratégies à long terme de diversification économique;
  • Améliorer l’accès à des possibilités d’emploi et de formation pour les Autochtones;
  • Fournir aux entreprises autochtones des fonds de démarrage ou d’expansion;
  • Permettre aux communautés et entreprises de collaborer à des projets régionaux d’aide à l’emploi et de formation.

Conclure des partenariats avec des entreprises et organismes autochtones est l’une des nombreuses mesures que l’Ontario prend sur la voie de la guérison et de la réconciliation avec les peuples autochtones. Investir dans le développement économique pour les Autochtones s’inscrit dans le plan économique du gouvernement, qui vise à favoriser l’essor de l’Ontario et à concrétiser sa principale priorité, à savoir stimuler l’économie et créer des emplois. 

Plus d’informations sur le Fonds de développement économique pour les Autochtones

Le Fonds de développement économique pour les Autochtones compte trois volets :

  1. Fonds pour les entreprises et les communautés
  2. Subvention pour la diversification économique
  3. Subvention pour les partenariats régionaux

Fonds pour les entreprises et les communautés

Les organisations suivantes peuvent effectuer une demande : 

  • entreprises autochtones en démarrage, en début de croissance et en expansion
  • collectivités des Premières Nations et des Métis
  • organisations autochtones reconnues par la province

Les institutions financières autochtones (IFA) acceptent maintenant les demandes de subventions, de prêts, de financement et d’autres produits de financement. Les décisions de financement sont prises par chacune des IFA. Les demandes de financement sont recevables jusqu’au 31 mars 2017.

Les entreprises, organisations et collectivités autochtones peuvent présenter maintenant leurs demandes aux IFA partenaires le plus près :

Les demandeurs métis peuvent aussi présenter une demande en s’adressant directement au Métis Voyageur Development Fund.


Subvention pour la diversification économique

Votre organisation pourrait être admissible à une subvention pour la diversification économique si elle entre dans l’une des catégories suivantes :

  • organismes provinciaux et territoriaux;
  • conseils tribaux;
  • collectivités des Premières nations;
  • collectivités métisses;
  • organismes autochtones reconnus par l’Ontario.

Les projets financés à l’aide des subventions pour la diversification économique comprennent :

  • les stratégies communautaires ou régionales de développement économique;
  • les stratégies communautaires ou régionales de développement de l’emploi ou de formation axée sur les compétences;
  • les stratégies de placement ou de marketing visant à stimuler les investissements externes;
  • les études de faisabilité;
  • les études de fuite économique;
  • les formations en apprentissage, les stages et la participation à un programme coopératif.

Le prochain cycle de présentation de demandes dans le cadre de la Subvention pour la diversification économique commencera en janvier 2017. 

Apprendre comment faire une demande pour une Subvention pour la diversification économique


Subvention pour les partenariats régionaux

Un groupe d’au moins deux des organismes suivants peut demander une Subvention pour les partenariats régionaux :

  • Communautés des Premières Nations
  • Communautés des Métis
  • Organismes territoriaux politiques en Ontario.
  • Conseil tribal en Ontario.
  • Institution financière autochtone (IFA) en Ontario.
  • Organisation d’affaires autochtone en Ontario.
  • Organisme autochtone reconnu par la province de l’Ontario.
  • Organisme non autochtone (notamment un organisme sans but lucratif) en partenariat avec un autre organisme admissible.

Seules les institutions financières autochtones qui ne reçoivent pas d’aide financière dans le cadre du Fonds pour les entreprises et les communautés peuvent présenter une demande de subvention pour les partenariats régionaux.

Les projets financés à l’aide des subventions pour les partenariats régionaux comprennent :

  • les projets de formation axée sur les compétences (p. ex. les projets de mentorat, de stage et de formation en apprentissage dans une réserve ou un secteur précis qui débouchent sur l’acquisition de compétences reconnues par la province);
  • les programmes d’incubateur ou d’accélérateur d’entreprises propres à une région ou à un secteur;
  • les projets de développement à potentiel élevé dans le secteur des ressources naturelles, comme le Cercle de feu.

Le prochain cycle de présentation de demandes dans le cadre de la Subvention pour les partenariats régionaux commencera en janvier 2017.

Apprendre comment faire une demande pour une Subvention pour la diversification économique


SOURCE : Salle de presse de l’Ontario

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Lancement d'une nouvelle stratégie pour l'entrepreneuriat social de 5 ansLa Province encourage l’entrepreneuriat social pour créer des emplois et soutenir l’économie

L’Ontario a lancé une nouvelle stratégie sur cinq ans qui aidera les entreprises sociales à renforcer leurs activités, pénétrer de nouveaux marchés et créer des emplois, tout en répondant à des défis sociaux et environnementaux complexes.

La Stratégie de l’Ontario pour l’entrepreneuriat social 2016-2021 comprend d’importants engagements regroupés dans trois grandes catégories :

  • Renforcer les notions entrepreneuriales fondamentales des entreprises sociales
  • Relier les entreprises sociales aux marchés et aux capitaux, afin de les soutenir dans leur croissance
  • Convaincre les investisseurs, les gouvernements et les collectivités de la valeur de l’entrepreneuriat social et du financement social

L’Ontario investira plus de six millions de dollars dans la première année de cette nouvelle stratégie. La Province mettra à profit l’infrastructure existante de l’entrepreneuriat social, le capital d’investissement à impact social et les possibilités présentées par un marché en pleine croissance pour soutenir les entreprises sociales. Voici quelques-uns des projets prévus : 

  • Intégration d’activités de soutien spécialisées en entrepreneuriat social (comme la mesure de l’impact) dans les programmes d’entrepreneuriat traditionnels, tels que ceux offerts par le Réseau ontarien des entrepreneurs.
  • Plan d’action sur l’approvisionnement pour l’entrepreneuriat social, afin que le gouvernement de l’Ontario fasse davantage appel aux entreprises sociales pour ses approvisionnements
  • Création d’un Fonds de capital-risque à rendement social, pour accélérer le flux de capitaux privés vers les entreprises sociales en croissance
  • Formation d’un groupe de travail sur la mesure de l’impact, afin d’établir des normes homogènes d’évaluation de l’impact des entreprises sociales
  • Mettre à l’essai une ou plusieurs obligations à impact social, pour renforcer le rendement social
  • Création d’un Centre d’excellence en entrepreneuriat social et en financement social, pour aider le gouvernement à mettre à profit l’entrepreneuriat social et le financement social dans l’atteinte de ses objectifs 

Cette stratégie s’inspire des succès de la première stratégie d’entrepreneuriat social, comprenant des programmes tels que le Fonds pour les projets pilotes d’entrepreneuriat social, le Programme de réduction des taux d’intérêt et le Programme pilote des bons de l’Ontario pour l’impact social, ainsi que l’Ontario-California Impact Investment Partnership, qui contribue à l’expansion de la plateforme SVX en Californie et stimule les mouvements de capitaux transfrontaliers dans des entreprises ontariennes de capital-risque à rendement social. 

Le soutien apporté à la croissance du secteur de l’entrepreneuriat social en Ontario s’inscrit dans le plan économique du gouvernement, qui vise à favoriser l’essor de l’Ontario et à concrétiser sa priorité : stimuler l’économie et créer des emplois. Ce plan en quatre volets consiste à investir dans les talents et les compétences de la population, tout en aidant plus de gens à obtenir ou à créer les emplois de demain en élargissant l’accès à des études collégiales et universitaires de haute qualité. En outre, le plan fait le plus important investissement dans I’infrastructure publique de l’histoire de l’Ontario et investit dans une économie sobre en carbone guidée par des entreprises innovatrices, à forte croissance et axées sur I’exportation. Ce plan aide également la population ontarienne active à bénéficier d’une retraite plus sûre.

Lancement d'une nouvelle stratégie de l'Ontario pour l'entrepreneuriat socialFaits en bref

  • Il y a une dizaine de milliers d’entreprises sociales en Ontario.
  • Les entreprises sociales utilisent des stratégies d’affaires pour obtenir un impact social ou environnemental. Elles génèrent des revenus grâce à la vente de biens ou de services, mais elles se fixent également pour objectif explicite de produire des résultats positifs, et elles les mesurent. L’impact social augmente avec la croissance de leurs activités.
  • Plus de 400 intervenants et dirigeants du secteur ont participé aux consultations entourant l’élaboration de la stratégie.
  • En 2014, les entreprises sociales de l’Ontario comptaient en moyenne 38 employés et ont produit pour 1,2 million de dollars de revenus en moyenne.
  • Globalement, l’investissement à impact (celui qui produit à la fois un rendement financier et un impact social ou environnemental) connaît une hausse et représente aujourd’hui une part de marché d’environ 80 milliards de dollars.
  • Au terme d’un processus d’approvisionnement concurrentiel ouvert, un évaluateur indépendant vient d’être engagé pour évaluer deux idées prioritaires en vue de leur mise en œuvre à titre de projets pilotes d’obligations à impact social.
  • Une obligation à impact social est un outil de financement novateur fondé sur un contrat de rémunération au rendement par le biais duquel le gouvernement travaille en collaboration avec les fournisseurs de services et le secteur privé afin de fournir des services sociaux.

Ressources additionnelles

Citations

« Nous sommes ravis de travailler avec les chefs de file du secteur, des investisseurs ayant un impact, le milieu universitaire et le gouvernement afin de continuer à bâtir des entreprises sociales solides, évolutives et à forte croissance. C’est un domaine dans lequel nous pouvons mettre à profit notre soutien fidèle à l’infrastructure entrepreneuriale, une offre croissante de capitaux d’investissement à impact social et un marché

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Applications now being accepted for Youth Green Jobs Initiative

Avez-vous besoin d’aide pour apporter des améliorations écologiques dans votre exploitation agricole? Votre organisation contribue-t-elle à créer des avantages écologiques dans le secteur agricole? Embauchez un stagiaire dans le cadre de l’Initiative de stage en agroenvironnement!

L’Initiative de stage en agroenvironnement du Canada investira 1,9 million de dollars pour aider des organismes sans but lucratif et d’autres organisations œuvrant dans le secteur agricole à créer des emplois pour des diplômés postsecondaires, âgés de 30 ans ou moins, désirant travailler dans le secteur agricole. Les projets admissibles doivent :

  • être bénéfiques pour l’environnement à la ferme ou à l’extérieur de la ferme,
  • durer au moins quatre mois.

Le volet Organisations offre aux organisations une aide financière allant jusqu’à 50 % des coûts d’embauche de jeunes stagiaires jusqu’à concurrence de 16 000 $ par stagiaire pour entreprendre des activités environnementales, fournir des services environnementaux ou réaliser des recherches environnementales bénéfiques pour le secteur agricole.  Les organismes sans but lucratif comptant cinq employés permanents ou moins pourraient obtenir une aide financière correspondant à 80 % des coûts. Les organisations sans but lucratif ayant plus de cinq employés pourraient être considérées pour recevoir une contribution fédérale jusqu’à 80 % sur une base cas par cas.

Présenter une demande pour un stage en agroenvironnement

Les stages doivent durer au moins quatre mois et se terminer au plus tard le 31 mars 2017

Les demandes seront approuvées selon le principe du premier arrivé, premier servi jusqu’à l’épuisement des fonds. Pour en savoir plus sur l’admissibilité ou pour présenter une demande, visitez le site Initiative de stage en agroenvironnement ou appelez le 1-866-452-5558

Source : Le bulletin Agri-info

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CCEDNet's 2016 Annual General Meeting

La semaine dernière, les membres du RCDÉC se sont réunis en ligne pour participer à l’assemblée générale annuelle (AGA).

Pour la deuxième année, le RCDÉC a tenu une AGA entièrement virtuelle. Un webinaire bilingue pour proposer, appuyer et voter les résolutions, un salon de clavardage pour les commentaires et questions écrits, une téléconférence en anglais, une téléconférence en français et la traduction simultanée entre les deux, tout cela a permis d’avoir de nombreux échanges et interactions.

Heureusement, tout s’est bien déroulé. Ryan Gibson a présidé sa première AGA en tant que président du conseil d’administration du RCDÉC. La rencontre s’est bien déroulée; il y a eu un seul petit retard technique. Encore une fois cette année, les commentaires sur le niveau d’interaction ont été très positifs.

Mike Toye, directeur général du RCDÉC, a présenté les points forts de 2015. « Agir pour les économies communautaires » était le thème du rapport annuel de cette année. Il s’agissait d’évaluer la campagne de sensibilisation menée par le RCDÉC en 2015 en préparation aux élections fédérales et durant celle-ci.

Christine Landry, trésorière du RCDÉC, a présenté les états financiers. Elle a constaté que les élections fédérales et les préparations en vue du tant attendu retour du Congrès pancanadien de DÉC 216, ont fait de 2015 une année d’investissement pour le RCDÉC.

Un point extraordinaire à l’ordre du jour de l’AGA de cette année était la modification des statuts du RCDÉC, destiné à mieux refléter l’évolution de la position et du rôle du Réseau depuis sa fondation en 1999.

Les membres ont accueilli Laurie Cook au conseil d’administration et ont félicité Marianne Jurzyniec, Walter Hossli et Yvon Poirier qui ont renouvelé leurs mandats. Ils ont remercié les membres sortants du conseil d’administration Norman Greenberg et Art Lew.

Nous tenons à remercier les membres qui ont participé à l’AGA, l’équipe de travail qui l’a organisée et s’est occupée de la logistique, et les membres du conseil d’administration qui ont guidé le Réseau tout au long de l’année.

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Gouvernements locaux et acteurs de l'économie sociale : Alliés du développement intelligent et durable des villes

Le Forum mondial de l’économie sociale (GSEF2016) invite des jeunes canadiens à participer au GSEF2016 du 7 au 9 septembre prochain à Montréal.

Tu es âgé de 35 ans et moins ET:

  • Tu travailles au sein d’une entreprise d’économie sociale;
  • Tu sièges au conseil d’administration d’une entreprise d’économie sociale;
  • Tu t’impliques activement dans un projet citoyen;
  • Tu es un élu municipal qui s’intéresse à l’économie sociale;

Pose ta candidature en remplissant le formulaire de demande de bourse

Date de limite : le 7 juillet

La bourse pourra couvrir soit tes frais d’inscription ou tes frais de transport à Montréal. Aucune autre dépense ne sera admissible.

SOURCE : Le Forum mondial de l’économie sociale

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Déclaration québécoise pour l'innovation socialeLors de son arrivée au pouvoir l’automne dernier, le gouvernement Trudeau a annoncé qu’il stimulerait la productivité et la compétitivité stagnantes du Canada en investissant dans l’innovation. Or, afin que sa stratégie réussisse, le gouvernement appelle à une collaboration accrue entre les ministères de même qu’entre l’État, l’industrie et la recherche. Il favorise en outre l’innovation sociale au sein de ces ministères.

S’il n’y a pas de définition unique de l’innovation sociale, des organismes et des réseaux essentiels comme le Réseau québécois d’innovation sociale, le Center for Social Innovation de l’Université Stanford, aux États-Unis, et la Young Foundation, au Royaume-Uni, s’entendent sur le fait qu’elle se rapporte à un processus; dans la pratique, elle englobe de nouvelles façons de relever les défis sociaux, économiques et environnementaux complexes de notre époque dans le cadre d’organisations, d’établissements et d’entreprises de tous les secteurs. Le Québec est d’ailleurs bien placé pour tabler sur le leadership qu’il a déjà établi en menant des initiatives qui transforment la vie des individus et des communautés à travers la province, et cela est particulièrement vrai en ce qui concerne son économie sociale.

Il existe en effet plus de 7 000 entreprises d’économie sociale au Québec. Celles-ci emploient approximativement 150 000 personnes et représentent environ 8 % du produit intérieur brut de la province. Ces entreprises intègrent dans leur modèle d’affaires un engagement à l’égard d’une équité accrue, d’emplois stables et de qualité ainsi que du développement durable. Elles produisent des biens et des services dans des secteurs d’activité établis ou émergents, des garderies au design Web, de la fabrication aux technologies de l’information et de la communication, des soins à domicile au recyclage, et ainsi de suite.

Pour La Guilde des développeurs de jeux vidéo indépendants du Québec, une coopérative de «développeurs de technologies interactives», la coopération et la cocréation sous-tendent ce qu’elle appelle la quatrième révolution industrielle. La Guilde a ainsi adopté un modèle d’entreprise démocratique et coopératif. Il en va de même pour Projet Sol, un consortium sans but lucratif qui fournit des services de restauration au Planétarium et au Biodôme en s’approvisionnant en produits locaux et en formant la moitié de ses employés dans le cadre d’une réintégration au marché du travail. Peu de gens savent par ailleurs que la TOHU, cirque théâtral sans but lucratif montréalais de renommée internationale, offre une initiation au travail et des possibilités de création aux jeunes vulnérables du quartier Saint-Michel. Une récente étude sur ce programme a du reste révélé que la grande majorité de ces jeunes trouvaient un emploi permanent ou poursuivaient leurs études. Même les étudiants dynamisent l’économie sociale au moyen d’initiatives comme le PUSH Fund, dernièrement lancé par l’Union des étudiants et étudiantes de Concordia afin de financer de nouveaux logements coopératifs abordables pour les étudiants.

L’économie sociale est également caractérisée par des partenariats novateurs conçus pour mobiliser et partager le savoir. Le Champ des possibles est le nom symbolique donné à l’ancien district industriel que bordent les rails du Canadien Pacifique dans le Mile End. Il abrite à présent la coopérative Temps libre, qui revitalise la communauté à l’aide de projets audacieux, dont le premier espace de cotravail destiné au nombre croissant de parents travailleurs autonomes dans le quartier. Une initiative baptisée Espaces temps a aussi vu le jour; elle permet à des collaborateurs de Concordia de travailler sur des projets d’apprentissage expérientiel qui touchent aux sciences comme à l’art et favorisent l’engagement civique.

Ces diverses coopératives et entreprises sans but lucratif de l’économie sociale sont représentées par le Chantier de l’économie sociale. Cet organisme chapeaute plusieurs réseaux partout au Québec en proposant des outils conçus sur mesure pour le marché du travail, la prospection de clientèle, la recherche et le financement, et ce, afin d’assurer un «système d’innovation sociale» intégré et cohérent, conçu pour répondre de manières inédites aux besoins sociaux, économiques et environnementaux contemporains. Il s’est ainsi fait l’architecte d’un écosystème dynamique et organique qui repose sur une collaboration avec des organismes, des mouvements, des établissements d’enseignement supérieur et des paliers de gouvernement, afin d’améliorer la vie des individus et des communautés du Québec.

L’innovation sociale est au cœur de la réussite de l’économie sociale. Le nouveau mandat des ministères du gouvernement fédéral d’intégrer l’innovation sociale à leur portefeuille devrait favoriser l’appui prêté à l’économie sociale au Québec et au Canada. Il convient donc de prendre au sérieux l’engagement du fédéral de promouvoir l’innovation sociale et de collaborer à la conception de nouvelles stratégies visant le bien-être de tous les Canadiens.

Originalement publié le 1 juin, 2016 par le Huffington Post


Marguerite Mendell Marguerite Mendell est économiste, professeure et directrice intérimaire de l’École des affaires publiques et communautaires (ÉAPC) de l’Université Concordia. Ses travaux de recherche et de l’enseignement en cours sont sur ​​l’économie sociale, les stratégies d’investissement alternatives, le développement économique communautaire, la démocratie économique, et le travail de Karl Polanyi, dont l’influence ne cesse de croître aujourd’hui. Elle participe dans des conférences académiques et réunions internationales de l’OCDE et de l’OIT et les rassemblements de la société civile pour contribuer à un dialogue international en pleine croissance sur les initiatives économiques innovantes pour réduire la pauvreté et développer de nouvelles formes collectives de création de richesses. Elle participe également à des consultations au Canada (fédéral, provincial, et municipal) et à l’étranger (plus récemment à l’Union européenne) sur les questions liées à la finance sociale et communautaire et l’économie sociale solidaire.

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