Telus a annoncé le lancement du Fonds pollinisateur de Telus pour un monde meilleur, un fonds d’investissement à vocation sociale qui s’engage à remettre 100 millions de dollars pour financer des idées d’entreprises émergentes responsables et durables.
Ce nouveau fonds soutiendra directement les entreprises créées et établies au Canada ainsi que les entreprises mondiales qui cherchent à développer et à accroître leur impact au Canada, stimulant ainsi l’écosystème technologique en croissance au pays.
Les investissements seront destinés à des entreprises à but lucratif et à des fondateurs déterminés à favoriser l’innovation sociale et la croissance économique dans les domaines suivants :
Transformer les soins de santé : solutions numériques qui améliorent l’accessibilité et l’efficacité de soins de santé physique et mentale sécuritaires et de qualité pour les Canadiens.
Favoriser l’intégration collective : entreprises en démarrage qui créent des solutions visant à favoriser l’inclusion sociale et économique et à offrir à chacun l’occasion de se réaliser pleinement.
Soutenir l’agriculture responsable : entreprises qui produisent des solutions technologiques novatrices permettant au secteur agricole d’améliorer les systèmes alimentaires canadiens.
Protéger notre planète : entreprises et entrepreneurs qui créent des solutions visant à prendre soin de la planète et à réduire notre empreinte environnementale.
Le Fonds pollinisateur de Telus pour un monde meilleur a en outre annoncé trois partenariats avec Le Moulin Microcrédits, un programme canadien de microcrédit, Rhiza Capital, un fonds d’investissement à vocation sociale de la Sunshine Coast, et Tidal Vision, une société américaine qui a conçu un procédé de récupération de carapaces de crustacés afin de produire un biopolymère.
L’Initiative Accès à l’employabilité a été lancée en 2020 pour répondre au ralentissement économique dû à la COVID-19, qui touche les jeunes partout au Canada dans les secteurs où la main-d’œuvre est peu qualifiée. Ce programme, financé par le Fonds communautaire de Co-operators, vise à améliorer l’employabilité des jeunes marginalisés qui ont perdu leur emploi ou des occasions d’apprentissage en raison de la COVID-19 en leur offrant des formations axées sur des compétences pratiques et des possibilités de recyclage professionnel.
L’objectif de l’initiative est de permettre aux jeunes de décrocher de meilleurs emplois, plus durables et stables, en adoptant l’approche suivante :
Mettre les jeunes en contact avec de petites entreprises et les aider à acquérir des compétences professionnelles et pratiques, avec un accompagnement psychologique.
Aider les petites entreprises à trouver, embaucher, former et retenir des jeunes travailleurs.
Faire affaire avec des fournisseurs de services (emploi, services-conseils, formation, industrie, gouvernement) pour tirer parti des offres d’emploi en misant sur les aides financières prévues pour aider les jeunes à trouver un emploi valorisant.
#ImpactCOVID : Projet En route vers la reprise
Le projet #ImpactCOVID : En route vers la reprise est le premier programme de l’Initiative Accès à l’employabilité. En partenariat avec le Conseil canadien pour la réussite des jeunes (CCRJ), Objectif avenir de RBC, et Magnet, Co-operators met au point un plan de reprise économique en temps de pandémie dirigé par les jeunes. Dans ce projet à deux phases, les jeunes participent à la conception du plan en collaboration avec de petites entreprises, puis le mettent à l’épreuve en travaillant dans ces mêmes entreprises et en participant à des programmes communautaires partout au Canada. D’une part, les jeunes pourront ainsi acquérir une expérience professionnelle pertinente et enrichissante auprès de petites entreprises (y compris des coopératives, organismes sans but lucratif et entreprises sociales). D’autre part, les partenaires communautaires et les petites entreprises pourront améliorer leurs capacités d’embauche, de formation et de rétention des jeunes travailleurs.
Avec le soutien financier de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), le Programme de données communautaires (PDC) du Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) a lancé un projet de laboratoire de solutions intitulé « Développement d’outils décisionnels communautaires faciles à utiliser pour aider à atteindre les objectifs de la Stratégie nationale sur le logement. » Ce projet aidera les organismes à trouver la meilleure façon de mesurer et de répondre aux enjeux locaux en matière de logement grâce à des outils pertinents de collecte de données, de visualisation et d’établissement de rapports. Ces organismes comprennent, entre autres, les administrations municipales et les autorités locales, les organismes communautaires à but non lucratif et les associations industrielles du secteur privé.
Nous voulons que vous soyez au cœur de ce projet. Grâce à votre participation, les données et les outils décisionnels qui en résulteront seront d’une grande valeur pour les organismes qui font partie d’un système de logement offert au niveau local.
Il devrait prendre environ 5 minutes de votre temps.
Remarque : ce sondage est destiné aux personnes travaillant pour des organismes ou des départements d’organismes œuvrant directement ou indirectement dans le domaine du logement qui veulent offrir leur propre perspective professionnelle. N’hésitez pas à le transmettre à plusieurs personnes au sein de votre organisme, de votre service ou de votre réseau pour qu’elles puissent y répondre également si elles le souhaitent.
Si vous avez des questions concernant ce sondage, veuillez contacter . Nous espérons recevoir vos réponses, si possible, avant le 14 décembre 2020.
Veuillez consulter les renseignements ci-dessous pour plus de détails sur le PDC, le RCDÉC et le projet du Laboratoire de solutions.
Le Programme de données communautaires (PDC) est une initiative de développement communautaire fondée sur l’adhésion de membres et ouverte à tout organisme canadien du secteur public, à but non lucratif ou communautaire ayant pour vocation la prestation de services locaux ou l’élaboration de politiques publiques. Le PDC offre des données, des outils d’analyse et des services uniques au Canada et exclusifs aux membres du PDC. Le PDC rend les données accessibles et utiles à tous ses membres au moyen de formations et d’activités de renforcement des capacités. Grâce à son réseau dynamique, le PDC facilite et favorise le dialogue et le partage des meilleures pratiques dans l’utilisation des données communautaires.
Le Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) est un organisme de bienfaisance agréé et une association nationale de groupes communautaires et de citoyens qui agissent localement pour améliorer les conditions sociales, économiques et environnementales. Le RCDÉC compte des membres issus de milieux urbains, ruraux et autochtones, qui construisent des communautés durables et inclusives partout au Canada. Les programmes nationaux et régionaux du RCDÉC offrent des outils d’apprentissage et de renforcement des capacités à nos membres et à d’autres intervenants, et font progresser des pratiques communautaires novatrices visant à réduire les inégalités et à favoriser le bien-être.
Le projet de laboratoire de solutions du PDC
Avec le soutien financier de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), le Programme de données communautaires (PDC) du Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) a lancé un projet de laboratoire de solutions intitulé « Développement d’outils décisionnels communautaires faciles à utiliser pour aider à atteindre les objectifs de la Stratégie nationale sur le logement. » En partenariat avec les organismes municipaux et communautaires actifs dans le secteur du logement, le projet de laboratoire de solutions du PDC permettra de renforcer la planification et la prise de décision fondées sur des données probantes en utilisant des méthodes et des outils innovants pour transformer les données à l’échelle des municipalités et des quartiers en programmes, politiques et décisions opérationnelles plus efficaces. Ces méthodes et ces outils répondront aux contraintes réelles de temps et de personnel nécessaires pour analyser et appliquer les données aux décisions concernant le logement au sein des quartiers et des communautés.
Le projet se déroulera sur dix-huit mois, du 1er octobre 2020 au 31 mars 2022, sous la forme d’ateliers structurés et animés, de webinaires, de développement et de test d’outils et de conseils techniques. Le projet vise à intégrer plusieurs innovations dans le processus de travail des planificateurs locaux, des analystes politiques et des décideurs, notamment :
des indicateurs communs permettant de mesurer les résultats en matière de logement à l’échelle des municipalités et des quartiers ;
de nouvelles sources de données et de nouvelles façons d’utiliser les données, y compris la modélisation des données ;
l’utilisation de nouveaux logiciels pour appuyer la visualisation des données et l’accès aux données;
l’apprentissage partagé entre les différentes compétences provinciales;
des boucles de rétroaction plus efficaces pour mieux comprendre l’impact des données sur la prise de décision locale.
Ce projet intitulé «Développement d’outils décisionnels communautaires faciles à utiliser pour aider à atteindre les objectifs de la Stratégie nationale sur le logement» a reçu des fonds de la Stratégie nationale sur le logement dans le cadre des laboratoires de solutions de la SNL.
Matthew Thompson
Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.
En tant que nation diversifiée d’innovateurs, les Canadiens ont beaucoup de potentiel pour se propulser vers une reprise équitable et durable de COVID-19. Cela dit, nous sommes confrontés à de sérieux défis. Si nous voulons de meilleurs résultats sociaux, économiques et environnementaux, le gouvernement doit repenser la façon dont les organisations à vocation sociale sont soutenues. Nous avons besoin d’investissements dans l’innovation sociale et la finance sociale.
En 2018, le Groupe directeur chargé de la co-création de la Stratégie d’innovation sociale et de finance sociale a publié son rapport, Pour l’innovation inclusive : Nouvelles idées et nouveaux partenariats pour des collectivités plus fortes. Ce rapport complet contient 12 recommandations clés clés qui aideraient les communautés à aborder leurs plus gros défis sociaux et environnementaux par l’entremise du développement de compétences relativement aux entreprises sociales, d’approvisionnement social, du déblocage des capitaux privés, de l’accroissement de l’accès au marché et de changements réglementaires. En d’autres mots, ce serait un moment décisif!
Débloquer l’innovation sociale, dynamiser les communautés
Le gouvernement fédéral s’est déjà engagé à développer une Stratégie d’innovation sociale et de finance sociale (SISFS) et, en 2018, a annoncé un Fonds de finance sociale de 755 M$ et un Programme de préparation à l’investissement de 50 M$. MAIS, le Fonds de finance sociale demeure à être déployé; après une initiative pilote très réussie de 2 ans, il est prévu que le Programme de préparation à l’investissement se terminera en mars 2021; et il y a eu peu d’action par rapport aux autres recommandations.
Nous avons une occasion d’encourager le gouvernement à mettre en œuvre une stratégie globale, d’élargir le Programme de préparation à l’investissement et d’accélérer le Fonds de finance sociale. Au cours du printemps et de l’été, plusieurs efforts de mobilisation, notamment par le groupe sur l’économie citoyenne, Impact Response, la National Impact Investment Practitioners Table, et d’autres ont encouragé le gouvernement fédéral à accélérer la SISFS dans le cadre de la relance après la COVID-19. C’est un moment critique pour une poussée concertée afin de demander une action continue par le gouvernement fédéral pour s’assurer que la SISFS fasse partie du budget 2021.
APPEL À L’ACTION
Il existe deux possibilités d’action. La première aura plus d’impact dans cette campagne et vous aidera à construire une relation à long terme avec votre député(e).
Option 1 : Grand impact
Organisez une réunion virtuelle ou un appel téléphonique avec votre député(e).
Le Réseau canadien de développement économique communautaire est heureux d’inviter les membres organisationnels à faire une demande pour devenir un organisme d’accueil par l’entremise du programme CréeAction : Innovation sociale inclusive. Vous n’êtes pas déjà membre? Vérifiez comment vous pouvez vous joindre au réseau (incluant des options d’accessibilité) en consultant la page d’adhésion au RCDÉC.
À propos
Le but de CréeAction est de fournir des emplois et des occasions d’apprentissage pertinents pour leurs carrières à de jeunes déscolarisés sans emploi (NEET) qui font face à des obstacles à l’emploi afin de faire progresser leur carrière dans le domaine du développement économique communautaire et de l’économie sociale en conformité avec les conditions d’une entente de contribution entre le Réseau canadien de DÉC et Emploi et Développement social Canada dans le cadre de la Stratégie emploi et compétences jeunesse.
engagement et capacité organisationnelle d’aider les jeunes participants avec leur travail quotidien, de leur fournir de l’encadrement et du soutien pour le développement de leur carrière;
diversité géographique (p. ex. rurale, éloignée, autochtone, nordique, communautés francophones à l’extérieur du Québec ainsi que les communautés urbaines défavorisées ayant des populations de nouveaux immigrants);
capacité avérée à recruter et à accueillir des personnes qui sont autochtones, noires, racialisées, LGBTQ2S+, de nouveaux arrivants au Canada, francophones ou qui vivent avec une incapacité;
engagement à participer dans un réseau de soutien entre pairs des organismes d’accueil;
dévouement à aider le jeune participant ou la participante à transposer son expérience dans un emploi à temps plein ou d’étude;
capacité de recruter des jeunes déscolarisés sans emploi (NEET);
capacité de recruter de jeunes participants de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
capacité à soutenir de façon adéquate le développement de compétences des participants avec du soutien supplémentaire des partenaires de CréeAction;
volonté d’accroître la capacité organisationnelle pour répondre aux besoins de jeunes faisant face à des obstacles.
Les organismes d’accueil :
offriront une occasion pertinente d’emploi de 26 semaines;
chercheront activement de jeunes participants de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
deviendront membre du Réseau canadien de DÉC, s’ils ne le sont pas déjà;
offriront aux participants une session d’orientation relative à l’organisme d’accueil;
développeront, au début du placement, un plan d’apprentissage avec les participants;
développeront et mettront en œuvre un plan afin de fournir suffisamment de services de soutien pour permettre aux participants de réussir leur placement;
fourniront des ressources et du temps suffisants pour superviser efficacement et offrir du mentorat aux participants à l’expérience de travail;
s’engageront à avoir des réunions hebdomadaires avec les participants afin de soutenir leurs objectifs d’apprentissage;
planifieront un minimum de :
six (6) heures par semaine pour que le participant à l’expérience de travail participe à des activités d’apprentissage entre pairs, notamment celles organisées par le Réseau canadien de DÉC;
1,5 heure par mois pour participer à des sessions nationales virtuelles d’apprentissages pour les participants;
trois (3) journées de travail pour que le participant participe à un événement d’apprentissage en personne ou en ligne.
fourniront, avec l’appui du programme CréeAction des conseils de carrière, de la rétroaction régulière et des conseils aux participants et aideront les participants à accéder à de la formation ou des emplois pertinents pour leur future carrière à la fin de leur placement;
fourniront aux participants tous les matériaux de travail raisonnablement nécessaires;
fourniront au Réseau canadien de DÉC des rapports d’avancement périodiques et produiront des rapports sur les résultats à la fin de l’expérience de travail;
participeront à trois (3) sessions nationales virtuelles des organismes d’accueil avec le Réseau canadien de DÉC et d’autres organisations choisies;
travailleront avec les évaluateurs du programme CréeAction sur les activités liées à l’évaluation, telles que les activités relatives aux évaluations de mi-parcours et de fin de placement;
identifieront des candidats avant le 21 décembre afin de permettre aux participants de commencer leurs placements d’expérience de travail le 11 janvier.
Les partenaires (RCDÉC, ANCA et SRSA) de CréeAction :
défrayeront directement les coûts de l’emploi pour les participants à l’expérience de travail;
aideront les organismes d’accueil en leur donnant les conseils nécessaires et le soutien pour atteindre les objectifs du programme;
fourniront, de concert avec les organismes d’accueil, des soutiens universels sur mesure aux jeunes participants;
superviseront le programme d’apprentissage entre pairs et de mentorat;
réaliseront des évaluations complètes des compétences pour chaque participant;
coordonneront des appels vidéo mensuels pour que les jeunes participants apprennent, partagent leurs expériences et se réseautent;
coordonneront trois (3) appels vidéo pour que les organismes d’accueil partagent des expériences et se réseautent;
contribueront à de l’encadrement continu de carrière et du soutien relié à l’emploi pour les participants;
fourniront, avec l’appui des organismes d’accueil, des conseils de carrière, de la rétroaction régulière et des conseils aux participants et les aideront à accéder à de la formation ou des emplois pertinents pour leur future carrière à la fin de leur placement;
réaliseront des évaluations de mi-parcours et des sondages de fin de placement auprès des participants et des organismes d’accueil afin de suivre les progrès, mesurer les apprentissages des participants et enregistrer les résultats, les attentes en matière de carrière et la satisfaction des participants
Matthew Thompson
Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.
Financé par Emploi et Développement social Canada et avec les services d’évaluation de la Société de recherche sociale appliquée, le RCDÉC et la ANCA travailleront de concert avec les organismes hôtes partout au pays pour offrir aux jeunes aux prises avec des obstacles à l’emploi une expérience de travail rémunérée, pertinente et soutenue par des pairs.
Au cours des trois prochaines années, des organismes communautaires et des associations provinciales et territoriales des deux réseaux seront sélectionnés pour accueillir au total 100 jeunes participants à des stages d’expérience de travail rémunérés d’une durée équivalente à 26 semaines.
La première cohorte de 25 participants débutera le 11 janvier 2021. Les organismes hôtes seront sélectionnés d’ici fin novembre. La deuxième cohorte de 25 participants débutera le 21 juin 2021. Les organismes hôtes seront sélectionnés d’ici fin avril.
Comment fonctionne CréeAction ?
Les partenaires, la ANCA et le RCDÉC, sélectionneront les organismes hôtes qui à leur tour choisiront les participants selon les particularités des stages offerts. Les organismes hôtes auront le soutien des partenaires du projet. Ils offriront des services « globaux » de soutien et de mentorat par les pairs visant à offrir aux jeunes sélectionnés une expérience de travail de haute qualité.
Les stages admissibles offriront aux jeunes aux prises avec des obstacles à l’emploi des expériences professionnelles valorisantes au sein de la communauté, leur permettront de perfectionner leurs compétences professionnelles et donneront à ces jeunes l’occasion de renforcer leur capacité. Cliquez ici pour des exemples de stages des années précédentes.
La date limite pour les propositions des organismes d’accueil est le 9 avril 2021.
Vous êtes jeune et intéressé à participer à ce programme de stage rémunéré en milieu de travail, alors soyez à l’affût !
À propos de l’ANCA
L’Association national des Centres d’amitié est un réseau de plus de 100 Centres d’amitié et Associations provinciales/territoriales de partout au pays.
Le mouvement des Centres d’amitié représente l’infrastructure de prestation de services aux Autochtones hors réserve la plus importante au Canada. Depuis plus d’un demi-siècle, les Centres d’amitié aident les Autochtones en milieu urbain à accéder aux services essentiels dont ils ont besoin pour s’épanouir en milieux urbain et ce partout au Canada. Les Centres d’amitié comprennent les enjeux auxquels nos collectivités font face et leur modèle de services « globaux » nous permet d’être bien outillé pour répondre à ces besoins.
Partout au pays, les Centres d’amitié offrent des services adaptés aux particularités culturelles des Autochtones vivant en milieu urbain et sont devenus des endroits où Autochtones et non Autochtones se réunissent pour échanger des traditions et pour apprendre les uns des autres.
Pour en savoir plus sur l’ANCA et sa participation au programme CréeAction, veuillez contacter Francyne Joe par courriel .
À propos du RCDÉC
Le Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC) est un organisme pancanadien dirigé par ses membres dont la mission est de renforcer les collectivités canadiennes par la création de débouchés économiques visant l’amélioration des conditions sociales et environnementales.
Le développement économique communautaire (DÉC) est une approche locale où une collectivité prend des mesures pour créer des débouchés économiques destinés à améliorer les conditions sociales, en particulier pour les personnes et les groupes les plus défavorisés. Le DÉC est une approche qui reconnaît que les défis économiques, environnementaux et sociaux sont interdépendants, complexes et changeants.
Pour être efficaces, les solutions proposées doivent puiser dans les connaissances locales et être mises en œuvre par les membres de la communauté. Le DÉC favorise les approches globales tenant compte des besoins des personnes, des communautés et de régions, et reconnaît que ces trois niveaux sont interreliés.
Pour en savoir plus sur le RCDÉC et sa participation dans le programme CréeAction, veuillez contacter Matthew Thompson, Directeur de l’engagement et Adriana Zylinski, Pilote de l’engagement du Réseau à .
Matthew Thompson
Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.
Le Programme de préparation à l’investissement (PPI) aide les organisations à vocation sociale à concevoir, à mesurer et à développer leurs activités pour ainsi se préparer à un investissement. Si vous êtes :
Une organisation de bienfaisance
Un organisme sans but lucratif enregistré
Une coopérative
Une organisation à vocation sociale
Une entreprise à but lucratif à mission sociale
Vous pourriez être admissible à un financement non remboursable de 10 000 $ à 100 000 $ pour développer votre projet.
Plusieurs concours de financement sont ouverts par différents partenaires du PPI. Découvrez si votre organisation à vocation sociale est admissible et les informations nécessaires pour déposer une demande.
Il y avait deux résultats clés de la réunion pour les organisations de la société civile. Le premier était l’importance d’avoir une approche à l’échelle du gouvernement pour des revendications au sujet de questions qui touchent plusieurs ministères. Plusieurs des priorités politiques du secteur, comme la mise en œuvre de l’IS/FS, ne touchent pas qu’un seul ministère. Afin de créer de la volonté politique et un élan autour de la table du cabinet, il est important de parler à tous les ministres touchés par une question précise, ainsi qu’à leur personnel. Le deuxième résultat est qu’il y a encore des mythes associés aux investissements dans l’entreprise sociale, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du gouvernement. Afin de faire progresser notre programme partagé, il est important que ces mythes soient abordés et dissipés.
Le RCDÉC continuera de travailler avec les membres et partenaires afin de faire progresser les priorités politiques pour une relance inclusive et viable. Si vous souhaitez en apprendre davantage, contactez notre Directrice, Relations gouvernementales, Raissa Marks à l’adresse r.marks at ccednet-rcdec.ca.
Lors de la dernière réunion du conseil d’administration du RCDÉC, Victor Beausoleil a été choisie à titre de nouveau président du conseil. Il reprend le flambeau de Laurie Cook qui était président depuis 2018.
Victor est actuellement président et PDG d’Intuit Consulting et fondateur de SETSI, la coalition Social Economy Through Social Inclusion. Au cours des 15 dernières années, Victor a travaillé d’arrache-pied dans les communautés à la recherche de stratégies globales en matière d’équité partout au Canada. Victor était membre du conseil d’administration de la Atkinson Charitable Foundation et de la The Harriet Tubman Community Organization, il est également membre du comité d’examen des subventions de la Laidlaw Foundation et du Toronto Community Housing Social Investment Fund. Consultez la biographie complète de Victor.
Le conseil remercie chaleureusement Laurie Cook pour son leadership au cours des deux dernières années.
Les nouveaux administrateurs du conseil du RCDÉC sont :
La vision de l’Approche commune est un monde où la prise de décision, les méthodes de travail et l’allocation des ressources sont basées sur des mesures articulées par les personnes dont les vies sont les plus touchées, conduisant à une égalité et un bien-être accrus, et à une diminution de la dégradation environnementale.
C’est une période passionnante pour rejoindre l’Approche commune. Vous avez la possibilité de faire partie du premier mandat du Groupe de gouvernance. Pendant votre mandat, vous allez:
Tirer parti de votre expérience en matière de bonne gouvernance, de surveillance fiscale, d’éthique et de gestion des risques;
Élaborer le cadre de planification stratégique pour l’Approche commune;
Superviser la stratégie d’adoption et identifier les voies d’engagement avec d’autres intervenants et organisations à vocation sociale à travers le Canada;
Assurer la supervision des quatre normes qui comprennent: les pratiques essentielles, le cadre flexible, le formulaire commun et la norme commune de données d’impact;
Soutenir le développement des partenaires et des financements pour garantir que l’Approche commune puisse réaliser son potentiel
Les candidatures doivent inclure un curriculum vitae et une lettre exprimant votre intérêt pour le groupe de gouvernance.
S’il vous plaît soumettre votre candidature à: Joanna Reynolds [joanna (at) socialinnovation.ca] avant le 11 septembre 2020, en fin de journée.
En 2019, dans le cadre de nos célébrations du 20e anniversaire, le RCDÉC a créé le prix Plus forts ensemble. Le prix honore des personnes qui ont fait des contributions exceptionnelles au développement économique communautaire et des personnes qui ont fait preuve d’un leadership remarquable au RCDÉC. Les premiers prix ont été octroyés à trois personnes qui étaient devenues membres honoraires à vie au cours des ans : Eunice Grayson, Stewart Perry et Rankin MacSween.
Cette année, nous sommes enchantés d’honorer Diana Jedig avec le prix Plus forts ensemble.
Diana s’est jointe au conseil d’administration du RCDÉC en 2005 et elle l’a quitté lors de l’AGA de 2020, ce qui en fait la membre du conseil d’administration qui a siégé le plus longtemps de l’histoire du RCDÉC. Elle a siégé et présidé le comité de renforcement des praticiens et celui des finances. Lorsque le conseil d’administration du RCDÉC a décidé que du travail devait être réalisé pour créer un ensemble solide de politiques et de procédures, elle a pris la présidence du comité du personnel et créé le très étoffé manuel des politiques du RCDÉC.
Diana a représenté le conseil à la table de partenariat du plus gros projet géré par le RCDÉC, le projet d’écosystème de l’entreprise sociale. Elle a été un lien essentiel entre le RCDÉC et le plus gros réseau d’organismes de développement économique fondé sur l’emplacement au pays, Développement des collectivités et les corporations au bénéfice du développement communautaire (CBDC) dans le cadre de notre travail d’élaboration de politiques et de développement de projets.
Diana Jedig est la seule personne à avoir occupé les fonctions de présidente, vice-présidente, secrétaire et trésorière du conseil d’administration du RCDÉC. Elle a aussi accueilli EcoNous2019, l’une des plus grandes conférences nationales du RCDÉC à ce jour.
Diana a joué un immense rôle dans la création du RCDÉC et elle a été une mentore et amie pour plusieurs employés, membres, partenaires et alliés du RCDÉC.
Félicitations, Diana, et merci pour ton leadership inégalé!
Nous soussignés sommes un partenariat collaboratif de leaders de réseau en innovation sociale, finance sociale, économie sociale et développement économique communautaire de l’ensemble du Canada. Nous produisons cette déclaration commune afin d’approfondir notre engagement à éradiquer le racisme, la colonisation et l’exclusion dans notre travail et notre secteur.
Nous soussignés reconnaissons collectivement que le colonialisme a des racines profondes au Canada et que ses vestiges persistent dans le traitement intolérable fait aux personnes d’origine africaine dans la société. Alors que les questions de racisme systémique sont présentes pour plusieurs personnes qui vivent au Canada, nous reconnaissons les incidents récents et disproportionnellement fatals au sein des communautés autochtones et noires. Nous reconnaissons également les générations d’Afro-Néo-Écossais qui ont résisté à l’oppression isolément dans les Maritimes.
Comme collective, nous reconnaissons que la seule position raisonnable à prendre face au racisme est l’antiracisme. Dans notre travail pour l’atteinte de communautés viables et inclusives, nous dénonçons le racisme antinoirs dans chacune des formes malicieuses qu’il prend dans nos communautés, nos organisations et dans les systèmes et institutions du Canada.
Nous sommes aussi engagés à confronter les dispositions économiques qui sont dangereuses et qui concentrent les capitaux et excluent plusieurs personnes qui vivent au Canada. Nous sommes engagés envers l’équité pour l’accès au capital, au partage du pouvoir et à aborder les barrières systémiques qui exacerbent les disparités de richesse.