Lors de la dernière réunion du conseil d’administration du RCDÉC, Laurie Cook a été choisie à titre de nouvelle présidente du conseil. Elle reprend le flambeau de Ryan Gibson qui était président depuis 2015.

Laurie est directrice, Développement stratégique et Apprentissage sur mesure au Community Sector Council de la Nouvelle-Écosse. Sa passion est le développement communautaire et elle est active professionnellement dans le domaine depuis de nombreuses années comme animatrice et intervenante communautaire. Elle a été élue au conseil du RCDÉC pour la première fois en 2016. Consultez la biographie complète de Laurie.

Le conseil remercie chaleureusement Ryan Gibson pour son leadership au cours des trois dernières années.

Les nouveaux administrateurs du conseil du RCDÉC sont :

  • Laurie Cook, présidente
  • Carol Madsen, vice-présidente
  • Diana Jedig, trésorière
  • Yvon Poirier, secrétaire

En savoir plus sur le conseil du RCDÉC >>

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EconoUs2018Je veux juste dire que je suis extrêmement heureuse de coorganiser EcoNous2018 avec le RCDÉC. J’en suis heureuse pour deux raisons…

La première raison est que dans mon milieu, celui du secteur environnemental à but non lucratif, nous avons souvent le sentiment que nous devons fondamentalement changer la manière dont notre société voit et estime l’environnement naturel et qu’il existe un lien intrinsèque entre la justice sociale et l’environnement. Imaginez ma surprise et ma joie lorsque j’ai découvert toutes ces personnes engagées dans le DÉC qui partagent les mêmes opinions! D’expérience, il n’y avait pas beaucoup de communication entre les personnes engagées dans l’environnement et celles engagées dans le DÉC, mais j’ai appris au cours de l’année dernière que ces personnes partagent une vision commune pour un monde meilleur. Je suis très contente que ce congrès soit axé sur les thèmes suivants « Peuple, Planète et Économie », ceci nous aide à créer des liens et à mieux travailler ensemble.

Eco-Confluence 2017

New Brunswick Environmental NetworkLa seconde raison est que le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick, comme le suggère son nom, est un organisme provincial. De temps en temps, je voyage dans d’autres provinces pour parler de notre travail, mais il est rare que je puisse montrer notre belle province à des personnes venant d’ailleurs. Je suis donc ravie de pouvoir présenter des personnes et des paysages remarquables du Nouveau-Brunswick à mes camarades du Canada et d’ailleurs. Dans cet esprit, notre équipe a organisé des visites de sites qui permettront de découvrir les côtes du Nouveau-Brunswick (les falaises rocheuses de la baie de Fundy et les plages sablonneuses du détroit de Northumberland), les cultures acadiennes et mi’kmaq, la scène artistique locale et bien plus encore. Je suis vraiment impatiente de vous rencontrer.


Raissa MarksRaissa Marks travaille avec le RENB depuis 2006. Elle est originaire du comté Albert au Nouveau-Brunswick. Après son école secondaire, elle a passé 10 années d’apprentissage, de travail et de vie à l’extérieur de la province, à Montréal, à Toronto et en Virginie. Maintenant, elle vit à Riverview avec son mari Chris et son chien Roxie. Un secret bien gardé, Raissa a travaillé pour le Réseau comme étudiante en 1990 et en 1998!

 

 

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Le gouvernement doit penser et agir différemment, en repensant la manière dont les organismes à vocation sociale sont soutenus et en renforçant le pouvoir des solutions venant des communautés pour les défis qui les concernent. Libérons les énergies de l’innovation sociale et de la finance sociale pour relever les défis sociaux et environnementaux les plus complexes du Canada.

Qu’est-ce que l’innovation sociale et la finance sociale? 

De nombreux organismes communautaires, comme vous, s’engagent à trouver des solutions transformatrices, mais nous faisons face à des difficultés dans nos efforts.

C’est pourquoi le gouvernement du Canada a nommé une équipe diversifiée ayant pour mandat de guider l’élaboration d’une stratégie d’innovation sociale et de finance sociale pour le Canada. Les membres de ce Groupe directeur, qui sont issus de tous les secteurs et de toutes les régions, a entrepris de vastes consultations publiques au cours de l’année écoulée.

Il est temps d’élaborer une stratégie d’innovation sociale et de finance sociale pour le CanadaDécouvrez ce qu’ils ont entendu dans cette brochure

Pourquoi est-ce important? Les organismes à vocation sociale forment un écosystème interconnecté riche de contributeurs importants à la croissance économique et à notre bien-être individuel et collectif. Notre objectif est d’avoir une stratégie d’innovation sociale et de finance sociale intégrée dans le budget fédéral de 2019, mais nous avons besoin de votre aide!

Alors, comment pouvez-vous aider?

Joignez-vous à la conversation. Contactez votre député ou députée.

Informez-les de votre soutien pour une stratégie.

Savez-vous qui est votre député ou députée ? Trouver le à partir de votre code postal ICI

Participez à la Journée iMPact: Invitez votre député ou députée à rejoindre votre organisation

Du 15 août au 16 septembre 2018, Imagine Canada invitera les députés et députées fédéraux à participer au Défi impact social qui consiste à passer une journée entière avec un organisme communautaire dans leur circonscription afin d’observer les équipes et d’apprendre sur la réalité de leur travail.

Parfois, une connaissance sur le terrain est un facteur important dans le soutien accordé. Profitez de cette occasion pour informer votre député de l’impact réel qu’une stratégie soutenue par le gouvernement pourrait avoir sur les défis auxquels sont confrontés les concitoyens dans leurs régions.

Si votre organisme n’est pas en mesure de participer au Défi impact social, il y a d’autres façons de s’impliquer pour donner aux organismes communautaire l’occasion de nouer le dialogue avec leurs représentants fédéraux. Savoir plus ici

Envoyer un courriel ou une lettre à votre député ou députée

Pour écrire une lettre percutante, essayez de la personnaliser! Expliquez l’importance des obstacles rencontrés par votre organisme, avec des exemples de la manière dont l’innovation sociale et la finance sociale créer de meilleurs résultats sociaux et environnementaux.

Pour obtenir des conseils généraux pour vous permettre d’écrire un lettre plus efficace, envoyez un courriel à innovate4impact à sisfs.ca

L’utilisation des médias sociaux

  • Nouer le dialogue avec votre député ou députée par un tweet sur Twitter en utilisant les hashtags # innovate4impact #sisfs
  • Communiquer des informations sur la stratégie sur la page de Facebook de votre circonscription
  • Partager la vidéo sur les réseaux sociaux pour faire connaître l’innovation sociale et la finance sociale
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CCEDNet's 2018 Annual General Meeting

Le 14 juin, les membres du RCDÉC se sont rassemblés en ligne pour participer à l’assemblée générale annuelle 2018 (AGA).

Le RCDÉC organisait une AGA complètement virtuelle pour une quatrième année de suite. Notre plate-forme en ligne permet de proposer, d’appuyer et de voter des propositions, contenait un salon de discussion pour des commentaires et des questions par écrit, l’intégration avec une ligne de téléconférence en anglais et une ligne de téléconférence en français et de la traduction simultanée entre les deux lignes.

Visionner l’enregistrement de l’AGA

Notre président du conseil, Ryan Gibson, a aidé à faciliter le déroulement de la réunion dans une heure. La rétroaction par rapport à l’AGA a été très positive encore cette année. Voici quelques-unes des choses que les membres ont dites par rapport à l’AGA :

  • Les fonctionnalités disponibles en ligne ont permis d’avoir une réunion d’une grande qualité. Un moyen formidable et accessible d’inclure tout le monde. Excellent travail et félicitations.
  • Excellente présidence de la part du président de la séance! Une réunion menée de façon très efficace. Très impressionnant. Beau travail!
  • Excellent travail! J’ai vraiment apprécié le fait que l’AGA virtuelle élimine les barrières géographiques à la participation.
  • J’ai beaucoup apprécié la mise à jour et le rapport de Mike Toye. Les points saillants de l’année écoulée montrent l’incroyable travail accompli par le RCDÉC.
  • J’adore! C’est parfois plus interactif qu’une réunion en personne. C’est fantastique de voir toutes ces personnes qui ont participé et c’est un bon rappel de qui sont les membres.
  • Je trouve cette façon de fonctionner pour l’AGA très pertinente étant donné que l’organisation est pancanadienne: pas de frais de déplacement, une heure seulement, etc. Poursuivre la plateforme billingue.

Le Directeur général du RCDÉC, Mike Toye a présenté les grandes lignes de 2017 ainsi que les états financiers audités.

Regardez les Faits marquants de 2017

Les membres ont félicité Emmanuel Bertrand-Gauvin, Ryan Gibson, Carol Anne Hilton, et Luc Morin pour le renouvellement de leurs mandats. Les membres ont aussi exprimé leur gratitude à l’égard des membres sortants Christine Landry et Élodie Grunerud.

Merci beaucoup aux membres qui ont participé, aux employés qui ont fait l’organisation logistique et aux membres du conseil d’administration du RCDÉC qui guident le réseau au cours de l’année.

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Dans le cadre du plan Investir dans le Canada, on demandera désormais aux bénéficiaires de financement fédéral pour de nouveaux projets de grandes infrastructures publiques d’examiner comment leurs projets peuvent créer des possibilités de formation et d’emploi pour les groupes sous-représentés, ainsi que des possibilités d’approvisionnement pour les petites et moyennes entreprises et pour les entreprises sociales.

L’honorable Amarjeet Sohi, ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, et l’honorable Ahmed Hussen, ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, ont annoncé une nouvelle mesure visant à s’assurer que, dans le cadre des nouveaux projets d’infrastructure qu’ils construisent, les promoteurs prennent en considération les répercussions sociales et économiques de leurs projets dans les collectivités et la façon dont ils peuvent encourager une participation inclusive. 

Dans le cadre du plan Investir dans le Canada, on demandera désormais aux bénéficiaires de financement fédéral pour de nouveaux projets de grandes infrastructures publiques d’examiner comment leurs projets peuvent créer des possibilités de formation et d’emploi pour les groupes sous-représentés, ainsi que des possibilités d’approvisionnement pour les petites et moyennes entreprises et pour les entreprises sociales.

Les exigences relatives aux avantages communautaires en matière d’emploi prévoient l’établissement de cibles dans le cadre des grands projets d’infrastructure afin d’offrir des possibilités de formation, d’emploi et/ou d’approvisionnement à un large éventail de Canadiens. On a préparé des lignes directrices générales pour expliquer les exigences dans le cadre de l’initiative.  

Les demandeurs dans le cadre des grands projets devront maintenant établir et viser des cibles liées aux possibilités de formation et d’emploi pour les groupes qui sont identifiés comme étant sous-représentés dans la main-d’œuvre ou qui sont confrontés à des obstacles en matière d’accès au marché du travail, y compris les suivants :

  • les Autochtones;    
  • les femmes;
  • les personnes handicapées;
  • les anciens combattants;
  • les jeunes;
  • les apprentis;
  • les immigrants récents.

Conformément à la nouvelle exigence, les projets visés devront également offrir des possibilités aux petites et moyennes entreprises et aux entreprises sociales. Il s’agit des entreprises exploitées par des organisations de bienfaisance ou à but non lucratif, ou qui sont conçues pour offrir une valeur sociale.

Pour chaque projet de plus de 10 millions de dollars (pour la plupart des administrations), les provinces et les territoires détermineront au moins trois de ces groupes ciblés qui profiteront de possibilités de formation, d’emploi ou d’approvisionnement. Les projets sont affichés sur la Carte des projets du plan Investir dans le Canada, dans le site Web d’infrastructure Canada, et on indiquera si l’exigence d’avantages communautaires en matière d’emploi a été appliquée. Dans les cas où cette exigence ne peut être appliquée, une justification sera fournie.

En plus des ententes bilatérales du plan Investir dans le Canada conclues entre Infrastructure Canada et les provinces et les territoires, cette nouvelle exigence s’applique également à tous les projets dans le cadre du récent Fonds d’atténuation et d’adaptation en matière de catastrophes et à toutes les propositions finales présentées en vue d’un examen au titre du Défi des villes intelligentes.

Source : Infrastructure Canada

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

RIPESS

Au cours des 30 dernières années, les organisations et entreprises de l’économie sociale solidaire (ESS) ont grandi dans le monde entier. Parfois, elles sont assimilées au développement local, au développement communautaire, ou à l’économie solidaire ou économie sociale. Elles ont toutes des approches similaires, elles sont dirigées par la communauté ou la société civile. Dans de nombreux cas, elles se sont développées dans certains secteurs défavorisés de la société, qui ne sont d’aucun intérêt pour les acteurs de  la mondialisation néolibérale impulsée par le marché; mais pas seulement. De nos jours, l’ESS existe aussi dans tous les secteurs de l’économie: la production, la finance, la distribution, l’échange, la consommation et la gouvernance. Un historique partiel des initiatives d’ESS est présenté dans le document intitulé « Économie sociale solidaire et concepts apparentés Les origines et les définitions : une perspective internationale », publié en 2014, ainsi que d’autres éléments de définition dans le document de la Vision Globale du RIPESS sur l’ESS.

À mesure que le secteur s’est développé et s’est structuré en réseaux, l’interaction avec les autorités publiques à tous les niveaux s’est développée. De nombreux gouvernements et autorités locales ont signé des contrats pour fournir des produits ou des services produits par l’ESS. Dans de nombreux pays, cela a évolué vers des politiques publiques à grande échelle en faveur de programmes tels que les garderies, la gestion des déchets, le logement coopératif, etc. La législation sur les coopératives existait déjà dans de nombreux pays. Cependant, dans la plupart des pays, l’accent était strictement mis sur les coopératives et n’incluait pas les organisations sans but lucratif. Les nouvelles lois embrassent une perspective beaucoup plus large, tout en incluant les coopératives.

Au fil du temps, cela a évolué vers la notion de co-construction des politiques publiques, incluant les législations. Par co-construction, nous entendons travailler de concert avec les ministères et les autres autorités publiques pour concevoir des politiques et des programmes. Au fil du temps, les gouvernements et les autorités locales ont réalisé que cette approche participative est le meilleur moyen de mettre en place des politiques efficaces qui auraient beaucoup plus de chances de réussir. Beaucoup d’actions de plaidoyer de la part des acteurs de l’ESS ont été et sont encore nécessaires pour atteindre ce résultat. Généralement, les organismes publics réalisent des consultation, souvent de manière très formelle, mais ils ne travaillent pas toujours dans une logique de co-construction participative.

Le RIPESS a adopté et promu cette approche participative dès sa création il y a 20 ans. Ce concept a été largement débattu lors du 3e Forum Mondialisation de la Solidarité, organisé à Dakar, au Sénégal, par le RIPESS en novembre 2005. Après les crises mondiales de 2008, de nombreux pays ont adopté des politiques et une législation reconnaissant l’ESS. Depuis lors, entre autres, RIPESS travaille à rendre les progrès visibles dans les différents continents, à l’échelle locale, nationale ou mondiale:

Par ailleurs, pour renforcer son approche sur le sujet, le RIPESS a établi en 2016 une alliance avec le GSEF (Forum Mondial pour une Économie Sociale)- Le GSEF est une association internationale réunissant des gouvernements locaux (principalement des villes) et des acteurs de la société civile qui reconnaissent l’économie sociale comme un facteur clé du développement économique local, afin de promouvoir les politiques publiques d’ESS. Cela permet notamment d’assurer une approche oú tant le point de vue du gouvernement local (GSEF) que le point de vue des acteurs de l’ESS (RIPESS) est pris en compte. Cela a également conduit le RIPESS à établir un partenariat avec le FMDV (Fonds mondial pour le développement des villes). Ces partenariats sont importants pour la promotion des politiques publiques aux niveaux local et régional des gouvernements. Il est également essentiel pour localiser la mise en œuvre des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies. La prochaine réunion importante aura lieu en octobre pour le Forum GSEF2018 de Bilbao.

Au cours des mois et pour les années à venir, le RIPESS et ses membres prévoient d’approfondir la compréhension du processus de co-construction des politiques publiques, afin de s’assurer que les réseaux de l’ESS profitent des expériences déjà existantes et contribuent à l’extension de ce processus. L’idée serait de réaliser des études de cas et, au fil du temps, décrivant en détail comment les acteurs de l’ESS préconisent et collaborent avec les acteurs publics pour la conception et la mise en œuvre réussies de politiques publiques. Par exemple, le cas du Mali, un pays qui a adopté en 2014 une politique publique nationale pour l’ESS, ou celui de la loi-cadre adoptée dans la province de Québec en 2012 pourraient être un bon point de départ. Nous organiserons également des wébinaires afin de présenter et de discuter en détail des différents exemples.

Publié à l’origine par RIPESS 


Yvon PoirierYvon Poirier a une longue histoire dans les mouvements syndicaux et sociaux au Québec et au Canada. Entre autres, il était président pour la mise en place de la Corporation de développement économique communautaire (CDÉC) de Québec en 1994, et membre du Comité organisateur des Rencontres mondiales de développement local tenues à Sherbrooke (Québec) en 1998. De novembre 2003 à juillet 2013, il a coédité un bulletin électronique mensuel international sur le développement local durable publié en 4 langues. Il est membre du RCDÉC depuis 2003, d’abord comme membre individuel et depuis 2012 il représente la CDÉC de Québec.Il e

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Le Conseil de la coopération de l’Ontario Le Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO), un membre du RCDÉC, a reçu une médaille du Sénat, le jeudi 31 mai, pour souligner son role dans le développement économique de la province.

Les médailles sont décernées aux Canadiens et organisations qui sont impliqués dans leurs communautés et qui, grâce à leur générosité, leur dévouement, leur bénévolat et leur travail acharné, font de leur région, un endroit où il fait mieux vivre.

Depuis 1964, le CCO s’implique dans les milieux du développement économique, social et communautaire en assurant notamment la promotion, le développement durable et l’innovation des coopératives et des entreprises sociales en Ontario. Les entreprises sociales et les coopératives façonnent les communautés francophones de l’Ontario depuis des décennies, étant à la base de l’autonomisation de ces communautés autrement en situation minoritaire. Ces modèles de développement sont aussi des modèles d’émancipation, ayant en effet permis de doter les communautés francophones de leurs propres institutions, de leurs propres organisations, bref, de leur propre identité.

« C’est un immense honneur pour nous que de recevoir cette recompense des plus prestigieuses. Cette médaille n’est pas seulement une reconnaissance du travail de notre organisation, elle fait aussi l’éloge des communautés francophones de l’Ontario dans toutes leurs diversités. Parce qu’elles choisissent tous les jours de se prendre en charge par des modèles de développement social et économique raisonnés, ces communautés ont fait de l’Ontario une vitrine mondiale d’économie sociale et coopérative », déclare Claudette Gleeson, Présidente du CCO.

Dans le cadre d’une cérémonie qui s’est déroulée au Sénat du Canada à Ottawa en présence de plusieurs dignitaires, la sénatrice Lucie Moncion a remis aux représentants du CCO une médaille commémorative qui souligne la contribution exemplaire de l’organisme dans les communautés francophones de l’Ontario.

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Le Centre international de transfert d’innovations et de connaissances en économie sociale et solidaire, C.I.T.I.E.S., a procédé à l’inauguration de son siège social, situé au sein de la Maison de l’économie sociale dans le quartier Centre-Sud de Montréal.

En présence de plus d’une centaine d’invités – partenaires et représentants des gouvernements d’ici et d’ailleurs, dont M. Gerardo Pisarello, vice-maire de Barcelone, et M. Alvaro Porro, commissaire politique à l’économie sociale de BarceloneC.I.T.I.E.S. a présenté sa vision et ses orientations, qui lui permettent de se positionner comme un outil de collaboration international au service de villes innovantes et engagées en matière d’économie sociale, lançant ainsi officiellement ses activités en sol montréalais.

C.I.T.I.E.S. soutient le développement territorial et promeut la coopération, le partage des connaissances et l’adaptation des meilleures pratiques en économie sociale sur le plan international.

Par le biais d’activités d’échange, de transfert, de formation et de conseil sur les politiques publiques et les mécanismes de collaboration entre les gouvernements locaux et les acteurs de la société civile, le centre facilite l’émergence de projets communs et multiterritoriaux.

L’organisme regroupe des membres gouvernementaux, académiques et praticiens de Séoul (Corée du Sud), Barcelone (Espagne), Bilbao (Espagne) et Montréal, tous des territoires reconnus à l’échelle internationale pour leurs pratiques en économie sociale et solidaire. C.I.T.I.E.S. travaille également en collaboration avec des acteurs d’autres territoires souhaitant améliorer leurs pratiques.

Mis sur pied pour donner suite à la mobilisation résultant du Forum mondial de l’économie sociale –GSEF2016, troisième édition du Global Social Economy Forum (GSEF) coorganisé par la Ville de Montréal et le Chantier de l’économie sociale, c’est tout naturellement que les partenaires fondateurs[1] ont convenu d’établir le siège social de l’organisation à Montréal.

« Non seulement la métropole bénéficie d’une expertise et d’un leadership reconnus en matière d’économie sociale, mais sa diversité culturelle, son statut de pôle universitaire et sa tradition de collaboration entre les gouvernements et la société civile ont également été des facteurs déterminants dans le choix de l’emplacement de C.I.T.I.E.S. En outre, l’appui financier des gouvernements du Canada et du Québec, et de la Ville de Montréal, a été fondamental pour assurer le démarrage de l’organisation », a déclaré M. Martin Van Den Borre, directeur général de C.I.T.I.E.S.

C.I.T.I.E.S. mobilise l’expertise de partenaires de différents territoires, afin de développer et d’adapter des pratiques validées et porteuses en économie sociale, incluant la production et l’adaptation des politiques publiques. Au-delà des activités de transfert et d’accompagnement, c’est aussi un formidable outil de solidarité internationale, en faveur d’un développement inclusif et durable pour les communautés. « Nos activités de transfert avec Séoul et Barcelone ont déjà débuté, notamment sur les questions de la finance solidaire, du logement et de l’entrepreneuriat jeunesse. Notre équipe est aussi en pourparlers avec plusieurs autres villes d’Asie, d’Amérique et d’Europe qui souhaitent participer activement à notre réseau », a souligné Mme Béatrice Alain, présidente de C.I.T.I.E.S.

« Montréal abrite déjà 65 organisations internationales, soit la plus grande communauté au Canada et en Amérique du Nord, après Washington et New York. L’arrivée d’une organisation phare comme C.I.T.I.E.S. permet de renforcer et de promouvoir cet écosystème unique, en plus de positionner la métropole au cœur des discussions internationales sur l’économie sociale et solidaire », a déclaré M. Hubert Bolduc, président-directeur général de Montréal International. « Nous savons à quel point les organisations internationales sont stratégiques pour Montréal et il est fondamental de les appuyer pour les voir grandir dans notre métropole. »

Source : Montréal International

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Ontario GovernmentLa province soutient le concept des avantages communautaires par l’approbation de cinq projets d’infrastructure

Le gouvernement de l’Ontario veille à ce que les collectivités locales bénéficient du développement de l’infrastructure avant, pendant et après les travaux de construction, ce qui favorise la croissance économique et la création de nouvelles possibilités d’emploi partout dans la province. 

La province va entreprendre cinq nouveaux projets qui auront des avantages sociaux et économiques pour les collectivités où ils seront réalisés. Les projets utiliseront une gamme d’options visant à soutenir les collectivités locales pendant le développement de nouvelles infrastructures publiques importantes, notamment par des possibilités d’emploi et de formation, des mesures de protection de l’environnement, des mesures de réduction de la pauvreté et un soutien aux petites entreprises.

Ce sont les cinq projets suivants :

  • TLR de Finch Ouest (une nouvelle ligne de transport léger sur rail, à Toronto)
  • Centre de soins de santé West Park (un hôpital offrant des services de réadaptation spécialisés et des soins continus complexes)
  • Palais de justice central de la région de Halton (un nouveau palais de justice comprenant 21 salles d’audience)
  • Édifice Macdonald (la reconstruction d’un complexe de bureaux gouvernementaux, à Toronto)
  • Complexe correctionnel de Thunder Bay (le remplacement de la prison et du centre correctionnel de Thunder Bay)

Ces projets s’inscrivent dans la continuité des progrès déjà réalisés pour le TLR d’Eglinton Crosstown et sont la prochaine étape de la concrétisation de l’engagement que le gouvernement de l’Ontario a pris de veiller à ce que tous les grands projets d’infrastructure publique se conforment à un cadre d’avantages communautaires d’ici 2020.

Le plan que met en œuvre le gouvernement de l’Ontario pour favoriser le mieux-être, créer des possibilités et réduire le coût de la vie en cette période d’évolution rapide de l’économie comprend la gratuité des médicaments d’ordonnance pour toutes les personnes âgées de moins de 25 ans et de 65 ans ou plus, grâce à la plus grande expansion de l’assurance-santé en une génération, ainsi que la gratuité scolaire pour des centaines de milliers d’étudiants, une hausse du salaire minimum, l’amélioration des conditions de travail et la gratuité des services de garde préscolaire pour les enfants âgés entre deux ans et demi et l’âge de la maternelle.

Le concept des avantages communautaires est une initiative dans le cadre de laquelle les besoins sociaux et économiques d’une collectivité sont plus étroitement liés aux investissements dans l’infrastructure et pourraient comprendre le développement de la main-d’œuvre, l’approvisionnement social et des avantages supplémentaires déterminés par les collectivités locales, notamment l’aménagement d’espaces publics pour un nombre accru de biens matériels publics (p. ex. des garderies ou des parcs) ou des moyens techniques pour réduire la pollution par le bruit.

Source : Salle de presse de l’Ontario

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6 M$ Fonds pour la préparation à l'approvisionnement et à l'investissement Le gouvernement de l’Ontario a annoncé 13,6 M$ en investissements et en financement dans le cadre de la Stratégie de l’Ontario pour l’entrepreneuriat social.

Les investissements amélioreront l’accès des entreprises sociales au capital et aux soutiens aux entreprises et créeront la capacité d’accéder aux occasions d’approvisionnement et d’investissement.

Dans ce cadre, un consortium de membres et de partenaires du RCDÉC a reçu un financement de 6 M$ afin de créer le Fonds pour la préparation à l’approvisionnement et à l’investissement.

En s’appuyant sur les plateformes et les ressources développées par l’entremise du projet Écosystème de l’entreprise sociale (S4ES), le Fonds pour la préparation à l’approvisionnement et à l’investissement de l’Ontario aidera les entreprises sociales à concurrencer pour les occasions d’approvisionnement et d’investissement dans les secteurs gouvernemental et privé.

Les demandes de subventions commenceront à l’automne 2018.

Pour plus d’informations, veuillez contacter Erin Mackie, directrice du programme S4ES

Source : Salle de presse de l’Ontario

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Chaque année, les membres du RCDÉC sont appelés à soumettre des candidatures pour les sièges vacants du conseil d’administration du RCDÉC. Cette année, il y avait quatre sièges à pourvoir.

Quatre nominations ont été proposées avant la date limite. Le directeur des élections annonce que les quatre personnes suivantes ont été élues par acclamation :

Ces résultats seront adoptés lors de l’assemblée générale annuelle des membres du RCDÉC le 14 juin.

Félicitations à ces chefs de file hors pair du DÉC du Canada qui se joignent aux membres dévoués du conseil d’administration du RCDÉC.
 

Emmanuel Bertrand-Gauvin

Emmanuel Bertrand-Gauvin

Emmanuel Bertrand-Gauvin est responsable du Service Femmes d’Affaires à la Commission de développement économique des Premières Nations du Québec et du Labrador (CDEPNQL, cdepnql.org).

L’objectif est de mobiliser les femmes et les parties intéressées, ainsi que de les accompagner dans la mise en œuvre de stratégies qui permettront de diversifier les débouchés économiques.

De manière plus générale, son travail vise à optimiser les ressources locales, régionales et nationales afin de contribuer à améliorer les conditions de vie des membres des Premières Nations. La concertation, la mobilisation et l’innovation sont les enjeux principaux.

Il a travaillé pour la Société Makivik au Nunavik (makivik.org). Cette organisation a comme mandat de soutenir le développement socioéconomique de la région et l’amélioration des conditions de vie des Nunavimmiut. Il a également travaillé pendant plusieurs années pour une entreprise culturelle (OBNL) dans le secteur de l’édition.

Il détient une maîtrise en anthropologie économique portant sur les pratiques des gestionnaires de fonds de pension et les questions de redistribution de la richesse.


Ryan GibsonRyan Gibson

Ryan Gibson est chargé de cours au Département de géographie et d’études de l’environnement de l’Université Saint Mary à Halifax. Il est président du comité des adhésions et a été membre du comité exécutif. Il s’intéresse plus particulièrement aux communautés et aux régions rurales et nordiques dans les domaines suivants : la gouvernance, la collaboration, les coopératives et la revitalisation rurale. Jusqu’à récemment, Ryan était président de la Fondation canadienne pour la revitalisation rurale.


Carol Anne Hilton

Carol Anne Hilton

Carol Anne Hilton est chef de la direction de Transformation International, une entreprise primée de développement économique et social. Carol Anne est une entrepreneure réputée et éminente des Premières Nations, elle est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université Hertfordshire, en Angleterre. Carol Anne est issue de la nation Nuu-chah-nulth de l’île de Vancouver.

Le travail de Carol Anne consiste à intégrer le point de vue du milieu autochtone, tout en réunissant des membres des Premières Nations, de l’industrie et du gouvernement en vue de concevoir de nouvelles approches pour assurer un développement durable et inclusif. Carol Anne apporte en outre une vaste expérience en gestion de projets dans les domaines de la gestion des ressources, de la gouvernance et du développement régional.


Luc Morin

Luc Morin

Un grand passionné du monde associatif, Luc Morin œuvre depuis plus de 35 ans au sein d’organisme Ontarien et Canadien dans diverses sphères de développement. M. Morin occupe des fonctions de directeur général pour le Conseil de la coopération de l’Ontario (CCO) et il possède une formation en administration des affaires. 

Avant de joindre le CCO en 2008, M. Morin a piloté plusieurs initiatives régionale, provinciale et fédérale dans différents secteurs, tels que les arts, la culture, l’éducation, la santé, les services à la famille, l’agriculture, les besoins spéciaux, l’immigration, le tourisme, le développement communautaire, et à présent, au sein de l’économie sociale et coopérative. De plus, il a participé à la mise en œuvre d’un projet de développement en Chine et au développement de plusieurs coopératives et entreprises sociales.

Maitre d’œuvre et collaborateur dans la livraison des services à travers l’Ontario et le pays, M. Morin a contribué à plus d’une cinquantaine de conseils d’administration comme membre actif au cours des années, sans compter sa participation active sur plusieurs comités régionaux, provinciaux et pancanadiens trop nombreux pour compter. 

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Alliance 2030 (www.alliance2030.ca)

Le RCDÉC s’est joint à Alliance 2030 ! Le RCDÉC est actuellement un membre d’Ensemble 2030, à faire la promotion du développement durable axé sur les populations pour les Objectifs de développement durable. Nous sommes egalement un membre du RIPESS qui a été l’une des six organisations observatrices du Groupe de travail interinstitutions de l’ONU sur l’économie sociale solidaire.

Alliance 2030 est un réseau national d’organisations, d’institutions et de particuliers œuvrant à la concrétisation des 17 Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies d’ici 2030. Nous croyons que ces objectifs peuvent être atteints au Canada et à l’étranger si nous travaillons de façon créative et collaborative au niveau local et mondial.

Nous bâtissons une base de données consultable pour tout le travail effectué au Canada en ce qui a trait aux ODD, assortie d’histoires inspirantes dans nos séries de blogue et de baladodiffusion. Cet espace numérique permet aux organisations membres d’entrer rapidement en contact avec des Canadiens ayant les mêmes valeurs, pour partager les leçons apprises, trouver l’aide dont elles ont besoin, et rester informées sur l’état actuel des ODD.

La première phase de cette plateforme numérique est disponible à www.alliance2030.ca.

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson