Aujourd’hui à Victoriaville, Québec, une websérie de huit capsules vidéos portant sur les refléxions de Bill Ninacs a été lancée.
À travers cette série, Bill partage sa vision de l’évolution de différents phénomènes sociaux et sociétaux depuis le début de sa carrière. Il y aborde, entre autres, l’intervention sociale, la concertation, l’innovation et le développement intégré.
À travers des histoires tirées de son vécu personnel et professionnel, il amène l’auditoire à considérer les sujets sous un nouvel angle. En complément, Bill propose des documents de référence puisés dans ses travaux afin d’approfondir les thématiques explorées dans les capsules. L’approche intimiste des vidéos donne l’impression d’être en conversation avec Bill et de prendre un verre avec lui.
« Je tente depuis très longtemps d’harmoniser le développement économique et le développement social. Je dois continuer à contribuer, car le monde n’a pas encore changé comme je souhaiterais qu’il change. J’ai donc encore du travail à faire » indique monsieur Ninacs, qui se dit tout de même optimiste face à l’avenir.
« Bill Ninacs s’est révélé un acteur clé dans la création du Collectif des partenaires en développement des communautés, et surtout, il a été au cœur des réflexions sur le développement des communautés au Québec. Ce projet est une façon extraordinaire de continuer à faire rayonner l’importance d’un développement de communauté solidaire ! » soutient madame Nadia Cardin, coordonnatrice du Collectif des partenaires en développement des communautés.
« En contribuant à la série vidéo, notre intention était de rendre facilement accessible l’immense contribution de Bill Ninacs. L’apport de sa réflexion et de sa pratique est incontournable pour quiconque s’intéresse à des sujets aussi importants que la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale, l’action communautaire, la mobilisation des communautés ou l’empowerment. Il est une référence en matière de renforcement de la capacité d’agir des communautés », affirme monsieur Jean-Marc Chouinard, président de la Fondation Lucie et André Chagnon.
« La Ville n’a pas hésité à soutenir le projet de série. Les réflexions véhiculées par M. Ninacs sont assurément en cohérence avec la municipalité en ce qui a trait au développement durable, incluant le développement social et économique. La Ville de Victoriaville a la volonté d’offrir à sa population un environnement harmonieux, inclusif, durable. Par son implication monumentale au sein du monde communautaire, M. Ninacs a bonifié notre milieu de vie » déclare Antoine Tardif, maire de Victoriaville.
Bill Ninacs a contribué au développement de plusieurs initiatives communautaires. Il a notamment participé à la fondation du Conseil québécois de développement social et de la toute première corporation de développement communautaire au Québec, la Corporation de développement communautaire des Bois-Francs (CDCBF). Il a également milité pour la défense des droits des personnes handicapées, la lutte à la pauvreté et le soutien aux populations vulnérables, toujours dans l’optique de favoriser l’équité. Finalement, et non le moindre, il a été récipiendaire du Prix Plus forts ensemble du RCDÉC en juin 2021.
La série, qui s’adresse à toute personne intéressée par les enjeux sociaux, se veut très accessible. Elle est sous-titrée en anglais et en français et que la langue des signes québécoise (LSQ) y a été intégrée. L’ensemble des capsules ainsi que des liens menant vers de la documentation complémentaire sont disponibles au billninacs.ca.
Le Réseau canadien de développement économique communautaire est heureux d’annoncer sa troisième invitation aux membres organisationnels à faire une demande pour devenir un employeur par l’entremise du programme CréeAction : programme d’innovation sociale inclusive. Vous n’êtes pas déjà membre? Vérifiez comment vous pouvez vous joindre au réseau (incluant des options d’accessibilité) en consultant la page d’adhésion au RCDÉC.
À propos
Le but de CréeAction est de fournir des emplois et des occasions d’apprentissages pertinents pour leurs carrières à de jeunes déscolarisés sans emploi (NEET) qui font face à des obstacles à l’emploi. Ces stages professionnels auront lieu selon les conditions d’une entente de contribution entre le Réseau canadien de DÉC et Emploi et Développement social Canada dans le cadre de la Stratégie emploi et compétences jeunesse.
Tous les stages professionnels soutiendront de jeunes personnes afin de faire progresser leurs intérêts de carrière dans le développement économique communautaire, l’innovation sociale et/ou de la prestation de services autochtone hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones.
Cet appel de propositions est pour les stages qui se tiendront du 10 janvier au 8 juillet 2022 (26 semaines). Le programme CréeAction fournira un salaire de 19,50 $/heure pour 37,5 heures/semaine aux jeunes. Les employeurs peuvent choisir d’augmenter le salaire de leurs jeunes à leurs frais. La date limite pour déposer des demandes est le 22 octobre 2021à 23 h 59, heure normale du Pacifique.
Les employeurs seront sélectionnés en fonction des critères suivants :
engagement à soutenir et à concilier les besoins des jeunes faisant face à des obstacles à l’emploi et une volonté d’accroître la capacité organisationnelle en conséquence;
un engagement face au principe que le programme CréeAction est avant tout un programme conçu pour soutenir les jeunes personnes face à des obstacles à l’emploi;
une volonté d’embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme;
avoir un poste disponible qui s’aligne avec le niveau d’une jeune personne face à des obstacles à l’emploi, et avoir la volonté d’adapter le poste en fonction des compétences/capacités du jeune engagé;
engagement et capacité organisationnelle d’aider les jeunes avec leur travail quotidien, de leur fournir de l’encadrement et du soutien pour le développement de leur carrière;
diversité géographique (p. ex. rurale, éloignée, autochtone, nordique, communautés francophones à l’extérieur du Québec ainsi que les communautés urbaines défavorisées ayant des populations de nouveaux immigrants);
capacité avérée à recruter et à soutenir des personnes qui sont autochtones, noires, racialisées, LGBTQ2S+, de nouveaux arrivants au Canada, francophones ou qui vivent avec une incapacité;
engagement à participer dans un réseau de soutien entre pairs des employeurs;
dévouement à aider la ou le jeune à transposer son expérience dans un emploi à temps plein ou d’étude;
capacité de recruter et de soutenir des jeunes déscolarisés sans emploi (NEET);
capacité de recruter et de soutenir des jeunes de diverses origines et confrontés à des obstacles à l’emploi;
capacité à soutenir de façon adéquate le développement de compétences des jeunes avec du soutien supplémentaire des partenaires de CréeAction.
pertinence de l’expérience de travail proposée en relation avec le développement économique communautaire et l’innovation sociale et/ou de la prestation de services autochtones hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones (visitez le site Web de l’ANCA).
La priorité sera accordée aux organismes qui offrent des soutiens sociaux aux adultes ou jeunes dans le cadre de leur mandat (p. ex. organismes qui servent ou soutiennent les personnes nouvellement arrivées, réfugiées, qui ont survécu à la violence ou fuyant l’abus ou les personnes ayant auparavant été incarcérées et les personnes qui vivent avec ou qui surmontent des défis de santé mentale ou des troubles de consommation de substances ou encore de précarité des logements, etc.).
Les employeurs :
offriront une occasion pertinente d’emploi de 26 semaines;
chercheront activement des jeunes de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme CréeAction;
offriront aux jeunes une session d’orientation relative à l’employeur;
développeront, au début du placement, un plan d’apprentissage avec les jeunes;
développeront et mettront en œuvre un plan afin de fournir suffisamment de services de soutien pour permettre aux jeunes de réussir leur placement;
fourniront des ressources et du temps suffisants pour superviser efficacement et offrir du mentorat aux jeunes à l’expérience de travail;
s’engageront à avoir des réunions hebdomadaires avec les jeunes afin de soutenir leurs objectifs d’apprentissage;
planifieront un minimum de :
six (6) heures par semaine pour que le jeune à l’expérience de travail participe à des activités d’apprentissage entre pairs;
trois (3) journées de travail pour que le jeune participe à un événement d’apprentissage en personne ou en ligne.
fourniront, avec l’appui du programme CréeAction des conseils de carrière, de la rétroaction régulière et des conseils aux jeunes et aideront les jeunes à accéder à de la formation ou des emplois pertinents pour leur future carrière à la fin de leur placement;
fourniront aux jeunes tous les matériaux de travail raisonnablement nécessaires;
contacter le Réseau canadien de DÉC pour obtenir un soutien et des conseils en cas de problèmes que vous ou le jeune rencontrez et chaque fois que le jeune peut s’absenter du travail;
participeront à trois (3) ou plus sessions nationales virtuelles des employeurs avec le Réseau canadien de DÉC et d’autres organismes choisies;
travailleront avec les évaluateurs du programme CréeAction sur les activités liées à l’évaluation, telles que les activités liées à un contrôle à mi-parcours et une évaluation finale ;
identifieront des candidats avant le 17 décembre afin de permettre aux jeunes de commencer leurs stages professionnels le 10 janvier.
deviendront membre du Réseau canadien de DÉC après la sélection, s’ils ne le sont pas déjà.
Les partenaires de CréeAction (RCDÉC, ANCA et SRSA) :
payer directement les jeunes à un taux de 19,50 $/heure (bien que les employeurs soient invités à compléter ce montant) et couvrir les MERC (coûts obligatoires liés à l’emploi) ;
aideront les employeurs en leur donnant les conseils nécessaires et le soutien pour atteindre les objectifs du programme;
fourniront, en collaboration avec les employeur, des soutiens globaux sur mesure pour les jeunes y compris de soutenir la capacité d’employeurs dans leur capacité de fournir des appuis sociaux aux jeunes;
fourniront un programme solide d’apprentissage entre pairs et de mentorat pour le développement profession des jeunes à l’expérience de travail pour la durée du placement;
coordonneront des appels vidéo hebdomadaires pour que les jeunes apprennent, partagent leurs expériences et se réseautent;
organiseront une plateforme virtuelle (Slack) pour que les jeunes se regroupent et partagent des expériences tout au long du programme CréeAction;
coordonneront trois (3) appels vidéo pour que les employeurs partagent des expériences et se réseautent;
travailleront avec les employeurs pour offrir du soutien par la médiation ou pour résoudre des disputes qui surviennent avec les jeunes à l’expérience de travail;
travailleront en étroite collaboration avec les employeurs en cas de crise ou de conflit avec le placement d’expérience de travail, y compris toute décision de mettre fin au placement d’expérience de travail en dernier recours;
réaliseront des enquêtes de base, de fin de placement et de suivi après 3 mois auprès des jeunes, ainsi qu’une enquête de fin de placement auprès des employeurs, afin de suivre les progrès, d’assurer le suivi de l’apprentissage des jeunes et enregistrer les résultats, les attentes en matière de carrière et la satisfaction des jeunes.
Afin de participer au programme CréeAction, les jeunes admissibles doivent :
être déscolarisés et sans emploi (NEET);
être une jeune personne ayant des obstacles à l’emploi;
être âgés de 15 à 30 ans (inclusivement) au début du placement;
détenir la citoyenneté canadienne, la résidence permanente ou être des personnes protégées conformément à la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés;
être légalement autorisés à travailler au Canada;
être légalement autorisés à travailler conformément aux lois et règlements provinciaux/territoriaux pertinents.
Si vous avez besoin d’un formulaire de demande hors ligne, veuillez contacter Matthew Thompson aux coordonnées ci-dessous. La date limite pour le dépôt des demandes des employeurs est le 22 octobre 2021à 23 h 59, heure normale du Pacifique.
Les jeunes intéressés au programme devraient postuler directement auprès des employeurs. Les employeurs retenus seront annoncés sur le site Web du Réseau canadien de DÉC.
Pour plus de renseignements, veuillez contacter Matthew Thompson, Directeur de l’engagement, ou Andri Mulia, Responsable de programme et de l’engagement, à .
Le Réseau canadien de développement économique communautaire est heureux d’annoncer sa troisième invitation aux membres organisationnels à faire une demande pour devenir un employeur par l’entremise du programme CréeAction : programme d’innovation sociale inclusive. Vous n’êtes pas déjà membre? Vérifiez comment vous pouvez vous joindre au réseau (incluant des options d’accessibilité) en consultant la page d’adhésion au RCDÉC.
À propos
Le but de CréeAction est de fournir des emplois et des occasions d’apprentissages pertinents pour leurs carrières à de jeunes déscolarisés sans emploi (NEET) qui font face à des obstacles à l’emploi. Ces stages professionnels auront lieu selon les conditions d’une entente de contribution entre le Réseau canadien de DÉC et Emploi et Développement social Canada dans le cadre de la Stratégie emploi et compétences jeunesse.
Tous les stages professionnels soutiendront de jeunes personnes afin de faire progresser leurs intérêts de carrière dans le développement économique communautaire, l’innovation sociale et/ou de la prestation de services autochtone hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones.
Cet appel de propositions est pour les stages qui se tiendront du 10 janvier au 8 juillet 2022 (26 semaines). Le programme CréeAction fournira un salaire de 19,50 $/heure pour 37,5 heures/semaine aux jeunes. Les employeurs peuvent choisir d’augmenter le salaire de leurs jeunes à leurs frais. La date limite pour déposer des demandes est le 22 octobre 2021à 23 h 59, heure normale du Pacifique.
Les employeurs seront sélectionnés en fonction des critères suivants :
engagement à soutenir et à concilier les besoins des jeunes faisant face à des obstacles à l’emploi et une volonté d’accroître la capacité organisationnelle en conséquence;
un engagement face au principe que le programme CréeAction est avant tout un programme conçu pour soutenir les jeunes personnes face à des obstacles à l’emploi;
une volonté d’embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme;
avoir un poste disponible qui s’aligne avec le niveau d’une jeune personne face à des obstacles à l’emploi, et avoir la volonté d’adapter le poste en fonction des compétences/capacités du jeune engagé;
engagement et capacité organisationnelle d’aider les jeunes avec leur travail quotidien, de leur fournir de l’encadrement et du soutien pour le développement de leur carrière;
diversité géographique (p. ex. rurale, éloignée, autochtone, nordique, communautés francophones à l’extérieur du Québec ainsi que les communautés urbaines défavorisées ayant des populations de nouveaux immigrants);
capacité avérée à recruter et à soutenir des personnes qui sont autochtones, noires, racialisées, LGBTQ2S+, de nouveaux arrivants au Canada, francophones ou qui vivent avec une incapacité;
engagement à participer dans un réseau de soutien entre pairs des employeurs;
dévouement à aider la ou le jeune à transposer son expérience dans un emploi à temps plein ou d’étude;
capacité de recruter et de soutenir des jeunes déscolarisés sans emploi (NEET);
capacité de recruter et de soutenir des jeunes de diverses origines et confrontés à des obstacles à l’emploi;
capacité à soutenir de façon adéquate le développement de compétences des jeunes avec du soutien supplémentaire des partenaires de CréeAction.
pertinence de l’expérience de travail proposée en relation avec le développement économique communautaire et l’innovation sociale et/ou de la prestation de services autochtones hors réserve et la provision de programmes intégrant une dimension culturelle et des services pour les résidents urbains autochtones (visitez le site Web de l’ANCA).
La priorité sera accordée aux organismes qui offrent des soutiens sociaux aux adultes ou jeunes dans le cadre de leur mandat (p. ex. organismes qui servent ou soutiennent les personnes nouvellement arrivées, réfugiées, qui ont survécu à la violence ou fuyant l’abus ou les personnes ayant auparavant été incarcérées et les personnes qui vivent avec ou qui surmontent des défis de santé mentale ou des troubles de consommation de substances ou encore de précarité des logements, etc.).
Les employeurs :
offriront une occasion pertinente d’emploi de 26 semaines;
chercheront activement des jeunes de diverses origines avec des obstacles à l’emploi;
embaucher une jeune personne qui correspond le mieux aux buts du programme CréeAction;
offriront aux jeunes une session d’orientation relative à l’employeur;
développeront, au début du placement, un plan d’apprentissage avec les jeunes;
développeront et mettront en œuvre un plan afin de fournir suffisamment de services de soutien pour permettre aux jeunes de réussir leur placement;
fourniront des ressources et du temps suffisants pour superviser efficacement et offrir du mentorat aux jeunes à l’expérience de travail;
s’engageront à avoir des réunions hebdomadaires avec les jeunes afin de soutenir leurs objectifs d’apprentissage;
planifieront un minimum de :
six (6) heures par semaine pour que le jeune à l’expérience de travail participe à des activités d’apprentissage entre pairs;
trois (3) journées de travail pour que le jeune participe à un événement d’apprentissage en personne ou en ligne.
fourniront, avec l’appui du programme CréeAction des conseils de carrière, de la rétroaction régulière et des conseils aux jeunes et aideront les jeunes à accéder à de la formation ou des emplois pertinents pour leur future carrière à la fin de leur placement;
fourniront aux jeunes tous les matériaux de travail raisonnablement nécessaires;
contacter le Réseau canadien de DÉC pour obtenir un soutien et des conseils en cas de problèmes que vous ou le jeune rencontrez et chaque fois que le jeune peut s’absenter du travail;
participeront à trois (3) ou plus sessions nationales virtuelles des employeurs avec le Réseau canadien de DÉC et d’autres organismes choisies;
travailleront avec les évaluateurs du programme CréeAction sur les activités liées à l’évaluation, telles que les activités liées à un contrôle à mi-parcours et une évaluation finale ;
identifieront des candidats avant le 17 décembre afin de permettre aux jeunes de commencer leurs stages professionnels le 10 janvier.
deviendront membre du Réseau canadien de DÉC après la sélection,
Matthew Thompson
Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.
Les approches du DÉC qui ont un ferme engagement pour les processus démocratiques génèrent les stratégies les plus pertinentes, résilientes, adaptatives, équitables et efficaces pour le bienfait et la prospérité des collectivités. De la même façon, la démocratie au niveau macroéconomique met le pouvoir entre les mains des populations et favorise des politiques et des prises de décisions plus pertinentes pour nos collectivités et plus proches de nos réalités.
Nous pouvons, et nous devrions, nous engager dans notre démocratie entre les élections. Néanmoins, les périodes électorales nous donnent l’occasion de rappeler aux politiciennes et aux politiciens que nous sommes là, que nous avons voix au chapitre et que nous allons l’utiliser!
Passez à l’action, impliquez-vous
Écoutez vos candidats locaux, les chefs de partis et les discours électoraux. Qui soutient les économies locales durables et inclusives? Faites attention aux engagements et au langage qui sont compatibles avec les priorités politiques pancanadiennes du RCDÉC, telles que
Réconciliation, dialogue de nation à nation avec les Premières nations, les Inuits et les Métis
Leadership des populations noires et autochtones, des personnes de couleur et de tout groupe luttant pour l’équité; démantèlement du racisme et du sexisme institutionnels et de toute autre forme d’oppression systémique
Transition juste vers un avenir écologique viable et faible en carbone
Réseau à large bande / Internet à haute vitesse communautaire
Développement de la main-d’œuvre, en particulier des groupes vulnérables et sous-représentés
Emploi décent
Posez des questions. Lorsque les candidats cognent à votre porte, ou si vous assistez à un débat des candidats, soyez prêt à leur demander leurs opinions sur les choses qui comptent pour vous! Pour vous inspirer, voici les questions que le RCDÉC a envoyées à tous les partis.
Les approches du DÉC qui ont un ferme engagement pour les processus démocratiques génèrent les stratégies les plus pertinentes, résilientes, adaptatives, équitables et efficaces pour le bienfait et la prospérité des collectivités. De la même façon, la démocratie au niveau macroéconomique met le pouvoir entre les mains des populations et favorise des politiques et des prises de décisions plus pertinentes pour nos collectivités et plus proches de nos réalités.
Nous pouvons, et nous devrions, nous engager dans notre démocratie entre les élections. Néanmoins, les périodes électorales nous donnent l’occasion de rappeler aux politiciennes et aux politiciens que nous sommes là, que nous avons voix au chapitre et que nous allons l’utiliser!
Passez à l’action, impliquez-vous
Écoutez vos candidats locaux, les chefs de partis et les discours électoraux. Qui soutient les économies locales durables et inclusives? Faites attention aux engagements et au langage qui sont compatibles avec les priorités politiques pancanadiennes du RCDÉC, telles que
Réconciliation, dialogue de nation à nation avec les Premières nations, les Inuits et les Métis
Leadership des populations noires et autochtones, des personnes de couleur et de tout groupe luttant pour l’équité; démantèlement du racisme et du sexisme institutionnels et de toute autre forme d’oppression systémique
Transition juste vers un avenir écologique viable et faible en carbone
Réseau à large bande / Internet à haute vitesse communautaire
Développement de la main-d’œuvre, en particulier des groupes vulnérables et sous-représentés
Emploi décent
Posez des questions. Lorsque les candidats cognent à votre porte, ou si vous assistez à un débat des candidats, soyez prêt à leur demander leurs opinions sur les choses qui comptent pour vous! Pour vous inspirer, voici les questions que le RCDÉC a envoyées à tous les partis.
Le Prix Plus forts ensemble célèbre les membres individuels et organisationnels qui ont fait des contributions exceptionnelles au développement économique communautaire ou qui ont fait preuve de leadership remarquable au RCDÉC afin de réaliser notre vision de communautés durables, équitables et inclusives qui créent leur avenir.
La prochaine période de mise en candidature aux Prix Plus forts ensemble se tiendra au printemps 2022. Mais vous n’avez pas besoin d’attendre si longtemps pour déposer la candidature d’un membre du RCDÉC pour ce prix. Veuillez contacter Adriana Zylinski à l’adresse pour de plus amples renseignements.
Les récipiendaires du prix Plus forts ensemble 2021
Armée d’une passion et d’une vision unique pour l’équité des femmes au Canada, Rosalind Lockyer a été témoin directe des écarts entre le soutien offert aux hommes et aux femmes pendant leur parcours pour atteindre du succès dans leurs affaires. Elle a fondé PARO Centre for Women’s Enterprise en 1995 et c’est devenu une organisation unique qui a depuis soutenu 22 003 femmes en Ontario pour qu’elles atteignent leurs rêves en entrepreneuriat. En 27 ans, les programmes de PARO ont pris une expansion phénoménale, permettant la croissance de l’équipe et la portée de l’organisation, qui s’enorgueillit maintenant de plus de 180 cercles de prêts entre pairs en Ontario, donnant au réseau de cercles PARO le titre du plus gros conglomérat de cercles de prêts entre pairs pour femmes au monde. À titre d’organisation ayant maintenant un mandat à l’échelle de l’Ontario, Rosalind Lockyer a mené PARO vers de nouvelles dimensions, ouvrant la route pour que d’autres organisations soutiennent mieux les enterpreneures. Comme leader, pionnière et précurseure, Rosalind a guidé d’innombrables femmes vers l’autosuffisance, la résilience, l’inspiration incomparable et un système de soutien de style familial entre les partenaires, les parties prenantes, le personnel et la clientèle de PARO.
Dans ses efforts continus pour l’obtention de l’égalité entre genres, la diversité et l’inclusion, Rosalind est devenue cofondatrice du Conseil économique des femmes, membre du CA pour l’Ontario d’Organisations d’entreprises de femmes du Canada, elle représente le centre ontarien au sein du Portail de connaissances pour les femmes en entrepreneuriat qui œuvre à l’échelle du Canada et elle est une des premières membres du Groupe sur l’économie citoyenne du Réseau canadien de DÉC.
Pour ses efforts sans fin, Rosalind a reçu le prestigieux prix Influential Women of Northern Ontario Award-Public Sector, le prix Women of the Decade in Community Leadership de Women Economic Forum à New Delhi, Inde en 2018 et un doctorat honorifique de lettres humanitaires de l’Université Lakehead en mai 2021 en reconnaissance de sa contribution au domaine des sciences humaines et au tissu de la communauté à Thunder Bay, dans le Nord-Ouest ontarien et au-delà.
De plus, Rosalind a été membre de longue date du conseil des politiques du RCDÉC de 2001 à 2011, y occupant le rôle de présidente et de coprésidente pendant de nombreuses années et donc d’administratrice au conseil d’administration pendant ces années aussi. Elle a aussi siégé au comité des finances et de l’audit du RCDÉC depuis 2012. Elle a été une partenaire active pour l’organisation du Sommet pancanadien de l’économie citoyenne de 2010 et a été une membre assidue du groupe sur l’économie citoyenne depuis lors.
Wendy Keats
L’impact que Wendy Keats a à titre de leader en DÉC tant aux paliers local, provincial que national est indéniable. Ses capacités, ses talents et ses décennies de travail dans le domaine ont proliféré et semé plusieurs graines de développement économique communautaire, inspirant des groupes à devenir autosuffisants et à s’autogouverner. Œuvrant tant au sein de groupes communautaires, de conseils d’administration organisationnels et des strates gouvernementales, Wendy a fait preuve d’énormément de polyvalence pour mettre de l’avant ses nombreuses capacités afin d’avoir un impact maximal.
Wendy a mené la charge afin de faire adopter une toute nouvelle loi sur les coopératives au Nouveau-Brunswick, ce qui fait de la province celle ayant la législation sur les coopératives la plus à jour du pays. Elle a aussi mené les efforts déployés afin de donner naissance au programme de crédit d’impôt pour les investissements en DÉC et au fonds d’investissement en DÉC lancés après une longue incubation au Nouveau-Brunswick, et qui devraient avoir un énorme impact économique au nom des communautés rurales et surtout pour celles-ci. En collaborant avec des organisations ayant des objectifs économiques semblables, Wendy, à titre de directrice générale du CECNB, a fait de la recherche sur le potentiel d’utiliser les coopératives et l’entreprise sociale afin d’aborder la crise de transfert d’entreprise au Canada Atlantique.
Wendy Keats a été la directrice générale fondatrice du Co-operative Enterprise Council of NB qui a évolué pour devenir une organisation viable de DÉC et qui est maintenant cheffe de file au Canada Atlantique avec 20 employés et de nombreux programmes novateurs qui visent à créer des communautés en santé et des économies locales. Elle est la présidente de l’un des premiers fonds d’investissements en DÉC au N.-B. Wendy est aussi vice-présidente de Sentinelles Petitcodiac Riverkeeper, l’organisation reconnue mondialement pour avoir sauvé la rivière à marée la plus menacée au Canada. Au cours des 40 dernières années, elle a travaillé directement avec plus de 400 OSBL, coopératives et entreprises sociales pour les aider à créer leur pérennité, siégeant à des douzaines de CA, incluant celui du RCDÉC et travaillant sans relâche à de nombreuses initiatives politiques provinciales et nationales.
L’engagement de Wendy auprès des jeunes, nourrissant leur passion et leur vif désir de contribuer à leurs communautés de façons significatives, démontre un engagement inébranlable envers les prochaines générations et le monde qu’ils héritent. Michael Averill, le chanteur et interprète de la C.-B., lui a écrit en 2016 la chanson « Stronger Together » qui illustre sa philosophie de vie et de travail qui consiste à mettre de l’avant le meilleur de soi, main dans la main avec d’autres.
William Ninacs
Bill est titulaire d’un doctorat en travail social, un doctorat rare en développement économique communautaire au Québec. Il est actif au sein du DÉC depuis plus de 25 ans à titre de chercheur dans ce domaine et dans les domaines d’empowerment et intervention, de développement communautaire local et de l’économie sociale et a publié des écrits en français et en anglais. Il a enseigné à l’école de développement économique communautaire de l’Université Southern New Hampshire et au programme de DÉC de l’Université Concordia. Bill a aussi été titulaire d’un poste de professeur auxiliaire à l’Université du Québec en Outaouais.
L’expérience de Bill inclut des postes de gestion dans les secteurs privé et public ainsi qu’une grande expérience dans le domaine communautaire où il a aidé à créer et à soutenir des groupes de revendications et de services, des coopératives de consommateurs et de travailleurs et d’autres organisations sociales. Il a été coordinateur de la première Société d’aide au développement des collectivités au Québec (il y en a maintenant plus de 50); un consultant de longue date auprès de la Coopérative La Clé à Victoriaville; le codirecteur du Réseau canadien de DÉC; le directeur général par intérim du RCDÉC; et plus récemment, membre du conseil d’administration du RCDÉC.
Il a été un penseur et un praticien influent du développement économique communautaire, tirant ses idées autant de ses expériences professionnelles et de sa recherche que de ses expériences comme personne avec de multiples handicaps.
Fireweed Food Co-op
Fireweed, une coopérative de solidarité regroupant tant des consommateurs que des producteurs alimentaires, vise à créer un marché plus stable pour les aliments produits localement et de manière durable et éthique au Manitoba. Leur mission est de réduire les barrières et d’accroître la participation au système alimentaire local pour toutes les personnes, des producteurs aux consommateurs.
Leur marché public, South Osborne Farmers’ Market et les activités spéciales hors-saison, créent des réseaux communautaires forts et mettent de l’avant des occasions d’apprentissage axées sur la sécurité alimentaire et les changements de systèmes. À titre de membre du RCDÉC, Fireweed a participé avec passion au travail de revendication pour l’approvisionnement social à la ville de Winnipeg.
Comme coopérative assez jeune, Fireweed illustre une approche incroyable envers la justice sociale, économique et environnementale et la création d’économies locales justes. Son esprit rapide d’innovation et de collaboration afin de répondre aux besoins communautaires urgents l’a mené à collaborer avec Winnipeg Mutual Aid Society en réponse à la COVID-19 pour offrir le programme Waste No Food Box, un programme qui aide à distribuer de la nourriture aux Winnipegois aux prises avec l’insécurité alimentaire. Fireweed a aussi répondu à un manque identifié depuis longtemps dans la chaîne d’approvisionnement régionale et a lancé un centre alimentaire communautaire phare qui rassemble la nourriture produite localement par les membres producteurs et la distribue aux acheteurs en gros afin de créer un système alimentaire plus résilient.
West Central Women’s Resource Centre
Situé dans la partie ouest de Winnipeg, le West Central Women’s Resource Centre (WCWRC) habilite les femmes, les familles et la communauté pour passer de là où elles sont à là où elles souhaitent être. WCWRC intègre les principes du DÉC, la recherche-action, la collaboration et les éléments de changement des politiques publiques dans son travail tout en fournissant des programmes axés sur l’hébergement, la nourriture, l’emploi, les services de garde, les besoins essentiels, la guérison autochtone et l’établissement des nouveaux arrivants. Avec une approche vis-à-vis le mentorat axé sur l’autonomisation interne, le centre aide les bénéficiaires de services à faire la transition de la position de bénéficiaire de service à celle de mener des efforts de changement social incluant de mener et d’influencer le centre lui-même.
WCWRC a été un modèle fort de développement communautaire fondé sur l’emplacement et intersectionnel qui aborde des besoins locaux et urgents et qui forme des partenariats et des réseaux pour créer l’impact nécessaire. Il y a eu des collaborations avec Spence Neighbourhood Association et d’autres pour créer un centre pour se réchauffer et un abri pendant les mois les plus froids de Winnipeg et le groupe a fait preuve d’énormément de résilience et d’innovation pendant les multiples défis de la COVID-19, pivotant rapidement afin de répondre aux besoins de la communauté, demeurant, tout au long, une présence empreinte d’espoir et dévouée dans la communauté.
Leur engagement face à la communauté se manifeste aussi dans un engagement fort au sein du réseau du RCDÉC. WCWRC a participé à la feuille de route de politiques de RCDÉC Manitoba, y intégrant l’analyse selon le genre afin de s’assurer que les dossiers des femmes soient inclus, a contribué régulièrement à The Manitoba Gathering et à une gamme de coalitions où le RCDÉC est actif.
Combinant une forte offre de services directs avec une vision plus large de changement de système, WCWRC est avant tout une présence empreinte d’espoir et fermement engagée dans la communauté de Winnipeg.
Les récipiendaires du prix Plus forts ensemble 2020
Le Prix Plus forts ensemble célèbre les membres individuels et organisationnels qui ont fait des contributions exceptionnelles au développement économique communautaire ou qui ont fait preuve de leadership remarquable au RCDÉC afin de réaliser notre vision de communautés durables, équitables et inclusives qui créent leur avenir.
La prochaine période de mise en candidature aux Prix Plus forts ensemble se tiendra au printemps 2022. Mais vous n’avez pas besoin d’attendre si longtemps pour déposer la candidature d’un membre du RCDÉC pour ce prix. Veuillez contacter Adriana Zylinski à l’adresse pour de plus amples renseignements.
Les récipiendaires du prix Plus forts ensemble 2021
Armée d’une passion et d’une vision unique pour l’équité des femmes au Canada, Rosalind Lockyer a été témoin directe des écarts entre le soutien offert aux hommes et aux femmes pendant leur parcours pour atteindre du succès dans leurs affaires. Elle a fondé PARO Centre for Women’s Enterprise en 1995 et c’est devenu une organisation unique qui a depuis soutenu 22 003 femmes en Ontario pour qu’elles atteignent leurs rêves en entrepreneuriat. En 27 ans, les programmes de PARO ont pris une expansion phénoménale, permettant la croissance de l’équipe et la portée de l’organisation, qui s’enorgueillit maintenant de plus de 180 cercles de prêts entre pairs en Ontario, donnant au réseau de cercles PARO le titre du plus gros conglomérat de cercles de prêts entre pairs pour femmes au monde. À titre d’organisation ayant maintenant un mandat à l’échelle de l’Ontario, Rosalind Lockyer a mené PARO vers de nouvelles dimensions, ouvrant la route pour que d’autres organisations soutiennent mieux les enterpreneures. Comme leader, pionnière et précurseure, Rosalind a guidé d’innombrables femmes vers l’autosuffisance, la résilience, l’inspiration incomparable et un système de soutien de style familial entre les partenaires, les parties prenantes, le personnel et la clientèle de PARO.
Dans ses efforts continus pour l’obtention de l’égalité entre genres, la diversité et l’inclusion, Rosalind est devenue cofondatrice du Conseil économique des femmes, membre du CA pour l’Ontario d’Organisations d’entreprises de femmes du Canada, elle représente le centre ontarien au sein du Portail de connaissances pour les femmes en entrepreneuriat qui œuvre à l’échelle du Canada et elle est une des premières membres du Groupe sur l’économie citoyenne du Réseau canadien de DÉC.
Pour ses efforts sans fin, Rosalind a reçu le prestigieux prix Influential Women of Northern Ontario Award-Public Sector, le prix Women of the Decade in Community Leadership de Women Economic Forum à New Delhi, Inde en 2018 et un doctorat honorifique de lettres humanitaires de l’Université Lakehead en mai 2021 en reconnaissance de sa contribution au domaine des sciences humaines et au tissu de la communauté à Thunder Bay, dans le Nord-Ouest ontarien et au-delà.
De plus, Rosalind a été membre de longue date du conseil des politiques du RCDÉC de 2001 à 2011, y occupant le rôle de présidente et de coprésidente pendant de nombreuses années et donc d’administratrice au conseil d’administration pendant ces années aussi. Elle a aussi siégé au comité des finances et de l’audit du RCDÉC depuis 2012. Elle a été une partenaire active pour l’organisation du Sommet pancanadien de l’économie citoyenne de 2010 et a été une membre assidue du groupe sur l’économie citoyenne depuis lors.
Wendy Keats
L’impact que Wendy Keats a à titre de leader en DÉC tant aux paliers local, provincial que national est indéniable. Ses capacités, ses talents et ses décennies de travail dans le domaine ont proliféré et semé plusieurs graines de développement économique communautaire, inspirant des groupes à devenir autosuffisants et à s’autogouverner. Œuvrant tant au sein de groupes communautaires, de conseils d’administration organisationnels et des strates gouvernementales, Wendy a fait preuve d’énormément de polyvalence pour mettre de l’avant ses nombreuses capacités afin d’avoir un impact maximal.
Wendy a mené la charge afin de faire adopter une toute nouvelle loi sur les coopératives au Nouveau-Brunswick, ce qui fait de la province celle ayant la législation sur les coopératives la plus à jour du pays. Elle a aussi mené les efforts déployés afin de donner naissance au programme de crédit d’impôt pour les investissements en DÉC et au fonds d’investissement en DÉC lancés après une longue incubation au Nouveau-Brunswick, et qui devraient avoir un énorme impact économique au nom des communautés rurales et surtout pour celles-ci. En collaborant avec des organisations ayant des objectifs économiques semblables, Wendy, à titre de directrice générale du CECNB, a fait de la recherche sur le potentiel d’utiliser les coopératives et l’entreprise sociale afin d’aborder la crise de transfert d’entreprise au Canada Atlantique.
Wendy Keats a été la directrice générale fondatrice du Co-operative Enterprise Council of NB qui a évolué pour devenir une organisation viable de DÉC et qui est maintenant cheffe de file au Canada Atlantique avec 20 employés et de nombreux programmes novateurs qui visent à créer des communautés en santé et des économies locales. Elle est la présidente de l’un des premiers fonds d’investissements en DÉC au N.-B. Wendy est aussi vice-présidente de Sentinelles Petitcodiac Riverkeeper, l’organisation reconnue mondialement pour avoir sauvé la rivière à marée la plus menacée au Canada. Au cours des 40 dernières années, elle a travaillé directement avec plus de 400 OSBL, coopératives et entreprises sociales pour les aider à créer leur pérennité, siégeant à des douzaines de CA, incluant celui du RCDÉC et travaillant sans relâche à de nombreuses initiatives politiques provinciales et nationales.
L’engagement de Wendy auprès des jeunes, nourrissant leur passion et leur vif désir de contribuer à leurs communautés de façons significatives, démontre un engagement inébranlable envers les prochaines générations et le monde qu’ils héritent. Michael Averill, le chanteur et interprète de la C.-B., lui a écrit en 2016 la chanson « Stronger Together » qui illustre sa philosophie de vie et de travail qui consiste à mettre de l’avant le meilleur de soi, main dans la main avec d’autres.
William Ninacs
Bill est titulaire d’un doctorat en travail social, un doctorat rare en développement économique communautaire au Québec. Il est actif au sein du DÉC depuis plus de 25 ans à titre de chercheur dans ce domaine et dans les domaines d’empowerment et intervention, de développement communautaire local et de l’économie sociale et a publié des écrits en français et en anglais. Il a enseigné à l’école de développement économique communautaire de l’Université Southern New Hampshire et au programme de DÉC de l’Université Concordia. Bill a aussi été titulaire d’un poste de professeur auxiliaire à l’Université du Québec en Outaouais.
L’expérience de Bill inclut des postes de gestion dans les secteurs
À la veille de notre Assemblée générale annuelle 2021, nous repensons à 2020.
Comment raconter l’histoire d’une telle année? Comment reconnaître la douleur et le chagrin vécus à l’échelle de la planète tout en célébrant la solidarité, l’entraide et la résilience qui ont émané de la tourmente? Comment tirer parti de notre pouvoir collectif afin de protéger et d’encourager les membres du RCDÉC, les communautés et la vie elle-même, tout en prenant soin de nous-mêmes?
Ces questions ont orienté les actions du RCDÉC l’an dernier et nous sommes extrêmement fiers de ce que notre personnel, nos membres et nos partenaires ont accompli ensemble.
Création de capacité
En partenariat avec l’Association nationale des Centres d’amitié (ANCA) et la Société de recherche sociale appliquée, nous avons lancé CréeAction, un programme qui vise à placer 100 jeunes qui font face à des obstacles à l’emploi dans des stages auprès d’organisations à impact social et dans des Centres d’amitié à l’échelle du Canada.
En plus du travail régulier pro bono de jumelage (qui est maintenant en ligne), notre service Spark a repris les services de développement d’entreprises sociales qui étaient auparavant offerts par le programme Social Enterprise Manitoba.
Nous avons mené un projet de création d’une nouvelle image et de rénovation de site Web pour S4ES et accueilli Coopératives et mutuelles Canada au sein du partenariat.
Nous avons officialisé un partenariat avec Social Economy Through Social Inclusion (SETSI) afin d’avancer les priorités des Canadiens d’origine africaine au sein de l’économie sociale et d’orienter le parcours anti-oppression du RCDÉC et nos efforts de mettre les expériences vécues des Canadiens d’origine africaine au cœur de notre travail.
Le RCDÉC a été un partenaire actif dans un groupe de travail solidaire coordonné par SETSI qui réunit des parties prenantes des domaines de l’innovation sociale et de la finance sociale engagées à éradiquer le racisme, la colonisation et l’exclusion.
En s’appuyant sur un engagement envers l’intersectionnalité, dans notre nouvelle théorie du changement, le personnel et le conseil d’administration du RCDÉC ont poursuivi des apprentissages sur l’antiracisme, l’anti-oppression et la libération collective.
Dans le cadre du Programme de préparation à l’investissement, SETSI a mis en œuvre un incubateur pour 15 entrepreneurs sociaux Canadiens d’origine africaine et nous travaillons ensemble pour présenter de manière plus forte ces perspectives à la table fédérale, y compris en présentant conjointement une activité de partage de connaissances (Knowledge Event) au personnel d’Emploi et Développement social Canada sur la façon dont le gouvernement peut travailler plus efficacement avec les communautés Canadiens d’origine africaine.
Nous avons revu le programme de leadership communautaire afin de l’offrir virtuellement et recommencé les formations pour les agences communautaires cherchant à renforcer le leadership et les apprentissages de leur personnel.
Dans le but d’accroître la connaissance des modèles d’investissement communautaires comme les coopératives d’investissement communautaire et les CEDIF au sein du programme de préparation à l’investissement fédéral et ailleurs, nous avons collaboré avec BC Community Impact Investment Coalition, Co-operative Enterprise Council of New Brunswick et le Conseil de la coopération de l’Ontario pour regrouper deux communautés de pratique régionales, un groupe national de parties prenantes et réaliser plusieurs projets de création de capacité et rapports.
Au Canada Atlantique, nous avons lancé Relance, stabilisation et relève d’entreprise, un projet de recherche-action en collaboration avec Leading Edge Community Development Consultants Co-operative, Co-operative Enterprise Council of New Brunswick et CDR-Acadie afin de commencer à explorer comment soutenir les propriétaires d’entreprises locales qui souhaitent prendre leur retraite ou qui font face à des difficultés par l’entremise du transfert vers l’entreprise collective. En plus de ce travail, une analyse par les parties prenantes des principaux innovateurs locaux et des premiers utilisateurs de cette approche est en cours d’élaboration.
La communauté de pratique Local Organizing for Fair Economies a organisé six sessions pour explorer comment les principes et approches d’organisation locale créent des économies plus durables, justes et inclusives.
Création d’écosystèmes
En C.-B., en Alberta, au Manitoba et en Ontario, nous avons collaboré avec des leaders provinciaux pour rassembler des parties prenantes, revendiqué pour des changements de politiques et souligné les besoins des praticiens auprès du palier fédéral par rapport à l’innovation sociale et à la finance sociale menées par les communautés. Ceci a inclus un nouveau groupe de travail sur l’économie sociale organisé par BC Co-op Association, le groupe émergeant AB Seed, RCDÉC-Manitoba et ES Ontario.
Recherche et innovation
Nous avons poursuivi notre travail afin de faire progresser Common Approach to Impact Measurement, et notre directeur général, Mike Toye a été nommé au sein du premier groupe officiel de gouvernance de l’initiative.
Le Programme de données communautaires a développé un tableau de bord interactif pour la relance communautaire suite à la COVID-19 et nous avons lancé un nouveau laboratoire de solution sur des outils de prise de décision communautaire face aux problèmes de logement.
Engagement des membres
Nous avons continué de développer notre théorie du changement et en avons présenté une ébauche aux membres lors de l’AGA 2020 et avons raffiné le document en fonction de la rétroaction.
Nous avons lancé un nouveau bulletin trimestriel rempli de perspectives et d’occasions pour les membres qui génère des taux élevés d’ouverture et de clics. Nous avons aussi créé des groupes Google en anglais et en français afin de permettre aux membres du RCDÉC d’échanger des idées et des ressources.
Nous avons organisé le Manitoba Gathering en ligne pour la première fois, avec un grand nombre de présentations à grand impact, de conversations intimes et des performances musicales. Plus de 300 personnes ont participé.
En nous fondant sur les formations Story Source de Cate Friesen, nous avons intégré la narration d’histoires dans notre stratégie fondamentale de communication.
Nous avons préparé le terrain pour réaliser une refonte complète du site Web du RCDÉC, un projet que nous avons depuis lancé.
Politiques publiques
Nous avons embauché Raissa Marks, notre Directrice des Relations gouvernementales grâce à un investissement de la part de cinq membres éminents, accroissant considérablement notre capacité en matière de relations gouvernementales, de politiques et de travail de revendication.
RCDÉC Manitoba a convoqué la coalition We Want to Work qui réclame une politique d’approvisionnement social à la ville de Winnipeg et préparé le terrain pour d’éventuels progrès en matière de politiques.
Nous demeurons engagés à continuer de faire progresser tous ces succès en renforçant l’approche présentée dans la théorie du changement du RCDÉC : une approche qui est intersectionnelle, intersectorielle et collaborative mené par des personnes et des communautés qui sont des experts dans leurs propres vies.
Un grand merci aux membres, aux bailleurs de fonds et au personnel qui rendent ce travail possible.
Joignez-vous à nous en devenant membre ou appuyez le mouvement pour des communautés durables, équitables et inclusives en faisant un don.
Le dernier budget fédéral a renouvelé pour une deuxième période de 2 ans le Programme de préparation à l’investissement (PPI) à hauteur de 50 millions de dollars.
Comment pouvons-nous nous assurer que cette deuxième phase du PPI est efficace afin d’atteindre ses objectifs? Comment pouvons-nous nous assurer que les problématiques identifiées pendant la phase pilote du PPI sont abordées?
Les membres du Groupe sur l’économie citoyenne ont fait les recommandations suivantes au gouvernement fédéral par rapport à la conception et à la mise en œuvre du PPI 2.0 :
Privilégier et renforcer le rôle de groupes qui répondent aux besoins des populations en quête d’équité et qui sont menés par elles afin que leurs besoins soient reflétés dans l’ensemble du programme, et pour qu’ils reçoivent des ressources financières suffisantes;
travailler avec les partenaires et les données de la phase pilote du PPI et impliquer d’autres parties prenantes de l’écosystème, réfléchir à la restructuration du mécanisme de livraison de financement des organismes à vocation social qui tient compte : du séquençage pour le développement de programmes plus orientés sur les relations et les processus d’admission; des fonds sur mesure ou des processus pour différentes étapes de préparation; et des systèmes d’admission adaptables qui permettent d’offrir du soutien aux groupes qui en ont besoin avant les vraies occasions d’approvisionnement ou d’investissement; travailler avec les partenaires de l’écosystème, envisager de nouveaux ou plus de partenaires de prestation dans le but de renforcer l’équité, le régionalisme et la subsidiarité tout en tenant compte du rôle unique des partenaires nationaux de l’écosystème;
étendre et clarifier les objectifs du PPI pour inclure la préparation à l’approvisionnement et le développement de l’écosystème plus large de l’innovation sociale, au-delà des initiatives qui pourraient probablement bénéficier de finance sociale.
envisager un rôle distinct pour la convocation de partenariats du PPI qui pourrait être combiné avec la convocation de l’écosystème plus large et qui pourrait probablement être séparé des partenaires de livraison de financement; il peut aussi être important d’intégrer un rôle distinct de « guide » qui aurait pour but d’aider les partenaires à l’extérieur du PPI à se retrouver dans le programme; peu importe les détails, tous les partenaires responsables de la convocation devraient faire preuve d’une grande capacité de collaboration, avoir des pratiques d’équité et d’inclusion, et s’attendre à être des ressources clés pour le prochain conseil consultatif sur l’innovation sociale.
Êtes-vous d’accord avec ces recommandations? Si oui, nous vous invitons à appuyer la note de breffage déposée au gouvernement fédéral le 7 mai. Vous pouvez signaler le soutien de votre organisation en envoyant un courriel à la Directrice, Relations gouvernementales, du RCDÉC, Raissa Marks, à l’adresse . Les nouveaux appuis seront communiqués aux autorités gouvernementales dès qu’ils arriveront.
Appuis à ce jour :
Buy Social Canada (BSC)
Chantier de l’économie sociale
Conseil des entreprises sociales au Canada (CESC)
Conseil économique des femmes (CEF)
Coopératives et mutuelles Canada (CMC)
Fédération canadienne des coopératives de travail (FCCT)
Imagine Canada
Institute for Community Prosperity
Ontario Nonprofit Network (ONN)
Réseau pour l’Avancement des Communautés Noires
Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC)
Social Economy Through Social Inclusion (SETSI)
Table des praticiens de l’investissement d’impact (TIIP)
Le dernier budget fédéral a renouvelé pour une deuxième période de 2 ans le Programme de préparation à l’investissement (PPI) à hauteur de 50 millions de dollars.
Comment pouvons-nous nous assurer que cette deuxième phase du PPI est efficace afin d’atteindre ses objectifs? Comment pouvons-nous nous assurer que les problématiques identifiées pendant la phase pilote du PPI sont abordées?
Les membres du Groupe sur l’économie citoyenne ont fait les recommandations suivantes au gouvernement fédéral par rapport à la conception et à la mise en œuvre du PPI 2.0 :
Privilégier et renforcer le rôle de groupes qui répondent aux besoins des populations en quête d’équité et qui sont menés par elles afin que leurs besoins soient reflétés dans l’ensemble du programme, et pour qu’ils reçoivent des ressources financières suffisantes;
travailler avec les partenaires et les données de la phase pilote du PPI et impliquer d’autres parties prenantes de l’écosystème, réfléchir à la restructuration du mécanisme de livraison de financement des organismes à vocation social qui tient compte : du séquençage pour le développement de programmes plus orientés sur les relations et les processus d’admission; des fonds sur mesure ou des processus pour différentes étapes de préparation; et des systèmes d’admission adaptables qui permettent d’offrir du soutien aux groupes qui en ont besoin avant les vraies occasions d’approvisionnement ou d’investissement; travailler avec les partenaires de l’écosystème, envisager de nouveaux ou plus de partenaires de prestation dans le but de renforcer l’équité, le régionalisme et la subsidiarité tout en tenant compte du rôle unique des partenaires nationaux de l’écosystème;
étendre et clarifier les objectifs du PPI pour inclure la préparation à l’approvisionnement et le développement de l’écosystème plus large de l’innovation sociale, au-delà des initiatives qui pourraient probablement bénéficier de finance sociale.
envisager un rôle distinct pour la convocation de partenariats du PPI qui pourrait être combiné avec la convocation de l’écosystème plus large et qui pourrait probablement être séparé des partenaires de livraison de financement; il peut aussi être important d’intégrer un rôle distinct de « guide » qui aurait pour but d’aider les partenaires à l’extérieur du PPI à se retrouver dans le programme; peu importe les détails, tous les partenaires responsables de la convocation devraient faire preuve d’une grande capacité de collaboration, avoir des pratiques d’équité et d’inclusion, et s’attendre à être des ressources clés pour le prochain conseil consultatif sur l’innovation sociale.
Êtes-vous d’accord avec ces recommandations? Si oui, nous vous invitons à appuyer la note de breffage déposée au gouvernement fédéral le 7 mai. Vous pouvez signaler le soutien de votre organisation en envoyant un courriel à la Directrice, Relations gouvernementales, du RCDÉC, Raissa Marks, à l’adresse . Les nouveaux appuis seront communiqués aux autorités gouvernementales dès qu’ils arriveront.
Appuis à ce jour :
Buy Social Canada (BSC)
Chantier de l’économie sociale
Conseil des entreprises sociales au Canada (CESC)
Conseil économique des femmes (CEF)
Coopératives et mutuelles Canada (CMC)
Fédération canadienne des coopératives de travail (FCCT)
Imagine Canada
Institute for Community Prosperity
Ontario Nonprofit Network (ONN)
Réseau pour l’Avancement des Communautés Noires
Réseau canadien de développement économique communautaire (RCDÉC)
Social Economy Through Social Inclusion (SETSI)
Table des praticiens de l’investissement d’impact (TIIP)
Alors que la population canadienne continue de composer avec les réalités de la COVID-19, les gouvernements locaux et les partenaires communautaires au pays adaptent leurs espaces et leurs services pour assurer la santé et la sécurité des résidents, soutenir la relance économique, créer des emplois, et bâtir des collectivités vivantes et résilientes.
Aujourd’hui, le gouvernement du Canada ainsi que Fondations communautaires du Canada, l’Institut urbain du Canada et un réseau de partenaires, notamment RCDÉC, annoncent des projets mis en œuvre au Canada dans le cadre du premier cycle de l’Initiative canadienne pour des collectivités en santé. Dotée d’une enveloppe de 31 millions de dollars, l’Initiative canadienne pour des collectivités en santé bâtit des espaces plus sécuritaires et assure une meilleure qualité de vie aux gens d’ici, en aidant les collectivités à s’adapter aux défis posés par la COVID-19.
Visitez initiativepourdescollectivitesensante.ca pour voir la carte des projets financés de l’Atlantique au Pacifique à l’Arctique dans le cadre de l’Initiative pour des collectivités en santé.
Le deuxième cycle de l’Initiative pour des collectivités en santé s’ouvrira le 14 mai 2021. L’Initiative pour des collectivités en santé offre un financement de 5 000 $ à 250 000 $ pour des projets qui créent des espaces publics sécuritaires et vivants, améliorent les options en matière de mobilité et fournissent des solutions numériques, afin d’aider leur quartier ou leur collectivité à traverser la pandémie et à mieux reconstruire pour la relance post-COVID-19. Différents organismes communautaires sont admissibles au dépôt d’une demande, dont les gouvernements locaux, les organismes de bienfaisance, les communautés autochtones et les OBNL enregistrés.
Les demandeurs souhaitant y participer peuvent obtenir plus de détails sur le site Web des Fondations communautaires du Canada.
Alors que la population canadienne continue de composer avec les réalités de la COVID-19, les gouvernements locaux et les partenaires communautaires au pays adaptent leurs espaces et leurs services pour assurer la santé et la sécurité des résidents, soutenir la relance économique, créer des emplois, et bâtir des collectivités vivantes et résilientes.
Aujourd’hui, le gouvernement du Canada ainsi que Fondations communautaires du Canada, l’Institut urbain du Canada et un réseau de partenaires, notamment RCDÉC, annoncent des projets mis en œuvre au Canada dans le cadre du premier cycle de l’Initiative canadienne pour des collectivités en santé. Dotée d’une enveloppe de 31 millions de dollars, l’Initiative canadienne pour des collectivités en santé bâtit des espaces plus sécuritaires et assure une meilleure qualité de vie aux gens d’ici, en aidant les collectivités à s’adapter aux défis posés par la COVID-19.
Visitez initiativepourdescollectivitesensante.ca pour voir la carte des projets financés de l’Atlantique au Pacifique à l’Arctique dans le cadre de l’Initiative pour des collectivités en santé.
Le deuxième cycle de l’Initiative pour des collectivités en santé s’ouvrira le 14 mai 2021. L’Initiative pour des collectivités en santé offre un financement de 5 000 $ à 250 000 $ pour des projets qui créent des espaces publics sécuritaires et vivants, améliorent les options en matière de mobilité et fournissent des solutions numériques, afin d’aider leur quartier ou leur collectivité à traverser la pandémie et à mieux reconstruire pour la relance post-COVID-19. Différents organismes communautaires sont admissibles au dépôt d’une demande, dont les gouvernements locaux, les organismes de bienfaisance, les communautés autochtones et les OBNL enregistrés.
Les demandeurs souhaitant y participer peuvent obtenir plus de détails sur le site Web des Fondations communautaires du Canada.