En 2017, les Canadiens et les Canadiennes de l’ensemble du pays célèbreront le 150e anniversaire de la Confédération du Canada (Canada 150), une étape importante pour notre pays. Le thème général des célébrations de Canada 150 est « Fort. Fier. Libre. », et la vision consiste à apporter sa contribution et à laisser au Canada un héritage durable qui va au-delà de 2017.

À l’occasion des célébrations pangouvernementales de Canada 150, le gouvernement du Canada a lancé le Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150, un investissement de 150 millions de dollars sur deux ans destiné aux projets visant à remettre en état l’infrastructure communautaire et culturelle au Canada. Ces projets seront représentatifs de notre histoire commune et de notre optimisme à l’égard de l’avenir, tout en constituant un héritage durable marquant les célébrations de Canada 150.

Les fonds seront administré par les 6 agences fédérales de développement régional

Colombie-Britannique | Alberta | Saskatchewan | Manitoba

Diversification de l’économie de l’Ouest Canada (DEO) investira 43,2 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans l’Ouest canadien.

Les demandes seront acceptées à DEO jusqu’au mercredi 17 juin 2015 à 13 h, heure du Pacifique | 14 h, heure des Rocheuses | 15 h, heure du Centre

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans l’Ouest canadien, y compris des détails importants concernant l’admissibilité, les exigences relatives aux demandes et les priorités du Programme, seront affichés sur le site Web de DEO >>

Nord de l’Ontario

L’Initiative fédérale de développement économique pour le Nord de l’Ontario (FedNor) investira 5,2 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Nord de l’Ontario.

Les demandes seront acceptées jusqu’à ce que tous les fonds aient été consentis, chaque année, aux projets approuvés.

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Nord de l’Ontario, y compris des détails importants concernant l’admissibilité, les exigences relatives aux demandes et les priorités du Programme, seront affichés sur le site Web de FedNor >>

Sud de l’Ontario

L’Agence fédérale de développement économique pour le Sud de l’Ontario (FedDev) investira 44,4 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Sud de l’Ontario.

Les demandes à FedDev sont acceptées jusqu’au 9 juin 2015 à 17 h, heure de l’Est. Il est encouragé que les demandes sont soumises rapidement.

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Sud de l’Ontario, y compris des détails importants concernant l’admissibilité, les exigences relatives aux demandes et les priorités du Programme, seront affichés sur le site Web de FedDev >>

Québec

Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) investira 31,2 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Québec.

Les demandes à DEC sont acceptées jusqu’au 26 juin 2015 à 17 h, heure de l’Est.

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Québec, y compris des détails importants concernant l’admissibilité, les exigences relatives aux demandes et les priorités du Programme, seront affichés sur le site Web de DEC >>

Nouveau-Brunswick | Nouvelle-Écosse | Île-du-Prince-Édouard | Terre-Neuve-et-Labrador

L’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) investira 16,6 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Canada atlantique.

Les demandes seront acceptées jusqu’à ce que tous les fonds aient été consentis, chaque année, aux projets approuvés.

Des renseignements détaillés sur l’administration du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Canada atlantique, y compris des détails importants concernant l’admissibilité, les exigences relatives aux demandes et les priorités du Programme, seront affichés sur le site Web de l’APECA >>

Nunavut | Territoires du Nord-Ouest | Yukon

L’Agence canadienne de développement économique du Nord (CanNor) investira 6,4 millions de dollars dans des projets du Programme d’infrastructure communautaire de Canada 150 dans le Nord du Canada.

Les demandes seront acceptées jusqu’à ce que tous les fonds aient été

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Célébrons les canadiens qui font une différence

Connaissez-vous un bénévole dont le travail au cours de la dernière année a eu une grande incidence sur votre collectivité?

Voici votre chance de faire connaître ses réalisations et de proposer sa candidature aux Prix du Premier ministre pour le bénévolat!

Les Prix du Premier ministre pour le bénévolat soulignent l’énorme contribution que les bénévoles, les organismes à but non lucratif et les entreprises apportent à leur collectivité.

Vous pouvez nommer une personne dans les catégories de prix à l’échelle nationale et à l’échelle régionale suivantes :

Prix nationaux :

  • Le prix Leader émergent reconnaît les nouveaux bénévoles qui, grâce à leur leadership, contribuent à la vitalité de nos collectivités et qui ont suscité un changement positif à court terme. Ce prix est destiné aux personnes ayant mené des activités de bénévolat pendant trois ans ou moins.
  • Le prix Engagement de toute une vie reconnaît les personnes qui ont consacré leur vie au bénévolat et ont inspiré d’autres bénévoles, dirigé des groupes de bénévoles ou accompli d’autres réalisations exceptionnelles par le bénévolat. Ce prix est destiné aux personnes ayant mené des activités de bénévolat pendant une période d’au moins 20 ans.

Prix régionaux :

  • Le prix Leadership communautaire reconnaît les bénévoles ou les groupes de bénévoles qui ont joué un rôle de premier plan dans la proposition de solutions à des défis locaux.
  • Le prix Leadership d’entreprise reconnaît les entreprises qui font preuve de responsabilité sociale dans leurs pratiques entrepreneuriales.
  • Le prix Innovation sociale reconnaît les organismes à but non lucratif qui font preuve d’innovation dans la résolution des problèmes sociaux.

Les lauréats sont honorés lors d’une cérémonie de remise des prix et ils peuvent désigner un organisme à but non lucratif admissible qui recevra une subvention de 5 000 $ (prix régional) ou de 10 000 $ (prix national).

Les candidatures seront acceptées jusqu’au 30 juin 2015.

Pour en savoir davantage sur les Prix du Premier ministre pour le bénévolat, les types de prix, les critères d’admissibilité ou l’appel de candidatures, consultez le site Web des Prix du Premier ministre pour le bénévolat à l’adresse www.pm.gc.ca/prix, composez le 1-877-825-0434 ou par courriel à info-ppmb at rhdcc.gc.ca.

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Le RCDÉC a récemment envoyé une lettre à tous les chefs de parti fédéraux, au ministre des Affaires autochtones et du développement du Nord canadien et aux porte-paroles en matière d’affaires autochtones demandant instamment au gouvernement du Canada et à tous les partis à la Chambre des Communes d’adopter une résolution approuvant les recommandations de la Commission royale sur les peuples autochtones au sujet de la doctrine de la « découverte » et du principe de « terra nullius ».

La doctrine de la « découverte » est une notion de droit international utilisée pour légitimer des décisions invalidant ou ignorant les droits territoriaux des peuples autochtones en faveur des gouvernements coloniaux et postcoloniaux.

Les effets persistant de l’attitude colonialiste du Canada vis à vis des peuples autochtones ne sont toujours pas assez reconnus par les gouvernements et la population canadienne en général. On ne peut nier le fait que dans le passé des mesures gouvernementales et institutionnelles ont cherché à assimiler les peuples autochtones et ont bafoué la reconnaissance de leurs droits. Les excuses du gouvernement du Canada relativement à la politique des pensionnats indiens et la Commission de vérité et de réconciliation du Canada sont des étapes importantes vers une meilleure reconnaissance de ces injustices historiques, cependant davantage de progrès s’imposent dans les domaines des revendications non réglées, des droits territoriaux et des autres droits des peuples autochtones.

Afin de respecter notre engagement en tant que signataire de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, le RCDÉC exhorte le gouvernement du Canada et tous les partis fédéraux à accélérer les négociations avec les peuples autochtones sur un pied d’égalité, de nation à nation, afin d’arriver à un règlement juste et équitable des revendications non réglées.

Ces lettres ont fait suite à une résolution adoptée par les membres lors de l’assemblée générale annuelle du RCDÉC  et reflètent notre détermination à faire en sorte que l’ensemble de la population du Canada puisse s’épanouir dans des communautés inclusives et durables.

Lire la lettre adressée au Premier ministre Harper et au ministre Valcourt

Lire la résolution adoptée par les membres du RCDÉC

Voir aussi

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Nous avons, maintenant plus que jamais, besoin de tester de nouvelles idées pour trouver des solutions créatives afin de résoudre les problèmes systémiques des zones urbaines qui empêchent nos villes, ainsi que les personnes qui y habitent et vivent dans leur périphérie, de prospérer.

Émanant de la campagne La ville, c’est nous—une initiative de collaboration nationale visant à promouvoir l’édification de villes durables—la Subvention à l’innovation communautaire de La ville, c’est nous sert à soutenir des projets liés à des enjeux qui revêtent une importance cruciale pour le succès de nos collectivités, soit, entre autres, la mobilité, l’environnement naturel et bâti, la participation des citoyens, la collaboration plurisectorielle, la conception des politiques, la gestion des déchets et l’énergie.

Montants offerts : des subventions de 2 000 $ et de 5 000 $ sont disponibles.

La date limite de présentation d’une demande dans le cadre de ce programme est le lundi 25 mai 2015, à 17 h HAE. Pour présenter une demande de subvention, veuillez remplir votre demande en ligne, puis soumettre le formulaire de demande auquel vous joindrez le gabarit de budget. Les demandes incomplètes ou soumises après la date limite ne seront pas acceptées.

Pour obtenir toutes les informations nécessaires sur les projets et les dépenses admissibles ainsi que sur la façon de présenter une demande de subvention, veuillez consulter le Guide sur les Subventions à l’innovation communautaire de La ville, c’est nous.

Pour en savoir plus :

  • Admissibilité
  • Responsabilités des récipiendaires d’une subvention
  • Comment faire une demande

Si vous avez des questions concernant la façon de présenter votre demande de subvention ou souhaitez discuter de l’admissibilité de votre projet, veuillez communiquer avec à :

subventions à evergreen.ca
No national: 1-888-426-3138 poste 310
No local: 416-596-1495 poste 310

Ce programme de subventions est une initiative d’Evergreen CityWorks réalisée en partenariat avec le Centre d’écologie urbaine de Montréal avec le soutien généreux de l’initiative Des villes pour tous.

Source: Evergreen CityWorks

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

CCEDNet recently sent letters to all federal party leaders, the Minister of Aboriginal Affairs and Northern Development and federal party critics on Aboriginal Affairs urging the Government of Canada and all parties in the House of Commons to adopt a resolution approving the recommendations of the Royal Commission on Aboriginal Peoples concerning the doctrine of ‘discovery’ and ‘terra nullius’. 

The doctrine of ‘discovery’ is a concept of international law used to justify court decisions invalidating or ignoring aboriginal rights to land in favour of colonial or post-colonial governments.

The lasting effects of Canada’s colonial attitude towards Aboriginal peoples remain insufficiently recognized by governments and the Canadian population in general.   There is no denying that previous actions of governments and institutions sought to assimilate Aboriginal peoples and refused recognition of their rights.  The Canadian government’s apology for the Indian Residential Schools system and the Truth and Reconciliation Commission that followed have been valuable steps towards greater recognition of these historical injustices, but much more progress is needed on the fundamental issues of unsettled claims, land and other rights of Aboriginal peoples.

In order to respect our commitments as a signatory to the United Nations Declaration on the Rights of Indigenous Peoples, CCEDNet urges the Government of Canada and all federal parties to accelerate negotiations with Aboriginal Peoples on an equal, nation to nation basis, towards just, fair and equitable settlements of outstanding claims. 

The letters follow a resolution passed by the members at CCEDNet’s Annual General Meeting and reflect our determination that all people in Canada have the opportunity to thrive in inclusive and sustainable communities.

Read the letter sent to Prime Minister Harper and Minister Valcourt

Read the resolution adopted by CCEDNet members

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Le gouvernement fédéral a présenté son budget 2015 le 21 avril. Cette année, le RCDÉC avait soumis six recommandations lors des consultations prébudgétaires du gouvernement fédéral visant à accroître l’impact des pratiques efficaces du développement économique communautaire et de l’entreprise sociale.

Ce budget comporte quelques mesures présentant un intérêt pour le secteur du DÉC :

  • Le budget propose de continuer à mettre l’accent sur la finance sociale avec un engagement à mettre en œuvre « une initiative des accélérateurs de finances sociales » pour favoriser l’élaboration de propositions de finances sociales prometteuses. (p. 304 du budget en format PDF)
  • Le budget propose de réaffecter 35 millions de dollars afin de faire du projet pilote de prêts pour la reconnaissance des titres de compétences étrangers un projet permanent, de façon à aider les travailleurs formés à l’étranger à obtenir la reconnaissance canadienne de leurs titres de compétences (p. 182). Plusieurs membres du RCDÉC avaient offert ce projet pilote.
  • Le budget propose de permettre aux organismes de bienfaisance d’investir dans des sociétés en commandite afin de leur donner une plus grande marge de manœuvre pour les investissements ayant une incidence sociale. (p. 304)
  • Le budget propose une stratégie nationale sur la littératie financière qui sera publiée l’année prochaine afin de mobiliser les secteurs privé, public et à but non lucratif en vue d’atteindre des objectifs communs en matière de littératie financière. Des banques du Canada ont convenu d’établir un fonds quinquennal pour les partenariats en littératie financière de 10 millions de dollars qui versera des subventions aux organisations communautaires admissibles pour leur permettre de réaliser des projets visant à améliorer les connaissances financières des Canadiens. (p. 280)
  • Le budget propose d’affecter 150 millions de dollars sur quatre ans pour permettre aux fournisseurs de coopératives d’habitation et de logements sociaux à but non lucratif d’effectuer un remboursement anticipé des hypothèques à long terme non renouvelables, et ce, sans subir de pénalité. (p. 313)
  • Le budget propose de réitérer son engagement à accorder 14 millions de dollars sur deux ans à Futurpreneur Canada. Futurpreneur Canada (auparavant la Fondation canadienne des jeunes entrepreneurs) est un organisme à but non lucratif qui aide les jeunes entrepreneurs, y compris les entrepreneurs sociaux, à accéder au mentorat et au financement. (p. 144)

Le RCDÉC aurait aimé voir des mesures qui soutiennent plus spécifiquement le développement économique communautaire, telles qu’un fonds de revitalisation des quartiers et un filtre DÉC qui faisaient partie de l’Alternative budgétaire au fédéral publiée en mars.

Le Réseau canadien de développement économique communautaire compte bien poursuivre sa collaboration avec le gouvernement fédéral dans le but de mettre en œuvre des politiques de soutien aux leaders locaux et innovateurs qui oeuvrent à bâtir des économies communautaires résilientes et inclusives.

Autres réponses au budget

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Les élections de 2015 pour le conseil d’administration du RCDÉC sont ouvertes d’aujourd’hui jusqu’au 11 mai.

Cinq candidats se présentent aux quatre postes disponibles au C.A.  Ici on vous présente, en ordre aléatoire, les cinq candidat(e)s aux élections du conseil d’administration du RCDÉC en 2015.


Christine Landry     Winnipeg, Manitoba

Christine travaille à Développement des collectivités Manitoba, l’association regroupant les 16 sociétés d’aide au développement des collectivités (SADC) du Manitoba, depuis 2000.

En tant que coordonnatrice de projet, Christine Landry travaille conjointement avec les 16 SADC. Elle œuvre à renforcer la capacité des SADC afin d’aider les collectivités rurales, nordiques et autochtones à développer le secteur des entreprises et à renforcer leurs capacités en DÉC. Christine est très active au sein du RCDÉC. Depuis 2004, elle fait partie du comité de planification du Rassemblement annuel du DÉC. Elle était également membre du comité de planification du Congrès pancanadien du RCDÉC 2009 à Winnipeg.

Chaque année, Christine travaille conjointement avec les SADC pour la planification de leur conférence provinciale annuelle, un événement qui s’adresse à tous les fournisseurs de services en DÉC de la province. Par ailleurs, elle est responsable du marketing et des communications de l’association. Christine était également membre du comité de gouvernance provisoire du RCDÉC du Manitoba qui a élaboré un modèle visant à améliorer les communications et l’efficacité du Réseau.

 


William (Bill) Ninacs     Victoriaville, Québec

Mon parcours inclut des postes de gestionnaire dans les secteurs public et privé ainsi qu’une vaste expérience dans le domaine communautaire où j’ai aidé soutenir des groupes de revendication et de services, de coopératives de consommation et de travail et d’autres organismes sociaux. J’ai été actif sur le plan du DÉC pendant plus de 25 ans, notamment en tant que coordonnateur de la première corporation de développe¬ment communautaire au Québec et comme codirecteur du Réseau canadien de DÉC.  Depuis plus d’une vingtaine d’années, je suis chercheur dans ce domaine et dans ceux de l’intervention axée sur l’empowerment, du développement des communautés locales et de l’économie sociale, avec des publications en français et en anglais. J’ai enseigné à la School of Community Economic Development du Southern New Hampshire University et au programme en DÉC de l’Université Concordia. J’occupe actuellement aussi un poste de professeur associé à l’Université du Québec en Outaouais. 

 


Élodie Bedouet    Thunder Bay, Ontario

Élodie est directrice générale de l’Association des francophones du Nord-Ouest de l’Ontario à Thunder Bay. Depuis plusieurs années, elle travaille dans le domaine du DÉC avec les communautés francophones en Ontario et dans les Territoires du Nord-Ouest. Par ailleurs, elle s’intéresse de près à l’entreprise sociale. Diplômée en science politique de l’Université de Montréal (spécialisation : économie politique internationale), elle a mené des recherches sur le développement économique et l’éducation au Chili pour le compte d’une agence de l’ONU et a travaillé sur des projets d’inclusion des jeunes au moyen des nouvelles technologies au Maroc.

 


Elspeth McKay    Ottawa, Ontario

Elspeth McKay a rejoint l’équipe d’Opération rentrer au foyer en décembre 2007. Elle a plus de 25 ans d’expérience en tant que cadre supérieur dans le secteur à but non lucratif. Elspeth est une agente de financement et une innovatrice dévouée du DÉC. Elle compte de très nombreuses années d’expérience dans le développement de programmes entre autres dans les domaines du soutien en milieu de travail, de l’éducation et de l’entreprise sociale. Elspeth a consacré sa carrière à améliorer de la vie des personnes handicapées et des personnes désavantagées sur le plan économique. En travaillant en collaboration avec des partenaires des services sociaux et des secteurs privé et public, elle a assuré un rôle de leadership et de consultation auprès d’organismes à but non lucratif et des gouvernements fédéral et provinciaux.

Au RCDÉC, Elspeth était membre du comité des adhésions. Elle est membre de l’Alliance pour mettre fin à l’itinérance, du Ottawa Youth Justice Network et de divers réseaux et coalitions locaux. Elle préside le groupe de travail Nouveaux départs de Centraide.

 


Ryan Gibson    Halifax, Nouvelle-Écosse

Je m’intéresse vivement à la façon dont nous pourrions encore mieux utiliser le développement économique communautaire pour stimuler le développement des régions rurales et nordiques. Au cours des dix dernières années, j’ai travaillé avec des organismes bénévoles, des collectivités et le gouvernement sur des initiatives de DÉC axées sur le développement rural, la philanthropie, la gouvernance et les politiques publiques. Je suis professeur adjoint en géographie à l’Université Saint Mary à Halifax et ancien président de la Fondation canadienne pour la revitalisation rurale. Tout au long de mon engagement actif au sein du RCDÉC, j’ai été membre de plusieurs comités et j’ai siégé au comité exécutif. J’aimerais continuer à collaborer au conseil d’administration afin de faire avancer la mission du RCDÉC, d’augmenter la présence du RCDÉC au Canada atlantique et de renforcer l’engagement de nos membres.
 


Pour en savoir plus sur nos candidates et candidats, vous pouves regarder l’enregistrement de notre rencontre des candidats pour entendre directement leur vision et leurs objectifs pour le Réseau canadien de DÉC.

La liste complète des membres du conseil d’administration se trouve ici.  Les administratrices et administrateur dont le mandat se termine à l’AGA 2015 sont : Élodie Bedouet, Ryan Gibson, Indu Krishnamurthy et Christin

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Suite à un appel de propositions, le conseil d’administration du RCDÉC est heureux de vous annoncer que la CEDEC, membre du RCDÉC, a été sélectionnée pour accueillir le congrès pancanadien 2016 à Montréal.

En tant qu’organisme québécois dont le mandat consiste à œuvrer au développement de la main-d’œuvre et au développement économique, la CEDEC (Corporation d’employabilité et de développement économique communautaire) aide les communautés du Québec à découvrir des possibilités économiques, à les évaluer, à en planifier l’exploitation et à favoriser l’activité commerciale. La CEDEC permet aux communautés de bénéficier de son expertise en planification et elle poursuit le processus en négociant des partenariats stratégiques nécessaires à la concrétisation de leurs plans.

Entre 2002 et 2009, le Congrès pancanadien annuel du RCDÉC était une occasion unique pour les leaders communautaires d’établir des liens, de partager leurs innovations et de découvrir des solutions efficaces dans différents secteurs. Pendant plusieurs années, le RCDÉC s’est associé à d’autres évènements pancanadiens et internationaux et a organisé ses propres conférences régionales. Parallèlement, la demande pour le retour de cet évènement unique n’a fait qu’augmenter.

Le Congrès pancanadien 2016 accueillera des conférenciers et conférencières de premier rang, des séances interactives et des occasions de réseautage uniques sur les dernières innovations en matière d’entreprise communautaire, de développement de l’emploi et d’économies locales visant à créer une prospérité durable pour tous et toutes.

Les dates et les détails relatifs au congrès seront annoncés au cours des prochaines semaines.

Le RCDÉC remercie tous les membres et les partenaires qui ont exprimé leur intérêt à accueillir le congrès pancanadien 2016.

Nous espérons vous rencontrer à Montréal en 2016!

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Following a call for proposals, CCEDNet’s Board of Directors is pleased to announce that CCEDNet member CEDEC has been selected to host the 2016 National CCEDNet Conference in Montréal. 

As Quebec’s province-wide organization with an economic and labour force development mandate, CEDEC — the Community Economic Development and Employability Corporation — helps communities throughout Quebec to identify, assess, and prepare to act on economic development opportunities and stimulate business activity.  CEDEC lends planning expertise and follows through by brokering the strategic partnerships that make community plans a reality.

Between 2002 and 2009, the annual National CCEDNet Conference was the foremost opportunity for community leaders to connect with one another, share innovations and learn about effective solutions across sectors.  After several years of partnering with other national and international events and holding our own regional conferences, the demand for a return of this unique event has been growing.  

The 2016 National Conference will feature leading speakers, engaging sessions and tailored networking opportunities on the latest innovations in community enterprise, employment development, and local economies that are creating sustainable prosperity for all. 

The conference dates and details will be announced in the coming weeks. 

CCEDNet thanks all members and partners who expressed an interest in hosting the 2016 national conference. 

We look forward to seeing you in Montréal in 2016!

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À travers la province, le 1er mai 2015 sera une journée de grèves, d’actions, de mobi-lisations sociales et de perturbations économiques pour refuser les politiques d’austérité et exiger une fiscalité juste.

Les 58 Corporations de développement communautaire (CDC) du Québec et leurs organismes communautaires membres ont décidé de se joindre à cette grande mobilisation sociale pour signifier au gouvernement que l’austérité n’est pas une solution.

« Nous avons pu constater au cours des derniers mois les impacts majeurs de ces mesures sur le développement communautaire et local des milieux, tant urbains que ruraux. Ces mesures affectent non seulement la qualité et l’accessibilité des services en santé, en éducation et des services sociaux, mais aussi la qualité de vie de la population. Nous croyons qu’il existe d’autres moyens pour financer adéquatement les services publics, les programmes sociaux et les organismes communautaires. Nous sommes d’avis que le rôle de l’État est de partager équitablement nos richesses collectives pour que l’ensemble de la population en bénéficie. », explique Marie-Line Audet, présidente de la Table nationale des CDC.

Plusieurs milliers de personnes participeront à ces actions de protestation. Des citoyens, des citoyennes, des organismes communautaires, des syndicats, des étudiants et des étudiantes démontreront solidairement leur désaccord face aux mesures d’austérité du gouvernement provincial. Les CDC du Québec y seront aussi!

Source : Table nationale des corporations de développement communautaire

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Nous sommes un collectif d’organisations, nationales, régionales et locales, issues de divers secteurs et de citoyens impliqués dans le développement des communautés. C’est-à-dire que nous pensons et travaillons depuis déjà plusieurs années à soutenir les communautés locales (quartier, village, MRC, etc.) qui se prennent en main et s’efforcent d’organiser leur développement tant économique que social, culturel et environnemental. Actifs dans toutes les régions  du Québec, ensemble nous regroupons plusieurs centaines d’organisations et des milliers de citoyens engagés dans leur communauté locale.

Ce qui nous réunit, ce sont les valeurs que nous portons. Nous croyons à l’importance du développement local concerté. Ces communautés ne veulent pas être dépendantes, bien au contraire, elles veulent prendre en main leur devenir collectif.

Notre expérience nous montre qu’un développement global et durable ne peut se faire sans un travail de concertation avec des intervenants de tous les secteurs et ce, tant localement que régionalement. Nous sommes également convaincus qu’il faut tenir compte des dimensions spécifiques aux milieux ruraux et, en ce sens, nous déplorons que le gouvernement ait décidé de se « priver » de l’outil important qu’est Solidarité rurale du Québec.

Nous sommes grandement interpellés par les récentes annonces du gouvernement du Québec. Des questions se posent sur l’avenir du développement local et régional et nous souhaitons les soulever. Au-delà des structures qui seront abolies, il y a des communautés et des personnes qui ont des besoins réels qui ne doivent pas être laissés pour compte. Nous croyons que le débat devrait porter davantage sur les besoins des communautés et des personnes, plutôt que sur les structures; celles-ci étant des outils pour répondre aux besoins.

Nous avons développé au Québec un modèle où la prise de décision est bien souvent partagée, impliquant les élus, mais aussi les citoyens et différentes organisations de plusieurs secteurs d’activités. Quelles structures permettront cette participation conjointe des élus locaux et de la société civile ?

À travers toute cette réorganisation, se posent également des questions fondamentales quant au rôle de l’État. Comment l’État (le gouvernement dans toutes ses composantes) pourra-t-il continuer à être un « partenaire » du développement local ? La disparition de plusieurs bureaux régionaux de ministères, la diminution des budgets d’Emploi-Québec, les coupures dans les budgets de la santé publique et la réorganisation du réseau de la santé et des services sociaux, ainsi que la fusion des commissions scolaires questionnent en effet sur le maintien de cette implication gouvernementale dans le développement des communautés. Si ces moyens disparaissent ou ont moins de pouvoir d’agir, de quelles façons le gouvernement sera-t-il partenaire du développement local intégré au-delà d’un pacte fiscal à renouveler ?

Pour être efficace, le développement des territoires, compte tenu de sa complexité et de la diversité des enjeux, doit se faire avec l’ensemble des acteurs d’une communauté et l’implication des citoyens et des citoyennes. Comment allons-nous susciter cette concertation ? Comment soutenir, préserver et encourager la participation de tous les secteurs de la société au développement de leur territoire dans ce nouveau contexte de disparition de lieux de concertation locaux et régionaux ? La situation est particulièrement préoccupante dans des secteurs essentiels à notre société, tels que le développement social, la culture et l’environnement, qui ne peuvent s’autofinancer et doivent compter sur un certain soutien de l’État.

Réfléchir ensemble pour construire l’avenir

Les politiques de rigueur budgétaire ne peuvent remplacer une vision du développement de nos communautés. Nous  proposons au gouvernement du Québec et à d’autres acteurs de la société québécoise de se joindre à nous et à plusieurs autres organisations pour créer un « chantier de travail ». Il s’agit de trouver collectivement de nouvelles voies pour le développement local et régional. Les structures doivent toujours s’adapter et être modifiées, mais pour qu’elles soient vraiment plus performantes, prenons le temps collectivement de déterminer comment nous ferons face aux défis du développement de nos communautés.

Cet espace de dialogue permettrait de renforcer les mesures de transition, afin que les changements à venir se réalisent sans perdre les acquis et les expertises accumulés au cours des années. Par exemple, pour l’instant, rien n’a été prévu pour définir la place du développement social dans le cadre de la réorganisation locale et régionale.

Voilà pourquoi nous invitons le gouvernement à tenir et à participer, d’ici l’été 2015, à des rencontres sur les mesures de transition et sur un modèle de développement social et collectif. Ce modèle devra nous permettre d’aller de l’avant et d’inventer les formes de gouvernance nécessaires au développement de nos régions et de nos communautés locales. Ces lieux d’échanges et de réflexions viendront, par la suite, alimenter le gouvernement dans sa prise de décisions. Il est important de réaliser rapidement ces réflexions notamment parce qu’elles pourraient alimenter les discussions Québec/Municipalités pour un nouveau pacte fiscal.

Cet appel se veut un cri du cœur d’organisations et de citoyens et de citoyennes profondément convaincus que le Québec que nous voulons passe par des communautés locales et régionales solides, ayant en main les outils nécessaires pour assurer leur développement.

Les signataires

Et si la gouvernance devenait un levier d’innovation pour nos entreprises, nos organisations et la communauté?

Le Comité d’économie sociale de l’île de Montréal (CÉSIM) et Communautique vous invitent à vous joindre au Cercle Mandalab « Entreprendre autrement », une occasion de poursuivre les Conversations montréalaises sur l’économie sociale.

Vous êtes à la recherche de nouvelles façons de faire pour faire avancer un projet ou une initiative qui vous tient à cœur ? La formule du cercle vous propose un espace d’échange et d’apprentissage atypique, où chaque rencontre est une occasion d’accélérer votre projet avec l’appui des autres participants.

Les participants s’engagent mutuellement dans les projets des autres puisque chaque idée et initiative est testée et enrichie par le groupe. À partir des besoins qui émergent et dans un esprit de leadership participatif, le groupe façonne son programme de formation. Des coachs et des conseillers soutiennent les participants tout au long de la démarche.

Vous explorerez comment les paradigmes existants et les pratiques entourant la gouvernance peuvent être actualisés pour favoriser l’innovation au sein de nos organisations, qu’il s’agisse d’identifier des nouveaux modèles de financement, de développer des partenariats novateurs ou de répondre aux besoins de la communauté, autant d’enjeux qui ont été relevés lors des Conversations montréalaises.

Le cercle sera l’occasion :

  • d’explorer de nouvelles avenues pour vos projets ou votre entreprise
  • d’accélérer votre propre projet, tout en contribuant aux réflexions sur la gouvernance innovante
  • de favoriser l’appropriation et l’intégration de nouvelles pratiques de collaboration et de partenariats
  • d’avoir un espace pour approfondir ses connaissances en matière de pratiques innovantes
  • de développer un réseau de soutien entrepreneurial

Pour qui?

Les entrepreneurs sociaux et collectifs, les praticiens en innovation sociale et les personnes qui souhaitent faire avancer un projet dans lequel ils sont engagés.

Quand?

Une série de six rencontres, commençant le 22 avril, échelonnées sur une période de six mois, comportant deux journées complètes en début et à la fin du cycle et quatre rencontres d’une demi-journée pour un total de 32 heures.

Dates envisagées

  • Mercredi, 22 avril, 9 h à 16 h
  • Mercredi, 20 mai, 8 h 30 à 12 h
  • Mercredi, 10 juin, 8 h 30 à 12 h
  • Mercredi, 9 sept, 8 h 30 à 12 h
  • Mercredi, 30 septembre, 8 h 30 à 12 h
  • Mercredi, 21 octobre, 9 h à 16 h

Lieu

Carrefour d’innovation INGO, 355, rue Peel, bureau 111, Montréal (Métro Bonaventure)

Facilitatrices

Véronica Vivanco pour Communautique et Samantha Slade de percolab

Critères d’admissibilité

  • Avoir son entreprise ou développer son projet sur l’île de Montréal
  • S’engager à participer à toutes les rencontres de formation
  • Acquitter les frais de 300 $

Il n’est pas nécessaire d’avoir participé aux Conversations montréalaises pour s’inscrire.

Coût

300 $ (valeur de 800 $).

Paiement par chèque, libellé au nom de Communautique, remis lors de la première rencontre.

Inscription

Inscrivez-vous d’ici le jeudi, 16 avril 2015 auprès de Monique Chartrand à l’adresse :

direction at communautique.qc.ca ou (514) 948-6644, poste 221.

Les places sont limitées. 20 places seulement.

Source : Comité d’économie sociale de l’île de Montréal

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson