Réunis le 1er décembre 2014 en assemblée générale extraordinaire, les membres du Consortium coopératif québécois de services fédératifs ont mis la touche finale à la création d’un nouveau centre de services partagés coopératifs destiné à l’ensemble des regroupements coopératifs québécois.

Un nouveau nom et une mission élargie pour une coopérative déjà bien implantée

Le Consortium, une coopérative de solidarité créée en 2011, portera désormais le nom de Consortium de ressources et d’expertises coopératives (CREC). Les changements apportés au fonctionnement de l’entreprise ont permis d’étendre le membership du CREC à un plus grand nombre d’organisations vouées au développement coopératif, principalement des fédérations sectorielles et des coopératives de développement régional (CDR). Le nombre de regroupements affiliés est ainsi passé de quatre à plus d’une vingtaine au cours des dernières semaines.

Pour la première fois au Québec, en créant le CREC, le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité et les réseaux coopératifs de divers secteurs d’activités, tels que les services à domicile, le milieu scolaire, les services préhospitaliers d’urgence, l’habitation, la foresterie, la santé, les télécommunications, etc., mais aussi les coopératives de développement régional présentes sur l’ensemble du territoire québécois, se dotent collectivement d’un outil qui favorisera la croissance de l’offre de service et des expertises destinées aux entreprises coopératives. Ainsi, le CREC contribuera au développement des affaires de plus de 2 000 coopératives québécoises par l’entremise de leur regroupement.

La création de ce centre de services partagés coopératifs à partir d’une organisation solidement implantée permettra le regroupement et le partage des ressources professionnelles dans différents domaines, tels la gestion des ressources humaines, les relations gouvernementales, le droit, la santé et sécurité du travail, le marketing et le développement des affaires, la finance et la fiscalité, l’organisation d’événements, etc. De plus, en partenariat avec le réseau des coopératives de développement régional, le CREC favorisera la concertation au niveau national de centaines de coopératives oeuvrant dans des secteurs émergents.

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Le RCDÉC vous souhaite un joyeux temps des Fêtes!
Guide d’achat et d’idées-cadeaux du RCDÉC 2014

Avec les fêtes de fin d’année et l’esprit du temps des Fêtes s’installe une atmosphère propice à réaffirmer nos valeurs. Tout comme Ebenezer Scrooge à la fin d’Un chant de Noël de Charles Dickens, nous nous débarrassons de nos préoccupations purement personnelles pour mieux nous tourner vers les autres : notre famille, nos amis et la collectivité qui nous entoure. Mais, Noël est aussi maintenant devenu pour beaucoup de monde le symbole d’une société de consommation qui contribue à aggraver les enjeux sociaux et environnementaux de notre époque.

Conscient de cette réalité, le Center for a New American Dream a dressé une liste de moyens de simplifier le temps des Fêtes : Simplify the Holidays. Mais, si vous allez dépenser durant les fêtes de fin d’année, pourquoi ne pas effectuer vos achats et faire vos cadeaux de façon à avoir des impacts sociaux et environnementaux positifs?

Nous, le Réseau canadien de DÉC, avons compilé une liste d’idées de cadeaux et de guides d’achat afin de vous procurer les outils et les informations dont vous avez besoin pour passer un temps des Fêtes sous le signe du DÉC. Quelque chose manque à la liste? Nous allons la compléter tout au long du mois. Alors, n’hésitez pas à nous envoyer vos ajouts.

 

En ce temps des Fêtes, achetez social

Cadeaux des fêtes de l’Entreprise sociale de SEontario.org
Cette année, achetez un cadeau qui non seulement enchantera la personne à qui vous allez l’offrir, mais qui profitera également à l’Ontario et à votre collectivité. Tout au long du mois de décembre SEontario mettra en vedette des entreprises sociales (ES) et des marchés d’ES où vous pouvez acheter vos cadeaux du temps des Fêtes. [en savoir plus]

Cadeaux solidaires
Ce site web vous permet d’avoir accès directement aux entreprises d’économie sociale pour acheter des cadeaux solidaires.
[en savoir plus]

Coopératives – Ensemble-cadeaux
Achetez des cadeaux et posez un geste éthique qui contribue à construire une nouvelle économie. Toolbox for Education and Social Action vous propose ses articles les plus populaires, les plus beaux et les meilleurs cadeaux produits par le mouvement coopératif. [en savoir plus]


En ce temps des Fêtes, achetez local

Pourquoi magasinez local pour le temps des Fêtes
Les entreprises locales gagnent en pop

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Une invitation du Réseau québécois de Villes et Villages en santé à l’intention des municipalités, arrondissements et organismes locaux

C’est le temps de prévoir votre participation à la Fête des voisins 2015 !

La Fête des voisins c’est des voisins qui s’invitent en toute simplicité pour un 5 à 7, un BBQ, un pique-nique, dans le but d’apprendre à se connaître. C’est un bon moyen pour renforcer le tissu social de nos communautés.

La Féte des voisins n’est pas une fête de tout un quartier ou d’un village. Le but visé est de connaître nos voisins immédiats.

Comment procéder ?

Votre rôle est de promouvoir l’événement de façon à donner le goût aux citoyens d’organiser une fête avec leurs voisins immédiats.

  1. Inscrivez votre municipalité en ligne,
    commendez aussi vos outils promotionnels
  2. Publicisez largement la Fête
  3. Profitez du guide de communication clé en main
    (modèle d’articles et de communiqués, calendrier d’actions, conseils, etc.)

Pourquoi participer à la Fête des voisins ?

  • Pour développer l’appartenance, l’entraide et le sentiment de sécuité.
  • Pour rapprocher les générations et les citoyens d’origines diverses.
  • Pour alimenter une dynamique de participation dans la communauté.

Information et inscription en ligne :

www.fetedesvoisines.qc.ca

Les municipalités membres du Réseau bénéficient d’outils promotionnels gratuits.

Lire le communiqué de presse

Voir le feuillet promotionnel

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

La communauté internationale du développement reconnaît le besoin de repenser le développement. Les méthodes et approches habituelles n’ont pas réussi à empêcher les récentes crises financières et alimentaires, à prévenir le changement climatique et à enrayer la pauvreté persistante et les inégalités croissantes. Alors que le programme de développement pour l’après-2015 est en cours d’élaboration, le rôle de l’économie sociale et solidaire (ESS) comme voie vers le développement durable mérite de faire l’objet d’une attention toute particulière.

Le Groupe de travail interinstitutions des Nations Unies sur l’économie sociale et solidaire (TFSSE – sigle en anglais) a été créé pour augmenter la visibilité de l’ESS dans les sphères politiques et de connaissances à l’échelle internationale. Ce groupe de travail estime que l’ESS est très prometteuse en ce qui concerne les approches économique, sociale et environnementale intégrées du développement durable.

Le TFSSE est composé d’agences de l’ONU et d’autres organisations intergouvernementales ainsi que d’associations de réseaux de l’ESS en tant que membres et observateurs. Les activités du Groupe de travail consistent à organiser des événements lors des conférences de l’ONU et d’autres conférences internationales, à engager des dialogues avec les décideurs politiques, à diffuser les publications et à prendre part à des projets de collaboration avec les membres et les observateurs du TFSSE.

Le nouveau site Internet du TFSSE permet aux utilisateurs d’avoir accès aux publications, aux dernières nouvelles et aux activités dont les événements organisés lors des conférences de l’ONU et d’autres conférences internationales, les dialogues avec les responsables politiques et les projets de collaboration avec les membres et les observateurs du TFSSE.

Visitez le site Internet

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

En prévision des élections fédérales de 2015, le Conseil sur les politiques du RCDÉC a mis à jour nos priorités politiques. Nous souhaitons avoir votre avis à ce sujet.

Joignez Michaël Béland, Yvon Poirier et d’autres membres du RCDÉC pour un webinaire le 13 janvier où vous aurez l’occasion de vous exprimer sur les nouvelles priorités et d’envisager des stratégies menant à intégrer le DÉC dans les programmes des partis pour les élections de 2015.

Pour en savoir plus et vous inscrire

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Les coopératives du Nouveau-Brunswick génèrent des revenus de près de 1,4 milliard de dollars et emploient des milliers de personnes

Une nouvelle étude sur les coopératives et les entreprises sociales menée pour le Co-operative Enterprise Council of New Brunswick (CECNB), avec le soutien du ministère de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail, a révélé que les coopératives ont une incidence économique appréciable dans notre province. Les conclusions de l’étude menée par la Shannon School of Business de l’Université du Cap-Breton ont été divulguées lors d’une conférence de presse ce matin au centre Planet Hatch dans le Parc du savoir de Fredericton.

L’étude a souligné que les coopératives du Nouveau-Brunswick :

  • Ont généré des revenus annuels de 1,35 milliard de dollars
  • Ont créé l’équivalent de 7500 emplois à temps plein
  • Ont injecté plus de 500 millions de dollars dans le PIB de la province
  • Ont versé des revenus d’emploi de près de 330 millions de dollars et ont payé des impôts de plus de 150 millions de dollars

« Les coopératives et les entreprises sociales stimulent l’emploi, conservent les investissements dans les collectivités rurales et abordent une myriade d’enjeux sociaux, environnementaux et culturels, a déclaré Wendy Keats, la directrice générale du CECNB. En plus d’être sensées sur le plan économique, elles aident à créer des collectivités saines et dynamiques. »

À part cette étude d’impact économique, un sondage a été mené en 2014 auprès de 138 entreprises sociales par le CECNB en partenariat avec des chercheurs des universités Mount Royal et Simon Fraser. Le sondage a révélé que 30 % des entreprises sociales offrent des services de développement de l’emploi et que 20 % offrent de la formation pour l’intégration à la population active, ce qui aide à améliorer l’employabilité des personnes qu’elles servent (p. ex. les personnes handicapées, les personnes à faible revenu, les immigrants, les Autochtones, les personnes âgées, etc.). On dit de ces entreprises qu’elles sont des facteurs clés de mobilisation des bénévoles, les 138 personnes interrogées ayant un total de 6500 bénévoles.

Exemples de coopératives et d’entreprises sociales

Les coopératives et les entreprises sociales s’efforcent de créer un rendement combiné de l’investissement, à la fois financier et social, au lieu de simplement maximiser les profits des actionnaires. Par exemple, au Nouveau-Brunswick, regardez la série de vidéos sur l’entreprise sociale sur le site Web du CECNB (en anglais seulement).

Pour plus d’information

 

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Le RIPESS, Réseau intercontinental de promotion de l’économie sociale solidaire, participait pour la première fois à la réunion des représentants de l’ONU et des organisations internationales – Points focaux de la société civile qui s’est tenue au siège de la Banque mondiale les 17 et 18 novembre 2014. Une douzaine d’organisations de la société civile, dont Aide à l’enfance et Rethinking Bretton Woods, étaient invitées à cette onzième réunion annuelle. Environ 50 institutions financières telles que la Banque mondiale et les banques régionales de développement et un grand nombre d’agences de l’ONU, dont l’Organisation internationale du travail (OIT), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Département des affaires économiques et sociales de l’ONU (ONU-DAES), participaient à cet événement. Le Secrétaire général de l’ONU était également présent.

Le Service de liaison non gouvernemental des Nations Unies (ONU-SLNG), qui sert de liaison avec tous les organismes des Nations Unies, a joué un rôle clé dans la conception du programme. À l’échelle locale, le personnel de la Banque interaméricaine de développement (BID) et de la Banque mondiale a fourni un accueil de grande qualité. Le Fonds monétaire international (FMI) appuyait également cette rencontre. John Garrison, spécialiste principal des relations avec la société civile de la Banque mondiale et ardent défenseur de l’engagement de la société civile dans le développement, a lui aussi joué un rôle important lors de cette réunion étant donné qu’il a participé à toutes les réunions précédentes.

La plénière d’ouverture a donné le ton de cet événement. Thomas Gass, Sous-secrétaire général à la coordination des politiques et aux affaires interorganisations au Département des affaires économiques et sociales (DAES) a très bien présenté le processus des Objectifs de développement durable (ODD). Il a souligné la vision inclusive des objectifs de développement qui repose sur les trois piliers économique, social et environnemental. Les ODD 2015-2030 seront adoptés en septembre 2015 lors de l’Assemblée générale. Le document qui servira de base aux négociations des états membres jusqu’à l’Assemblée générale sera rendu public par le Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU, début décembre.

 « Le développement… doit profiter à tous les secteurs de la société »

Nathalie Cely Suárez, Ambassadeur d’Équateur aux États-Unis, a présenté le positionnement de son pays par rapport aux ODD. Invoquant le concept du « buen vivir », elle a insisté sur le fait que le développement, y compris l’extraction des ressources naturelles comme l’exploitation pétrolière et minière qui constituent une part importante de l’économie équatorienne, doit profiter à tous les secteurs de la société tout particulièrement aux communautés où les activités de développement sont les plus répandues. Elle a rappelé qu’en Équateur, l’économie solidaire est inscrite dans la Constitution.

Le jour suivant été consacré aux présentations et aux discussions entre les institutions financières internationales et les organismes de la société civile (OCS). Toutes les institutions financières ont des départements ou des services consacrés aux relations avec la société civile. Elles ont expliqué les processus de consultation qu’elles utilisent avec la société civile à l’échelle mondiale et nationale. Ces institutions ont aussi parlé des enjeux qu’elles ont dû surmonter pour mener à bien ce processus et ont partagé les leçons tirées de ces expériences.

Le RIPESS a fait une présentation au cours d’un atelier traitant de la question suivante : comment la communauté du développement et les institutions financières internationales peuvent-elles collaborer avec la société civile dans les domaines de la formation, du renforcement des capacités et de l’accès approprié à un financement à long terme et abordable afin d’augmenter le potentiel des organisations de l’économie sociale solidaire (ESS)?

[Légende] Yvon Poirier (à droite) avec Andres Falconer, Partenariat mondial pour la responsabilité sociale, Banque mondiale; Hamish Jenkins, ONU-SLNG; Sylvain Browa, Efficacité de l’aide, Aide à l’enfance; John Garrison, Banque mondiale; et Biljana Radonjic Ker-Lindsay, Service de consultation de la société civile, BERD.

Après avoir présenté les besoins des organisations de l’ESS, en se basant sur des exemples précis de différents continents, toutes les institutions financières ont exprimé leur intérêt à en savoir davantage. Les trois banques régionales, la Banque asiatique de développement (BAsD), la Banque interaméricaine de développement (BID), la Banque africaine de développement (BAfD) ont également manifesté leur intérêt ainsi que la Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD) et la Banque européenne d’investissement (BEI). Le RIPESS a accepté de continuer à partager des informations avec ces institutions.

La réunion des Points focaux de la société civile à Washington a fait ressortir un point important : lorsque nous établissons des liens avec les institutions financières internationales, nous devons clairement préciser que nous ne sommes pas juste des OSC. Nous faisons au contraire partie du secteur privé, pas du secteur public. Nous sommes des acteurs économiques tout aussi légitimes que le secteur à but lucratif traditionnel. Nous pouvons même affirmer qu’en tant qu’entreprise collective nous sommes plus résilients et davantage en mesure de sortir les personnes de la pauvreté et, en plus, nous avons un impact écologique moins nuisible. Nos unités économiques de production de biens et de services reposent déjà sur les trois piliers du développement durable : économique, social et environnemental.

La prochaine étape est la Conférence internationale sur le financement du développement à Addis-Ababa en juillet 2015. Il s’agira de planifier comment les objectifs de développement 2015-2030 seront financés. Le Groupe de travail interinstitutions des Nations Unies sur l’économie sociale et solidaire, au sein duquel le RIPESS est un observateur officiel, prévoit d’ailleurs la publication d’un document sur le thème du financement de l’ESS.

Pour plus d’information, voir le

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Après avoir siégé 12 ans au conseil d’administration du RCDÉC, en tant que trésorière, présidente, présidente sortante et organisatrice du congrès pancanadien, Caroline Lachance s’est retirée du CA cet automne.

Caroline a été élue au conseil d’administration pour la première fois lors de l’AGA de 2002 à Winnipeg, elle représentait l’ÉCOF-CDEC de Trois-Rivières. Au tout début, elle doutait de ses capacités à communiquer en anglais. Néanmoins, elle a persévéré et a joué un rôle clé dans l’organisation et la tenue du Congrès pancanadien de DÉC 2004 à Trois-Rivières. Durant son mandat de trésorière du CA, Caroline a joué un rôle déterminant dans l’amélioration des politiques et du système financiers du RCDÉC. Elle a accepté d’être présidente du conseil en 2009 et a présidé le CA pendant quatre ans durant une période importante de développement organisationnel du RCDÉC.

Le conseil d’administration remercie très chaleureusement Caroline pour sa contribution exceptionnelle au RCDÉC et au mouvement du DÉC au Canada.

Bienvenue à Élodie Bedouet

Le conseil d’administration du RCDÉC a le plaisir d’annoncer que lors de sa réunion d’octobre Élodie Bedouet a été nommée au conseil d’administration pour un mandat qui prendra fin lors de la prochaine AGA.

Élodie est directrice générale de lAssociation des francophones du Nord-Ouest de l’Ontario à Thunder Bay. Depuis plusieurs années, elle travaille dans le domaine du DÉC avec les communautés francophones en Ontario et dans les Territoires du Nord-Ouest. Par ailleurs, elle s’intéresse de près à l’entreprise sociale. Diplômée en science politique de l’Université de Montréal (spécialisation : économie politique internationale), elle a mené des recherches sur le développement économique et l’éducation au Chili pour le compte d’une agence de l’ONU et a travaillé sur des projets d’inclusion des jeunes au moyen des nouvelles technologies au Maroc.

En savoir plus sur le Conseil d’administration du RCDÉC>> 

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Depuis la crise économique mondiale de 2008, la consommation locale a le vent en poupe. Le Canada n’y échappe pas ! La Banque du Développement du Canada l’a identifié dans un de ses rapports en octobre 20131 comme l’une des cinq tendances de consommation qui change la donne. En effet, près de deux tiers des Canadiens ont récemment fait un effort pour acheter des produits locaux ou fabriqués au Canada : 97,0% pour soutenir leur économie locale; 93,0% pour créer des emplois locaux.

Au Québec, les statistiques du Baromètre de la consommation responsable2 prouvent que c’est la tendance du moment. Il s’agit du comportement de consommation responsable qui a le plus augmenté depuis 2010 : soit une hausse de 4,1 points. En 2013, c’est le deuxième comportement de consommation responsable derrière le recyclage. Cela sera traduit dans le panier des consommateurs où l’on retrouve de plus en plus de produits locaux, puisque parmi les 20 produits éco-responsables les plus achetés en 20133, six sont des produits locaux, tous des produits alimentaires.

La dernière étude diffusée par l’Observatoire ESG UQAM de la consommation responsable ce 15 octobre 2014 confirme cet engouement4. Pour 79,6 % des Québécois, le terme « local » sur un produit alimentaire constitue un avantage. Il faut d’ailleurs relever que plus de 55,6 % des consommateurs veulent trouver sur l’étiquette des produits l’information sur l’origine !

Les Québécois ont un engouement envers la consommation locale essentiellement pour des raisons éthiques et sociales :

  • 84,7 % favoriser l’économie locale;
  • 82,4 % appuyer la communauté locale;
  • 81,7 % faire travailler les gens d’ici.

Alors, pourquoi ne pas traduire cet enthousiasme dans ses pratiques d’investissement ? Dans l’étude que l’OCR avait conduite en février 2014 sur l’IR5, seulement 29,4 % voyaient en l’IR un investissement dans les PME locales. Pourtant, en tant qu’investisseur individuel, chacun peut exprimer ses convictions « locales » et notamment opter pour l’investissement à impact social. Consultez la section Stratégies d’Ethiquette pour plus d’informations et passez à l’action !

  1. Planifier votre croissance – Cinq tendances de consommation qui changent la donne, BDC, Octobre 2013, https://www.bdc.ca/Resources%20Manager/study_2013/etude_BDC_tendances_consommation.pdf
  2. Baromètre 2013 de la consommation responsable au Québec –BCR 2013-, OCR, https://ocresponsable.com/
  3. cf. Top 20 des produits éco-responsables les plus achetés, BCR 2013
  4. Les Québécois valorisent les produits locaux, 15 octobre 2014, OCR
  5. Les Québécois et l’ISR : portrait 2014, OCR, https://ocresponsable.com/les-quebecois-et-lisr-portrait-2014/ 

Brenda Plant est co-fondatrice d’Ethiquette et associée Ellio qui se spécialise en développement durable et en investissement responsable. Elle participe aussi au développement d’un fonds d’investissement pour des habitations à loyer modique (pour investisseurs accredités).  Auparavant, Brenda a travaillé pendant six ans dans le secteur communautaire en se penchant sur des questions telles la sécurité du revenu et les droits de la personne. Elle est investisseur à l’Association communautaire d’emprunt de Montréal depuis longue date et un partisan dévouée du DÉC.

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Lancée cet automne, Ethiquette est la première plateforme indépendante et bilingue pour les investisseurs individuels. Elle offre de l’information sur la gamme complète de stratégies et de produits d’investissement responsable disponibles au Canada, incluant plusieurs fonds et projets de DÉC.

Par exemple, les membres du RCDÉC tels que l’ACEM, le St John Community Loan Fund et le Jubilee Fund du Manitoba sont cités, parmi d’autres, comme des exemples de fonds d’investissement communautaire viables. Certaines offres d’obligations communautaires sont décrites, tout comme certaines offres d’investissement dans l’économie sociale. Les fonds de capital de développement du Québec (tels que le Fondaction de la CSN, le Fonds de Solidarité de la FTQ et le Capital régional et coopératif de Desjardins) ainsi que les CEDIF de la Nouvelle-Écosse sont aussi expliqués dans un langage clair pour les nombres croissants de Canadiens qui souhaitent acheter et investir localement.

Bien que les conseillers financiers ne reçoivent généralement aucune compensation financière pour l’aide qu’ils offrent à leurs clients pour trouver des produits de financement social, ce site peut certainement leur faciliter la tâche, et celle de leurs clients, afin d’intégrer les investissements en DÉC dans leur portefeuille d’investissement responsable.

Naviguez le site : ethiquette.ca
Rendez-vous directement à l’information sur les offres d’investissements en DÉC

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Jusqu’à récemment, les personnes qui essayaient de naviguer sur notre site Web avec un appareil portable étaient vite frustrées.

Bonnes nouvelles ! Nous avons apporté des améliorations qui permettent maintenant de naviguer sur notre site à partir de votre téléphone.

Vous avez donc accès aux dernières nouvelles, offres d’emploi, ressources et événements. Vous pouvez même trouver des membres du RCDÉC près de chez vous grâce à notre nouvelle carte des membres, et ce où que vous soyez.

Dites-nous ce que vous en pensez!

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson

Les visiteurs du site Web du RCDÉC peuvent maintenant en savoir plus sur nos membres et entrer directement en contact avec eux en parcourant la nouvelle carte des membres du RCDÉC.

Cette carte met en vedette les organismes et les personnes qui dans chaque province et territoire font partie d’un mouvement pancanadien pour des économies locales inclusives et durables.

En cliquant sur chaque repère placé sur la carte, les visiteurs sont dirigés vers un « profil membre » comme ceux-ci : SEED Winnipeg, l’Association des Sociétés d’aide au développement des collectivités de l’Ontario, Momentum, le Co-operative Enterprise Council of New Brunswick et la CDÉC de Québec.

Consultez la carte

Au cours des prochaines semaines, nous ajouteront des fonctions qui permettent aux utilisateurs du site Web de faire une recherche des membres par province, mot clé et secteur d’activité.

Le RCDÉC a établi grâce à cette carte un autre moyen de soutenir et de relier les chefs de file du milieu communautaire qui accomplissement des changements sociaux, économiques et environnementaux.

Si vous n’êtes pas sur la carte, alors pourquoi ne pas vous joindre au RCDÉC? >>

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Matthew Thompson

Matthew travaille avec le RCDÉC depuis plus de cinq ans dans divers domaines tels que la recherche et la mobilisation des connaissances, l’organisation d’événements et la coordination du programme pancanadien d’expériences de travail CréeAction. Il a également coécrit Assembling Understandings: Findings from the Canadian Social Economy Research Partnerships, 2005-2011, un résumé thématique de près de 400 produits de recherche sur l’économie sociale au Canada.

Matthew Thompson